Manif du 23 mars : Ensemble pour la Palestine, la justice et la paix


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Depuis presque cinq mois maintenant, nous sommes témoins à distance de l’atrocité que vit la population palestinienne; nous n’en ferons pas un éditorial ici, mais pour témoigner de notre solidarité envers ce peuple en état de famine sous les bombardements du régime Netanyahou, nous vous invitons à participer à la manifestation du 23 mars prochain à Montréal; le SPPEUQAM a d’ailleurs signé la lettre « Ensemble pour Gaza et la Palestine! Ensemble pour la justice et la paix! » dont on peut consulter les signataires par ce lien.

Mentionnons que selon des experts de l’ONU, il est « sans précédent qu’une population civile entière souffre de la faim aussi complètement et aussi rapidement ».

8 mars 2024, Solidarité avec les femmes Palestiniennes


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Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, le SPPEUQAM invite ses membres et ses proches à une table ronde intitulée En solidarité avec les luttes des femmes Palestiniennes animée par Sandrine Ricci, chargée de cours au département de sociologie et à l’Institut d’études et de recherches féministes de l’UQAM.

L’événement aura lieu le 8 mars, de 12 h à 13 h 30, à la Salle des boiseries (local J-2805), du Pavillon Judith-Jasmin. Le lunch est fourni (mais on peut apporter le sien) et les places sont limitées. RSVP à sppeuqam@uqam.ca. Une priorité est offerte aux membres du SPPEUQAM si la capacité de la salle est dépassée.

Suivi des consultations de Debout pour l’école


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On apprend par l’édition du Bulletin #17 de Debout pour l’école, récemment paru en février 2024, qu’il y a actuellement une large consultation pour dégager des revendications prioritaires dans le milieu de l’éducation; en effet les « membres des comités de Debout pour l’école sont à pied d’œuvre pour réaliser une grande consultation citoyenne dans le but de cerner les changements les plus urgents et les plus souhaités à apporter à l’école québécoise. »

On peut lire dans le Bulletin ce qui suit : « Cette large consultation citoyenne n’est que la première étape qui va permettre de produire un projet pour l’école québécoise avec des revendications porteuses.

Grève de 4 jours pour nos collègues de Laval


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Le journal Le Soleil, par le clavier de Victoria Baril, informait son lectorat le 14 février que nos collègues de l’Université Laval entament ce 15 février quatre jours de grève qui se poursuivront les 16, 19 et 20 février si aucun accord ne survient avec leur méprisant employeur; évidemment, le SPPEUQAM signifie toute sa solidarité avec le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université Laval (SCCCUL)!

Pour être au fait des événements passés, actuels et à venir concernant la négociation en cours et le rapport de force entre le SCCCUL et la direction de l’Université Laval, on se rend sur cette page web du syndicat.

Actions régionales Coalition Main rouge


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Notre fédération nationale, la FNEEQ-CSN, qui regroupe 105 syndicats en enseignement au Québec, du préscolaire à l’universitaire, est membre de la Coalition Main rouge qui lance un appel à des actions régionales dans le cadre de la Journée mondiale de la justice sociale du 20 février 2024. Des actions, auxquelles le SPPEUQAM invite ses membres à participer, sont organisées à Montréal, Sherbrooke, Cowansville, Trois-Rivières, Joliette, Saguenay, Québec, Rouyn-Noranda et Victoriaville. La liste des actions est disponible ici.

On peut lire sur le site de la coalition que : « le mouvement de mobilisation de l’automne pour faire entendre la voix de tous ceux et celles qui souffrent des politiques caquistes, dont les travailleurs et les travailleuses, les locataires, les étudiant.e.s

Financement des universités


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La situation du financement des universités québécoises est toujours à l’avant-plan de l’actualité en enseignement supérieur; un article signé Zacharie Goudreault, paru dans Le Devoir du 19 janvier dernier sous le titre « Des universités dans le rouge, des choix qui soulèvent des inquiétudes » dresse un tableau de la situation et on y lit que « l’UQAM indique que « le quart de [ses] groupes-cours revêtent une composante à distance, hybride ou comodale ».

Une situation qui préoccupe Olivier Aubry, président du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM, qui représente les chargées et chargés de cours de l’établissement. « Si

Pour ou contre l’entente de principe


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Lors d’un vaste mouvement de revendications qui se déploie dans une extraordinaire mobilisation des membres des syndicats, il n’est pas toujours évident de se rendre compte que l’aboutissement des négociations ne reflète pas les objectifs que nous nous étions tracés et qui ont soutenu le déploiement de nos énergies pendant plusieurs semaines, souvent dans un contexte très engageant émotivement.

