Révision de la Loi fédérale sur le droit d’auteur : la FNC-CSN propose des solutions innovantes et respectueuses des journalistes et des éditeurs


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Témoignant dans le cadre de l’examen législatif de la Loi sur le droit d’auteur mené par le comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie, la présidente de la FNC-CSN, Pascale St-Onge, a proposé des pistes de solutions innovantes et permettant de générer des fonds qui permettront de soutenir financièrement les journalistes et éditeurs. La FNC-CSN constate que les plateformes numériques captent une part de plus en plus importante des revenus publicitaires grâce aux contenus produits par le travail journalistique. «Les éditeurs ou les journalistes se font doublement vampiriser, sans égard à leurs droits d’auteur, d’une part par le partage de leur contenu sans compensation sur les plateformes numériques alors qu’elles en tirent des revenus, et puis par les revenus publicitaires qui migrent vers ces plateformes, explique Pascale St-Onge.

Le Canada doit condamner les crimes d’Israël


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Le 30 mars 2018, des dizaines de milliers de Palestiniennes et Palestiniens ont manifesté pacifiquement dans la Bande de Gaza derrière la haute clôture, dans le cadre de la manifestation annuelle du Jour de la terre palestinien pour le droit de retour sur leurs terres confisquées et occupées par l’État israélien. Il est prévu que ce mouvement se poursuive pendant 6 semaines. Violant plusieurs dispositions du droit international, l’armée israélienne a scandaleusement réprimé à balles réelles et de manière disproportionnée et indiscriminée cette expression légitime de la population assiégée, procédant méticuleusement à l’exécution sommaire de civils non armés. En moins de 2 semaines, 31 civils palestiniens, âgés de 18 à 45 ans ont été tués, dont un journaliste; près de 2000 autres ont été blessés.

Lock-out des professeurs de l’UQTR : la FQPPU dénonce l’affront de la direction


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La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) condamne le coup de force de la direction de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et exprime sa solidarité envers les membres du corps professoral de l’UQTR visés par un lock-out. «Les professeures et professeurs de l’UQTR ont déjà fait leur part dans les efforts visant l’assainissement des finances de l’institution. Lors des dernières négociations, ils ont fait de nombreux compromis, notamment en ce qui a trait aux salaires et aux conditions d’enseignement et de recherche. Dans la négociation en cours sur le renouvellement de la convention collective, la direction leur demande d’écoper davantage pour compenser sa mauvaise gestion et un financement inadéquat, notamment en exigeant une charge d’enseignement supplémentaire, qui rompt avec la tâche professorale convenue dans le réseau universitaire québécois.

Entre vous et moi : Bienvenue aux ÉGES


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Je vous invite à participer au 2e rendez-vous des États généraux de l’enseignement supérieur qui se déroule à compter de ce soir, jeudi 3 mai (17h) à la salle Marie-Gérin-Lajoie de l’UQAM. Plusieurs thèmes constituent des enjeux pour les personnes chargées de cours: précarité, collégialité, formation à distance, financement, etc. Ça se poursuit vendredi toute la journée et une plénière clôturera le tout samedi matin. Bienvenue à toutes et tous.

N’oubliez pas, vous avez jusqu’à demain, le 4 mai, pour déposer un projet d’intégration à votre comité de liaison local ou une demande de bourse de perfectionnement long auprès du Service du personnel enseignant.

États généraux de l’enseignement supérieur : un deuxième rendez-vous pour des solutions concrètes


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Après avoir tenu un premier rendez-vous des États généraux de l’enseignement supérieur au printemps 2017, près de vingt-cinq organisations syndicales, professionnelles, étudiantes et communautaires tiendront le Deuxième rendez-vous du 3 au 5 mai 2018 à l’Université du Québec à Montréal. Cet événement réunira près de 300 personnes préoccupées par l’avenir de l’enseignement supérieur au Québec. Les participantes et les participants tenteront de trouver des solutions concrètes aux difficultés et aux enjeux identifiés lors du premier rendez-vous l’année dernière. Trois grands thèmes ont été retenus: le financement des réseaux collégial et universitaire; les multiples facettes de la précarité des étudiantes et des étudiants et du personnel en enseignement supérieur; les principes au cœur de l’administration des collèges et des universités.

