Fin du lock-out : retour au travail difficile pour les professeurs de l’UQTR


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Frustration, confusion, malaise: la rentrée au travail après deux semaines de lock-out ne s’est pas faite dans l’harmonie jeudi matin à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Les professeurs se sentaient carrément laissés à eux-mêmes. «Le message que j’ai reçu du recteur c’est: « je lève le lock-out et les profs, débrouillez-vous! »» a lancé Marc Germain, professeur du département de biologie médicale. Le syndicat croit qu’il y a de nombreux pots cassés à réparer. «Le lock-out est un processus sauvage, irréfléchi et irresponsable», a dit le président du syndicat, Ismaël Biskri. Il n’a pas non plus l’intention de retirer la plainte au Tribunal administratif du travail concernant l’envoi des offres patronales par courriel aux professeurs.

Lock-out des professeurs de l’UQTR : la FQPPU dénonce l’affront de la direction


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La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) condamne le coup de force de la direction de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et exprime sa solidarité envers les membres du corps professoral de l’UQTR visés par un lock-out. «Les professeures et professeurs de l’UQTR ont déjà fait leur part dans les efforts visant l’assainissement des finances de l’institution. Lors des dernières négociations, ils ont fait de nombreux compromis, notamment en ce qui a trait aux salaires et aux conditions d’enseignement et de recherche. Dans la négociation en cours sur le renouvellement de la convention collective, la direction leur demande d’écoper davantage pour compenser sa mauvaise gestion et un financement inadéquat, notamment en exigeant une charge d’enseignement supplémentaire, qui rompt avec la tâche professorale convenue dans le réseau universitaire québécois.

Lock-out à l’UQTR : la CSN dénonce une attaque antisyndicale et appuie sans réserve les professeurs


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La CSN dénonce avec force et conviction la décision insensée de l’administration de l’UQTR d’imposer un lock-out au corps professoral de l’établissement et entend apporter tout son appui et sa solidarité aux professeures et professeurs. La décision de l’UQTR est d’autant plus condamnable, que les deux parties étaient engagées dans un blitz de négociation. Même si la CSN croit qu’il n’y a jamais de bons moments pour s’attaquer aux droits des travailleurs et des travailleuses, elle considère toutefois l’annonce de l’UQTR comme hautement symbolique. «L’employeur a choisi de publiciser son lock-out, en fin de journée hier soir, le 1er mai, Journée internationale des travailleuses et des travailleurs.

L’Université du Québec gâche sa fête


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Cette année marque le 50e anniversaire de l’Université du Québec. Ce réseau se voulait un moyen de rendre l’enseignement universitaire plus accessible tout en favorisant le développement régional. Malheureusement, cette année, les artisanes et les artisans de l’Université du Québec n’auront pas le cœur à la fête. Ce sont davantage les conflits de travail qui ont marqué l’année 2018. Plusieurs établissements ont fait évoluer leurs pratiques managériales et ont déclaré la guerre à leurs employées et employés. Pensons à l’Université TÉLUQ qui a fait entrer la sous-traitance de l’encadrement étudiant. Ce sont les tutrices et tuteurs, qui effectuaient ce travail jusqu’à présent, qui subissent une perte de travail.

Les employés en lock-out de Viterra disent non à l’offre finale de l’employeur


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Les 51 employés de Viterra mis en lock-out par ce distributeur de céréales présent au Port de Montréal ont dit non à l’offre finale de l’employeur. Réunis en assemblée spéciale ce mardi après-midi, les salariés – qui sont à la rue depuis près de dix semaines – ont rejeté à 90% la dernière offre patronale. Selon la partie syndicale, «les dirigeants de Viterra veulent profiter du contexte difficile dans lequel se trouvent les travailleurs pour les faire accepter n’importe quoi. C’est mal connaître la motivation de ces syndiqués», d’expliquer Jean-Pierre Proulx, conseiller syndical au SCFP. Ils revendiquent un rattrapage au niveau du régime de retraite, de meilleures dispositions en santé et sécurité au travail ainsi qu’une amélioration des clauses touchant les horaires de travail et la conciliation travail-famille.

