Avant de tuer les femmes, vous devez les violer! Rwanda, rapports de sexe et génocide des Tutsi – Livre de Sandrine Ricci


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L’ouvrage Avant de tuer les femmes, vous devez les violer ! Rwanda, rapports de sexe et génocide des Tutsi de Sandrine Ricci, chargée de cours au département de sociologie, vient d’être réédité en format papier. Après être sorti en France chez Syllepse, il paraîtra à l’automne au Québec chez M Éditeur.

Vous pouvez lire l’introduction de cette édition de 2019 sur le blogue de Christine Delphy qui en signe la préface en cliquant ici.

Intérêt croissant pour les études féministes, même chez les hommes : la grève de 2012 y est pour quelque chose, selon Sandrine Ricci


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Est-ce la conséquence des mouvements #AgressionsNonDenoncees et #MoiAussi? Est-ce dû au retentissement mondial de l’affaire Weinstein? Ou peut-être le fait de la grève étudiante de 2012? Quoi qu’il en soit, les études féministes sont plus populaires que jamais, et même auprès des hommes. Selon une compilation du Devoir, les demandes d’admission et les inscriptions dans la plupart des programmes d’études féministes des diverses universités sont à la hausse depuis plusieurs années et promettent de croître encore cette année. Parfois, elles passent même du simple au double. C’est le cas à l’UQAM, où il y avait 58 inscrits au certificat en études féministes à l’hiver 2013 et 121 à l’hiver 2018, soit cinq ans plus tard.

Sandrine Ricci participe au 1er Devoir de débattre : Violences à caractère sexuel sur les campus : la loi 151 va-t-elle assez loin?


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Le Devoir vous invite à son premier Devoir de débattre de l’année 2018, le 22 mars, à 18h, à la Salle Marie Gérin-Lajoie: Violences à caractère sexuel sur les campus: la loi 151 va-t-elle assez loin? Que pensent les diverses parties concernées de cette loi? Les mesures prévues sont-elles adéquates? Permettront-elles d’assurer aux victimes le soutien et le suivi nécessaires? Participantes: • Rachel Chagnon, professeure au département des sciences juridiques de l’UQAM, et directrice de l’Institut de recherches et d’études féministes • Hélène David, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Condition féminine • Mélanie Lemay, cofondatrice de Québec contre les violences sexuelles • Jessica Nadeau, journaliste au Devoir • Sandrine Ricci, chargée de cours, sociologue, membre de l’équipe ESSIMU (UQAM) et coordonnatrice du réseau québécois en études féministes.

L’émission Combattre la violence à caractère sexuel en milieu universitaire au canal Savoir avec Sandrine Ricci


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Le canal Savoir diffuse une émission sur le thème Combattre la violence à caractère sexuel en milieu universitaire les 6 (à 9h30), 7 (à minuit), 8 (à 1h), 9 (à 14h30) et 10 février (à 5h). Comment peut-on définir la violence à caractère sexuel? Sous quelle forme la retrouve-t-on? Quelles sont les définitions juridiques, et bien sûr les recours possibles? Quel est le portrait du milieu universitaire québécois en la matière? Comment ça se passe dans les équipes sportives ou lors d’initiations? Et bien sûr, quelles sont les pistes de solutions et les initiatives en place ou à réfléchir pour faire en sorte que ces comportements indésirables se produisent de moins en moins souvent?

«Inconduite» : l’euphémisme dans l’ombre de #MoiAussi, fait valoir Sandrine Ricci


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Commettre une agression sexuelle n’est pas «mal se conduire», il s’agit d’un acte criminel. Dans le sillage du mouvement de dénonciation #MoiAussi, plusieurs invitent à nommer plus précisément la violence sexuelle. Si «féminisme» a été élu mot de l’année 2017 par le dictionnaire américain Merriam-Webster, l’expression «inconduite sexuelle» pourrait facilement remporter un prix citron, si l’on en croit la chargée de cours et sociologue Sandrine Ricci. Le mot est défini par plusieurs dictionnaires par «mauvaise conduite», ou même «écarts» et «dévergondage». «“Inconduite” est un terme qui participe de l’euphémisation des violences sexuelles», affirme Mme Ricci, dans un texte du Devoir.

