Sandrine Ricci participe au 1er Devoir de débattre : Violences à caractère sexuel sur les campus : la loi 151 va-t-elle assez loin?


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Le Devoir vous invite à son premier Devoir de débattre de l’année 2018, le 22 mars, à 18h, à la Salle Marie Gérin-Lajoie: Violences à caractère sexuel sur les campus: la loi 151 va-t-elle assez loin? Que pensent les diverses parties concernées de cette loi? Les mesures prévues sont-elles adéquates? Permettront-elles d’assurer aux victimes le soutien et le suivi nécessaires? Participantes: • Rachel Chagnon, professeure au département des sciences juridiques de l’UQAM, et directrice de l’Institut de recherches et d’études féministes • Hélène David, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Condition féminine • Mélanie Lemay, cofondatrice de Québec contre les violences sexuelles • Jessica Nadeau, journaliste au Devoir • Sandrine Ricci, chargée de cours, sociologue, membre de l’équipe ESSIMU (UQAM) et coordonnatrice du réseau québécois en études féministes.

La loi visant à contrer les violences sexuelles aux cycles supérieurs : un bon outil selon plusieurs


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L’Assemblée nationale adoptait à l’unanimité, le 8 décembre, le projet de loi 151 visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur. Dans le cadre de sa série d’articles sur les obstacles à l’éducation des adultes rencontrées par les femmes, l’ICÉA jette un regard sur cette nouvelle loi.

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Le SCCUQ adopte une résolution concernant les violences à caractère sexuel dans le monde universitaire


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Le conseil syndical du SCCUQ du 22 novembre a adopté une résolution concernant les violences à caractère sexuel dans le monde universitaire. Le conseil syndical du SCCUQ : • se prononce contre les violences à caractère sexuel; • affirme qu’il est inapproprié d’entretenir un rapport intime (amoureux ou sexuel) avec une étudiante ou un étudiant dans le cadre d’une relation pédagogique ou d’autorité. Toute relation préexistante doit être déclarée au comité de prévention; • exige de l’Université qu’elle adopte rapidement le projet de politique 16 sur la prévention et la répression des violences à caractère sexuel; • demande à ce que la politique 16 vise à combattre et à réprimer les violences à caractère sexuel dans les différents groupes de la communauté uqamienne; • mandate le Comité exécutif de créer un comité syndical chargé de faire de la prévention et de la sensibilisation auprès des membres du Syndicat quant aux violences à caractère sexuel; et • mandate le Comité exécutif d’élaborer une politique de prévention et de répression des violences à caractère sexuel (incluant une procédure) propre au SCCUQ advenant que la politique 16 lui soit inapplicable.

Violences à caractère sexuel : le projet de loi no 151 mérite d’être renforcé, selon la FTQ


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La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) accueille favorablement le projet de loi no 151, mais à son avis, il mérite d’être renforcé à plusieurs égards. Par exemple, la FTQ demande que le processus d’élaboration de la politique visant à lutter contre les violences à caractère sexuel inclue tous les intervenants du milieu. «Le projet de loi est plutôt timide en ce qui a trait à la concertation. Les organisations syndicales sont aussi préoccupées par les violences à caractère sexuel et elles doivent être associées à toute la démarche», déclare le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux. La gestion des plaintes par la direction de certains établissements est aussi une source de préoccupation.

Sandrine Ricci commente le projet de la loi n° 151 devant la Commission de la culture et de l’éducation


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La chargée de cours Sandrine Ricci était à l’Assemblée nationale le 22 novembre pour commenter devant la Commission de la culture et de l’éducation le projet de la loi n° 151, visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur, avec Geneviève Paquette, une autre chercheure de l’enquête ESSIMU.

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Projet de loi 151 : pour lutter efficacement contre les violences à caractère sexuel, des conditions s’imposent


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La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) participe jeudi à la Commission de la culture et de l’éducation traitant du projet de loi 151 visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur. La FNEEQ–CSN prend part à ces consultations afin d’apporter sa contribution et veiller à ce que certaines conditions soient respectées. Aucun changement ne pourra véritablement s’opérer sans des ressources financières et humaines adéquates, récurrentes, stables et indexées. Bien que ce soit un pas dans la bonne direction, le financement de 23 millions $ sur cinq ans sera rapidement insuffisant pour permettre aux dix-huit universités et soixante-six établissements d’enseignement collégial publics et privés pour élaborer, en collaboration avec les étudiants, les dirigeants et les membres du personnel, une politique pour prévenir et combattre les violences à caractère sexuel.

Projet de loi 151 : une vision collective est nécessaire pour combattre les violences sexuelles


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La CSN salue le projet de loi 151 sur les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur, dont les consultations s’amorcent, et estime que ses objectifs s’inscrivent dans une suite d’actions nécessaires pour combattre la culture du viol et ses nombreuses conséquences pour les victimes. «La violence fait partie du quotidien de bien des femmes, déplore la vice-présidente de la CSN, Véronique De Sève. Il faut briser le silence, faire tomber l’impunité dont bénéficient les agresseurs, agir sur les mentalités et présenter une culture d’égalité entre les femmes et les hommes.» Pour la porte-parole syndicale, c’est en construisant une vision collective des interventions que nous réussirons à prévenir et à lutter contre les violences à caractère sexuel.

