Tou-te-s uni-e-s contre la précarité


Classé dans : SPPEUQAM | 0

Même si certaines opinions divergeaient quant au nom à adopter lors des débats au conseil syndical du 18 septembre, un consensus émergeait malgré tout à travers les discussions: le véritable nerf de la guerre est la stabilisation de l’emploi.

Les personnes chargées de cours sont tannées et épuisées de ne jamais savoir combien elles seront capables de gagner, de ne pas pouvoir planifier à moyen ou long terme faute de certitudes, de se faire mépriser, dénigrer et rabaisser constamment, que leur travail ne soit pas reconnu à sa juste valeur…

Le dossier du changement de nom démontre que les personnes chargées de cours lancent un cri du cœur, un appel à mettre fin à la précarité à laquelle elles sont confrontées.

Précarité en hausse chez le personnel enseignant universitaire

L’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU) a rendu public un rapport qui souligne les problèmes de santé mentale de plus en plus nombreux dont souffrent les chargé-e-s de cours en situation de précarité.

Comme l’explique l’article du Devoir portant sur le sujet : «Entre 2005 et 2015, le nombre de professeurs permanent a diminué de 10%, alors que le nombre de chargés de cours a bondi de 79%, peut-on lire dans le rapport De l’ombre à la lumière: les expériences du personnel académique contractuel

Le résultat de cette tendance est que la multiplication des emplois non permanents permet aux universités de se soustraire aux engagements continus sur le plan des salaires, des avantages sociaux et du développement de carrière auxquels ils sont tenus à l’endroit des employés à temps plein permanents.

Entre vous et moi : Bienvenue aux ÉGES


Classé dans : SPPEUQAM | 0

Je vous invite à participer au 2e rendez-vous des États généraux de l’enseignement supérieur qui se déroule à compter de ce soir, jeudi 3 mai (17h) à la salle Marie-Gérin-Lajoie de l’UQAM. Plusieurs thèmes constituent des enjeux pour les personnes chargées de cours: précarité, collégialité, formation à distance, financement, etc. Ça se poursuit vendredi toute la journée et une plénière clôturera le tout samedi matin. Bienvenue à toutes et tous.

N’oubliez pas, vous avez jusqu’à demain, le 4 mai, pour déposer un projet d’intégration à votre comité de liaison local ou une demande de bourse de perfectionnement long auprès du Service du personnel enseignant.

États généraux de l’enseignement supérieur : un deuxième rendez-vous pour des solutions concrètes


Classé dans : Monde syndical | 0

Après avoir tenu un premier rendez-vous des États généraux de l’enseignement supérieur au printemps 2017, près de vingt-cinq organisations syndicales, professionnelles, étudiantes et communautaires tiendront le Deuxième rendez-vous du 3 au 5 mai 2018 à l’Université du Québec à Montréal. Cet événement réunira près de 300 personnes préoccupées par l’avenir de l’enseignement supérieur au Québec. Les participantes et les participants tenteront de trouver des solutions concrètes aux difficultés et aux enjeux identifiés lors du premier rendez-vous l’année dernière. Trois grands thèmes ont été retenus: le financement des réseaux collégial et universitaire; les multiples facettes de la précarité des étudiantes et des étudiants et du personnel en enseignement supérieur; les principes au cœur de l’administration des collèges et des universités.

Entre vous et moi : le Comité exécutif en a pris acte


Classé dans : SPPEUQAM | 0

La demande de changement de nom est un symptôme de la frustration pour certains et de la grogne pour d’autres face à leur précarité et à la non-reconnaissance des chargées et chargés de cours qui ne peuvent demander des fonds de recherche et qui n’ont pas encore droit de vote aux comités de programme et aux assemblées départementales. Le Comité exécutif en a pris acte et fera rapidement cheminer le dossier de la stabilisation de l’emploi et du changement de nom tout en donnant aux membres le temps de discuter des tenants et aboutissants de ce changement.

En prévision de la rencontre des États généraux de l’enseignement supérieur (ÉGES) qui aura lieu en mai, le comité éducation du CCMM-CSN invite toutes les personnes intéressées, le mercredi 28 mars, à une soirée de réflexion régionale sur les enjeux majeurs liés aux cégeps et universités québécoises.

Soirée de discussion sur l’avenir de l’enseignement supérieur, le 28 mars


Classé dans : Monde syndical | 0

En prévision de la rencontre des États généraux de l’enseignement supérieur (ÉGES) qui aura lieu en mai prochain, le comité éducation du Conseil central du Montréal métropolitain – CSN invite toutes les personnes intéressées par l’avenir de l’éducation supérieure à participer à une soirée de réflexion régionale sur les enjeux majeurs liés aux cégeps et universités québécoises, le mercredi 28 mars, à 18h, au Centre St-Pierre. Les questions du financement des établissements, de la démocratie de leur mode de gestion ainsi que l’accroissement constant de la précarité des personnes qui y travaillent et y étudient seront au cœur de nos échanges.

