Rapport de la négo : l’employeur se braque, le SCCUQ demande la nomination d’un médiateur-conciliateur


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À la suite du vote de refus de l’offre finale de la direction par 96,5% des chargées et chargés de cours présents à l’Assemblée générale spéciale et l’acceptation par 86% des membres d’une banque de cinq jours de grève à être exercés au moment jugé opportun, les comités de négo se sont revus le 28 novembre. Le comité de négo patronal a dit qu’il ne retournerait pas voir ses mandants tant que le Syndicat ne revoyait pas ses demandes, qu’il refusait de reprendre la négociation et que l’offre finale était toujours sa réponse aux dernières contre-propositions syndicales. À la demande du comité de négo syndical, ils se sont tout de même entendus pour se revoir le 15 décembre.

Les chargées et chargés de cours de l’UQAM rejettent l’offre finale : une banque de cinq jours de grève!


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Les chargées et chargés de cours de l’UQAM ont rejeté à 96,5% l’offre finale de l’employeur, vendredi en assemblée générale, et 86% des membres présents ont voté en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun par le Comité exécutif et le Comité de négociation. Cette offre finale contenait des augmentations salariales en-deçà de celles offertes aux professeurs et aux employés de soutien – se limitant aux paramètres salariaux gouvernementaux, soit 6,75% sur cinq ans – alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises.

Agents de la paix en services correctionnels : occupations simultanées de bureaux de circonscriptions partout au Québec


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Des agents et agentes de la paix en services correctionnels ont occupé ou visité mercredi une douzaine de bureaux d’élu-es provinciaux aux quatre coins du Québec dans le cadre de la négociation de leur convention collective. Cette série d’actions simultanées fait suite à d’autres actions et occupations similaires au cours des dernières semaines. Alors qu’ils sont sans contrat de travail depuis le 1er avril 2015, les négociations achoppent sur quatre enjeux majeurs pour le SAPSCQ–CSN, soit la formation obligatoire des agentes et agents, les offres salariales, le régime de retraite et le retour de la précarité pour les salarié-es à temps partiel.

Le SPGQ a exercé une grève générale le 22 novembre


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Les quelque 17 000 membres du Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) ont exercé une grève générale de 2 heures 22 minutes le 22 novembre, de 9h38 à midi, à travers le Québec, pour exprimer leur détermination malgré l’impasse de la négociation qui dure depuis plus de 600 jours. Pour l’occasion, deux grandes manifestations à Montréal et à Québec et plusieurs rassemblements en région – Rimouski, Victoriaville, Drummondville, Rouyn-Noranda, Val d’Or, Gatineau, Nicolet – se sont tenus simultanément à 10h15 pour souligner le mécontentement des membres du SPGQ. Les membres du SPGQ entendent exprimer leur exaspération envers le cul-de-sac dans lequel est embourbée la négociation entourant le renouvellement de leur convention collective, échue depuis le 31 mars 2015, tout en rappelant au gouvernement l’importance de valoriser son expertise, comme le préconise le rapport de la commission Charbonneau déposé il y a déjà un an.

Une offre finale inacceptable


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L’employeur ne veut plus se prêter au jeu de la négociation. Il a déposé son offre finale à la table de négociation mardi. Une offre qui ressemble étrangement à l’offre globale (partielle) de septembre, avec quelques phrases mieux écrites et trois petites peanuts en plus. Des augmentations salariales en-deça de celles offertes aux profs et aux employées et employés de soutien alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises. Des offres normatives qui répondent par la négative à nos principales revendications sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), la clause réserve, la stabilisation de l’emploi et les environnements numériques d’apprentissage.

Entre vous et moi


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L’employeur ne veut plus se prêter au jeu de la négociation. Il a déposé son offre finale à la table de négociation mardi. Une offre qui ressemble étrangement à l’offre globale (partielle) de septembre, avec quelques phrases mieux écrites et trois petites peanuts en plus. Des augmentations salariales en-deça de celles offertes aux profs et aux employées et employés de soutien alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises. Des offres normatives qui répondent par la négative à nos principales revendications sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), la clause réserve, la stabilisation de l’emploi et les environnements numériques d’apprentissage.