Lock-out chez Viterra : manifestation à la Cité-du-Havre


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La pression augmente sur Viterra, un distributeur de céréales présent au Port de Montréal qui a mis 51 de ses travailleurs en lock-out le 30 janvier dernier. Ce matin, des salariés de plusieurs domaines d’activité sont venus piqueter par solidarité devant les bureaux administratifs de Viterra à la Cité-du-Havre. «En négociation, ces opérateurs (du SCFP 5317) demandaient les mêmes conditions de travail que la grande majorité des travailleurs du Port de Montréal. Ils revendiquent un rattrapage salarial, de meilleures dispositions en santé et sécurité au travail ainsi qu’une amélioration des clauses touchant à la conciliation travail-famille», d’expliquer Jean-Pierre Proulx, conseiller syndical au SCFP.

Viterra : 51 travailleurs en lock-out au Port de Montréal


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La compagnie Viterra, un des principaux commerçants-distributeurs de céréales présent au Port de Montréal, a envoyé un avis de lock-out à 51 opérateurs qui, en négociations, demandaient les mêmes conditions de travail que la grande majorité des travailleurs du Port de Montréal. Le lock-out est effectif le mardi 30 janvier, à partir de 7h. «Ces opérateurs s’occupent du chargement et déchargement du grain. Ils voulaient simplement l’équité avec les autres salariés du Port. C’est un milieu de travail très particulier et la demande d’être payé à temps et demi le soir et à temps double la nuit est tout à fait légitime», d’expliquer Eric Sinclair, président du Syndicat (SCFP 5317).

Appui de la FIM–CSN aux 1030 lock-outés de l’Aluminerie de Bécancour


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La Fédération de l’industrie manufacturière (FIM–CSN) et le Syndicat national des employés de l’aluminium de Baie-Comeau (CSN), lequel regroupe quelque 650 travailleurs de la Côte-Nord, joignent leurs voix à la section locale du Syndicat des Métallos pour dénoncer le lock-out imposé par ABI aux 1030 travailleurs, le 11 janvier dernier. Ils considèrent ce lock-out tout à fait injustifié et inapproprié, et invitent par conséquent ABI à reprendre les pourparlers avec la partie syndicale et à convenir d’une entente conforme aux attentes de ses travailleurs. Ils sont d’avis que rien ne justifie un geste aussi brutal que la mise à la rue de plus d’un millier de travailleurs, et incidemment leur famille, parce qu’ils ont simplement rejeté une entente jugée insatisfaisante, notamment sur la question du régime de retraite et celle de l’attribution des postes par ancienneté.

Aluminerie de Bécancour : 1030 syndiqués des Métallos mis en lock-out


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La direction de l’Aluminerie de Bécancour ABI a mis ses 1030 travailleurs en lock-out, dans la nuit de mercredi à jeudi. Le lock-out a été décrété par la direction après que la section locale 9700 du Syndicat des Métallos, affilié à la FTQ, eut rejeté les offres patronales finales. Le syndicat avait annoncé, mercredi, que ces offres avaient été rejetées à 80,3% par ses membres. Il détenait déjà un mandat de grève, obtenu avec un appui de 97%, mais n’avait pas l’intention de l’exercer. Au cours d’une entrevue, mercredi, le président de la section locale 9700, Clément Masse, avait dit espérer qu’avec ce rejet ferme des offres patronales, l’employeur reviendrait à la table de négociation.