Faible diplomation : Proulx met en cause le «décrochage parental»


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Le faible taux de diplomation au Québec s’explique en partie par le «décrochage parental» chez les francophones, soutient le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx. Il a réagi mercredi à l’étude de l’Institut du Québec qui s’intitule Décrochage scolaire au Québec: 10 ans de surplace, malgré les efforts de financement. Questionné à savoir pourquoi le taux de diplomation est meilleur chez les anglophones du Québec, Sébastien Proulx a expliqué que «cette belle réussite» est attribuable «notamment à l’implication de la communauté». Il a vanté les mérites des centres communautaires d’apprentissage présents dans des milieux anglophones. Ces centres accueillent des élèves «avant et après l’école, les fins de semaine» en vue «d’améliorer leurs résultats».

Une carte de la faim à Montréal


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À Montréal, la clientèle des banques alimentaires augmente plus vite que les ressources. Pour arriver à répondre efficacement aux besoins des Montréalais, un groupe se lance dans une cartographie des ressources et besoins de la ville. «Il faut une cartographie, parce qu’elle n’existe pas, explique Alain Gignac, directeur général de la Société des célébrations du 375e anniversaire. Présentement, on ne connaît pas le déploiement de l’écosystème de la pauvreté et des besoins de la faim à Montréal. On sait qu’il y en a, mais on veut les localiser pour poser les bons gestes.»

Lire la suite du texte de La Presse.

La violence sexuelle s’étend à la petite école


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Un enfant de cinq ans qui embrasse le sexe d’une fillette au CPE. Un garçon de six ans agressé par trois copains qui tentent de l’obliger à faire une fellation dans la cour d’école… Longtemps banalisée, la violence sexuelle chez les tout-petits est de plus en plus visible et dénoncée, et l’accès à la pornographie montré du doigt. C’était au printemps dernier. Henri (nom fictif) avait six ans. Dans la cour d’école, au service de garde, un ami l’a emmené sous un module de jeux. Il l’a maintenu au sol pendant que deux autres petits garçons lui sautaient dessus. L’un s’est assis sur son sexe, faisant des mouvements de va-et-vient sur lui, l’autre a baissé ses culottes — «des bobettes de Superman», a précisé l’enfant plus tard — et a tenté de lui enfoncer son pénis dans la bouche.

Des étudiants de McGill frustrés par la gestion des plaintes pour inconduites sexuelles


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Devant ce qu’ils décrivent comme l’inaction de l’administration face à des «comportements abusifs» et à de la «violence sexuelle» sur le campus, des étudiants de McGill se mobilisent. Depuis quelques semaines, leurs demandes font des vagues et ont même été entendues par la ministre de l’Enseignement supérieur. La tension est palpable à l’Université McGill depuis la publication, le 4 avril dernier, d’une lettre ouverte critiquant la «mauvaise gestion» des plaintes visant des membres du corps professoral. Écrite par les membres du conseil exécutif de l’Association des étudiants de l’Université McGill (AEUM), elle a depuis été signée par 2400 personnes et 101 associations et groupes étudiants.

Des enseignants victimes de cyberharcèlement


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Circulation de rumeurs, de surnoms blessants, voire de photos relayées sans consentement: 12% des enseignants ayant participé à une étude dont Le Devoir a obtenu copie ont vécu au moins un épisode de cyberharcèlement entre 2015 et 2017. Un phénomène qui a pris de l’ampleur dans les dernières années avec les réseaux sociaux. L’étude menée par Stéphane Villeneuve, professeur de didactique à l’UQAM, et son équipe a récolté le témoignage de 753 enseignants, tous niveaux confondus au sein du réseau public — à temps plein ou à temps partiel —, afin de mesurer l’ampleur de ce problème encore peu documenté.

Lire la suite du texte du Devoir.

Violences et conflits d’intérêts à caractère sexuel : la FQPPU adopte une position de principe sur les relations professeur(e)/étudiant(e)


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Réunis la semaine dernière en Conseil fédéral, les membres de la Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) ont adopté une Position de principe sur les relations professeur(e)/étudiant(e) visant à prévenir les violences et les conflits d’intérêts à caractère sexuel dans les universités. L’énoncé pose clairement qu’il est incompatible pour un(e) professeur(e) engagé(e) dans une relation pédagogique avec un(e) étudiant(e) d’avoir des liens intimes tels qu’amoureux ou sexuels avec cette personne. Il admet également que si la situation se présente tout de même, il relève de la responsabilité des professeur(e)s de s’abstenir d’une telle relation ou de s’en retirer sans contrainte de la part de l’employeur.