Assemblée générale spéciale le 25 novembre : votes sur l’offre finale de l’UQAM et des moyens de pression


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Les chargées et chargés de cours sont convoqués à une Assemblée générale spéciale le vendredi 25 novembre, à 12h30, à la salle Marie-Gérin Lajoie du pavillon Judith-Jasmin, niveau métro. À l’ordre du jour: • Rapport sur la négociation UQAM-SCCUQ • Vote sur l’offre finale de l’UQAM • Vote sur l’utilisation du Fonds de défense professionnelle du SCCUQ en lien avec le vote sur les moyens de pression • Vote sur les moyens de pression: banque de cinq jours de grève. Nous vous y attendons en grand nombre.

Rapport de la négo : en attente de réponses à nos contre-propositions

Lors de la séance de négociation du 8 novembre, quatre jours après la rencontre avec le recteur et l’assemblée générale, la partie patronale n’a fait qu’un seul retour, reconfirmant que l’UQAM n’accepte pas que les syndicats soient associés à une future politique institutionnelle sur les environnements numériques d’apprentissage. Mais la partie syndicale en a profité pour revenir sur l’ensemble des clauses normatives qui ne font pas encore l’objet d’un accord. Pour faire avancer les choses, elle a présenté des contre-propositions sur les charges de cours liées au perfectionnement permettant d’acquérir de nouvelles exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), sur le projet pilote portant sur l’élaboration et la modification des EQE, sur une nouvelle approche pour l’attribution des EQE et sur l’ensemble de la clause réserve.

Entre vous et moi


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Belle journée du 4 novembre. La rencontre avec le recteur a permis à nombre de chargées et chargés de cours de lui faire part de notre absence du rapport sur la décentralisation et de nos craintes face au processus. L’assemblée générale qui a suivi, avec une forte participation de chargés de cours dont plusieurs nouvelles têtes, a permis de poursuivre la discussion sur la décentralisation et d’en entamer une autre sur les moyens de pression nécessaires pour faire débloquer les gros points en litige à la table de négociation. La partie patronale est censée revenir à cette table le 15 novembre avec la réponse de leurs mandants aux contre-propositions syndicales présentées mardi.

Projet de loi 110 : chronologie d’un chaos annoncé dans les municipalités du Québec


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Le projet de loi 110 (PL110) concernant Le régime de négociation des conventions collectives et de règlement des différends dans le secteur municipal, vient d’être adopté et sanctionné le 2 novembre par l’Assemblée nationale du Québec. Inutile et sans fondement, il a été maintes fois décrié par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN). De toute évidence, cette loi a été écrite et pensée par des individus qui ne connaissent rien aux relations de travail. Cette nouvelle loi crée des conditions qui amèneront rapidement des conflits de travail car elle limite la durée du processus de négociation à un délai qui est bien en deçà de la normale dans le secteur municipal et le secteur du transport terrestre.

Décentralisation et négociation : rencontre du recteur et assemblée générale spéciale le 4 novembre


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Le recteur invite les chargées et chargés de cours à une rencontre dans le but d’échanger sur le rapport des consultantes sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire de l’UQAM. Cette rencontre aura lieu à la salle Marie-Gérin-Lajoie, le vendredi 4 novembre, de 12h30 à 14h. Cette rencontre sera suivie d’une assemblée générale spéciale au local A-2885. Nous y ferons un retour sur la rencontre avec le recteur, puis nous ferons le point sur la négociation. Nous aurons alors une discussion sur des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève et sur les portes ouvertes de l’UQAM du lendemain. Votre présence à ces deux événements est de la plus haute importance.

Après deux ans de négociations : entente de principe pour les professeures et professeurs de l’UQAM


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Après deux ans de négociations pour le renouvellement de leur convention collective, les membres du Syndicat des professeurs et professeures de l’Université du Québec à Montréal (SPUQ) ont accepté à 90% l’entente de principe qui leur a été présentée en assemblée générale. Cette entente, qui survient après 65 séances de négociation, met fin à un conflit marqué par l’intransigeance et le manque de transparence de l’administration. En avril dernier, le corps professoral avait d’ailleurs exigé la démission du recteur et de deux vice-recteurs. L’entente permet un rattrapage salarial de 2% en plus des hausses prévues dans la Politique salariale du gouvernement du Québec (PSG).