Le SCFP-Québec soutient les lock-outés de la Croix Bleue du Pacifique


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Même à l’autre bout du pays, le Syndicat canadien de la fonction publique tient à appuyer les 600 employés de la Croix Bleue du Pacifique mis en lock-out il y a un mois et demi. Des militants du SCFP ont distribué samedi des tracts au musée Pointe-à-Callière, dans le Vieux-Montréal, à l’occasion d’un cocktail organisé par un organisme international spécialisé dans les assurances collectives. Parmi les invités à ce cocktail, on retrouvait la Croix Bleue du Pacifique, un fournisseur de services d’assurance collective qui exerce ses activités en Colombie-Britannique. Les membres de la section locale 1816 du SCFP effectuaient des arrêts de travail rotatifs légaux lorsque leur employeur a imposé un lock‑out le 7 juillet dernier.

Lock-out au Journal de Québec : dixième anniversaire de la parution de Média Matin Québec


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Le 24 avril 2017, marque le dixième anniversaire de la première parution du quotidien gratuit Média Matin Québec, créé à l’initiative des 252 lock-outés et grévistes du Journal de Québec. Tiré à 40 000 exemplaires et publié du lundi au vendredi jusqu’au 8 août 2008, le Média Matin couvrait l’ensemble de l’actualité, mais accordait une place prépondérante aux nouvelles locales. L’aventure a débuté le 22 avril 2007 par le déclenchement d’un lock-out visant les employés de bureau et de la rédaction du Journal de Québec. La même journée, en solidarité avec leurs collègues jetés sur le trottoir par la décision de Québecor, les employés de l’imprimerie votaient la grève à 97%.

Multi-Marques de Canada Bread : la CSN dénonce le lock-out sauvage


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Quelque 120 travailleuses et travailleurs de distribution Multi-Marques de Laval, près de Montréal, qui produit les pains Pom, Bon Matin et Villaggio, ont été mis sauvagement en lock-out, le 1er avril à 0h01, sans autres formalités. Pour le Syndicat des travailleurs et travailleuses de distribution Multi-Marques-Laval, la Fédération du commerce (FC-CSN) et la Confédération des syndicats nationaux (CSN), cette mise en lock-out de Canada Bread et de la propriétaire mexicaine Grupo Bimbo est totalement injustifiée, les négociations se déroulant relativement bien jusqu’à la toute dernière minute précédant le lock-out. «Il est totalement inconcevable que Canada Bread et le géant de l’alimentation mondiale, Grupo Bimbo, jettent ainsi à la rue ses propres travailleurs alors qu’ils étaient en négociation intensive pour en arriver à une entente sur leurs conditions de travail», déclare David Bergeron-Cyr, vice-président de la FC-CSN.

Lock-out à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis : le syndicat dénonce à nouveau l’attitude de l’employeur


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Les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) ont manifesté jeudi midi devant l’Hôtel Chantecler à Sainte-Adèle, propriété du groupe Hôtels Gouverneur, afin de dénoncer à nouveau l’attitude de leur employeur. «Depuis le mois de mai dernier, qui a marqué le début de notre négociation, nous avons tenu 16 rencontres et nous sommes encore loin d’un règlement. Nous avons fait appel à la conciliation parce que l’employeur n’affichait aucune ouverture, ce qui nous a indiqué rapidement qu’un conflit se préparait. Les pourparlers n’aboutissent pas et la partie patronale ne dispose pas des mandats nécessaires pour régler cette négociation.

Brasseur de la Belle Gueule, la Tremblay et la Cheval Blanc : la direction de Brasseurs RJ brandit la menace du lock-out


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Les 60 travailleuses et travailleurs de Brasseurs RJ ont manifesté le 2 mars à l’extérieur de leur usine afin de démontrer leur insatisfaction à l’égard du rythme des négociations en cours pour le renouvellement de leur convention collective. Ces artisans fabriquent notamment la Belle Gueule, la Tremblay et la Cheval Blanc. «Le propriétaire de l’entreprise s’obstine à utiliser une stratégie qui consiste à faire une offre globale afin de ne pas négocier la proposition de convention collective adoptée par les syndiqué-es en assemblée générale, le printemps dernier. À l’évidence, ce sont des agissements que l’on peut qualifier de négociation de mauvaise foi», de déclarer le vice-président de la Fédération du commerce–CSN, David Bergeron-Cyr.

