Entre vous et moi


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Nous avons participé vendredi dernier à un beau moment de solidarité dont on ne peut qu’être fier. Les chargées et chargés de cours, plus nombreux qu’à l’habitude, ont rejeté à 96,5% en assemblée générale une offre finale de l’employeur méprisante, puisque très similaire à son offre globale (partielle) de septembre rejetée unanimement par les membres du SCCUQ. Les chargées et chargés de cours se sont aussi voté à 86% une banque de cinq jours de grève à être utilisés en temps opportun. L’employeur en est resté bouche bée, au point que trois jours plus tard il n’a même pas réussi à se rasseoir à la table de négociation, encore sous le choc.

Rapport de la négo : l’employeur se braque, le SCCUQ demande la nomination d’un médiateur-conciliateur


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À la suite du vote de refus de l’offre finale de la direction par 96,5% des chargées et chargés de cours présents à l’Assemblée générale spéciale et l’acceptation par 86% des membres d’une banque de cinq jours de grève à être exercés au moment jugé opportun, les comités de négo se sont revus le 28 novembre. Le comité de négo patronal a dit qu’il ne retournerait pas voir ses mandants tant que le Syndicat ne revoyait pas ses demandes, qu’il refusait de reprendre la négociation et que l’offre finale était toujours sa réponse aux dernières contre-propositions syndicales. À la demande du comité de négo syndical, ils se sont tout de même entendus pour se revoir le 15 décembre.

Les chargées et chargés de cours de l’UQAM rejettent l’offre finale : une banque de cinq jours de grève!


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Les chargées et chargés de cours de l’UQAM ont rejeté à 96,5% l’offre finale de l’employeur, vendredi en assemblée générale, et 86% des membres présents ont voté en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun par le Comité exécutif et le Comité de négociation. Cette offre finale contenait des augmentations salariales en-deçà de celles offertes aux professeurs et aux employés de soutien – se limitant aux paramètres salariaux gouvernementaux, soit 6,75% sur cinq ans – alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises.

Fin de la grève pour les professeurs de l’Université du Manitoba


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Le corps professoral de l’Université du Manitoba (UMFA) a voté en faveur de l’offre patronale mettant ainsi fin à une grève qui dure depuis trois semaines. Les cours ont repris mardi matin pour les 30 000 étudiants de l’institution universitaire. L’Université et l’UMFA sont en pourparlers depuis mars pour définir une nouvelle convention collective. Le syndicat, qui représente environ 1200 professeurs, bibliothécaires et instructeurs, réclamait notamment la sécurité de l’emploi des bibliothécaires et des tuteurs, la réduction des charges de travail ainsi que des évaluations de rendement justes et équitables.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

Assemblée générale spéciale le 25 novembre : votes sur l’offre finale de l’UQAM et des moyens de pression


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Les chargées et chargés de cours sont convoqués à une Assemblée générale spéciale le vendredi 25 novembre, à 12h30, à la salle Marie-Gérin Lajoie du pavillon Judith-Jasmin, niveau métro. À l’ordre du jour: • Rapport sur la négociation UQAM-SCCUQ • Vote sur l’offre finale de l’UQAM • Vote sur l’utilisation du Fonds de défense professionnelle du SCCUQ en lien avec le vote sur les moyens de pression • Vote sur les moyens de pression: banque de cinq jours de grève. Nous vous y attendons en grand nombre.

Après 3 jours d’actions réussis, la campagne Engagez-vous pour le communautaire exige des réponses du gouvernement Couillard


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Tirant un bilan très positif des 3 journées de grève, de fermeture, d’interruption de services et d’actions tenues du 7 au 9 novembre, la campagne Engagez-vous pour le communautaire exige que le gouvernement Couillard donne, dès les prochains jours, des réponses positives à ses demandes. Plus de 1300 groupes ont pris part aux actions organisées dans toutes les régions du Québec. Le 9 novembre, dans plusieurs villes du Québec, des rassemblements et des manifestations ont mobilisé plusieurs milliers de personnes. Seulement à Montréal, ce sont 4000 personnes qui ont marché dans les rues du centre-ville. Elles étaient aussi plus de 700 à Terrebonne, 500 à Québec, 500 à Sherbrooke, 300 à Sainte-Adèle; 200 à Gatineau, Laval et Rouyn-Noranda.

