La CSD s’oppose à la réforme d’aide sociale du gouvernement Couillard


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La CSD s’oppose fermement à la réforme de l’aide sociale prévue dans le projet de loi 70 du gouvernement Couillard. Cette réforme, par son programme Objectif Emploi, prévoit des coupes pouvant aller jusqu’à 200$ par mois pour les nouveaux demandeurs d’aide sociale qui refuseraient de participer à un programme de recherche d’emploi. Les jeunes, les femmes et les personnes immigrantes seraient les plus touchés par ces mesures. «Encore une fois, le gouvernement Couillard s’attaque aux plus démunis de notre société, aux gens qui se retrouvent plus fréquemment en position de précarité, de discrimination et de difficultés d’emploi. Ceux-ci seront forcés d’accepter n’importe quoi, à n’importe quelle condition ou presque, afin de ne pas subir les sanctions financières excessives imposées par cette réforme», s’est indigné le président de la CSD, Luc Vachon, lors de la manifestation contre la réforme d’aide sociale qui s’est tenue le dimanche 10 septembre devant les bureaux du ministère du Travail à Québec.

Manifestation pour la dignité des personnes assistées sociales le 10 mai


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La Coalition Objectif Dignité se joint au Front commun des personnes assistées sociales du Québec pour organiser une manifestation contre le projet de loi 70, pour que le chèque d’aide sociale réponde aux besoins de base et pour l’accès sans condition à l’aide de dernier recours le mercredi 10 mai à 13h, départ du 2515 rue Delisle, à Montréal (Métro Lionel-Groulx). Le projet de loi 70 et le programme Objectif emploi ont été adoptés en novembre dernier, mais ne sont pas encore appliqués. Il s’agit d’un recul majeur pour le droit des personnes à l’aide sociale. Une personne qui demande pour la première fois l’aide sociale devra suivre un «plan d’intégration» sous peine de voir son chèque coupé.

La pauvreté et l’arrogance


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On apprenait la semaine dernière, dans le cadre de la parution du Bilan-Faim 2016 de Moisson Montréal, que la fréquentation des banques alimentaires avait connu une hausse de 8% par rapport à 2015 dans la métropole, sur la Rive-Sud et à Laval. L’organisme ramasse puis distribue des dons alimentaires à des organismes communautaires de l’île de Montréal. En plus de cette augmentation de la demande, il souligne aussi que «le visage de la faim change»: alors que la clientèle des banques alimentaires était traditionnellement constituée de personnes en situation d’itinérance ou prestataires d’aide sociale, on observe de plus en plus de jeunes familles, d’étudiants et de travailleurs qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts et qui se voient dans l’obligation d’avoir recours à une aide alimentaire.

Adoption du projet de loi 70 : un recul majeur pour les droits des personnes assistées sociales


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Le gouvernement persiste et signe. Il lui aura fallu exactement un an, jour pour jour, pour imposer le projet de loi 70 à la société québécoise. Dorénavant, les personnes qui feront une première demande d’aide sociale devront obligatoirement participer au nouveau programme Objectif emploi et elles devront répondre à ses exigences d’une façon jugée satisfaisante. Sans cela, elles pourraient voir leur prestation retenue ou coupée d’un montant pouvant aller jusqu’à 224$. Il s’agit d’un recul majeur pour les droits des personnes assistées sociales. «Aujourd’hui, tout le Québec devrait avoir honte de ce gouvernement qui appauvrira des centaines, voire des milliers de prestataires, plaide Yann Tremblay-Marcotte, porte-parole de la Coalition Objectif Dignité.

Entente pour éviter l’adoption du projet de loi 70 sous le bâillon : le ministre Blais aurait tort de pavoiser


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Malgré l’entente récente entre le gouvernement du Québec et les partis d’opposition autour du projet de loi 70, le Collectif pour un Québec sans pauvreté refuse de baisser les bras. Il dénonce la lâcheté du gouvernement et son mépris pour la démocratie. Et il continuera de dénoncer le projet de loi tant que son aspect le plus odieux ne sera pas abandonné : les sanctions financières qui condamneront des centaines, voire des milliers de personnes à vivre avec une prestation mensuelle d’aide sociale d’à peine 399$ par mois.

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Projet de loi 70 : proposition de la Coalition Objectif Dignité pour un programme Objectif emploi au service des gens


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La Coalition Objectif Dignité soumet au ministre François Blais une proposition qui rendrait acceptable le programme Objectif emploi prévu par le projet de loi 70. «La dernière chose que nous voulons, c’est le statu quo», lance d’entrée de jeu le co-porte-parole de la Coalition, Serge Petitclerc. Le scénario proposé par la Coalition prévoit la réintroduction de la rencontre initiale entre la personne qui fait une demande d’aide sociale et unE agentE d’aide socioéconomique. Cette rencontre devrait notamment permettre à l’agentE de s’assurer que la demande a été bien remplie et de présenter les services offerts par le centre local d’emploi. Le scénario de la Coalition propose également d’annuler les coupes à la prestation de base en cas de non-participation au programme Objectif emploi et d’uniformiser le montant de l’allocation pour participation.

