CPE du Coeur-du-Québec : 350 travailleuses votent la grève générale illimitée


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Les 350 travailleuses d’une vingtaine d’installations du Cœur-du-Québec ont voté à 90,2% en faveur du recours à la grève générale illimitée à appliquer au moment jugé opportun. Il s’agit donc d’un message sans équivoque à l’endroit des directions de CPE et de leur regroupement, soit l’Association patronale nationale des CPE (APNCPE), indiquant que ces travailleuses veulent obtenir un règlement conforme à leurs attentes et à ce qui a été négocié dans l’ensemble des autres régions.

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CPE de la Montérégie : Entente de principe adoptée. Outaouais : Entente de principe et annulation de la grève dans 17 CPE.

Les sages-femmes sur les talons de Gaétan Barrette


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Devant l’offre globale inacceptable qui leur a été faite par le gouvernement, des sages-femmes de la région de Gatineau, soutenues par des travailleuses en grève des centres de la petite enfance (CPE), étaient présentes lors d’un point de presse donné mardi par le ministre Barrette sur les soins de santé offerts en obstétrique dans la région de l’Outaouais. Elles en ont ajouté une couche puisque le matin, elles ont profité du fait que leurs porte-parole négociaient à Québec avec les représentants du ministère de la Santé et des Services sociaux pour tenir une action devant les bureaux où se déroulait ladite négociation.

Négociations dans les centres de la petite enfance (CPE) : entente de principe, la grève des 7 et 8 novembre est annulée


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Une entente de principe est intervenue lundi soir entre le comité national de négociation des 11 000 travailleuses des CPE, membres de la FSSS-CSN, et le ministère de la Famille et les associations d’employeurs. En conséquence, les deux journées de grève prévues mardi et mercredi ont été annulées, tout comme le rassemblement qui était prévu devant l’Assemblée nationale ce mercredi. Les services éducatifs sont donc maintenus intégralement. L’entente de principe sera présentée à la centaine de déléguées des syndicats des travailleuses en CPE le mardi 14 novembre, lors d’un conseil fédéral de négociation sectorielle de négociation de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN).

Une bande de Robin des bois en action dans le quartier Villeray : le Québec a les moyens de viser la justice sociale


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Des membres de groupes communautaires et populaires, de syndicats de l’enseignement, de la fonction publique, de la santé et services sociaux, du secteur privé, des groupes de femmes, des familles et d’autres personnes préoccupées par la justice sociale ont marché côte à côte le 28 octobre sous les traits de Robin des bois. À l’appel de la Coalition Main rouge, ils et elles ont revendiqué que le gouvernement québécois réinvestisse massivement dans les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome, menacés par des années de sous-financement et de compressions. Pour bien illustrer les besoins criants et la nécessité d’une meilleure répartition de la richesse, des sacs d’écus ont été déposés devant CLSC, écoles publiques, CPE, coopératives d’habitation et centre communautaire qui se trouvaient sur leur parcours.

Négociations dans les CPE : des milliers de travailleuses en grève partout au Québec


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Environ 11 000 travailleuses, membres de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), étaient en grève lundi dans plus de 400 CPE. Elles voulaient exprimer leur impatience et leur colère contre le fait qu’elles sont sans conventions collectives depuis plus de 30 mois. Elles voulaient surtout dénoncer l’intransigeance du ministère de la Famille qui pose des conditions inacceptables à la poursuite des négociations dont le cœur même des demandes des travailleuses est très loin d’être réglé. D’autres journées de grève pourraient s’ajouter si nécessaire.

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Rétroactivité de l’équité salariale envers des milliers de travailleuses : la CSN, la CSQ et le SCFP plaident en Cour suprême


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La CSN a été entendue en Cour suprême mardi dans le cadre d’un recours intenté en octobre 2006 pour que les travailleuses des centres de la petite enfance (CPE) aient droit à l’équité salariale rétroactivement au 21 novembre 2001. Par ce recours, la centrale espère corriger une énorme injustice commise notamment à l’endroit de près de 30 000 travailleuses en service de garde au Québec. «Non seulement les travailleuses concernées par la requête ont été discriminées en tant que personnes qui occupaient leur emploi dans un secteur majoritairement féminin, mais celles qui évoluaient dans les milieux exclusivement féminins, comme les éducatrices en CPE, ont bénéficié d’ajustements salariaux six ans après toutes les autres travailleuses québécoises envers qui les employeurs avaient l’obligation d’accorder l’équité en 2001.

