L’UQAM fait le point sur une agression sexuelle survenue sur le campus le 14 avril


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À la suite de la publication, mercredi, d’un article de la Presse Canadienne sur un événement regrettable survenu le 14 avril sur le campus de l’UQAM, la Direction tient à faire le point et à rassurer la communauté universitaire. Rappelons les faits: alors qu’elle étudiait dans une salle de classe du pavillon Paul-Gérin-Lajoie samedi matin, une étudiante a été victime d’une agression sexuelle de la part d’un individu ne faisant pas partie de la communauté universitaire. Selon l’article, cet individu souffre de troubles psychologiques et était sous l’effet de narcotiques.

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«Inconduite» : l’euphémisme dans l’ombre de #MoiAussi, fait valoir Sandrine Ricci


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Commettre une agression sexuelle n’est pas «mal se conduire», il s’agit d’un acte criminel. Dans le sillage du mouvement de dénonciation #MoiAussi, plusieurs invitent à nommer plus précisément la violence sexuelle. Si «féminisme» a été élu mot de l’année 2017 par le dictionnaire américain Merriam-Webster, l’expression «inconduite sexuelle» pourrait facilement remporter un prix citron, si l’on en croit la chargée de cours et sociologue Sandrine Ricci. Le mot est défini par plusieurs dictionnaires par «mauvaise conduite», ou même «écarts» et «dévergondage». «“Inconduite” est un terme qui participe de l’euphémisation des violences sexuelles», affirme Mme Ricci, dans un texte du Devoir.

Consentement à l’université : de plus en plus de formations se donnent sur les violences sexuelles


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Qu’est-ce que le consentement sexuel? Comment agir si quelqu’un me confie avoir été victime d’agression sexuelle? De plus en plus de gens sur les campus universitaires veulent des formations pour répondre à ces questions. «Je pense que la dernière fois qu’on a eu [un tel engouement pour le sujet des violences sexuelles], c’était quand Nathalie Simard avait brisé le silence», s’exclame Mélanie Sarroino, agente de liaison pour le Regroupement des Centres d’aide et de lutte contre les agressions sexuelles (RCALACS). Au cours de l’année 2016-2017, la demande pour des formations sur les violences sexuelles en milieu universitaire a explosé. Au total, les centres d’aide membres du regroupement ont donné 1992 ateliers sur les campus.

Mise en garde contre les surdoses à l’approche de la rentrée scolaire


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Santé publique Ottawa veut sensibiliser les étudiants des risques liés à la consommation de drogues et d’alcool, à l’approche de la rentrée scolaire des étudiants universitaires et collégiaux. L’organisme a fait savoir, par voie de communiqué, que «l’excès d’alcool et de drogues peut entraîner des blessures graves et des actes de violence, ou même une overdose ou une intoxication alcoolique dangereuse». D’ailleurs, les hôpitaux de la capitale disent noter une hausse des cas liés à une agression sexuelle lors des activités de la semaine d’accueil des collèges et des universités.

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Caroline Lamarre demande un décret au gouvernement pour destituer le maire de Baie-Trinité


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Présente à Québec pour participer au congrès du SCFP-Québec, Caroline Lamarre s’est adressé aux médias pour témoigner de la grande injustice qu’elle a subie. Mme Lamarre est cette employée de la municipalité de Baie-Trinité qui a été agressée sexuellement par le maire Denis Lejeune, reconnu coupable. «Moi aussi j’en ai, des droits! En tant que victime, mes droits sont constamment bafoués!, a déclaré Caroline Lamarre. Je demande un décret au gouvernement Couillard pour destituer ce maire. J’ai été victime d’agression sexuelle et ensuite, j’ai subi une deuxième injustice en ne pouvant pas retourner travailler, tandis que mon agresseur, lui, est retourné sans problème.

