Entente de principe signée à l’UQAT


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Le 30 avril 2019 en soirée, une entente de principe a été conclue entre le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAT (SCCCUQAT) et l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) pour le renouvellement de la Convention collective des chargées et chargés de cours. Ainsi, l’intensification des négociations demandée par le SCCCUQAT au début de la session d’hiver a porté fruit.

Pour que l’entente soit mise en vigueur, elle doit être adoptée par un vote secret des membres du SCCCUQAT en assemblée générale, puis ratifiée par le conseil d’administration de l’UQAT.

L’équipe du SPPEUQAM tient à féliciter nos collègues de l’UQAT pour cette entente!

Négociation à CBC/Radio-Canada : le SCRC rejette l’entente de principe à 56 %


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Les membres du Syndicat des communications de Radio-Canada (FNC–CSN) ont rejeté à 56% samedi l’entente de principe intervenue avec l’employeur le 12 avril. «Après une assemblée ayant duré plus d’une douzaine d’heures, après avoir répondu à toutes les questions qui nous ont été posées et après avoir débattu sainement du contenu de l’entente de principe que nous avons présentée, les membres ont décidé démocratiquement de la rejeter, de déclarer Johanne Hémond, présidente du SCRC. Dans les prochains jours, nous allons revenir sur tous les enjeux qui ont été soulevés durant notre rencontre et nous retournerons dès que possible à la table de négociation afin d’exposer ceux-ci à l’employeur.»

Les 3600 médecins résidents entérinent une entente de principe de six ans


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Les 3600 médecins résidents du Québec ont entériné à 98,5% l’entente de principe qui était intervenue le 30 mars avec le gouvernement du Québec. Les médecins résidents ont obtenu les mêmes augmentations salariales que l’ensemble des syndiqués des secteurs public et parapublic, soit 5,25% pour les cinq premières années de leur contrat de six ans. Ils ont également obtenu les mêmes montants forfaitaires. Pour la sixième année du contrat, ils ont obtenu une clause remorque, qui leur accordera donc la même augmentation qu’obtiendront les syndicats des secteurs public et parapublic. La Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ) a également fait «un gain majeur» au chapitre des prestations pour congés parentaux, puisque celles-ci seront désormais calculées en tenant compte des primes, et non plus seulement sur le salaire de base.

Les profs de l’UQO acceptent l’entente de principe à 93 %


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Les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais–CSN (SPUQO) ont accepté, lundi, à 93% par voie de scrutin secret l’entente de principe intervenue vendredi dernier entre le syndicat et l’administration de l’UQO. «Après plus de deux ans et demi de négociations, nous avons réussi à préserver nos acquis, tout en allant chercher des gains appréciables. Entre autres, nous avons obtenu un fonds professionnel de 2000$ renouvelé à chaque deux ans afin de soutenir les activités de recherche des profs, de souligner Louise Briand, présidente du SPUQO. Nous avons également obtenu l’amélioration des droits parentaux, des dégagements supplémentaires pour activités syndicales et des augmentations salariales respectables, en rupture avec le gel salarial proposé par l’employeur dans sa dernière offre.»

Entente de principe acceptée chez Transco Montréal, une exemption inquiétante et une plainte contre Air Canada


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Les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) ont accepté mercredi l’entente de principe intervenue le 6 mars dernier. Présentée aux membres, celle-ci fut adoptée à 81 %, par voie de scrutin secret. «Ce soir, nous avons accepté un nouveau contrat de travail de cinq ans assorti des augmentations de salaire suivantes : 1,4 % rétroactif au 1er juillet 2017, 1,6 % au 1er juillet 2018, 2 % au 1er juillet 2019 et 3 % pour chacune des deux dernières années du contrat de travail, soit celles débutant le 1er juillet 2020 et le 1er juillet 2021. Nous avons également réussi à maintenir une seule catégorie d’emploi, tout en empêchant les reculs que l’employeur voulait nous imposer.

La convention collective des chargées et chargés de cours de l’UQO est signée


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Le 26 février 2018 a eu lieu la signature officielle de la convention collective des chargées et chargés de cours de l’UQO. L’entente de principe étant survenue le 27 janvier, les deux parties ont été d’une très grande efficacité afin de la faire entérinée par l’Assemblée générale du SCCC-UQO et par le Conseil d’administration de l’Université ainsi que de rédiger le nouveau texte. «Nous sommes heureux du dénouement de cette négociation. Nous pouvons désormais rebâtir des relations de travail solides». Ce nouveau contrat de travail prévoit notamment un processus d’attribution simplifié, une plus grande présence des personnes chargées de cours aux Conseils de module, une plus grande sécurité d’emploi, un meilleur encadrement de l’évaluation des enseignements, une augmentation des budgets d’intégration et de perfectionnement ainsi que des hausses de salaire.