Le projet de loi sur l’aide sociale pourrait être «une catastrophe»


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Le projet de loi 70 sur l’aide sociale du gouvernement Couillard pourrait être une «catastrophe» pour de nombreux jeunes, affirment d’anciens prestataires, aujourd’hui réintégrés sur le marché du travail. «Si on m’avait forcée, au moment où j’avais le plus besoin d’aide, à aller travailler dans un emploi qui ne m’intéressait pas, je crois que j’aurais pu me suicider», affirme Camille. Camille et David, dont les noms ont été changés pour préserver leur anonymat, ont vécu des parcours difficiles. Dépression, consommation de drogues, itinérances, il s’agit du malheureux scénario qui a tissé la trame de vie de ces deux jeunes. À l’instar de nombreux Québécois qui ont surmonté de telles embûches, ceux-ci ont été prestataires de l’aide sociale.

Adoption du projet de loi 70 sous le bâillon : pourquoi Philippe Couillard en est-il rendu là?


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Le Collectif pour un Québec sans pauvreté est outré que le premier ministre Philippe Couillard menace de faire adopter le projet de loi 70 sous le bâillon. Rien ne justifie l’utilisation d’une mesure parlementaire aussi draconienne, d’autant plus que les modifications proposées à la loi d’aide sociale pourraient précipiter la dégradation des conditions de vie des personnes les plus vulnérables parmi les plus pauvres. Le premier ministre se plaint de l’attitude des partis d’opposition pour justifier l’éventuel recours au bâillon pour faire adopter le projet de loi 70. Le Collectif croit plutôt que la résistance des partis d’opposition est le reflet de l’opposition des organisations qui travaillent sur le terrain avec les personnes assistées sociales, des quelque 300 professeurs universitaires qui se sont prononcés le printemps dernier, d’institutions comme la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse et de plusieurs chroniqueurs influents.

Projet de loi sur l’aide sociale : Couillard brandit le bâillon


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Le gouvernement Couillard brandit la menace du bâillon pour faire adopter son projet de loi sur l’aide sociale. Le projet de loi 70 prévoit notamment de réduire les montants versés aux nouveaux prestataires aptes au travail qui refusent des mesures d’employabilité. Deux partis d’opposition, le Parti québécois (PQ) et Québec solidaire (QS), étirent les procédures à l’étape de l’étude article par article en commission parlementaire, après près de 100 heures de travaux. «On peut parler d’une obstruction claire», a accusé le premier ministre Philippe Couillard, mercredi, en marge du caucus des députés libéraux à Gatineau.

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Reprise des travaux parlementaires : non au projet de loi 70, oui à de vraies mesures de lutte à la pauvreté


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Profitant de la reprise de la Commission parlementaire sur le projet de loi 70, la Coalition Objectif Dignité veut rappeler au ministre François Blais que «623$, ça ne se coupe pas!». La Coalition exhorte le ministre à retirer son projet de réforme de l’aide sociale et à hausser les montants des prestations afin que les prestataires puissent répondre à l’ensemble de leurs besoins de base. Plus de 250 groupes syndicaux, féministes et communautaires ont signé la déclaration d’appui à la Coalition Objectif Dignité, laquelle rassemble une vingtaine de regroupements nationaux communautaires qui demandent notamment le retrait du projet de loi 70.

L’article 28 du projet de loi 70 et ses contradictions : un été pour les résoudre vers du mieux à l’aide sociale


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Alors qu’un tollé de protestations rendait de plus en plus intenables les modifications à l’aide sociale présentement à l’étude à l’article 28 du projet de loi 70, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale a tenu à «rétablir quelques faits», entre autres dans Le Devoir du 8 juin 2016. À la fin de cette session parlementaire, grâce au patient travail de quelques parlementaires de la Commission de l’économie et du travail qui ont réussi jusqu’à maintenant à empêcher l’irréparable, il lui reste plutôt à résoudre les contradictions entre offrir et contraindre qui existent dans cet inacceptable article 28.

Projet de loi 70 sur l’aide sociale : le ministre Blais veut rétablir quelques faits


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Le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, fait le point sur les diverses critiques apportées au projet de loi 70. «Il s’est dit beaucoup de choses sur le projet de loi 70 ces dernières semaines, et en particulier autour du programme Objectif emploi qui touche exclusivement les premiers demandeurs à l’aide sociale. Il est nécessaire de rétablir les faits en reprenant les principales accusations de ses détracteurs.»