Centres de la petite enfance : les négociations se poursuivent, mais la grève du 30 octobre est maintenue


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Au terme de deux journées d’échanges entre le comité national de négociation des 11 000 travailleuses en CPE et le ministère de la Famille et les associations patronales, les négociations vont se poursuivre. Toutefois, l’état d’avancement des pourparlers ne justifie pas de suspendre ou d’annuler la grève du 30 octobre dans 578 installations tel qu’annoncé en début de semaine. Le mot d’ordre de grève est donc maintenu. En conséquence, aucun autre commentaire ne sera émis pour le moment.

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Les travailleuses de plus de 400 CPE votent à 94 % en faveur de la grève


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Une menace de grève plane sur plus de 400 centres de la petite enfance (CPE), où quelque 11 000 travailleuses ont voté à 94 % en faveur d’un arrêt de travail de six jours dont le moment reste à déterminer. Les syndiquées, membres de la CSN, sont sans contrat de travail depuis mars 2015 et si les questions non monétaires sont en grande partie réglées, les négociations achoppent toujours sur les salaires, le régime de retraite, les assurances collectives, le ratio enfants/éducatrice et la participation des travailleuses aux conseils d’administration et aux assemblées des CPE, entre autres.

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Négociations nationales en CPE : les travailleuses votent la grève dans cinq autres régions


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Réunis hier en assemblée générale à l’Hôtel Universel d’Alma, les membres du Syndicat des travailleuses des centres de la petite enfance et des bureaux coordonnateurs du Saguenay-Lac-St-Jean-FSSS-CSN (STT CPE BC Sag-Lac FSSS-CSN) se sont prononcées à 94% en faveur d’une banque de six (6) journées de grève à utiliser au moment jugé opportun. Elles veulent ainsi mettre la pression nécessaire pour faire débloquer la négociation des dispositions nationales avec les associations d’employeurs et le ministère de la Famille. Les membres ont également voté à 94% une banque de quatre (4) jours de grève supplémentaires, aussi à exercer au moment jugé opportun, afin de faire bouger les tables régionales, car les demandes patronales sont très loin de celles du syndicat.

Négociation dans les CPE : manifestation des représentantes des 11 000 travailleuses et travailleurs membres de la CSN


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Réunies à Québec à l’occasion de leur instance de négociation, une centaine de représentantes de 37 syndicats regroupant 11 000 travailleuses et travailleurs en CPE, membres de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), ont manifesté le 13 juin devant les bureaux du ministère de la Famille. Dénonçant notamment la lenteur des négociations alors que leurs conventions collectives sont échues depuis le 31 mars 2015, les délégué-es recommanderont à leurs membres de mettre en place un plan d’action lourd, incluant le recours à la grève applicable à l’automne prochain.

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Centres de la petite enfance (CPE) : blitz de cinq jours de négo pour 11 000 travailleuses


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Les représentants des 11 000 travailleuses et travailleurs en CPE, syndiqués à la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS–CSN), amorcent un blitz de négociation de cinq jours à compter du 31 mai. Avec cette accélération des pourparlers qui ont commencé le 8 décembre dernier, les membres du comité de négociation nationale espèrent obtenir rapidement une entente avec le ministère de la Famille et onze associations d’employeurs. Leurs conventions collectives sont échues depuis le 31 mars 2015.

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Semaine des services éducatifs en CPE et en milieu familial.

Sommet sur l’éducation à la petite enfance : une déclaration des partenaires en faveur des services éducatifs de qualité dès la naissance


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La Confédération des syndicats nationaux (CSN) endosse la déclaration des partenaires à l’occasion du Sommet sur l’éducation à la petite enfance qui s’est terminé le 5 mai. Comme d’autres, la CSN mettra tout en œuvre pour valoriser davantage et poursuivre le développement du réseau des services éducatifs à la petite enfance. La CSN s’engage aussi à en faire la promotion, et ce, dans le meilleur intérêt des tout-petits, mais aussi du personnel en centres de la petite enfance (CPE), en milieu familial régi et en milieu scolaire, sans qui ce réseau n’existerait tout simplement pas. La confédération souhaite aussi contribuer à une concertation éventuelle des différents partenaires qui ont participé au Sommet dans le but de poursuivre les discussions qui restent à faire.