Le mouvement #MeToo se préparait depuis cinq ans, selon Sandrine Ricci


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En premier, il y a eu le reportage du New York Times au début du mois d’octobre dans lequel des femmes racontaient comment elles ont été harcelées et agressées sexuellement par le producteur américain Harvey Weinstein. Puis, dix jours plus tard sur Twitter, il y a eu cet appel de l’actrice Alyssa Milano qui demandait à toutes les victimes de dénoncer ce genre crime. S’en est suivi une déferlante médiatique qui a touché toute la planète avec le mouvement #MeToo et ses nombreux dérivés. Analyse d’un phénomène qui aura marqué l’année 2017. Pour la sociologue et chargée de cours Sandrine Ricci, le mouvement #MeToo se préparait depuis cinq ans environ.

Sandrine Ricci commente le projet de la loi n° 151 devant la Commission de la culture et de l’éducation


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La chargée de cours Sandrine Ricci était à l’Assemblée nationale le 22 novembre pour commenter devant la Commission de la culture et de l’éducation le projet de la loi n° 151, visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur, avec Geneviève Paquette, une autre chercheure de l’enquête ESSIMU.

Visionner la vidéo.

Sandrine Ricci participe au dévoilement des résultats de l’enquête ESSIMU pour l’UQAM


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Le rapport «Violences sexuelles en milieu universitaire – Résultats de l’enquête ESSIMU pour l’Université du Québec à Montréal» a été dévoilé le 28 septembre. À l’UQAM, 665 personnes parmi les 3 379 qui ont participé à l’enquête ESSIMU rapportent avoir fait l’objet de harcèlement sexuel durant l’année précédant le sondage. Parmi les personnes interrogées, 270 disent avoir subi des comportements sexuels non désirés, incluant des agressions sexuelles. Enfin, une personne sur trois déclare avoir vécu au moins une forme de violence sexuelle depuis son arrivée à l’Université. L’étude a documenté au moyen d’un questionnaire en ligne les manifestations de violences sexuelles dans six universités québécoises francophones, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Lancement du nouveau rapport Violences sexuelles en milieu universitaire – Résultats de l’enquête ESSIMU pour l’UQAM, le 28 septembre


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Le nouveau rapport Violences sexuelles en milieu universitaire – Résultats de l’enquête ESSIMU pour l’Université du Québec à Montréal sera lancé le jeudi 28 septembre dans le cadre d’un 5 à 7 au Salon Orange, 4e étage du Centre Pierre-Péladeau, 300, boul. De Maisonneuve Est. Cette publication livre des résultats inédits et propose une série de recommandations dans le contexte spécifique de l’UQAM. Réalisée au cours de l’hiver 2016, l’enquête Sexualité, Sécurité et Interactions en Milieu Universitaire (ESSIMU) s’inscrit dans une recherche plus large menée dans six universités québécoises, qui établit un portrait des situations de violences sexuelles en milieu universitaire.

Sandrine Ricci commente la nouvelle stratégie gouvernementale pour prévenir et contrer les violences sexuelles


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La chargée de cours et doctorante en sociologie Sandrine Ricci, qui faisait partie de l’équipe de recherche ESSIMU, accueille avec satisfaction la nouvelle stratégie gouvernementale pour prévenir et contrer les violences sexuelles en enseignement supérieur. «On sent de la part de la ministre David une volonté d’agir, et d’agir rapidement, dit-elle. Cette stratégie tient compte, dans l’ensemble, des propositions émises lors des journées de réflexion organisées par la ministre à l’hiver 2017. Je me réjouis aussi d’y retrouver plusieurs éléments qui étaient contenus dans le rapport d’enquête ESSIMU», a-t-elle dit à Actualités UQAM. La chargée de cours considère toutefois que la ministre a été plutôt floue sur le code de conduite dont devraient se doter les établissements.

