Sandrine Ricci relie l’exploitation sexuelle à la pauvreté et aux inégalités sociales


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Lorsque nous parviennent des nouvelles alarmantes mettant en lumière le recrutement de jeunes fugueuses dans l’industrie du sexe ou encore l’exploitation sexuelle de femmes migrantes dans des salons de massage par de vastes réseaux de traite humaine, on se demande comment de telles situations s’avèrent possibles dans notre société dite avancée et ce qu’on devrait faire pour les contrer. Dans un texte publié par La Presse+, la chargée de cours en Sociologie et chercheure à l’Institut de recherche et d’études féministes, Sandrine Ricci, insiste sur l’idée que la lutte contre l’exploitation sexuelle passe par la lutte contre la pauvreté et les inégalités sociales et qu’on peut ainsi concevoir le projet de loi 70 comme un frein à la lutte contre l’exploitation sexuelle.