C’est sans doute ce que vivent plusieurs militantes et militants du milieu de l’éducation et d’autres secteurs qui étaient récemment en grève et qui votent actuellement sur l’entente de principe conclue entre les comités de négociation syndicaux et patronaux.

Enfants vulnérables : près de 4 sur 10 dans certains quartiers


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Un article de Katia Gagnon de la Presse, daté du 17 janvier 2024, nous apprend que « certains quartiers de Montréal présentent des taux de vulnérabilité importants dans les classes de maternelle ; près de quatre enfants sur dix dans les quartiers du sud-ouest de la métropole présentent au moins un facteur de vulnérabilité lorsqu’ils arrivent à l’école, montre l’analyse régionale de l’Enquête québécoise sur le développement des enfants à la maternelle (EQDEM), réalisée en 2022. »

Plus que jamais, il importe, pour l’État et aussi pour les organisations citoyennes, d’actualiser ces objectifs ultimes de justice sociale, de lutte contre la pauvreté et de démocratisation de l’éducation.

Gestionnaire à la TELUQ et agréer des formations… de la TELUQ avec le CAPFE


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Marie-Michèle Sioui,correspondante parlementaire à Québec,est titulaire d’un baccalauréat en journalisme de l’UQAM et à qui plusieurs chargé-e-s de cours lui ont d’ailleurs enseigné, a signé un texte dans le Devoir du 14 décembre intitulé « Drainville a nommé une présidente en conflit d’intérêts, selon doyens et oppositions » qui reflète le malaise de plusieurs au sujet de « la nomination de la directrice du Département d’éducation de la TELUQ, Caroline Brassard, à la tête d’un comité d’experts qui doit majoritairement approuver des formations offertes par la TELUQ (et qui) suscite l’indignation des partis d’opposition et des doyens, qui y voient de sérieux risques de conflits d’intérêts. 

Frais de scolarité universitaires pour les hors-Québec et francisation


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Ce 14 décembre, Tommy Chouinard, chef de bureau de La Presse à Québec, a signé un article intitulé « Étudiants étrangers des autres provinces, Québec confirme la hausse des droits de scolarité »; il y écrit que « Le gouvernement Legault confirme la hausse des droits de scolarité des étudiants venant des autres provinces canadiennes et rend conditionnelle une partie du financement des universités McGill et Concordia à la francisation de 80 % de leurs étudiants non québécois. » On peut accéder à l’article complet par ce clic.

Pour une meilleure reconnaissance du travail des chargé-e-s de cours


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Un cahier spécial sur le syndicalisme a été publié dans l’édition de la fin de semaine dernière du Devoir; il s’y trouve ainsi un article de Pierre Vallée intitulé « Mieux soutenir le réseau universitaire québécois », avec pour sous-titre « La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec plaide notamment pour une meilleure reconnaissance du travail des chargés de cours. »

Notre vice-présidente, responsable du regroupement université, Christine Gauthier est citée dans cet article, où elle mentionne à notre sujet : « Ce sont tous des employés contractuels (explique-t-elle), et de ce fait, ils ne sont pas considérés comme faisant partie du corps professoral régulier.

L’ADEESE poursuit la grève


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En solidarité avec les travailleuses et les travailleurs de l’enseignement en grève ou à la veille de l’être, on lit sur le site Internet de l’association étudiante en éducation que « L’assemblée générale de l’ADEESE UQAM s’est prononcée à nouveau cet après-midi (28 novembre NDLR) en faveur d’une grève générale illimitée en appui au Front commun et à la FAE.

Les cours réguliers et toutes les activités académiques dont la remise de travaux, les examens et les cours en ligne synchrones et asynchrones sont touchés par la grève. Les stages et les séminaires de stage sont exclus de la grève. Voici la liste des cours touchés par la grève.

Assemblée générale du 16 novembre

La majorité des textes de cette édition des Nouvelles du SPPEUQAM a été écrite alors qu’une Assemblée générale du Syndicat avait lieu, une importante rencontre portant principalement sur la négociation pour l’enseignement en ligne. Les membres ont donc pu s’exprimer à nouveau sur le travail du Comité de négociation sur l’enseignement en ligne, alors que sa proposition globale a été adopté à l’unanimité avec de légers amendements. L’intelligence collective de l’Assemblée était tout simplement remarquable lors des échanges. D’autre part, nous avons appris par Le Devoir que l’Université de Montréal songe à s’établir dans le voisinage immédiat de l’UQAM par un texte de Zacharie Goudreault publié le 14 novembre que l’on peut consulter par ce lien.