Négociation chez Transco Montréal : les salariées et salariés rejettent l’entente de principe à 83 %


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Les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) ont rejeté l’entente de principe intervenue le 31 janvier dernier, après deux jours de grève. Présentée aux membres, celle-ci fut rejetée à 83%, par voie de scrutin secret lors d’une assemblée générale tenue à Montréal le 12 février. «Les membres ont jugé que l’entente de principe que nous leur avons présentée n’était pas à la hauteur de leurs attentes. Elles et ils ont longuement argumenté sur la question des augmentations salariales qui ne réussissent pas à maintenir leur pouvoir d’achat. Il s’agit d’un message clair envers l’employeur : il lui faudra considérer sérieusement ce rejet s’il ne veut pas que les conductrices et les conducteurs exercent à nouveau leur mandat de grève», de déclarer Carole Laplante, présidente du STTT–CSN.

Un nouveau contrat de travail pour les trois syndicats du Journal de Québec


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Ce lundi a eu lieu la dernière de trois assemblées générales de ratification de l’entente de principe survenue le 2 février entre le Journal de Québec et trois de ses unités syndicales. L’unité de bureau a ratifié l’entente à 93%, l’imprimerie à 78% et la rédaction (journalistes et employés de soutien à la salle de rédaction) à 94%. «Nous sommes satisfaits de cette entente. Les parties, en partenariat, ont procédé à un exercice de rationalisation. Cet exercice a permis de conserver 100% de la production du Journal de Québec à l’imprimerie de Québec, ce qui n’était pas acquis au début des négociations», d’expliquer Nina Laflamme, conseillère syndicale au SCFP.

Entente de principe chez Transco Montréal


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Cet après-midi, une entente de principe est intervenue mercredi entre le Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) et l’employeur, mettant fin à tout moyen de pression. Le retour au travail s’est fait dès jeudi matin. L’entente sera présentée aux membres prochainement en assemblée générale et aucun commentaire ne sera émis d’ici là. Le STTT–CSN compte près de 330 membres responsables d’environ 300 parcours de transport scolaire.

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Entente de principe pour les chargées et chargés de cours de l’Université du Québec en Outaouais


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Accompagnées de la conciliatrice, les parties patronale et syndicale en sont venues à une entente de principe le samedi 27 janvier, lors de la vingt-et-unième séance de négociation. Les membres du Syndicat des chargées et chargés de cours à l’Université du Québec en Outaouais (SCCC-UQO) seront appelés à se prononcer sur cette entente le dimanche 4 février à 11h. «Nous avons conclu une entente qui améliore nos conditions, autant sur le plan monétaire que normatif», a déclaré Marie-Josée Bourget, présidente du SCCC-UQO. «Nous croyons que compte tenu de sa situation financière et des ententes avec les autres membres du personnel, l’UQO a offert tout ce qu’elle pouvait.

Négociations dans les centres de la petite enfance (CPE) : entente de principe, la grève des 7 et 8 novembre est annulée


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Une entente de principe est intervenue lundi soir entre le comité national de négociation des 11 000 travailleuses des CPE, membres de la FSSS-CSN, et le ministère de la Famille et les associations d’employeurs. En conséquence, les deux journées de grève prévues mardi et mercredi ont été annulées, tout comme le rassemblement qui était prévu devant l’Assemblée nationale ce mercredi. Les services éducatifs sont donc maintenus intégralement. L’entente de principe sera présentée à la centaine de déléguées des syndicats des travailleuses en CPE le mardi 14 novembre, lors d’un conseil fédéral de négociation sectorielle de négociation de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN).

Retour au travail graduel chez Olymel Saint-Simon


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Cette semaine débutait le retour au travail pour les salariés d’Olymel Saint-Simon. Celui-ci a débuté lundi dernier et se déroulera au cours des prochaines semaines pour le premier groupe d’une dizaine de travailleurs. «Il reste seulement à préciser avec l’employeur quand la seconde vague débutera», de souligner Michel Daigle, président du Syndicat des travailleurs d’Olympia (CSN). Rappelons que le 7 mai dernier, les quelque 400 ex-travailleurs de l’usine d’Olymel, qui avait cessé illégalement ses activités en avril 2007, puis mis en lock-out une vingtaine d’employés en octobre suivant, avaient adopté à plus de 92% l’entente de principe intervenue à la mi-avril dernier avec Olymel.

La tension monte entre Rivière-Rouge et ses employés municipaux


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La tension monte dans les relations de travail à la municipalité de Rivière-Rouge. La soixantaine d’employés municipaux cols blancs et cols bleus sont sans contrat de travail depuis le 1er janvier 2017. Plusieurs étapes dans le processus de négociation ont été franchies jusqu’à ce que cet automne, un blocage majeur survienne au sujet de la sécurité d’emploi. Le 18 octobre dernier, 35 membres du syndicat se sont réunis en assemblée générale afin d’entendre leur comité de négociation faire rapport sur l’état de la négociation. Précédemment, le 26 septembre, syndicat et partie patronale étaient arrivés à une entente de principe, qui a été de très courte durée.