Sandrine Ricci a invité les femmes à écrire de nouvelles notices pour rééquilibrer le portrait social relayé par Wikipédia


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Le Réseau québécois en études féministes (RéQEF), en collaboration avec la bibliothèque de l’UQAM, a invité les femmes, le 8 mars, à écrire de nouvelles notices pour rééquilibrer le portrait social relayé par Wikipédia. Il suggère à cette fin une liste d’environ 300 noms de femmes québécoises issues du monde des arts sur laquelle il conviendrait de se pencher. Sandrine Ricci, chargée de cours et coordonnatrice du RéQEF, observe, chiffres à l’appui, que les contributions sur Wikipédia sont dans l’immense majorité le fait d’hommes. Ce qui n’est pas sans expliquer, dit-elle, que les actrices pornographiques sont méticuleusement référencées par plus de 1000 contributeurs.

Sandrine Ricci suscite et alimente une discussion sur la culture du viol dans une instance régionale de la FTQ


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La chargée de cours Sandrine Ricci a fait une présentation intitulée Reconnaître et contrer la culture du viol lors de l’assemblée générale du 13 décembre du Conseil régional du Montréal métropolitain de la FTQ. Son excellente présentation a permis de déboulonner plusieurs préjugés, qui perpétuent notre culture sexiste et inégalitaire et qui nourrissent par le fait même la culture du viol. Les personnes participantes à l’assemblée générale ont particulièrement apprécié son intervention et la discussion qui s’en est suivie. Le projet doctoral de Sandrine Ricci porte sur la culture du viol et elle fait partie de l’équipe ESSIMU qui publiera en janvier son rapport de recherche sur la violence sexuelle en milieu universitaire.

Sandrine Ricci critique la consultation sur les violences sexuelles


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Plusieurs intervenants jugent «précipitée» la démarche de consultation sur les violences sexuelles du ministère de l’Enseignement supérieur, annoncée le 17 novembre, qui demande aux universités et aux cégeps d’avoir consulté leur communauté et déposé un bilan pour le 6 janvier. En réponse à cette demande, l’Université du Québec à Montréal (UQAM) a incité lundi ses étudiants et les autres membres de sa communauté à remplir un sondage en ligne. «L’échéance fixée par la ministre pour compiler les résultats étant très serrée, vous êtes invités à remplir ce questionnaire au plus tard le 14 décembre 2016», peut-on lire dans le courriel de l’université.

Agressions sexuelles en milieu universitaire : Sandrine Ricci commente la sortie de Christy Clark


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La chargée de cours Sandrine Ricci commente, à l’antenne de Radio-Canada, la lettre ouverte publiée dans le Vancouver Sun par la première ministre de la Colombie-Britannique, Christy Clark, dévoilant des blessures du passé et brisant le silence pour forcer les universités à agir en matière d’agressions.

Sandrine Ricci relie l’exploitation sexuelle à la pauvreté et aux inégalités sociales


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Lorsque nous parviennent des nouvelles alarmantes mettant en lumière le recrutement de jeunes fugueuses dans l’industrie du sexe ou encore l’exploitation sexuelle de femmes migrantes dans des salons de massage par de vastes réseaux de traite humaine, on se demande comment de telles situations s’avèrent possibles dans notre société dite avancée et ce qu’on devrait faire pour les contrer. Dans un texte publié par La Presse+, la chargée de cours en Sociologie et chercheure à l’Institut de recherche et d’études féministes, Sandrine Ricci, insiste sur l’idée que la lutte contre l’exploitation sexuelle passe par la lutte contre la pauvreté et les inégalités sociales et qu’on peut ainsi concevoir le projet de loi 70 comme un frein à la lutte contre l’exploitation sexuelle.

La violence sexuelle, un fléau à l’université : une étude québécoise révèle qu’une personne sur trois en est victime


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Une personne sur trois a été victime de violence sexuelle depuis son arrivée à l’université, révèle une enquête inédite menée par un groupe de chercheuses sur six campus du Québec. Et «la très forte majorité» de ces actes n’ont jamais été dénoncés. «Les canaux institutionnels qu’on nous invite à investir pour porter plainte ne fonctionnent pas, les gens n’y vont pas», constate la chercheuse et chargée de cours Sandrine Ricci, qui a présenté les premiers résultats de l’enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU) au congrès de l’Acfas mardi.

Lire la suite du texte du Devoir.