Le milieu communautaire en marche : diverses manifestations ont eu lieu au Québec pour réclamer un meilleur financement


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Plus de 3000 personnes ont marché au centre-ville de Montréal pour demander un rehaussement du financement des groupes communautaires. D’autres manifestations avaient cours, mercredi, à Québec, à Laval, à Gatineau, à Sherbrooke, à Rimouski, à Lévis, à Rouyn-Noranda et à Terrebonne. Un grand thème les rassemblait : «communautaire en colère contre le financement austère». Ces marches étaient le point culminant de trois journées de grève ou de suspension d’activités, en tout ou en partie, pour plusieurs de ces groupes de femmes, d’aide aux personnes itinérantes ou assistées sociales, des groupes d’alphabétisation ou d’aide aux personnes handicapées, de défense des droits des locataires et autres.

MRC de l’Assomption : grève dans le transport interurbain


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Une centaine d’employé-es de Lanau-Bus, une division de Keolis, dont les chauffeurs d’autobus, sont en grève depuis jeudi matin. Ils souhaitent renouveler leur contrat de travail échu depuis décembre 2014. Ils érigeront un piquet de grève devant les installations de Keolis, à Repentigny.  Ces salarié-es  assurent le transport collectif dans la MRC de l’Assomption, dont des trajets reliant la région au réseau du métro de Montréal, ainsi que sur la ligne 50 reliant Joliette à Montréal. Ils ont rejeté la dernière offre patronale le dimanche 16 octobre, à 98%. Le 26 septembre, ils avaient voté la grève à 100%, par scrutin secret.

Journée de grève pour 1800 employés de l’Université de Montréal


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Près de 1800 travailleurs et étudiants salariés de l’Université de Montréal ont tenu une journée de grève mercredi afin d’augmenter la pression sur l’employeur dans la conclusion d’une entente de principe, notamment sur la question salariale. Leurs conventions collectives sont échues depuis mai 2015. Une centaine de personnes se sont réunies sur la Place de la Laurentienne de l’UdeM dès 8h en matinée, avant de se disperser un peu partout sur le campus pour diffuser leur message. Le Syndicat des étudiantes et étudiants salarié.e.s de l’Université de Montréal (SÉSUM), qui représente les auxiliaires de recherche et d’enseignement, ainsi que les assistants techniques, exige un salaire minimum de 15$ de l’heure pour l’ensemble de ses membres.

Grève imminente pour les employés de Keolis Canada – Division Lanau Bus


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«La dernière proposition de l’employeur ne correspondait pas du tout à nos objectifs de négociation. C’est donc sans surprise que l’offre a été rejetée à 98 % par les membres présents à l’assemblée dimanche. Nous avons essayé de l’éviter le plus longtemps possible, mais nous n’avons plus le choix. Keolis – division Lanau Bus devra faire face à une grève de ses employé‑es qui sont gonflés à bloc !» a déclaré Yvon Bérubé, président du Syndicat des employé‑es de Lanau Bus (CSN). Conformément aux dispositions du Code du travail, un avis de grève a été envoyé à l’employeur et au ministère du Travail en date du 17 octobre.

Mandat de grève adopté à 100 % pour les employées et employés de Keolis


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Réunis en assemblée générale le 25 septembre dernier, les membres du Syndicat des employé-es de Lanau Bus (CSN) ont unanimement donné à leur comité de négociation un mandat de grève générale illimitée à être déclenchée au moment jugé opportun. La centaine de conductrices et conducteurs d’autobus qui assurent le transport intermunicipal dans Lanaudière ainsi que le lien avec Montréal, sont sans convention collective depuis le 31 décembre 2014. «Il serait souhaitable que l’employeur pose un geste significatif, qu’il démontre de la considération à ses employé-es et qu’il évite la grève. La balle est maintenant dans son camp!» prévient Nathalie Arguin, secrétaire générale de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN).