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François Blais regrette ses propos sur l’«ignorance» des profs.

Sandrine Ricci relie l’exploitation sexuelle à la pauvreté et aux inégalités sociales


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Lorsque nous parviennent des nouvelles alarmantes mettant en lumière le recrutement de jeunes fugueuses dans l’industrie du sexe ou encore l’exploitation sexuelle de femmes migrantes dans des salons de massage par de vastes réseaux de traite humaine, on se demande comment de telles situations s’avèrent possibles dans notre société dite avancée et ce qu’on devrait faire pour les contrer. Dans un texte publié par La Presse+, la chargée de cours en Sociologie et chercheure à l’Institut de recherche et d’études féministes, Sandrine Ricci, insiste sur l’idée que la lutte contre l’exploitation sexuelle passe par la lutte contre la pauvreté et les inégalités sociales et qu’on peut ainsi concevoir le projet de loi 70 comme un frein à la lutte contre l’exploitation sexuelle.

Projet de loi 70 : les organismes d’action communautaire autonome ne sont pas des délateurs


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En plus de dénoncer l’orientation du gouvernement visant à pénaliser outrageusement une catégorie de personne s’inscrivant à l’aide sociale, l’application de la loi 70 placerait les organismes d’action communautaire autonome (ACA) dans une situation de délateur vis-à-vis les personnes devant participer, de façon obligatoire, aux programmes qui seraient mis en place par le gouvernement. En effet, les organismes acceptant de collaborer aux programmes prévus par le projet de loi 70 se retrouveraient dans l’obligation de rapporter les absences de la personne participant à l’un ou l’autre de ces programmes avec comme conséquence une coupure à leur chèque d’aide sociale.

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Réaction des centrales syndicales au projet de loi no 70 : quand le ministre Blais ignore ce que le professeur Blais a dit!


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Les centrales syndicales, CSD, CSN, CSQ et FTQ, réagissent avec stupeur aux propos du ministre Blais selon qui ceux qui demandent le retrait des mesures coercitives à l’encontre des premiers demandeurs d’aide sociale contenues dans son projet de loi no 70 font preuve d’un «petit peu d’ignorance», y compris les professeurs et chargés de cours universitaires. «Traiter d’ignorants les gens qui ne sont pas d’accord avec lui, ça frise le mépris», déclare la vice-présidente de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Véronique De Sève.

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Réforme à l’aide sociale : des personnalités publiques unissent leurs voix pour demander au premier ministre de retirer le projet de loi 70


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À l’occasion du Barbecue de la fin du mois, organisé par la Coalition Objectif Dignité, des personnalités publiques, dont Christian Vanasse, Michel Marc Bouchard, Claude Cousineau et Will Prosper, ont interpellé aujourd’hui le premier ministre Couillard. Celui-ci doit ramener à l’ordre son ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale et retirer le controversé projet de loi 70. Ces personnalités appuient la Coalition qui dénonce l’approche punitive du gouvernement. Plutôt que d’imposer des pénalités financières, le gouvernement devrait miser sur des mesures volontaires, adaptées et accessibles pour permettre aux personnes de sortir de la pauvreté et de la précarité.

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Plus de 250 enseignantes et enseignants d’université dénoncent la réforme de l’aide sociale


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Plus de 250 enseignantes et enseignants d’université pressent le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, de ne pas aller de l’avant avec le projet de loi 70 et, surtout, de ne pas imposer de pénalités aux prestataires de l’aide sociale qui refuseront de se plier à son nouveau programme d’insertion à l’emploi. «Je pense que c’est bien que, les universitaires, on nous entende un peu plus, lance l’économiste Sylvie Morel du département des relations industrielles de l’Université Laval. Aller dans cette direction-là, ça va à l’encontre de ce qu’on observe dans la recherche en matière de politiques publiques de l’emploi.

De 623 $ à 399 $ : le plancher de revenu érodé de l’aide sociale coupable


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Le 11 mai, en commission parlementaire, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale a fait connaître une partie de ses intentions réglementaires quant aux dispositions du projet de loi 70 qui viendront compliquer l’accès à l’aide sociale. Ce recul appréhendé défait le chemin parcouru vers une meilleure sécurité du revenu avec la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, tout en lui étant contraire en plusieurs points. Il reconduit aux propos de Gaston Miron, qui prennent dans cette situation un sens inattendu et criant: «Ça ne pourra pas toujours ne pas arriver. Nous entrerons là où nous sommes déjà.»