Droit d’auteur et utilisation équitable : la position d’Universités Canada


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Les universités comprennent à la fois le point de vue des créateurs et celui des utilisateurs en matière de droit d’auteur. Les chercheurs universitaires et les professeurs créent la majorité du contenu utilisé par les étudiants sur les campus. C’est la raison que les universités revendiquent une démarche équilibrée en matière de droit d’auteur. Et l’utilisation équitable est un moyen efficace de maintenir cet équilibre.

Lire la suite.

FNEEQ : le syndicalisme à l’ère numérique


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Jean Murdock, président de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ), en convient lui-même, les nouvelles technologies de l’information fournissent de nouveaux outils intéressants aux fédérations syndicales et à leurs membres. Ils contribuent à une plus grande transparence et favorisent des consultations plus larges et l’augmentation de la fréquence des échanges avec et entre les membres. Toutefois, ces outils transforment radicalement le travail des syndicats et les appellent à innover dans leurs approches. «Avant, quand nous obtenions un document gouvernemental, nous prenions le temps requis pour bien l’analyser, en discuter entre nous et formuler nos recommandations, illustre Jean Murdock.

Bienvenue aux États généraux de l’enseignement supérieur du 3 au 5 mai


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Le 2e rendez-vous des États généraux de l’enseignement supérieur se déroule cette semaine, du jeudi 3 mai (17h) au samedi 5 mai (13h) à la salle Marie-Gérin-Lajoie de l’UQAM. Vous trouverez l’horaire détaillé ici. Plusieurs thèmes constituent des enjeux pour les personnes chargées de cours: précarité, collégialité, formation à distance, financement, etc. Toutes les personnes chargées de cours sont invitées à participer à ce grand événement à l’UQAM. L’inscription est gratuite. Au plaisir de vous compter parmi nous.

Dates et procédures pour une demande de perfectionnement long ou court


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L’article 16 de la convention collective SCCUQ-UQAM prévoit que 54 charges de cours, à raison de 3 charges par session pour un maximum de 6 charges, sont attribuées comme bourses de perfectionnement de longue durée dans le cadre de projets institutionnels et/ou fin de scolarité en 2018-2019. Si vous désirez vous prévaloir de ce programme pour l’année 2018-2019 et pour de plus amples informations, veuillez consulter le document explicatif intitulé: Perfectionnement de longue durée et/ou appeler une agente ou un agent du CAART. Votre demande, en version papier, doit parvenir au plus tard le 4 mai au Service du personnel enseignant à l’attention de l’assistante de direction, madame Brigitte Perron.

Société de transport de Montréal : six jours de grève d’heures supplémentaires pour les employé-es des services d’entretien


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Face aux demandes de reculs importants de la Société de transport de Montréal (STM) dans le cadre du renouvellement de la convention collective, les membres du Syndicat du transport de Montréal–CSN augmenteront la pression en lançant une grève d’heures supplémentaires. Pour six jours consécutifs, du 7 mai 2018 à minuit au 12 mai 2018 à minuit, les travailleuses et les travailleurs des services d’entretien de la STM n’effectueront aucune heure supplémentaire, n’accepteront aucune demande de cumul de temps (temps de travail reporté) et refuseront les changements temporaires de poste, et ce, en fonction d’un horaire de travail préétabli selon les heures de pointe.

Énergie solaire : des commerçants itinérants cumulent les plaintes et les dénonciations d’experts dont Jean-Pierre Desjardins


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Des commerçants itinérants de panneaux solaires cumulent les plaintes après avoir promis à des consommateurs une rentabilité rapide et une production d’électricité irréaliste. «Tous les calculs du commerçant itinérant de Nisi solaire sont faux. On semble profiter de la naïveté et de la non-connaissance du domaine de potentiels clients. C’est totalement discutable. C’est inquiétant parce que ça donne une très mauvaise image du solaire. Il faut savoir que ce n’est pas rentable en ce moment, les équipements sont chers par rapport aux coûts d’Hydro-Québec», soutient Jean-Pierre Desjardins, chargé de cours en sciences de la Terre et de l’atmosphère, dans un texte du Journal de Montréal.