Cols blancs de Rimouski : une entente donnant lieu à des améliorations importantes


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Le syndicat représentant les cols blancs et la Ville de Rimouski ont procédé, cet après-midi, à la signature de leur nouveau contrat de travail. Réunis en assemblée générale au début de l’été, les cols blancs avaient adopté à 100% l’entente de principe convenue avec la ville. «L’entente, d’une durée de sept ans, améliore de façon importante l’ensemble des dispositions de la convention collective, précise Éric Gagnon, président du Syndicat des employées et employés de bureau de la Ville de Rimouski–CSN.  Il s’agissait pour nous d’une négociation charnière et nous sommes extrêmement satisfaits des résultats, qui sont exceptionnels.»

Les employés de la Régie des matières résiduelles de la Mauricie renouvellent leur convention collective.

Une nouvelle convention collective au Collège André-Grasset


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Les membres du Syndicat des enseignantes et enseignants du Collège André-Grasset-CSN ont adopté à 94,8% l’entente de principe intervenue avec leur employeur concluant ainsi le renouvellement de leur convention collective. Les gains obtenus par les enseignantes et les enseignants sont importants. Ils touchent notamment la rémunération lors de visites d’écoles, de nouvelles dispositions pour diminuer la précarité, la réduction de la tâche d’enseignement globale, l’ajout de ressources pour les étudiantes et les étudiants en situation de handicap ainsi que de nouvelles dispositions concernant la disponibilité au collège et l’évaluation de la scolarité. Les discussions entre les parties ont aussi permis de rafraîchir la procédure de grief et d’arbitrage tout en y greffant un comité des relations du travail et une nouvelle procédure disciplinaire.

Maintien des conditions de travail au IGA Coop Unité Lavernière des Îles-de-la-Madeleine


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Les syndiqué-es du IGA Coop Unité des Îles-de-la-Madeleine ont adopté à l’unanimité l’entente de principe qui avait été conclue avec leur employeur, le 26 juillet. «La mobilisation des membres a été essentielle pour en arriver à cette entente et pour leur permettre de conserver les bonnes conditions qu’ils ont réussi à négocier au fil du temps», souligne le président du Syndicat des employés de magasin Coop Lavernière (CSN), Jacquelin Cyr.

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Dépôt d’un avis de grève : le syndicat des chauffeurs de Lévis toujours prêt à négocier. Croisières AML : une soixantaine de salarié-es de Montréal forment leur syndicat CSN.

Négociation du personnel professionnel du Protecteur du citoyen : l’entente de principe est adoptée


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Concluant plus de deux années de négociation, l’entente de principe entre le personnel professionnel du Protecteur du citoyen représenté par le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) et l’employeur a été adoptée à la majorité le 13 juin par sa soixantaine de membres. Dans cette entente de principe figurent plusieurs points importants dont l’horaire variable et l’échelle salariale. Aussi, certaines bonifications sont consenties, parmi lesquelles l’obtention de la permanence après une année de service continu, une indemnité de départ de six mois ou un droit de rappel en cas de mise à pied.

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Négociation du personnel professionnel des collèges : l’entente de principe est adoptée


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Concluant plus de deux années de négociations, l’entente de principe entre le personnel professionnel des collèges représenté par le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) et le Comité patronal de négociation des collèges (CPNC) vient d’être adoptée par les membres. Dans cette entente de principe figurent les clauses normatives ou sectorielles qui préservent les acquis. Ces clauses comportent quelques avancées intéressantes pour les deux parties, notamment: plus de souplesse dans le processus pour pourvoir des postes vacants au moment opportun avec entente, une meilleure information du syndicat sur les contrats à forfait et la possibilité de puiser dans la banque de jours de maladie pour des congés de responsabilité familiale, qui passent de six à dix jours.

Usine Olymel de Saint-Simon : les travailleurs membres de la CSN adoptent à 92 % l’entente de principe


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Les quelque 400 ex-travailleurs de l’usine d’Olymel, qui avait cessé illégalement ses activités en avril 2007, puis mis en lock-out une vingtaine d’employés en octobre suivant, ont adopté à plus de 92% l’entente de principe intervenue à la mi-avril dernier avec Olymel. Cette entente, qui totalise près de 9,5 millions de dollars, met ainsi un terme à une saga juridique de près de 10 ans opposant l’entreprise à ses salariés syndiqués et à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), en réglant la nouvelle convention collective et tous les litiges entre les parties. «C’est une victoire historique pour tous les travailleurs d’Olymel de Saint-Simon sans exception qui, grâce à la CSN, ont lutté avec acharnement afin de se faire respecter tout au long de ce coûteux conflit de travail aux plans financier et humain, affirme Michel Daigle, président du Syndicat des travailleurs d’Olympia (CSN).