Lock-out à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis : les travailleuses et les travailleurs manifestent à Trois-Rivières


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Les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) ont manifesté, jeudi après-midi, en face de l’hôtel Gouverneur Trois-Rivières qui appartient au même groupe que leur établissement. «Alors que les travailleuses et les travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis tentaient simplement d’obtenir le renouvellement de leur contrat de travail, l’employeur a décrété un lock-out sauvage le 14 décembre dernier, juste avant la période des fêtes, de souligner Michel Valiquette, trésorier de la FC–CSN et porte-parole de la négociation coordonnée de l’hôtellerie. Celui-ci s’entête à ne pas accorder les mêmes conditions de travail qui ont été obtenues aux autres tables de négociation, par les autres syndicats participant à la négociation coordonnée de l’hôtellerie.»

Allégeons le fardeau des membres du Syndicat des employés de garage du Saguenay—Lac-Saint-Jean (CSD)


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Le lock-out qui a frappé les 450 membres du Syndicat des employés de garage du Saguenay—Lac-Saint-Jean (CSD) a été l’un des plus longs et des plus importants conflits de travail que le Québec a connu au cours des dernières années. Depuis la signature de la convention collective de travail en janvier 2016, tout le monde a l’impression que ce combat est terminé, mais ce n’est pas le cas. Certains concessionnaires ont signé la convention avec la rage au cœur et, comme ils n’ont pas renoncé à se débarrasser du syndicat, ils n’ont pas rappelé l’ensemble de leurs salariés. Seulement un tiers des ex-lockoutés sont de retour au travail et ce sont eux qui devront rembourser la dette contractée par le syndicat à raison de 145 dollars par semaine pour les six prochaines années.

Lock-out des concessionnaires du Saguenay-Lac-Saint-Jean : le projet de loi spéciale est déposé


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Le ministre du Travail, Sam Hamad, a déposé jeudi à l’Assemblée nationale le projet de loi 71 visant un retour au travail des 450 employés de garage du Saguenay-Lac-Saint-Jean touchés par un lock-out depuis 33 mois. Le projet intitulé Loi portant sur le règlement de certains différends dans le secteur de l’automobile de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean prévoit une période finale de médiation pour le renouvellement de la convention collective des syndiqués et les modalités de retour au travail. Il fixe également une date limite pour ce retour au travail, qui doit être déterminée par les parties en médiation, mais ne doit pas excéder 50 jours après la sanction de la loi.

Pourquoi un autre lock-out pour les pressiers et pressières de Québecor?


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Vous l’avez peut-être lu quelque part (ici ou ), il y a un peu plus de deux semaines, les pressiers et pressières du Journal de Montréal (qui impriment aussi le 24H et Le Devoir) sont en lock-out. C’est 44 travailleurs et travailleuses qui sont dans la rue. On peut se demander pourquoi une si grosse entreprise en arrive à des moyens aussi brutaux avec un si petit nombre de gens? J’ai tenté de rassembler quelques données pour nous permettre de comprendre.

Lire la suite du blogue de l’IRIS.

Fermeture du Maxi de Rouyn-Noranda : un jour triste pour la région


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C’est avec amertume, et surtout beaucoup de tristesse, que les employées et employés en lock-out du Maxi de Rouyn-Noranda ont appris la fermeture définitive du supermarché de l’avenue Larivière à compter du 20 novembre. Après trois ans à tenter de trouver un terrain d’entente pour la réouverture du magasin, c’est un coup dur pour les 47 employés. Le 20 août 2012, le Syndicat des travailleurs et travailleuses du Maxi de Rouyn-Noranda affilié à la Fédération du commerce (CSN) se faisait montrer la sortie alors que la direction de Loblaw décrétait un lock-out.