Scierie de Rivière-aux-Rats : les salariées et salariés déclenchent la grève générale illimitée


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Réunis en assemblée générale, les salarié-es de la scierie de Rivière-aux-Rats ont rejeté les dernières offres patronales dans une proportion de 90% et ont déclenché la grève générale illimitée. Sans contrat de travail depuis plus de 14 mois, les syndiqué-es en sont réduits à cette ultime option devant l’intransigeance et le mépris de l’employeur, Produits forestiers Mauricie, une entreprise détenue très majoritairement par Produits forestiers Résolu (PFR), à leur endroit. «Depuis 2010, nos salaires ont baissé, et dans la dernière année nous avons été réduits au chômage. Assez, c’est assez. Ce n’est pas toujours à nous les salarié-es de nous priver pour assurer des profits aux dirigeants et aux actionnaires», dénonce Herman Martel, président du Syndicat des travailleurs et des travailleuses de la scierie Abitibi Consolidated division La Tuque (CSN).

La grève est une décision collective


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Quand on entend parler de grève, il n’est pas rare que les dents se mettent à grincer. Alors que les étudiantes et étudiants ont été relégués au «boycott», pour les autres, on n’hésite pas à parler carrément de «prise d’otage». Alors que les employées et employés de l’hôtellerie étaient en grève le 14 septembre à Montréal et à Québec, j’ai envie de revenir un peu sur ce qu’est, pour vrai, une grève, et les vraies victimes de sa mise en œuvre. Alors qu’un boycott est un geste individuel, la grève est une décision collective. Lorsqu’on choisit de faire grève, c’est un rapport de force qu’on cherche à mettre en place.

Journal du SÉTUE : mobilisation contre la décentralisation et retour sur la grève


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Depuis plusieurs années, nous assistons à d’importantes modifications dans le milieu universitaire. Cette année, l’UQAM a d’ailleurs entamé un «processus de réflexion» sur la décentralisation de ses ressources financières. Ce processus pourrait certainement mettre à mal la démocratie uqamienne et centraliser davantage les prises de décisions au sein de l’université en laissant carte blanche aux doyennes et doyens des facultés sur la manière de dépenser les budgets mis à leur disposition. Plusieurs universités canadiennes et internationales sont passées par des processus semblables et les constats sont alarmants. En effet, dans les établissements con­cernés, on observe un sous-financement et même la fer­meture des facultés «moins payantes» qui s’avèrent sou­vent être celles d’arts et de sciences humaines.

Des offres patronales insultantes : les employés d’IKEA votent la grève


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C’est par une très forte majorité que les employées et employés de IKEA Montréal ont rejeté les dernières offres patronales, lors d’une assemblée générale tenue dimanche dernier. Du même coup, elles et ils se sont munis d’un mandat de moyens de pression, incluant une banque de 24 heures de grève à être déclenchée au moment jugé opportun. La grève a été votée dans une proportion de 92%. La direction de la succursale montréalaise de la chaîne scandinave, située dans l’arrondissement Saint-Laurent, propose une offre salariale ni plus ni moins qu’offensante pour les salariées et salariés. Elle comprend des montants forfaitaires et non indexés pour les deux premières années de la convention collective.

La rentrée sera perturbée lundi dans 16 cégeps


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La rentrée sera perturbée lundi prochain dans une quinzaine de cégeps québécois en raison d’une grève des professionnels de l’enseignement supérieur, toujours sans contrat de travail un an et demi après l’expiration de leur convention collective. Les travailleurs des collèges affiliés au Syndicat des professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ), qui représente près de 700 professionnels dans 16 cégeps, débraieront de 8h30 à 11h30, a indiqué le porte-parole du SPGQ, Marc-Antoine Ruest.

Lire la suite du texte de La Presse.

Les employés de Sucre Lantic déclenchent la grève générale illimitée


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Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de Sucre Lantic (FC-CSN), qui compte près de 170 membres, a déclenché une grève générale illimitée mardi à minuit afin de protester contre les reculs importants que la partie patronale veut leur faire subir.

