Le phénomène Met Gala – Commentaires de Milan Ognyanov Tanedjikov et de Madeleine Goubau


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C’était lundi soir soir qu’avait lieu le très attendu et glamour Met Gala, à New York, où la crème du gratin artistique américain – acteurs, chanteurs, designers, mannequins – a foulé le tapis rouge. Regard sur un événement qui a réussi à imposer son modèle de collecte de fonds et qui fait vibrer la planète mode chaque année par les chargés de cours Milan Ognyanov Tanedjikov et Madeleine Goubau de l’École supérieure de mode dans un article de La Presse que vous pouvez lire en cliquant ici.

Madeleine Goubau commente l’autobiographie d’Iris Apfel, icône de style


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À l’âge vénérable de 96 ans, Iris Apfel publie à Harper Design son autobiographie, Accidental Icon: Musing of a Geriatric Starlet. La chroniqueuse mode et chargée de cours Madeleine Goubau a lu et commente à Plus on est de fous, plus on lit! cet ouvrage qui dresse un portrait de cette passionnée du textile qui a d’ailleurs confectionné les tissus de la Maison-Blanche sous neuf administrations, de Truman à Clinton, et qui a été en 2011 l’égérie de la marque de cosmétique M·A·C.

Le mouvement #MeToo happe aussi le milieu de la mode : rien d’étonnant selon Madeleine Goubau


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Le New York Times a été le premier média à faire enquête sur les agressions sexuelles dans le milieu de la mode, publiant des dénonciations visant les photographes vedettes Bruce Weber et Mario Testino. Abus de pouvoir et harcèlement sont courants dans cette industrie dominée par une petite poignée de personnes très influentes, mais les choses changent petit à petit, selon la chargée de cours Madeleine Goubau, dans un texte de Radio-Canada. En plus des agressions commises contre des femmes, pas moins de 15 mannequins hommes et 13 assistants ont dénoncé les comportements sexuels déplacés des deux photographes. Il n’y a là rien d’étonnant, rapporte-t-elle.

Les vêtements pare-balles de plus en plus populaires aux États-Unis fait remarquer Madeleine Goubau


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Le fait qu’environ 310 millions d’armes à feu soient en circulation aux États-Unis a des répercussions sur la mode dans ce pays, explique la chargée de cours et journaliste Madeleine Goubau. De plus en plus, des designers conçoivent des vêtements pare-balles comme des t-shirts, camisoles, vestes et manteaux pour les Américains qui craignent pour leur sécurité. Ce ne sont plus seulement les policiers ou les forces de l’ordre qui se dotent de gilets pare-balles, fait remarquer Madeleine Goubau dans un texte de Radio-Canada. Des vêtements tout à fait normaux, au goût du jour pour M. et Mme tout-le-monde, sont maintenant conçus pour résister à différents types de projectiles.

Madeleine Goubau explique pourquoi les t-shirts féministes ont la cote


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On les voit sur des vedettes et des personnalités qui affichent sans gêne leurs convictions sur les réseaux sociaux ou dans la vie de tous les jours. Depuis quelque temps, les t-shirts et chandails avec des slogans féministes sont portés fièrement par des femmes et des hommes qui n’hésitent pas à faire entendre leurs idées. À tel point qu’on peut parler d’un véritable phénomène. «De nouveaux modèles inspirants, comme Emma Watson, ont mis le féminisme au goût du jour et l’ont expliqué dans des termes plus modernes, ce qui a popularisé la cause, surtout auprès des jeunes», explique la chargée de cours à l’École supérieure de mode Madeleine Goubau, à La Presse.

Madeleine Goubau et Dominique Malaterre publient un livre sur une figure de proue de la mode québécoise


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Marie Saint Pierre est une figure de proue du prêt-à-porter de luxe montréalais et de la mode québécoise et canadienne. «Précurseure à bien des égards, Marie Saint Pierre est l’une des rares designers de mode à savoir conjuguer démarche artistique, production locale et profits», souligne la journaliste et chargée de cours à l’École supérieure de mode de l’ESG, Madeleine Goubau, dans Maison Marie Saint Pierre en 30 tableaux. Le livre, qui célèbre les 30 ans de l’entreprise de mode, raconte des moments clés de la célèbre marque québécoise. Des photographies, prises par la chargée de cours à l’École de design Dominique Malaterre, présentent quelques-unes des pièces maîtresses de la marque, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Naoufel Remili, Madeleine Goubau et Philippe Denis parmi les organisateurs du colloque Montréal, ville de mode?


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Montréal, ville de mode? C’est la question centrale de ce colloque (9 mai) organisé par l’École supérieure de mode (ESM) de l’ESG UQAM dans le cadre du congrès de l’ACFAS. Les participants discuteront entre autres des critères permettant de qualifier une «ville de mode», des avantages d’une telle appellation, de l’industrie de la mode à Montréal, de son histoire et de ses innovations plus récentes ainsi que de différents cas de villes et de capitales de mode dans le monde. «Montréal ne peut pas se comparer aux grandes capitales de la mode comme New York, Paris ou Londres», souligne Naoufel Remili, chargé de cours à l’ESM et l’un des responsables du colloque avec les chargés de cours Madeleine Goubau et Philippe Denis et la professeure Marie-Ève Faust, également de l’ESM.

Madeleine Goubau a animé la période de questions de la conférence Mat’Inno


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Tenue pour la première fois à l’UQAM, la conférence Mat’Inno du 13 avril avait pour thème Mode et design et réunissait les professeures Marie-Ève Faust de l’École supérieure de mode (ESM), et Joanna Berzowska, vice-doyenne à la recherche de la Faculté des beaux-arts de l’Université Concordia. Les deux chercheuses disposaient d’une dizaine de minutes chacune pour présenter leurs travaux. Elles étaient par la suite invitées à participer à une période de questions animée par Madeleine Goubau, chargée de cours à l’ESM et journaliste spécialisée en mode à Radio-Canada, peut-on lire sur Actualités UQAM.