Négociation entre Québec et les agents de la paix en services correctionnels : opération de visibilité auprès de la population


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Le Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec (SAPSCQ–CSN) a décidé de lancer une importante opération de visibilité afin de dénoncer le laisser-aller du gouvernement en matière de sécurité publique. Le syndicat utilisera divers moyens afin de dénoncer les lacunes du système correctionnel du Québec et les mauvaises conditions dans lesquelles s’exerce le travail des agentes et agents de la paix. Sans contrat de travail depuis plus de 18 mois, les membres du SAPSCQ–CSN comptent multiplier les démarches de visibilité et les moyens de pression au cours des prochaines semaines, afin de faire avancer les négociations actuelles.

Entente historique entre le SCFP et la FEESP pour défendre les employés municipaux et du transport terrestre


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Alors que vient de s’écouler la première semaine de l’étude sur le projet de loi 110 à Québec, projet de loi qui vise à imposer un nouveau cadre de négociation dans le secteur municipal et le secteur du transport terrestre, le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et la Fédération des employées et employés des services publics (FEESP–CSN) considèrent que le gouvernement veut créer deux classes de travailleurs, ceux qui peuvent négocier librement leurs conditions de travail et ceux pour qui on veut créer un régime d’exception sans précédent au pays. Devant cette attaque historique, les deux organisations syndicales ont décidé de poser un geste tout aussi historique pour mieux défendre les employés municipaux et du transport terrestre qu’elles représentent.

Projet de loi 110 : le gouvernement ne veut pas entendre les représentants de l’Institut de la statistique du Québec, dénonce le SCFP


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L’étude du projet de loi 110, projet de loi qui vise à imposer un nouveau cadre de négociation dans le secteur municipal et du transport terrestre, débutait mardi à l’Assemblée nationale. Le ministre et les membres libéraux de la commission ont rejeté une requête de l’opposition officielle visant à faire entendre des représentants de l’Institut de la statistique du Québec, ce qui aurait permis d’éclairer le débat parlementaire et donner l’heure juste à la population sur la rémunération des employés municipaux. À l’origine, le Gouvernement invoquait un écart de rémunération de 39% et un déséquilibre du rapport de force à l’avantage des employés municipaux afin de justifier la nécessité d’une nouvelle intervention législative.

La paix industrielle menacée à l’Université de Montréal


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Les négociations entre les quelque 225 membres du Syndicat des employés(e)s d’entretien de l’Université de Montréal et l’employeur se dégradent tellement au point où la partie patronale distribue des avis disciplinaires aux employés pour le simple port d’un tee-shirt sur lequel il est inscrit le nom du syndicat. Les principaux enjeux de cette ronde de négociation concernent le déménagement prochain d’une partie des activités du campus principal vers les nouveaux édifices de l’université actuellement en construction à Outremont. De plus, la partie patronale voudrait exclure, la première année, ses employés de ces nouvelles installations, pour confier leurs tâches à une main-d’œuvre externe (sous-traitance), ce à quoi s’opposent vivement les représentants syndicaux.

Projet de loi 110 : une mobilisation partout au Québec pour défendre le droit de négocier


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Des syndicats affiliés à la CSN ont profité de la rentrée parlementaire à l’Assemblée nationale, le 20 septembre, pour dénoncer le projet de loi 110 sur le régime de négociation des conventions collectives et de règlement des différends dans le secteur municipal, qu’ils estiment être une attaque directe à la libre négociation. Un premier volet du plan de mobilisation visant à faire reculer le gouvernement sur son projet de loi a été mis en application : ainsi, des panneaux aux couleurs de la campagne Défendons le droit fondamental de négocier ont été installés, notamment aux abords de l’Hôtel de ville de Montréal.

Rapport de négo : des attentes et encore des attentes


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Les deux parties se sont rencontrées le 12 septembre et, outre le gain d’une journée de congé lors du décès d’une tante, d’un oncle, d’une nièce ou d’un neveu, notre comité de négociation est ressorti de la séance avec peu de réponses concrètes à leurs attentes. L’employeur évalue la faisabilité de créer un répertoire des personnes chargées de cours (PCC) sur le site de l’UQAM et n’a pas terminé l’écriture du texte sur le paiement des frais de voyage des PCC lorsqu’elles vont travailler à l’étranger. Le Syndicat s’attendait à un retour sur nos demandes par rapport à la modification, l’attribution et la détermination des EQE, la réduction de la période de probation et les environnements numériques d’apprentissage… en vain.