Négociation dans les CPE : 3500 travailleuses en colère contre une association d’employeurs


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Environ 3500 travailleuses et travailleurs œuvrant dans 133 CPE du Québec, dont la moitié à Montréal et à Laval, ont participé mercredi à des actions de visibilité dans leur CPE. Elles dénoncent le fait qu’elles sont toujours dans l’impossibilité de renouveler leur convention collective, plus de deux ans après son échéance. L’Association patronale nationale des centres de la petite enfance (APNCPE), qui regroupe le tiers des 400 CPE syndiqués à la FSSS–CSN, refuse de joindre la table nationale de négociation où des échanges se poursuivent depuis décembre avec d’autres associations d’employeurs et le ministère de la Famille. «Ce qui est en jeu ici, c’est le maintien, l’amélioration et l’uniformisation des conditions de travail qui contribuent à stabiliser la main-d’œuvre et à offrir un haut niveau de compétence et de savoir-faire», soutient Nathalie Fontaine, 1re vice-présidente à la négociation du STCPEML–CSN.

CPE : des lacets pour démontrer l’attachement au réseau


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Des centaines de membres de la Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ) ont distribué des lacets et prospectus devant des CPE des quatre coins du Québec pour inciter les parents à exprimer leur attachement au réseau public des services de garde dans le cadre des négociations d’une nouvelle convention collective pour les intervenantes en CPE.

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La bulle de Pierre-Yves McSween : une vision comptable des CPE


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La Confédération des syndicats nationaux (CSN) veut ici rectifier les faits rapportés dans la chronique de l’économiste Pierre-Yves McSween intitulée La bulle financière des CPE, diffusée dans La Presse du 8 février. D’entrée de jeu, l’auteur pose la question de la pertinence des CPE strictement en termes comptables et financiers. C’est ignorer le fait que les services éducatifs de qualité offerts en CPE, tout comme en milieu familial régi d’ailleurs, ont un impact positif sur le développement des enfants et sur leur bien-être. L’impact est d’autant plus important pour les enfants de milieux défavorisés. La CSN a souvent dénoncé et continue de décrier le choix du gouvernement qui, par ses mesures fiscales et tarifaires récurrentes, encourage ouvertement les parents à recourir aux garderies commerciales pour des motifs strictement financiers plutôt qu’au réseau des services de garde régi et subventionné. 

Manifestation pour mettre fin au saccage de nos services de garde éducatifs


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Le 3 décembre, à 13 heures, au Carré Saint-Louis (angle Saint-Denis et du Square-Saint-Louis, Métro Sherbrooke), manifestons pour réclamer du gouvernement la fin du saccage et le renforcement de notre réseau de services de garde éducatifs, un joyau envié dans le monde. Malgré des surplus de 3,6 milliards de dollars cette année (en plus des 2,2 milliards prévus en 2017), le gouvernement de Philippe Couillard impose toujours ses politiques d’austérité aux parents utilisateurs et aux travailleuses et travailleurs des services de garde éducatifs à contribution réduite en CPE, en milieu familial régi et en milieu scolaire.

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Commission sur l’éducation à la petite enfance : une participation active à la tournée de consultations régionales


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C’est avec enthousiasme que la CSN participera, au cours des prochaines semaines, aux différentes consultations régionales organisées dans le cadre de la Commission sur l’éducation à la petite enfance. Avec des syndicats en CPE et en milieu familial et scolaire répartis dans toutes les régions du Québec, la CSN compte profiter de cette expertise pour documenter et exposer concrètement les conséquences néfastes des dernières politiques du gouvernement dans les différentes régions du Québec. La CSN entend également mettre en avant des pistes de solutions pour reconstruire un réseau de services de garde éducatifs en CPE, en milieu familial et en secteur scolaire.

Des compressions de 74 M$ en 2017 : les travailleuses des CPE manifestent devant le ministère de la Famille


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Les travailleuses et travailleurs des centres de la petite enfance de Montréal et de Laval ont manifesté samedi devant le ministère de la Famille afin de dénoncer l’intention du gouvernement Couillard de maintenir sa décision d’imposer des compressions de 74 M$ le 1er avril 2017. Le gouvernement avait déjà effectué une première coupe de 46 M$ en 2014. «Ces attaques au réseau des CPE ont un impact direct sur les services donnés aux enfants, s’indigne Nathalie Fontaine, porte-parole du Syndicat des travailleuses(eurs) des centres de la petite enfance de Montréal et Laval–CSN. Les compressions font mal : des activités pour les enfants sont annulées, le matériel éducatif réduit et le temps de planification diminué», se désole la représentante syndicale, qui estime que depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement libéral prend fait et cause pour les garderies privées, aux dépens du réseau public.