Grèves étudiantes à venir à l’UQAM

Les assemblées générales de l’AFEA (arts) et de l’AFESPED (sc. po et droit) ont voté un mandat de grève de solidarité avec le Front commun du 21 au 23 novembre; l’assemblée de l’AESS (sciences) a quant à elle voté pour une journée de grève le 23 novembre, de son côté, l’ADEESE (éducation) organise aussi une Assemblée générale de grève à ce sujet le 20 novembre.

Il est donc fort probable que les cours où des membres des associations seront en grève soient levés. Dans ces conditions, les membres du SPPEUQAM (chargées, chargés de cours, superviseures, superviseurs de stages) doivent se rendre à leur lieu de travail pour respecter leur contrat de prestation de cours.

Pour vraiment protéger tout le monde, chaque jour

C’est la Semaine nationale de la santé et de la sécurité du travail, du 15 au 21 octobre, mais ça peut l’être aussi chaque jour! Les enseignantes et les enseignants universitaires précaires, qui sont sous contrat de 15 semaines (bref, les chargées, chargés de cours), souffrent trop souvent de problèmes liés à la santé psychologique, que ce soit à la suite du manque de considération systémique de l’employeur, que ce soit aussi causé par le mépris de certains personnages siégeant aux assemblées départementales de l’UQAM.

Comme on peut le lire sur le site Internet de la CSN, « Trop souvent, les problèmes vécus par les travailleuses et travailleurs découlent d’une organisation du travail déficiente ou encore d’un manque de considération de certains gestionnaires.

Une première grève à Regina Assumpta

Ce n’est pas parce que c’est une école privée que les conditions de travail sont bonnes, au contraire! Dans ce milieu, les patrons gèrent souvent les écoles comme si elles étaient des entreprises privées, mais ce ne sont pas des entreprises, ce sont des écoles!

Pour de l’information sur la lutte et les revendications des enseignantes et des enseignants du Collège Regina Assumpta qui ont voté trois jours de grève dans une proportion de 97%, on se dirige vers le site Internet de notre fédération nationale. On peut aussi consulter La Presse qui a également publié cet article de la journaliste Émilie Bilodeau, le 12 octobre dernier.

À distance et parfois de l’au-delà

« Les cours en ligne permettent de grandes économies d’échelle, particulièrement ceux qui sont préenregistrés. Une fois le cours produit, il est bon pour l’éternité. Parlez-en aux étudiants de l’Université Concordia qui ont été surpris d’apprendre que leur professeur enseignait… de l’au-delà, puisque son cours virtuel était encore offert des années après sa mort, rapportait Le Devoir, en 2021 »; c’est ce que nous rappelle l’éditorialiste en chef de La Presse, Stéphanie Grammont dans un texte paru le 7 octobre, sous le titre « Le étudiants vaches à lait », que l’on peut consulter juste ici.

Comme certaines études l’ont indiqué, madame Grammont établit un lien entre la réussite scolaire et les interactions sociales étudiantes en présence; elle fait aussi référence à quelques articles publiés dans La Presse sous les plumes des journalistes Louise Leduc et Marie-Ève Morasse, dont celui-ci, intitulé « C’est comme si on était encore en pandémie », paru le 7 octobre dernier.

Manif-action, 31 octobre, 11 h, sur les horreurs de la CAQ au Square Victoria

La Coalition Main Rouge, qui s’oppose à la tarification et à la privatisation des services publics, où sont membres plusieurs organisations progressistes comme la FNEEQ-CSN, organise, en collaboration avec le Front régional pour l’action communautaire autonome, une manif-action pour dénoncer les horreurs du gouvernement caquistes car depuis des mois, ce gouvernement « nous impose d’horribles projets de lois et de réformes qui font craindre le pire pour le filet social, dont le projet de loi 15 en santé et services sociaux, le projet de loi 31 sur le logement et les projets de loi 23 et 40 en éducation »; pour plus d’infos sur la manif-action, c’est par ici : www.nonauxhausses.org

Dernier Conseil syndical

Un Conseil syndical élargi avait lieu le 26 septembre dernier, alors que les membres ont participé avec intérêt à des ateliers formés petits groupes sur l’intelligence artificielle. L’ambiance de la rencontre était sous le signe de l’échange, de la réflexion critique, de l’ouverture et parfois aussi de l’humour; les ateliers avaient lieu après une intéressante présentation sur l’intelligence artificielle de Stéphane Daniau, trésorier, et de Ricardo Peñafiel, vice-président aux relations intersyndicales, tous deux actifs au sein du Comité école et société de la FNEEQ.

