Entente de principe SCCUQ-UQAM : assemblée générale spéciale le vendredi 17 février


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Le Syndicat des chargées et chargés de cours (SCCUQ) et la direction de l’UQAM ont conclu une entente de principe à la table de négociation vendredi. Le Syndicat a obtenu des gains sur les plans salarial et normatif. Le SCCUQ convoque ses membres à une Assemblée générale spéciale le vendredi 17 février, à 13h, au A-M050 (Pavillon Hubert-Aquin), pour leur présenter le contenu de l’entente de principe, la recommandation du Comité exécutif et procéder à une discussion et à un vote secret sur le contenu de la nouvelle convention collective. Un 5 à 7 suivra au lieu social du Syndicat.

Lire le texte de La Presse canadienne sur l’entente de principe.

15 dollars l’heure pour les étudiants salariés de l’UQAR


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Les étudiantes et étudiants salariés de l’UQAR acceptent un nouveau contrat de travail. Les syndiqués auront une nouvelle convention collective après des négociations qui ont duré près de 8 mois. Parmi les gains des étudiants et étudiantes, notons le salaire à 15 dollars de l’heure pour tous les syndiqués pour 2019. Le conseil d’administration de l’UQAR doit approuver cette convention collective avant son application, peut-on lire sur le site Énergie 102,3.

Entre vous et moi


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Nos collègues du Syndicat des chargés de cours de l’Université du Québec à Trois-Rivières viennent de renouveler leur convention collective. Ils ont fait des gains normatifs importants par rapport aux exigences de qualification ainsi qu’une bonification du programme de perfectionnement. De plus l’employeur a manifesté un souci d’équité avec les autres groupes d’employés. Ça ressemble drôlement à nos demandes, mais dans notre cas nous devrons être nombreux sur les piquets de grève mardi pour faire de tels gains.

Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ

Les personnes chargées de cours de l’UQTR signent pour cinq ans


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Les représentants du Syndicat des chargés de cours et de l’Université du Québec à Trois-Rivières ont signé une nouvelle convention collective le 18 janvier. Les quelque 900 chargés de cours étaient sans contrat de travail depuis mai 2015. En assemblée générale, le 10 septembre 2016, 83% des membres avaient voté en faveur de l’entente. Cette convention collective, valide pour cinq ans, comprend des gains normatifs importants pour les syndiqués. Des modifications ont été apportées à la répartition des cours, aux exigences de qualification ainsi qu’une bonification du programme de perfectionnement avec l’ajout, entre autres, d’un volet ressourcement qui met en valeur la participation des membres au rayonnement de l’université.

Université de Montréal : les étudiants toucheront au minimum 15 $ l’heure


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Quelque 4000 étudiants salariés de l’Université de Montréal obtiendront bientôt le fameux salaire minimum de 15$ l’heure pour lequel se battent plusieurs organisations et syndicats au Québec. La convention collective du Syndicat des étudiants salariés de l’Université de Montréal a été signée au cours des derniers jours. À compter du 1er mai prochain, ces salariés toucheront 15$ l’heure s’ils sont étudiants au premier cycle, et ce, sans compter les indemnités pour les jours fériés, les vacances et autres, a précisé au cours d’une entrevue mardi Brigitte Racine, responsable des relations de travail au syndicat. Au total, donc, le taux incluant les indemnités atteindra 17,19$ pour le premier cycle en 2017, 21,89$ pour le deuxième cycle et 24,12$ pour le troisième cycle.

Le Tribunal du travail blâme l’U. de Montréal pour avoir causé un «préjudice sérieux» au syndicat qui représente ses 1300 professeurs


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Dans une décision lapidaire, le Tribunal du travail vient de blâmer l’Université de Montréal pour avoir «court-circuité» les négociations en cours avec un groupe de 56 enseignants cliniciens qui cherchent depuis deux ans à signer une première convention collective. L’Université a causé un «préjudice sérieux» au syndicat qui représente ses 1300 professeurs en diffusant publiquement une «offre globale et finale» transmise en privé au syndicat juste avant le temps des Fêtes. Ce geste s’inscrit dans une stratégie qui vise à miner la crédibilité du syndicat, a tranché la juge administrative Marie-Claude Grignon dans une décision rendue il y a trois jours, le vendredi 13 janvier.