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Lock-out au Maxi de Rouyn-Noranda : trois ans de mépris contre les travailleurs


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Les employées et employés en lock-out du Maxi de Rouyn-Noranda ont souligné, le 20 août, le troisième anniversaire du déclenchement du lock-out par la compagnie Loblaw. Un bien triste jour. Le Syndicat des travailleurs et travailleuses du Maxi de Rouyn-Noranda affilié à la Fédération du commerce (STTMRN-FC-CSN) dénonce par le fait même que la direction de Loblaw n’ait pas donné concrètement signe de vie depuis près d’un an.

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Concessionnaires du Saguenay-Lac-Saint-Jean : un lock-out qui passera à l’histoire


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Le Conseil central des syndicats nationaux du Saguenay-Lac-Saint-Jean (CSN) a entamé la semaine dernière, dans le cadre de «l’opération bûches» amorcée par l’équipe de pastorale du diocèse de Chicoutimi, une tournée des différents piquets de grève des lockoutées et lockoutés de la CSD des concessionnaires automobiles. L’occasion fut saisie afin de réitérer le plein appui de la CSN dans la région à ces travailleuses et travailleurs syndiqués qui mènent une lutte importante afin de préserver leurs conditions de travail depuis près de deux ans.

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Bataille rangée à la mode du Saguenay.

La CSD veut une «véritable négociation».

Abitibi : Loblaw doit négocier

Une centaine de personnes ont pris part à une action de visibilité lundi midi dans une épicerie de Kirkland en appui aux 250 syndiqué-es de trois supermarchés en conflit détenus par Loblaw, en Abitibi-Témiscamingue. Arborant des autocollants dénonçant le refus de l’employeur de négocier, les « clients-manifestants » se sont promenés dans les allées du magasin Provigo, un membre du groupe Loblaw, afin de lancer un message clair à la direction du plus gros détaillant alimentaire au Canada : il est temps de reprendre les négociations.

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Loblaw en Abitibi : De nombreuses voix s’élèvent pour demander la reprise des pourparlers


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À la veille de la Saint-Valentin, des voix importantes se solidarisent afin de livrer un message clair à la chaîne alimentaire Loblaw : C’est le temps de revenir à la table de négociation. C’était le consensus aujourd’hui de plusieurs organisations et élus de l’Abitibi-Témiscamingue, qui ont ajouté leurs voix à celles des syndiquées et syndiqués CSN. Tous exigent de la chaîne alimentaire torontoise qu’elle reprenne les négociations afin de résoudre les longs conflits de travail dans trois épiceries Loblaw de la région.

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Les appuis aux personnes en lock-out de Kronos Canada se multiplient


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Les appuis aux 320 lock-outées et lock-outés de Kronos Canada, filiale de Kronos Worldwide présente aux États-Unis et en Europe, vont bon train après de cinq mois du début du lock-out, le 13 juin. Le dernier geste de solidarité posé par des syndiquées et syndiqués de l’usine Rio Tinto Fer et Titane de Sorel, soit le versement d’une somme de près de 30 000 $ par mois, a été accueilli avec beaucoup de satisfaction par les lock-outés qui sont privés de leur salaire. L’appui à leur lutte va notamment se poursuivre lors d’une importante manifestation qui se tiendra à Varennes, le 14 décembre, pour souligner le 6e mois de lock-out.

Trente syndicats se sont joints aux lock-outés et grévistes de Loblaw


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Les déléguées et délégués de trente syndicats des magasins d’alimentation, affiliés la Fédération du commerce – CSN, sont venus donner leur appui mercredi aux travailleuses et aux travailleurs en lock-out et en grève aux magasins Loblaws, Maxi de Rouyn-Noranda et au Provigo de Témiscaming. Ceux-ci manifestaient devant le magasin Loblaw à Charlesbourg, afin de souligner le refus de Loblaw Companies Ltd de négocier de bonne foi.

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