Plus de la moitié des enseignants universitaires en Ontario n’ont pas de poste permanent


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Selon un récent rapport du Conseil des universités de l’Ontario, les corps professoraux dans les universités de la province sont majoritairement composés de chargés de cours à temps partiel. Ces données sont la preuve de la précarité des employés du milieu universitaire en Ontario, selon Frances Cachon, docteure en sociologie et chargée de cours à l’Université de Windsor. «Elles démontrent le recours systémique et structurel à des employés contractuels dans le secteur académique», dit celle qui, après 14 ans d’enseignement, n’a toujours pas de poste permanent.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

Précarité de la main-d’œuvre : une menace pour la qualité de l’enseignement supérieur


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Il est temps d’exposer l’un des secrets les moins bien gardés qui compromet la qualité de l’enseignement supérieur: la précarité grandissante de sa main-d’œuvre. Les universités ne remplacent pas les professeurs à temps plein au même rythme que leur départ à la retraite; de plus en plus fréquemment, elles offrent plutôt aux professeurs des cours à forfait ou des charges de cours à durée limitée où ils doivent enseigner un grand nombre de cours et ont peu de temps pour faire de la recherche. Dans l’espoir de renverser la tendance vers la dissociation de l’enseignement et de la recherche, les professeurs et les administrateurs d’une université ont éliminé le poste de chargé d’enseignement au terme de la dernière ronde de négociations collectives.

Défilé de la fierté : LGBT contre la pauvreté


Classé dans : Monde syndical | 0

«Minimum 15$!» ont scandé les militantes et militants du cortège CSN au splendide défilé de Fierté MTL pour mettre en lumière la pauvreté, la précarité et la discrimination dont sont victimes les LGBT en milieu de travail. Rappelons que la CSN revendique une augmentation du salaire minimum à 15$ de l’heure. Selon un sondage ontarien sur les conditions de vie des personnes trans, jusqu’à 28% des répondants disent avoir été renvoyés à cause de leur identité de genre, tandis que 18% se sont vu refuser un emploi pour cette même raison. Un autre 17% a avoué avoir décliné un emploi, car le milieu de travail n’était guère inclusif envers les personnes transgenres.

Un chargé de cours d’histoire antique à l’université de Toulouse coûte quatre fois moins cher qu’un titulaire


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Fini les cours d’histoire antique que Matthieu Soler dispensait à l’université de Toulouse depuis huit ans, il aura probablement à la rentrée 2017 des enfants en face de lui. À condition, bien sûr, de décrocher le concours de professeur des écoles, dont les épreuves écrites se déroulent à la fin d’avril. «Ce n’est pas tout à fait la même chose que ce que je faisais jusqu’à maintenant», euphémise-t-il. Donner des cours à l’université: l’idée revêt un certain prestige. Mais dans les amphithéâtres, ce vernis recouvre une réalité diverse et, parfois, une vraie précarité. Lunettes sages sur le nez, l’homme raconte en détail comment les facultés fonctionnent avec plusieurs catégories d’enseignants: des titulaires, des contrats à durée déterminée, mais aussi, comme lui, des chargés de cours, «le bas du panier des précaires de l’enseignement supérieur».

Un programme aidant les jeunes itinérants suscite des envies


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le programme d’un organisme du centre-ville, qui vient en aide à des jeunes Montréalais vivant une grande précarité, va être repris dans différents arrondissements après avoir vu son idée être dupliquée à l’international. Montréal-Nord dès l’été, Longueuil en septembre, éventuellement Verdun et le Sud-Ouest dans les prochains mois: lancé en 2000 dans l’arrondissement de Ville-Marie, le programme TAPAJ, déjà présent dans Hochelaga-Maisonneuve depuis 2015 en collaboration avec l’organisme Dianova, va continuer de s’étendre, suscitant admiration et envie du milieu.

Lire la suite du texte du journal Métro.

Un campement d’itinérants à l’ombre des tours à condos.

Fin de l’instabilité et de la précarité pour les professeures et professeurs de l’Académie Linguistique Internationale


Classé dans : Monde syndical | 0

Les représentantes et représentants du Syndicat des professeures et professeurs de l’Académie Linguistique Internationale ont procédé le 14 mars à la signature de leur première convention collective mettant fin ainsi à l’instabilité et la précarité de ses membres. Accrédités depuis un an à la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec – CSN, la trentaine de professeures et professeurs étaient dans l’attente de leur premier contrat de travail depuis ce temps. À la suite de cette négociation, les membres du syndicat ont obtenu des gains appréciables, dont des augmentations de salaire pour chacun d’entre eux, le respect de l’ancienneté et une échelle de salaires.