Allégeons le fardeau des membres du Syndicat des employés de garage du Saguenay—Lac-Saint-Jean (CSD)


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Le lock-out qui a frappé les 450 membres du Syndicat des employés de garage du Saguenay—Lac-Saint-Jean (CSD) a été l’un des plus longs et des plus importants conflits de travail que le Québec a connu au cours des dernières années. Depuis la signature de la convention collective de travail en janvier 2016, tout le monde a l’impression que ce combat est terminé, mais ce n’est pas le cas. Certains concessionnaires ont signé la convention avec la rage au cœur et, comme ils n’ont pas renoncé à se débarrasser du syndicat, ils n’ont pas rappelé l’ensemble de leurs salariés. Seulement un tiers des ex-lockoutés sont de retour au travail et ce sont eux qui devront rembourser la dette contractée par le syndicat à raison de 145 dollars par semaine pour les six prochaines années.

Victoires syndicales contre la mobilité du personnel et pour la rémunération du temps des repas sur les lieux de travail


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Le Syndicat des infirmières, infirmières auxiliaires et inhalothérapeutes de l’Est-du-Québec (SIIIEQ-CSQ) a remporté en décembre une importante victoire, devant un tribunal d’arbitrage, contre le Centre de santé et de services sociaux de La Mitis (CSSS de La Mitis), qui avait obligé des infirmières et infirmières auxiliaires à être déplacées sur d’autres quarts de travail. Dans sa décision rendue hier, l’arbitre, Me Suzanne Moro, donne entièrement raison au SIIIEQ-CSQ qui avait déposé un grief contre le CSSS de La Mitis lui reprochant de déplacer le personnel et de le rendre plus mobile. Le syndicat demandait à l’arbitre d’ordonner au CSSS de La Mitis de respecter les clauses de la convention collective, de déclarer illégaux les déplacements effectués par l’employeur et de lui ordonner d’y mettre fin, de rembourser aux personnes salariées lésées toutes les sommes d’argent perdues du fait de cette violation et de verser au SIIIEQ-CSQ un montant de 2 000$ pour les dommages subis.

Entre vous et moi


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Laissons la conciliatrice arriver dans le dossier. La négociation ne se terminera pas en 2016, nous n’aurons pas une nouvelle convention collective sous le sapin de Noël. Qu’à cela ne tienne, elle sera tout aussi bonne en 2017. Nous sommes en fin de session. Épuisés, des examens à préparer et débordés de travaux à corriger, mettons nos priorités à la bonne place. Nous reviendrons frais et dispos pour exercer nos moyens de pression en janvier. À moins que…

Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ

Les cols blancs de Pointe-Claire et Brossard font des gains et signent la paix industrielle


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Les 350 cols blancs de la Ville de Pointe-Claire représentés par le Syndicat des fonctionnaires municipaux (SCFP 429) ont entériné à 96% une entente de principe le 22 novembre. Le Syndicat a obtenu la création de plusieurs postes permanents. De plus, les salariés à statut précaire bénéficieront, outre la sécurité d’emploi, des mêmes avantages que leurs collègues permanents ainsi que d’une progression salariale beaucoup plus avantageuse. «Nous sommes très satisfaits de cette entente qui procure des augmentations annuelles pouvant atteindre 2,75% et elle assure à nos membres et aux citoyens une paix industrielle d’une durée de sept ans», a affirmé Mario Sabourin, vice-président du SCFP 429.

Les chargées et chargés de cours de l’UQAM rejettent l’offre finale : une banque de cinq jours de grève!


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Les chargées et chargés de cours de l’UQAM ont rejeté à 96,5% l’offre finale de l’employeur, vendredi en assemblée générale, et 86% des membres présents ont voté en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun par le Comité exécutif et le Comité de négociation. Cette offre finale contenait des augmentations salariales en-deçà de celles offertes aux professeurs et aux employés de soutien – se limitant aux paramètres salariaux gouvernementaux, soit 6,75% sur cinq ans – alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises.

Agents de la paix en services correctionnels : occupations simultanées de bureaux de circonscriptions partout au Québec


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Des agents et agentes de la paix en services correctionnels ont occupé ou visité mercredi une douzaine de bureaux d’élu-es provinciaux aux quatre coins du Québec dans le cadre de la négociation de leur convention collective. Cette série d’actions simultanées fait suite à d’autres actions et occupations similaires au cours des dernières semaines. Alors qu’ils sont sans contrat de travail depuis le 1er avril 2015, les négociations achoppent sur quatre enjeux majeurs pour le SAPSCQ–CSN, soit la formation obligatoire des agentes et agents, les offres salariales, le régime de retraite et le retour de la précarité pour les salarié-es à temps partiel.