On peut d’ailleurs aller consulter ce dossier du comité « Intelligence artificielle en éducation. De la mission à la démission sociale : replaçons l’humain au cœur de l’enseignement »déposé au Conseil fédéral de notre fédération, les 31 mai, 1er et 2 juin.

Rentrée universitaire : cassons le modèle de l’utilisateur-payeur

La vice-présidente, responsable du regroupement université, Christine Gauthier, a récemment rédigé un texte sur le clientélisme en études supérieures, un des effets pervers du sous-financement des universités. On retrouve ce texte sur le site Internet de la FNEEQ-CSN, notre fédération nationale, sous le titre « Rentrée universitaire : cassons le modèle de l’utilisateur-payeur ». Trop souvent, les enseignantes et les enseignants font face à des clients de l’université qui en veulent pour leur argent. Mais si l’université était plus accessible pour toutes et tous, gratuite, sans frais de toutes sortes, et que le gouvernement faisait de l’éducation une véritable priorité et non un slogan… N’est-ce pas là un des fondements de la démocratisation de l’enseignement?

5 octobre : Journée mondiale des enseignants


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« L’UNESCO (en français, l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture) a proclamé le 5 octobre 1994 la Journée mondiale des enseignants, célébrant ainsi le grand pas effectué en faveur des enseignants le 5 octobre 1966, lorsqu’une conférence intergouvernementale spéciale organisée par l’UNESCO à Paris en coopération avec l’Organisation mondiale du travail (OIT) a adopté la Recommandation OIT / UNESCO concernant la condition du personnel enseignant. (…) Le 5 octobre célèbre également l’adoption, par la Conférence générale de l’UNESCO en 1997, de la Recommandation de l’UNESCO concernant la condition du personnel enseignant de l’enseignement supérieur. »

En fouinant sur le site de l’UNESCO qui est une mine d’informations pertinentes, on peut entre autres découvrir la présentation du nouveau rapport 2023 du GEM (Global Education Monitoring) sur la technologie dans l’éducation.

Ouvrir les yeux sur l’esclavagisme moderne d’ici


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Un reportage choc de la journaliste Sophie Langlois, intitulé « À la recherche du rêve canadien », diffusé au Téléjournal de Radio-Canada, le 26 septembre dernier, nous informe, qu’au début du mois, un rapporteur spécial des Nations Unies a dénoncé les conditions de travail et les conditions de vie des travailleurs étrangers temporaires au pays. Le rapporteur spécial a même parlé d’une forme d’esclavage moderne. De son côté, la ministre québécoise de l’Immigration a affirmé vouloir revoir les règles qui encadrent les 300 000 immigrants temporaires au Québec, parmi lesquels ces travailleurs précaires qu’on retrouve dans les fermes, les hôtels, les restaurants, les chantiers de construction et les CHSLD, entre autres.

Carmen Quintana y était le 11 septembre


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Nous ne parlons pas ici du 11 septembre 2001 qui nous a spectaculairement marqué avec ces avions qui frappent deux tours du World Trade Center de New-York mais du coup d’état militaire de Pinochet, commandité par le gouvernement des États-Unis contre le gouvernement chilien élu de Salvador Allende. Carmen Quintana était au Chili ce 11 septembre et quelques années plus tard, elle participe à manifestation d’opposition au régime. Elle et son compagnon, Rodrigo Rojas, sont arrêtés et battus par des militaires. Ils seront ensuite aspergés de matière inflammable pour devenir ensuite des torches vivantes. Carmen Quintana reprendra connaissance dans un fossé situé à une vingtaine de kilomètres des lieux de leur torture alors que son ami succombera de ses blessures.

Les absences en cours: en rire ou en pleurer?


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Les personnes qui enseignent en études supérieures ont dû s’attrister ou rigoler de découragement à la lecture d’un article de Claude Malboeuf, paru dans la Presse du 12 septembre et qui fait partie d’un dossier intitulé «  Les cégépiens de plus en plus absents ». On y lit que « L’époque des cours en ligne obligatoires a beau être derrière nous, bon nombre de cégépiens persistent à se tenir à distance (…), se désole Yves de Repentigny, vice-président de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ). »

Il poursuit : « Plusieurs jeunes s’attendent à recevoir du matériel de rattrapage sur mesure ou un cours privé.