Nos étudiants ne sont pas des sardines! Stop à la démesure des groupes et de la charge de travail


Classé dans : Monde syndical | 0

Sous des prétextes économiques et un désir de rentabilité, on emprunte leur stratégie aux entreprises qui font toujours plus avec moins (font-elles vraiment mieux?), et on nous réduit à une situation de plus grande précarité encore: on amalgame plusieurs groupes d’étudiants en un seul, on entasse les générations de demain comme des sardines, on prive nos collègues de charges de cours et on nous confie l’immense responsabilité d’enseigner, avec rigueur, connaissances et équité (naturellement!) à chacune des personnes inscrites à notre cours. Et si nous refusons, on trouve sitôt quelqu’un de plus précaire encore pour nous remplacer. Nous devons dénoncer cette dynamique insidieuse et malsaine!

Célébrons la Journée nationale des chargées et chargés de cours le 22 novembre


Classé dans : Mobilisation-intégration, SPPEUQAM | 2

Les membres du SCCUQ sont invités à venir célébrer la Journée nationale des chargées et chargés de cours le mardi 22 novembre, à partir de 12h30, à l’Agora du pavillon Judith-Jasmin. Un repas sera servi et nous porterons un toast à notre santé. Des collègues prendront la parole et vous aurez aussi l’occasion de participer ou d’assister à une chorale de chargées et de chargés de cours sur une adaptation de Tout va très bien Madame la marquise. Il s’agit d’une bonne occasion de venir discuter de nos conditions de travail à trois jours des votes sur l’offre finale de l’employeur et des moyens de pression.

UQAM : «On ne sait pas si on enseignera cet hiver», disent les chargés de cours


Classé dans : SPPEUQAM | 0

Les chargés de cours de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) crient à l’injustice. Leur salaire est en deçà de celui accordé à leurs collègues du réseau de l’Université du Québec (UQ) et leurs emplois s’avèrent très précaires. «On ne sait pas si on enseignera cet hiver», a déploré jeudi la présidente du Syndicat des chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ), Marie Blais. Cette dernière a ajouté que parmi les 2000 enseignants qu’elle représente et qui donnent près de 60% des cours à l’UQAM, plus de la moitié est en probation, ce qui accroît la précarité de leur emploi. Le jeudi 20 octobre, les chargés de cours de l’UQAM ont reçu l’appui de plusieurs de leurs collègues d’autres universités, qui ont partagé avec eux les gains qu’ils ont pu enregistrer dans les dernières années.

L’UQAM préfère le béton armé et des chargées et chargés de cours précaires et éjectables


Classé dans : Nouvelles des négociations, SPPEUQAM | 1

Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ) dénonce que l’employeur maintient ses membres dans un état de précarité et sur un siège éjectable, une situation qui sert bien la direction. «L’UQAM verse plus de 7 millions de dollars par année pour des agents de sécurité, l’équivalent de 18% de la masse salariale des chargées et des chargés de cours, et elle injecte 10 millions de dollars de plus que l’an passé dans le béton. Les conséquences se font sentir dans les classes: moins de correcteurs, plus d’étudiantes et d’étudiants par groupe et moins de charges de cours», déplore Marie Blais, présidente du SCCUQ, en négociation pour le renouvellement de sa convention collective depuis plus d’un an.

Réforme à l’aide sociale : des personnalités publiques unissent leurs voix pour demander au premier ministre de retirer le projet de loi 70


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

À l’occasion du Barbecue de la fin du mois, organisé par la Coalition Objectif Dignité, des personnalités publiques, dont Christian Vanasse, Michel Marc Bouchard, Claude Cousineau et Will Prosper, ont interpellé aujourd’hui le premier ministre Couillard. Celui-ci doit ramener à l’ordre son ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale et retirer le controversé projet de loi 70. Ces personnalités appuient la Coalition qui dénonce l’approche punitive du gouvernement. Plutôt que d’imposer des pénalités financières, le gouvernement devrait miser sur des mesures volontaires, adaptées et accessibles pour permettre aux personnes de sortir de la pauvreté et de la précarité.

Lire la suite.

Quand la réadaptation professionnelle mène à l’appauvrissement et à la précarité d’emploi


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Une Enquête sur la réadaptation professionnelle et le retour durable en emploi des victimes d’accidents et de maladies du travail menée auprès de victimes de lésions professionnelles au Québec révèle un tableau plutôt sombre de la réalité vécue par les travailleuses et travailleurs accidentés ou malades à la suite du processus de réadaptation à la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNÉSST). Les résultats de l’enquête de l’UTTAM amènent à conclure que les effets à long terme des mesures de la réadaptation professionnelle mises en œuvre par la CNÉSST mènent généralement à la précarité en emploi et à l’appauvrissement.