Le SPGQ a exercé une grève générale le 22 novembre


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Les quelque 17 000 membres du Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) ont exercé une grève générale de 2 heures 22 minutes le 22 novembre, de 9h38 à midi, à travers le Québec, pour exprimer leur détermination malgré l’impasse de la négociation qui dure depuis plus de 600 jours. Pour l’occasion, deux grandes manifestations à Montréal et à Québec et plusieurs rassemblements en région – Rimouski, Victoriaville, Drummondville, Rouyn-Noranda, Val d’Or, Gatineau, Nicolet – se sont tenus simultanément à 10h15 pour souligner le mécontentement des membres du SPGQ. Les membres du SPGQ entendent exprimer leur exaspération envers le cul-de-sac dans lequel est embourbée la négociation entourant le renouvellement de leur convention collective, échue depuis le 31 mars 2015, tout en rappelant au gouvernement l’importance de valoriser son expertise, comme le préconise le rapport de la commission Charbonneau déposé il y a déjà un an.

La Ville de Lachute s’entend avec ses cols bleus


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La Ville de Lachute et le Syndicat des cols bleus (SCFP 2211) se sont entendus sur une prolongation de la convention collective pour une durée de sept ans. Elle est effective du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2019. Parmi les gains obtenus par la cinquantaine de syndiqués au terme d’une longue négociation, mentionnons, notamment, l’ajustement des clauses normatives, les statuts d’emploi et la dotation, afin de rendre la convention collective plus adaptée à la réalité des opérations de la Ville et, ainsi, avoir un impact positif sur les services offerts à la population.

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La lutte des travailleurs de Rivière-aux-Rats : une nouvelle référence pour le secteur.

Agents de la paix en services correctionnels : occupation et blocage de bureaux gouvernementaux à Québec et à Montréal


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Les agentes et agents de la paix en services correctionnels du Québec ont bloqué mercredi les locaux du Conseil du trésor à Québec et occupé les bureaux du ministre Coiteux à Montréal afin d’accentuer la pression sur le gouvernement dans le cadre des négociations en vue du renouvellement de leur convention collective. Par cette action, les membres du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec–CSN entendent dénoncer les récentes offres de l’employeur. Alors qu’ils sont sans contrat de travail depuis le 1er avril 2015, les négociations achoppent sur quatre enjeux majeurs pour le SAPSCQ–CSN, soit la formation obligatoire des agentes et agents, les offres salariales, le régime de retraite et le retour de la précarité pour les salarié-es à temps partiel.

Projet de loi 110 : chronologie d’un chaos annoncé dans les municipalités du Québec


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Le projet de loi 110 (PL110) concernant Le régime de négociation des conventions collectives et de règlement des différends dans le secteur municipal, vient d’être adopté et sanctionné le 2 novembre par l’Assemblée nationale du Québec. Inutile et sans fondement, il a été maintes fois décrié par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN). De toute évidence, cette loi a été écrite et pensée par des individus qui ne connaissent rien aux relations de travail. Cette nouvelle loi crée des conditions qui amèneront rapidement des conflits de travail car elle limite la durée du processus de négociation à un délai qui est bien en deçà de la normale dans le secteur municipal et le secteur du transport terrestre.

Chauffeurs d’autobus : entente dans Lanaudière, la table est mise pour la négo à Longueuil


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Les membres du Syndicat des employé-es de Lanau-Bus (FEESP–CSN), représentant une centaine de chauffeurs d’autobus dans Lanaudière, ont adopté samedi la recommandation de la conciliatrice au dossier, dans une proportion de 89,6%. Les activités normales de Lanau-Bus ont repris dimanche. La recommandation prévoit le renouvellement de la convention collective du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2019. Sur l’enjeu primordial des horaires de travail, un comité paritaire sera mis en place afin de trouver des solutions pour améliorer la qualité de vie des travailleuses et des travailleurs. Par ailleurs, les chauffeurs d’autobus du Réseau de transport de Longueuil (RTL) ont adopté dimanche à l’unanimité le projet de renouvellement de leur convention collective qui viendra à échéance le 31 décembre.

Rapport de la négo : nouveau déblocage de la partie patronale, quelques petits gains et plusieurs avancées


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Cinq jours après la conférence de presse dénonçant la situation à l’UQAM, la partie patronale a démontré une nouvelle ouverture lors de la séance de négociation du mardi 25 octobre, permettant aux personnes chargées de cours (PCC) de faire quelques petits gains et plusieurs avancées. Les deux parties se sont entendues sur un comité de faisabilité pour la mise en place d’un affichage annuel. Le comité fera rapport aux deux parties au bout d’un an de travaux. Les PCC en période de probation pourront demander d’être évaluées après avoir donné 4 activités d’enseignement sur une période minimale de 4 trimestres. L’UQAM accepte de préciser dans la convention collective qu’elle couvrira les frais médicaux (dans le cadre d’une assurance voyage) des PCC à qui elle demande d’aller enseigner à l’étranger et ajoute un montant 25 000$ en 2017 (montant encore insuffisant) dans le budget des projets d’intégration.