François Blais, les jeunes et l’effet libéral


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Il y a au Québec 25% des enfants qui se présentent en maternelle avec au moins une vulnérabilité face à ce que l’école exige d’eux. Près de 7% de nos tout-petits commencent leur première journée d’école non pas avec un, mais avec au moins trois types de vulnérabilité parmi les cinq suivantes: santé physique, compétences sociales, maturité affective, développement du langage, habiletés de communication. Et au premier rang de ces plus vulnérables: les garçons, les enfants de milieux défavorisés et de familles immigrantes. C’est dans ce premier petit bout de vie, entre 0 et 5 ans, qu’il faut investir avant de penser à punir, comme se prépare à le faire François Blais dans son projet de loi 70, les jeunes qui se retrouveront plus tard à l’aide de dernier recours faute d’avoir pu monter dans le train dès les premières années de leur vie.

Sébastien Proulx fait la leçon au professeur François Blais


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Les ministres Sébastien Proulx et François Blais préconisent une approche diamétralement opposée à l’égard des jeunes. D’un côté, M. Proulx joue la carte de la tolérance et de l’ouverture envers les jeunes qui quitteraient l’école avant 18 ans. De l’autre, M. Blais maintient la ligne dure avec les jeunes qui refuseraient de participer au programme Objectif emploi prévu dans le projet de loi 70. Le Collectif pour un Québec sans pauvreté croit que le premier devrait impérativement expliquer quelques faits au deuxième. «Nous ne comprenons pas l’approche différente que fait valoir le gouvernement dans ces deux dossiers pourtant semblables. Faut-il comprendre que, pour le gouvernement, il y aurait de bons jeunes et de mauvais jeunes?»

Projet de loi 70 : une «meilleure adéquation entre la formation et l’emploi», vraiment ? Et pour qui ?


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La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) dénonce les pouvoirs accrus qui pourraient être confiés à la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT) dans le cadre du projet de loi 70 visant une «meilleure adéquation entre la formation et l’emploi». Il est en effet prévu que les ministres de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur rendent des comptes sur la mise en œuvre de recommandations faites par la CPMT auprès du secrétaire général de la Commission qui relève du ministère de l’Emploi. Ceci est d’autant plus inquiétant que le gouvernement a adopté le discours et la vision des employeurs sur la nécessité d’une adéquation entre la formation et les besoins des entreprises.

Lutter contre la pauvreté au temps des préjugés


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Monsieur le premier ministre,

N’y aurait-il pas, au sein de votre gouvernement, des ministres qui chaussent des souliers dont la pointure est trop grande pour eux? On pense évidemment tout de suite à la ministre de la Condition féminine, qui dit ne pas être féministe, mais aussi au ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, qui n’hésite pas à recourir à des préjugés envers les personnes assistées sociales pour justifier son controversé projet de loi 70.

Lire la suite de la lettre du Collectif pour un Québec sans pauvreté.

L’aide sociale c’est déjà trop bas, ça se coupe pas : manifestation le 21 mars


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La coalition Objectif dignité, formée d’une vingtaine d’associations et regroupements nationaux, organise une manifestation contre la réforme de l’aide sociale devant les bureaux montréalais de la ministre Anglade le 21 mars. Le rassemblement est prévu à 10h45 devant le CÉDA (2515, rue Delisle, métro Lionel Groulx). La coalition Objectif dignité revendique que le MTESS retire le Projet de loi 70; renonce à mettre en place des mesures d’emploi obligatoires assorties de pénalités financières pour les personnes assistées sociales; retire les coupes à l’aide sociale adoptées en 2013 et en 2015; et bonifie les prestations d’aide sociale et de solidarité sociale pour tous et toutes.

La réforme de l’aide sociale mènera des jeunes à l’itinérance, estime le RSIQ


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Plusieurs jeunes seront condamnés à l’itinérance advenant la mise en branle de la réforme de l’aide sociale du gouvernement libéral, appréhende le coordonnateur du Réseau Solidarité Itinérance du Québec (RSIQ), Jean-François Mary. «Avec le projet de loi 70, le gouvernement va pousser un grand nombre [des nouveaux prestataires d’aide sociale] directement dans l’itinérance, car un chèque de 623$, ça ne se coupe pas», a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale le 25 février.

Lire la suite du texte du Devoir.

Non au projet de loi 70 : Journée d’actions réussie


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Des citoyens et citoyennes de huit régions du Québec ont fait entendre aujourd’hui leur vive opposition au projet de loi 70 qui modifie l’aide sociale. Ce projet de loi largement dénoncé tant par les groupes sociaux et les syndicats que par la Commission des droits de la personne et de la jeunesse, constitue une menace grave à l’aide de dernier recours et s’attaque aux personnes les plus vulnérables de notre société. Les personnes rassemblées aujourd’hui se sont jointes au mouvement de plus de 250 organismes qui dénoncent le projet de loi 70 déposé par le ministre Sam Hamad en novembre dernier et actuellement en consultation publique.