Colloque Enquête ESSIMU : portrait des violences sexuelles en milieu universitaire au Québec


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Le colloque Enquête ESSIMU : portrait des violences sexuelles en milieu universitaire au Québec, le mardi 10 mai de 13 h à 17 h, dans le cadre du 84e Congrès de l’ACFAS, sera l’occasion de diffuser les premiers résultats de l’enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU), menée à l’hiver 2016. Il s’agit d’une recherche portant sur les violences sexuelles en milieu universitaire à laquelle collaborent des chercheures de six universités québécoises, dont la chargée de cours Sandrine Ricci. Partant d’une définition large de la violence sexuelle, le regard se porte sur différents types de manifestations telles que : harcèlement sexuel, agression sexuelle, exhibitionnisme, voyeurisme, cyberharcèlement, attouchement sexuel non désiré, menace de viol, pression ou coercition sexuelle.

Conférence de Sandrine Ricci sur les agressions à caractère sexuel en milieu universitaire le 16 mars


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La conférence de Sandrine Ricci, chargée de cours (sociologie et IREF) et co-chercheure de l’Équipe ESSIMU, intitulée De l’indignation à la mobilisation: un projet de recherche sur les agressions à caractère sexuel en milieu universitaire se tiendra le mercredi 16 mars, à 13 h, au lieu social du Syndicat, local A-R540. Un lunch sera servi à compter de 12h30. L’objet de la rencontre est de présenter le projet ESSIMU (Enquête sexualité sécurité interactions en milieu universitaire), une initiative pan-universitaire initiée à l’UQAM, qui vise à établir un portrait qualitatif et quantitatif de la situation en matière de violence à caractère sexuel en milieu universitaire.

Recherche sur les situations de harcèlement et de violence à caractère sexuel en milieu universitaire


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La collecte de données se poursuit encore quelques semaines pour le projet ESSIMU, une recherche sur les situations de harcèlement et de violence à caractère sexuel en milieu universitaire, et la participation des personnes chargées de cours (mais aussi étudiantes et employées) est cruciale. Il n’est pas nécessaire d’avoir vécu personnellement ces situations ou d’en avoir été témoin pour répondre. L’enjeu est la participation d’un grand nombre de personnes dans les six universités québécoises impliquées. Il suffit de répondre à un questionnaire en ligne, portant sur votre perception ou vos expériences de harcèlement et des violences sexuelles en contexte universitaire (durée moyenne variant de 15 à 20 minutes).

Sandrine Ricci publie des textes dans Relations et Sexuality Oppression and Human Rights


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La chargée de cours en sociologie Sandrine Ricci vient de publier une analyse de la position d’Amnistie sur la prostitution dans la section Actualités du numéro de décembre de la revue Relations. Un autre de ses textes, sur la traite prostitutionnelle, vient de paraître dans un livre, Sexuality Oppression and Human Rights, sur les résultats d’un séminaire tenu à Oxford en 2014.

Sandrine Ricci publie Avant de tuer les femmes, vous devez les violer ! Rwanda  : rapports de sexe et génocide des tutsi


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La doctorante et chargée de cours en sociologie Sandrine Ricci vient de publier Avant de tuer les femmes, vous devez les violer ! Rwanda  : rapports de sexe et génocide des tutsi dans la collection Nouvelles Questions féministes aux Éditions Syllepse et distribué par Sofédis\Sodis. Cet ouvrage s’intéresse aux propos et aux expériences de Rwandaises «réchappées de l’enfer», avant, pendant et après les massacres de 1994, ainsi qu’aux différents enjeux de leur parole mémorielle à l’heure de la réconciliation, au Rwanda et en situation d’exil au Québec.

Sandrine Ricci est conférencière dans un colloque sur le Rwanda


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Sandrine Ricci, doctorante en sociologie, chargée de cours à l’Université du Québec à Montréal, coordonnatrice du Réseau québécois en études féministes (RéQEF), présente une conférence portant sur les Violences sexuelles et construction sociale de l’Ennemi : Rwanda 1994 dans le cadre du colloque Femmes, rapports de sexe et génocide des Tutsi (Rwanda 1994-2014) qui se tiendra ce vendredi 4 avril à l’UQAM en matinée. Elle y présentera certainement les linéaments de l’essai qu’elle rédige et portant sur la parole mémorielle de rescapées du génocide des Tutsi du Rwanda.