Pas de relation prof-étudiant, plaident deux regroupements étudiants


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À l’instar des syndicats d’enseignement, des groupes étudiants souhaitent que le projet de loi visant à prévenir les violences à caractère sexuel dans les cégeps et universités interdise les liaisons entre professeurs et étudiants. Les auditions publiques concernant le projet de loi 151 doivent s’entamer jeudi à l’Assemblée nationale avec la présentation des arguments de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) et de l’Union étudiante du Québec (UEQ). Les deux organisations sont formelles: les relations entre un enseignant et un étudiant doivent être «proscrites» et non pas être «encadrées», comme le propose la pièce législative déposée au début du mois par la ministre de l’Éducation supérieure, Hélène David.

Éducation supérieure : la FNEEQ au front de la lutte contre les violences à caractère sexuel


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La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) salue le projet de loi annoncé par la ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, qui vise à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur. Bien que la FNEEQ-CSN considère que ce projet de loi contribuera positivement à faire de nos établissements d’enseignement des milieux de vie sains et sécuritaires, elle restera vigilante sur son adoption et, éventuellement, son application.

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L’UQAM accompagne les victimes de violences sexuelles voulant porter plainte


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Une intervenante sociale du Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) Trêve pour Elles accompagne depuis septembre les étudiants et les employés de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) victimes de violences à caractère sexuel désirant porter plainte. L’intervenante sociale Annie Girard a depuis septembre son propre bureau entre les murs de l’UQAM. Trois jours par semaine, elle offre du soutien téléphonique et en personne aux victimes de violences à caractère sexuel. Mme Girard donne également des ateliers de sensibilisation et des formations autant à la direction, aux agents de sécurité qu’aux étudiants en tant que tels et offre un accompagnement «tout au long du processus» aux victimes désirant porter plainte auprès du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ou auprès des autorités universitaires.

Violences à caractère sexuel : les initiations sont la mauvaise cible, met en garde Sandrine Ricci


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Lorsqu’elle en viendra à adopter une loi-cadre pour contrer les violences à caractère sexuel dans les milieux universitaires, la ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, aura intérêt à ne pas se tromper de cible. L’étude vient en effet de démontrer que les fameuses initiations sur les campus, qui ont fait les manchettes l’automne dernier, ne comptent que pour 12% des contextes dans lesquels surviennent les agressions, la coercition et le harcèlement sexuel. C’est plutôt au cours d’activités sociales, fêtes, 5 à 7 et autres événements du genre (sauf les initiations) qui se déroulent en lien avec l’université qu’on observe le plus de cas de violences sexuelles (47,4%), indique le rapport Enquête, sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU).

Les propositions de la CSQ pour réduire les violences à caractère sexuel dans les cégeps


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Le Comité de la condition des femmes de la FEC-CSQ a présenté jeudi à Québec un avis produit dans le cadre de la consultation ministérielle sur les violences à caractère sexuel sur les campus et dans les collèges du Québec. Rappelons que cinq journées de réflexion ont été annoncées par la ministre de l’Enseignement supérieur, Mme Hélène David, l’automne dernier, à la suite des événements qui se sont déroulés à l’Université Laval. «Comme les violences sexuelles trouvent leur origine dans une société encore patriarcale et dans la construction sociale des rapports de sexe, c’est toute la socialisation des filles et des garçons qu’il faut changer, d’où l’urgence par exemple de mettre en place, au primaire et au secondaire, un cours d’éducation sexuelle qui fasse la promotion de rapports non sexistes et non hétérosexistes», de déclarer Silvie Lemelin, vice-présidente de la FEC-CSQ et responsable du dossier de la condition des femmes.

Une loi-cadre pour contrer la violence sexuelle sur les campus d’ici la prochaine rentrée scolaire


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La ministre Hélène David espère adopter, d’ici la prochaine rentrée scolaire, une loi-cadre pour contrer les violences à caractère sexuel sur les campus, collégiaux et universitaires. Elle souhaite ainsi éviter les débordements souvent associés aux activités d’initiations. C’est ce qu’a annoncé la ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, en marge de la première journée de réflexion sur les violences à caractère sexuel qui se tenait mardi à Chicoutimi. «Je veux que, le plus rapidement possible, on dépose ce projet de loi-cadre, répond la ministre. Je prévois la rentrée prochaine ; je veux que toutes les activités d’accueil et d’intégration, qu’on appelle aussi initiations, se passent bien.

Le SCCUQ appuie la campagne Sans oui, c’est non!


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Le SCCUQ appuie la campagne Sans oui, c’est non! qui vise la prévention des violences à caractère sexuel, dont le harcèlement sexuel et les agressions sexuelles auprès des communautés universitaires. Au cœur de cette campagne: le consentement sexuel, des repères et des ressources. Sans oui, c’est non! a pour objectif de sensibiliser la communauté universitaire à l’importance du consentement, et aux signes qui y sont associés; à outiller les personnes à réagir adéquatement lorsque témoins de violence sexuelle et à publiciser les ressources pour les victimes de violence à caractère sexuel. La campagne est une initiative conjointe des établissements universitaires, dont l’UQAM, et des associations étudiantes partenaires.