Négo des chargés de cours de l’UdeM : une pomme afin de nourrir des conditions de travail saines


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Les chargées et chargés de cours de l’Université de Montréal ont été visibles sur le campus le vendredi 21 octobre, lors d’une distribution de pommes et tracts informatifs aux membres de la communauté universitaire afin de souligner une phase déterminante des négociations de leur convention collective. L’activité du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université de Montréal (FNEEQ–CSN) a coïncidé avec le dépôt d’une deuxième partie du projet de négociation syndical. La convention collective est échue depuis le 1er août 2015. «Nous cherchons la reconnaissance de la contribution des chargées et chargés de cours à la vie universitaire, explique le président du syndicat, Frédéric Kantorowski.

L’UQAM préfère le béton armé et des chargées et chargés de cours précaires et éjectables


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Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ) dénonce que l’employeur maintient ses membres dans un état de précarité et sur un siège éjectable, une situation qui sert bien la direction. «L’UQAM verse plus de 7 millions de dollars par année pour des agents de sécurité, l’équivalent de 18% de la masse salariale des chargées et des chargés de cours, et elle injecte 10 millions de dollars de plus que l’an passé dans le béton. Les conséquences se font sentir dans les classes: moins de correcteurs, plus d’étudiantes et d’étudiants par groupe et moins de charges de cours», déplore Marie Blais, présidente du SCCUQ, en négociation pour le renouvellement de sa convention collective depuis plus d’un an.

Conseil syndical élargi du SCCUQ le 20 octobre : comparatif avec les conditions dans les autres universités


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Le SCCUQ convie les déléguées et délégués à un Conseil syndical élargi, auquel peuvent assister toutes et tous les membres du Syndicat, le jeudi 20 octobre à 13h15, au Foyer du Studio-théâtre Alfred-Laliberté (J-M500, Pavillon Judith-Jasmin). Nous recevrons alors des présidentes et présidents d’autres syndicats de personnes chargées de cours pour nous faire part de leur réalité en lien avec nos revendications dans le cadre du renouvellement de la convention collective. Il s’agit de • Francis Bouffard, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, pour le salarial et la formation à distance • Puma Freytag, Université Laval, pour la stabilisation de l’emploi • Frédéric Kantorowski, Université de Montréal, pour le salarial et formation à distance • Richard Perreault, Université du Québec à Chicoutimi, pour les EQE regroupées • Marie-Josée Bourget, Université du Québec en Outaouais, pour le salarial • et Nancy Turgeon, Télé-Université, pour la formation à distance.

Les professionnels du Protecteur du citoyen doivent être reconnus à leur juste valeur


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À la veille du dépôt du rapport annuel du Protecteur du citoyen, les employés de l’organisme représentés par le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) ont dénoncé mercredi l’absence de mandat permettant à l’employeur d’offrir une véritable négociation. Sans convention collective depuis mars 2015, les 73 professionnels du Protecteur du citoyen demandent à ce que les négociations avancent. Les syndiqués exigent que la spécificité de leur travail soit reconnue dans un premier contrat de travail vraiment négocié. Cette reconnaissance devrait avoir un impact direct sur leur rémunération.

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Projet de loi 110 : une mobilisation partout au Québec pour défendre le droit de négocier


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Des syndicats affiliés à la CSN ont profité de la rentrée parlementaire à l’Assemblée nationale, le 20 septembre, pour dénoncer le projet de loi 110 sur le régime de négociation des conventions collectives et de règlement des différends dans le secteur municipal, qu’ils estiment être une attaque directe à la libre négociation. Un premier volet du plan de mobilisation visant à faire reculer le gouvernement sur son projet de loi a été mis en application : ainsi, des panneaux aux couleurs de la campagne Défendons le droit fondamental de négocier ont été installés, notamment aux abords de l’Hôtel de ville de Montréal.

Le SCCUQ-café du 12 septembre a rencontré ses objectifs


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Le SCCUQ-café du 12 septembre à l’Agora du pavillon Judith-Jasmin a permis aux membres du Comité mobilisation-intégration et à la vice-présidente aux affaires universitaires d’établir un contact personnalisé avec plusieurs chargées et chargés de cours, de 9h à 14h, tout en donnant des informations sur nos revendications pour le renouvellement de notre convention collective. Les personnes chargées de cours en ont profité pour prendre possession de la bouteille verte du SCCUQ «Reconnaissance de mes compétences – J’ai mon mot à dire». Plusieurs étudiantes et étudiants sont aussi venus faire un tour au kiosque pour demander des informations au sujet de la situation des chargées et chargés de cours alors que nous leur offrions un café.