Avec l’imposition du modèle entrepreneurial à l’université, la précarité guette les professeurs au Québec


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

«Qui n’existe ou ne s’exerce que par une autorisation révocable; qui n’offre nulle garantie de durée, de stabilité, qui peut toujours être remis en cause; qui est d’une sécurité douteuse.» Définition de «précaire» tirée du dictionnaire Larousse. Les définitions convenues de l’adjectif «précaire» semblent aux antipodes du caractère permanent conféré au statut de professeur d’université. Or, le passage d’une conception de l’université comme service public à un modèle entrepreneurial a pour effet de précariser tous les membres de la communauté universitaire, incluant le corps professoral.

Lire la suite du texte du président et du professionnel de recherche de la FQPPU.

Journal de l’uttam : les effets à long terme de la réadaptation professionnelle à la CNÉSST, une voie vers la pauvreté et la précarité?


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

L’édition Printemps 2016 du Journal de l’uttam (l’Union des travailleurs et travailleuses accidenté-e-s de Montréal) vient de paraître. Au sommaire : • Dossier spécial – Les effets à long terme de la réadaptation professionnelle à la CNÉSST: une voie vers la pauvreté et la précarité? • La loi simplifiée – Qui peut bénéficier d’un programme de formation professionnelle à la CNÉSST • Maladie du travail – Les outils vibrants et leurs effets sur la santé.

Des universités à la merci de Québec


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Les universités du Québec ont vu leurs subventions charcutées ces dernières années, dans le contexte du déficit zéro. Aujourd’hui, plusieurs sont dans une situation précaire qui les oblige même à rendre des comptes au gouvernement malgré leur indépendance. Les compressions récurrentes de près de 300 millions depuis trois ans ont effectivement rendu nos universités fragiles. Au cours de l’exercice terminé le 30 avril 2015, quatre des neuf universités ont enregistré un déficit et quatre sont sous le coup d’un plan de redressement.

Lire la suite du texte de La Presse.

Entre vous et moi


Classé dans : SPPEUQAM | 0

Je vous rappelle qu’il est important que vous veniez à la prochaine assemblée générale, celle du mercredi 3 février, et vous pouvez en profiter pour amener une autre personne chargée de cours avec vous. Après des mois de préparation et de présentation de nos demandes dans le cadre du renouvellement de notre convention collective, le Comité de négociation est préoccupé par les réponses qu’il a reçues et les demandes patronales qui constituent un net recul de nos conditions de travail et, dans certains cas, mettent en péril des acquis syndicaux – en ce qui a trait aux EQE et à la clause réserve, entre autres – et accentuent davantage notre précarité.

Entre vous et moi


Classé dans : SPPEUQAM | 0

Je m’adresse aujourd’hui aux chargées et chargés de cours qui ne voient généralement pas la nécessité de venir aux assemblées générales. Il est important que vous veniez à la prochaine assemblée, celle du mercredi 3 février. Après des mois de préparation et de présentation de nos demandes dans le cadre du renouvellement de notre convention collective, le Comité de négociation est préoccupé par les réponses qu’il a reçues et les demandes patronales qui constituent un net recul de nos conditions de travail et, dans certains cas, mettent en péril des acquis syndicaux et accentuent davantage notre précarité. Il est essentiel que vous veniez entendre les membres du Comité de négociation et discuter avec eux de l’appui nécessaire à la sauvegarde et à l’amélioration de nos conditions de travail.

Les groupes communautaires en grève lundi et mardi


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Près de 1300 organismes communautaires fermeront leurs portes lundi et mardi afin de protester contre la précarité de leur financement. Le mouvement de grève touchera toutes les régions du Québec, et diverses manifestations sont prévues pour attirer l’attention sur leur sous-financement, qu’on évalue à 265 millions de dollars. De nombreux organismes craignent même de disparaître.

Lire la suite sur radio-canada.ca

La vidéo Des précaires chargés de passion est en ligne


Classé dans : SPPEUQAM | 0

Le SCCUQ a procédé le 23 septembre au lancement de la vidéo Des précaires chargés de passion, dans laquelle une dizaine de chargées et chargés de cours témoignent de leur passion pour l’enseignement ainsi que de la précarité de leurs conditions de travail. La vidéo ainsi que les nouvelles capsules individuelles sur les personnes chargées de cours Michel Brunelle, Marc-André Cyr, Geneviève Dussault, Réal Leblanc et Evelyne LeCalvez sont maintenant en ligne sur le site du Syndicat.