Madeleine Goubau commente l’autobiographie d’Iris Apfel, icône de style


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À l’âge vénérable de 96 ans, Iris Apfel publie à Harper Design son autobiographie, Accidental Icon: Musing of a Geriatric Starlet. La chroniqueuse mode et chargée de cours Madeleine Goubau a lu et commente à Plus on est de fous, plus on lit! cet ouvrage qui dresse un portrait de cette passionnée du textile qui a d’ailleurs confectionné les tissus de la Maison-Blanche sous neuf administrations, de Truman à Clinton, et qui a été en 2011 l’égérie de la marque de cosmétique M·A·C.

Olivier Aubry a coorganisé une journée de réflexion sur l’état actuel de la recherche au Québec


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Les professeurs, chargés de cours, étudiants et membres des personnels de recherche étaient conviés à participer à une journée de réflexion sur l’état actuel de la recherche au Québec, le 3 mai, au local J-1200. Cette activité était organisée par le chargé de cours du Département des sciences biologiques Olivier Aubry et le professeur du Département d’études littéraires Michel Lacroix, membres des comités exécutifs du Syndicat des chargées et chargés de cours (SCCUQ) et du Syndicat des professeurs et professeures (SPUQ), peut-on lire sur le site Actualités UQAM.

Beau Zuercher et Sebastian Döderlein contribuent à la 7e rencontre sur l’enseignement des langues


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La 7e rencontre sur l’enseignement des langues, organisée par l’École de langues, se tiendra à l’UQAM les 24 et 25 mai prochains. L’événement portera sur la place de la culture dans l’enseignement et l’apprentissage des langues. «Ce sera la première édition trilingue, souligne fièrement le chargé de cours Beau Zuercher, coorganisateur de l’événement. Sur la quarantaine de conférences au programme, une douzaine seront données en espagnol, en plus des présentations en français et en anglais.» Le chargé de cours à l’École de langues Sebastian Döderlein fait également partie des présentateurs, peut-on lire sur le site Actualités UQAM.

Les chargés de cours à la défense des enseignants tuteurs de l’Université TÉLUQ


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Les syndicats de chargées et chargés de cours de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) tiennent à réagir face aux récents propos de l’Université TÉLUQ, selon laquelle, au sein de cette institution, ce sont les professeurs qui évaluent les étudiants, les personnes tutrices n’étant pas des enseignants. Nous, chargés de cours, reconnaissons nos collègues tuteurs et tutrices pour leur travail d’enseignant au même titre que nous et il est erroné d’attribuer aux professeurs ce rôle historiquement joué par les tuteurs et tutrices, comme le rappelle Patrick Guillemet. Depuis les débuts de l’Université TÉLUQ, ce sont les tuteurs et tutrices qui assurent majoritairement l’encadrement individualisé ainsi que la sanction de la réussite des étudiants.

ACFAS : l’intégration des immigrants au travail abordée


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Au moment où le Québec connaît une pénurie de main-d’œuvre, plusieurs entreprises peinent à recruter et intégrer les nouveaux immigrants, souvent spécialisés, au sein de leur organisation. C’est en abordant cette question que plusieurs chercheurs et experts de tout le Québec seront réunis le 8 mai prochain lors du colloque organisé sous le thème «L’innovation éducative pour intégrer les immigrants récents en milieu de travail dans les pays francophones» dans le cadre du 86e congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS) qui se tiendra à Chicoutimi du 8 au 11 mai.

Lire la suite du texte du Quotidien.

Les femmes ont moins de chances de percer dans les congrès scientifiques


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À l’aide d’une base de données regroupant plus de 65 000 personnes, des chercheurs mettent en évidence le manque d’occasions qu’ont les femmes de présenter leur travail dans les congrès scientifiques. Plus d’un siècle après avoir reçu son prix Nobel, Marie Curie devrait-elle encore craindre pour la place des femmes dans la science? Une étude parue en avril dans Nature Communications souligne la disparité de genres encore présente dans les colloques scientifiques. À l’aide d’une base de données regroupant plus de 65 000 personnes dans 137 pays différents, les auteurs se sont intéressés aux probabilités qu’ont les chercheuses de présenter leur travail lors de congrès.