Négos dans les CPE : la CSQ dépose ses demandes à Québec


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Après la CSN, c’est au tour de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) de déposer, jeudi, ses demandes au gouvernement en vue du renouvellement des conventions collectives des travailleuses dans les Centres de la petite enfance. Les négociations devraient commencer sous peu; elles accusent d’ailleurs un important retard, puisque les conventions collectives sont échues depuis près d’un an et demi, soit depuis le 31 mars 2015, comme c’était le cas pour l’ensemble des employés de l’État. Pour la Fédération des intervenantes en petite enfance de la CSQ, la demande prioritaire sera celle de doubler les sommes consacrées aux enfants ayant des besoins particuliers, qu’il s’agisse d’enfants ayant des troubles de langage, des problèmes physiques ou autres.

Aide directe ou programmes sociaux ?


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La mise en place des CPE ou la création d’un parc de logements sociaux auraient-elles été possibles si l’État avait choisi de verser de l’argent aux citoyens afin qu’ils se procurent ces services au privé ? Un des choix fondamentaux à la base de tout projet de revenu minimum garanti universel et inconditionnel, aussi appelé allocation universelle, consiste à privilégier la redistribution des ressources publiques par le versement d’une allocation en argent. Car pour plusieurs promoteurs d’une telle mesure, une telle allocation augmenterait de manière importante la liberté de choix des citoyennes et des citoyens.

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Subventionner les congédiements dans les CPE : une orientation clairement hostile aux salariées du réseau


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Le réveil a été brutal pour de nombreuses travailleuses et de nombreux travailleurs du réseau des CPE. Le ministère de la Famille a annoncé que l’allocation de transition, devant permettre d’atteindre «(…) plus d’efficience et de maintenir la qualité des services (…)» allait pouvoir servir à financer les licenciements d’employées, employés. Ces sommes pourront servir au paiement des indemnités de départ ou des frais juridiques pour faire face à d’éventuels recours. La CSN constate que ces exemples, concernant les fins d’emplois, n’étaient pas dans la première version des Directives concernant l’allocation de transition- questions et réponses datée du 30 mars.

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Fermeture d’une installation d’un CPE à Montréal-Nord : Il faut que cesse le saccage !


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Le syndicat des travailleuses en CPE de Montréal-Laval (STCPEM-L), la CSN, le Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM–CSN) et la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) ont tenu à dénoncer l’annonce de la fermeture, le 31 août prochain, de l’installation Minime du CPE Mini-fée situé à Montréal-Nord. «C’est comme une gifle, au même moment où l’on impose des coupes drastiques au réseau, les garderies commerciales privées se développent à un rythme soutenu. Les CPE, c’est un choix de société juste, équitable et universel qui offre un soutien aux familles tout en permettant le développement des tout-petits», lance le vice-président de la FSSS-CSN, Luc Bastien.

CPE et garderies réclament la tête du sous-ministre, le ministre prend sa défense


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Le ministre québécois de la Famille Sébastien Proulx nie que les règles budgétaires présentées cette semaine aux associations représentant les centres de la petite enfance (CPE) et les garderies subventionnées par son sous-ministre adjoint ne respectent pas les termes de l’entente convenue avec elles en février dernier. Le Rassemblement des garderies privées du Québec (RGPQ) demande la tête de M. Robert, tandis que l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE) critique sévèrement son manque de collaboration et de souplesse, notamment au sujet de l’utilisation de l’allocation de transition de 60 millions de dollars qui a fait l’objet d’une entente avec les associations du milieu en février.

Le choc printanier des jeunes familles


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Alors que le printemps s’installe tranquillement, un sombre nuage gris plane au-dessus des jeunes familles québécoises. Après la période pour soumettre la déclaration de revenus, des milliers de parents se retrouvent avec une facture salée en raison de la modulation des tarifs dans les centres de la petite enfance (CPE) et chez les responsables d’un service de garde en milieu familial régi (RSG). Selon les prévisions mêmes du gouvernement du Québec, 70% des familles subiront une augmentation des tarifs. Les familles pourront avoir à rembourser au gouvernement du Québec jusqu’à 2 500$ pour l’année 2015. Quel choc tarifaire!

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L’allocation de transition dans les CPE : le gouvernement encourage le recours à des firmes privées au détriment des besoins des enfants!


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«Encore une fois, le gouvernement démontre qu’il fait fausse route avec ses priorités. Même s’il affirme vouloir réduire les impacts de ses propres décisions en mettant en place une allocation de transition, il choisit d’encourager le recours à des firmes privées de gestion au détriment des services directs aux enfants, sans tenir compte des besoins criants dans nos centres de la petite enfance! C’est tout à fait aberrant.» La vice-présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Sonia Éthier, a réagi ainsi à la situation rapportée par le journaliste de La Presse Tommy Chouinard, mercredi.

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