Pour dénoncer le harcèlement et les violences sexuelles faites aux femmes locataires


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Bien que nous parlions aujourd’hui davantage de violence conjugale et d’agression sexuelle, entre autres, récemment, en lien avec la mouvance #agressionnondénoncée, plusieurs enjeux restent invisibles, dont les violences sexuelles faites aux femmes dans le logement. Entrées par effraction, tentatives d’extorsion ou chantage, harcèlement, menaces, agressions sexuelles: les femmes se retrouvent trop souvent prisonnières de l’endroit qui devrait être, au contraire, leur havre de paix. Des rapports de pouvoir inégalitaires qui s’établissent entre les propriétaires, gestionnaires ou concierges et les locataires ou chambreuses – auxquels s’ajoutent les inégalités entre les sexes – enchaînent, emprisonnent et emmurent les femmes dans un cercle de violence dévastateur, duquel il est difficile de se sortir.

Une personne sur quatre victime de violence sexuelle sur les campus du Québec


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Une personne sur quatre a subi une forme de violence sexuelle au cours de la dernière année sur six campus du Québec, dont l’Université de Sherbrooke. Ce constat a été rendu public lors du dévoilement des premiers résultats d’une vaste étude sur la sexualité, la sécurité et les interactions en milieu universitaire. Pour en arriver à cette conclusion, les chercheuses ont compilé les réponses de 8733 répondants, incluant certains membres du personnel. Chacun des répondants a rempli anonymement des questionnaires en ligne l’hiver dernier. Le quart des répondants affirme avoir été victime d’une forme de violence sexuelle, de l’harcèlement jusqu’à l’agression sexuelle.

Prévenir les agressions sexuelles sur les campus estriens


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Plusieurs activités auront lieu en novembre, sur les campus sherbrookois, dans le but de prévenir les agressions à caractère sexuel. La programmation de ce mois de sensibilisation contre les agressions à caractère sexuel dans les campus postsecondaires estriens est la première initiative visible d’un nouveau groupe de travail consacré à cette problématique, annonce la Fédération étudiante de l’Université de Sherbrooke.

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La lutte des étudiants contre la violence sexuelle se précise en Ontario


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Le gouvernement ontarien présentera vendredi son plan d’action plurisectoriel sur l’agression sexuelle et la Fédération canadienne des étudiant-e-s saura alors si le gouvernement a tenu compte de ses recommandations à ce sujet. Les étudiants exigent d’être consultés pour l’adoption de politiques mises en place afin que les victimes connaissent les options à leur disposition. Ils veulent aussi que des mécanismes soient créés pour rendre les collèges et les universités responsables de l’application de ces politiques et que des fonds publics soient dégagés pour financer des systèmes de soutien et d’éducation relative à la violence sexuelle. Les associations étudiantes québécoises voient d’un bon œil les recommandations de leurs collègues ontariens.

Dénonciations d’agressions sexuelles : l’UQAM dans la tourmente


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Faut-il appuyer ou condamner les dénonciations sous le couvert de l’anonymat de présumés agresseurs sexuels sur la place publique et les réseaux sociaux? À l’Université du Québec à Montréal, où la question divise les cercles féministes, le débat fait rage, alors que des professeurs ont vu leur porte de bureau entièrement placardée d’autocollants dénonçant la culture du viol.

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Se faire justice sur Facebook.

L’UQAM réprouve les actes d’intimidation à l’endroit de membres du corps professoral.

Culture du viol : l’Université d’Ottawa créera un groupe de travail


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Le recteur de l’Université d’Ottawa, Allan Rock, annonce la création d’un groupe de travail sur le respect et l’égalité. « L’Université d’Ottawa vit une période difficile », a d’abord affirmé le recteur. La présidente de la Fédération étudiante, Anne-Marie Roy, a récemment été la cible de commentaires dégradants à teneur sexuelle sur Facebook de la part de cinq jeunes hommes, dont quatre représentants étudiants. Et la direction de l’Université a suspendu l’équipe de hockey masculin des Gee Gees, à cause d’allégations d’agression sexuelle en groupe visant certains de ses joueurs.

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Un syndicat de l’Université d’Ottawa demande la mise sur pied d’un cours obligatoire pour tous ses étudiants sur le harcèlement et les agressions sexuelles.