Un personnel enseignant mieux outillé pour faire face aux changements


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Le personnel enseignant du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Villa Maria – CSN a entériné à 93% l’entente de principe intervenue avec leur employeur lors de l’assemblée générale du 25 avril. Cette entente introduit des dispositions balisant les changements technologiques et l’utilisation de nouvelles méthodes ou techniques d’enseignement, une nouveauté dans ce secteur. Ces dispositions vont favoriser une perception plus positive des changements au collège, selon Caroline Quesnel, vice-présidente de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec et responsable du regroupement privé. L’administration du collège s’engage par ailleurs à payer le développement professionnel et la formation des enseignantes et enseignants visés par tout changement technologique.

Usine Olymel : entente de principe historique mettant fin à un lock-out de près de dix ans


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À l’issue d’un blitz de négociation qui a duré près de 24 heures, une entente de principe est intervenue dans la nuit du 12 au 13 avril dernier entre le Syndicat des travailleurs d’Olympia, affilié à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), et l’entreprise Olymel, propriété de la Coop fédérée. Si elle est acceptée, cette entente mettrait fin à une saga juridique de près de dix ans. L’entente demeurera confidentielle jusqu’à ce que l’ensemble des salariés de l’usine Olymel de Saint-Simon en Montérégie puisse en disposer lors d’une assemblée générale spéciale prévue le dimanche 7 mai à Drummondville.

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Fin du lock-out : les salariés de Multi-Marques adoptent l’entente de principe


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Réunis en assemblée générale, les membres du Syndicat des travailleurs et travailleuses de distribution Multi-Marques–Laval (FC–CSN) ont voté en faveur d’une entente de principe intervenue durant la nuit du 26 au 27 avril. Rappelons que la compagnie avait mis ses 120 salarié-es de l’établissement de Laval en lock-out, le 1er avril. Parmi les gains obtenus par le syndicat, notons diverses améliorations pour les travailleurs temporaires, la création de postes réguliers, de meilleures dispositions concernant l’affichage et l’accès aux postes ainsi que des bonifications aux assurances collectives et au régime de retraite. Les dispositions en santé et sécurité au travail ont été renforcées et des améliorations ont été apportées à l’organisation du travail et aux articles couvrant les changements technologiques.

Entente de principe à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis


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Cette nuit, une entente de principe est intervenue entre le Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) et l’employeur dans la nuit de mercredi à jeudi. Celle-ci sera présentée aux membres prochainement en assemblée générale, peut-on lire sur le site de la CSN. Aucun commentaire ne sera émis d’ici là. Affilié à la FC–CSN, le STTHGPD compte environ 100 membres. Le secteur de l’hôtellerie de la FC–CSN regroupe près de 5000 membres dans 57 syndicats. La Fédération du commerce–CSN compte 30 000 membres regroupés au sein de 360 syndicats œuvrant dans les domaines du commerce de gros et de détail, de l’agroalimentaire, de la finance et du tourisme.

Les professeurs de l’Université de Sherbrooke entérinent l’entente à 82 %


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Les professeures et professeurs de l’Université de Sherbrooke ont accepté à 82% l’entente de principe qui leur a été présentée, mardi en fin de journée. La convention collective de trois ans prévoit un plan de développement du corps professoral, de même qu’une augmentation salariale de 6,25% sur trois ans, en plus d’un montant forfaitaire de 1%. L’entente du Syndicat des professeures et professeurs de l’UdeS (SPPUS) prévoit 30 nouveaux postes d’ici trois ans, en plus de postes qui pourraient se libérer et qui seraient remplacés.

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Des ententes pour les débardeurs de Trois-Rivières et de Bécancour et pour les salariés des travaux publics de Saint George et de Technocell


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Le SCFP 1375 représentant les débardeurs des ports de Trois-Rivières et de Bécancour a signé vendredi une convention collective de huit ans avec l’Association des employeurs maritimes. Cette convention collective valide jusqu’en 2023, avec une année d’option en 2024, assurera une longue période de paix industrielle qui profitera tant aux 103 débardeurs qu’aux employeurs. Par ailleurs les 32 salariés des travaux publics de la Ville de Saint-George, dont la convention collective qui était échue depuis le 31 décembre 2012, ont accepté, en assemblée générale, l’entente de principe que leurs représentants syndicaux ont négociée. «Tous les articles de l’ancienne convention ont été revus et nous avons fait plusieurs gains monétaires et normatifs.