Entre vous et moi


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Être chercheur ou ne pas être? L’UQAM a reconnu dans le cadre de la négociation que des chargées et chargés de cours font de la recherche-création. Mais lorsqu’il est venu le temps de reconnaître que la compétence pour donner un cours doit être similaire quel que soit le type d’enseignant, là ça ne marche plus. Les profs déterminent les critères (de diplomation ou son équivalence, d’expérience et d’accréditation s’il y a lieu) permettant aux personnes chargées de cours de donner un cours, sans les respecter eux-mêmes. L’employeur considère qu’il y a des gens de recherche et des gens de terrain, parlant encore des deux côtés de la bouche, au mépris des chargées et chargés de cours.

Négos dans les CPE : la CSQ dépose ses demandes à Québec


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Après la CSN, c’est au tour de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) de déposer, jeudi, ses demandes au gouvernement en vue du renouvellement des conventions collectives des travailleuses dans les Centres de la petite enfance. Les négociations devraient commencer sous peu; elles accusent d’ailleurs un important retard, puisque les conventions collectives sont échues depuis près d’un an et demi, soit depuis le 31 mars 2015, comme c’était le cas pour l’ensemble des employés de l’État. Pour la Fédération des intervenantes en petite enfance de la CSQ, la demande prioritaire sera celle de doubler les sommes consacrées aux enfants ayant des besoins particuliers, qu’il s’agisse d’enfants ayant des troubles de langage, des problèmes physiques ou autres.

Régime de négociation dans le secteur municipal : la CSN demande le retrait du projet de loi 110


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Intervenant à la Commission de l’aménagement du territoire ce midi, la Confédération des syndicats nationaux (CSN) demande le retrait du projet de loi 110 sur le régime de négociation des conventions collectives et de règlement des différends dans le secteur municipal. «Avec ce canon législatif, le PL110 mettrait en péril l’équilibre des forces dans ce secteur, dénaturerait les relations de travail et brimerait le droit de négocier des travailleuses et des travailleurs des municipalités, dénonce le président de la CSN, Jacques Létourneau. Le gouvernement Couillard n’a absolument aucun motif d’agir ainsi.»

Lire la suite et visionner la vidéo.

FTQ : Le projet de loi n° 110 doit être amendé.

Entre vous et moi


Classé dans : SPPEUQAM | 0

À la table de négo, la partie patronale a refait volte-face et soutient de nouveau la démarche de représentation avec droit de vote aux assemblées départementales des personnes chargées de cours (PCC). Il reste à voir si les professeures et professeurs ont une conscience sociale et une compréhension du terme équité. La Direction accepte aussi d’inclure les PCC dans un éventuel comité sur les mesures d’encadrement des environnements numériques d’apprentissage. Serait-ce le début de la fin de l’apartheid universitaire à l’UQAM? Disons que c’est un bon premier pas, mais il y a encore du chemin à faire.

Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ

Rapport de la négo : une reconnaissance et une volte-face


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Lors de la 19e séance de négociation, le 31 mai, la partie patronale a accepté notre texte sur la reconnaissance de la recherche et de la création qui se lit ainsi : «L’Université reconnait l’importance et la valeur des activités de recherche et de création en milieu universitaire. Les personnes chargées de cours, qui œuvrent en recherche et en création, sont des acteurs importants qui contribuent à son rayonnement dans la société. L’Université peut leur reconnaitre le statut de chercheur associé conformément aux dispositions de la politique 10. De même, la personne chargée de cours peut se voir reconnaitre le statut de professeur associé, conformément aux dispositions de la convention collective SPUQ-UQAM.

Négociations du secteur préhospitalier : le retrait du ministère nous ramènerait 30 ans en arrière


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En annonçant son intention de se désengager de la négociation collective à la faveur de la refonte des contrats de service du secteur préhospitalier, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, sème la confusion, car cette position tranche radicalement avec les énormes progrès réalisés au cours des 30 dernières années. Sans convention collective depuis le 31 mars 2015, les paramédics, répartiteurs et le personnel de soutien du secteur préhospitalier refusent de faire les frais de cette volte-face. «Nous ne croyons pas que le ministre souhaite voir naître de nouvelles disparités régionales dans les conditions de travail», affirme Dany Lacasse, vice-président de la Fédération de la santé et des services sociaux.