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Les salariées et salariés de SSQ-Vie votent la grève. Les travailleuses et travailleurs d’Autobus Sainte-Cécile-de-Milton veulent la parité.

Les professeurs d’université britanniques débraient pour revendiquer une équité salariale et des contrats de travail justes


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Les membres du University and College Union (UCU) ont entamé une grève de deux jours à travers tout le Royaume-Uni en réponse à la baisse de leurs salaires, aux contrats précaires, ainsi qu’à l’offre finale «insultante» formulée par leurs employeurs. Cette grève fait suite à «l’offre finale» de la Universities and Colleges Employer Association (UCEA) d’augmenter les salaires des enseignantes et enseignants de 1,1 pour cent. D’après l’UCU, cet accord revient à diminuer les salaires, qui ont par ailleurs baissé de 14,5 pour cent au cours des sept dernières années. Le syndicat a en outre précisé que cette hausse était dérisoire comparée à celle des recteurs (5,1 pour cent).

France : blocages de raffineries, grèves, manifestations… la mobilisation contre la « loi travail » continue


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Blocage de raffineries et de ports, huitième journée nationale d’action, appels à la grève  les partisans du retrait de la loi travail promettent de durcir encore leur mouvement cette semaine pour faire plier le gouvernement. Tour d’horizon des perturbations à attendre dans les prochains jours.

Lire la suite du texte du journal Le Monde.

Routiers, dockers, cheminots… quelles sont leurs revendications ? Les péripéties du projet de loi Travail.

Examens finaux et personnes en situation de handicap : l’UQAM nous fait une mauvaise blague?


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Au cours de la grève des employées, employés étudiants, l’administration de l’UQAM a laissé à elles et eux-mêmes les centaines d’étudiantes et d’étudiants en difficultés d’apprentissage, notamment dans le cadre de la réalisation de leurs examens, alors que le rectorat a enjoint les enseignantes et enseignants à se débrouiller et à gérer seuls la situation. Voilà qui a non seulement ajouté une pression indue sur les épaules du corps enseignant, mais qui est surtout venue brimer les droits de ces personnes pour qui les mesures d’aménagement habituelles, loin d’être des caprices, constituent souvent la différence entre la réussite et l’échec. Avec la fin de la grève, on aurait pu s’attendre à ce que la situation revienne à la normale et que les droits des étudiants en questions soient finalement respectés.

Les agents de sécurité de l’aéroport de Dorval rejettent les offres patronales et se donnent un mandat de grève


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Les agents de sécurité d’Aéroport de Montréal (ADM) à Dorval ont rejeté à 100% les dernières offres patronales et ont voté, dans une proportion de 91%, en faveur d’un mandat de grève de 36 heures à exercer au moment jugé opportun. Les employées et employés se sont vu imposer des diminutions salariales de plusieurs milliers de dollars annuellement, au moment où la sécurité dans les aéroports est plus que jamais un enjeu mondial. ADM a changé de sous-traitant afin d’assurer la sécurité de l’aéroport à l’extérieur de la zone douanière. Les 140 agents et agentes de sécurité de l’aéroport qui détiennent une expertise très pointue ont donc été cédés au nouveau sous-traitant (Garda).

Bahreïn : responsable syndical enseignant libéré après cinq ans de prison


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Mahdi Abu Dheeb, président de l’Association des enseignant.e.s du Bahreïn, a été libéré de prison lundi. Il était détenu depuis 2011, lorsqu’il fut condamné pour avoir appelé à une grève des enseignantes et enseignants en faveur de réformes démocratiques.

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Journées de grèves, d’actions et de perturbation le 29 avril


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Dans le cadre de la Journée internationale des travailleuses et travailleurs du 1er mai, la Coalition Main rouge invite à participer, le 29 avril prochain, à une journée de grèves, d’actions et de perturbations. Le 29 avril tombe le vendredi avant le 1er mai, et sera l’occasion pour les groupes sociaux de revendiquer le retrait des mesures d’austérité du gouvernement Couillard, et de rappeler que l’austérité détériore les conditions de vie et de travail de centaines de milliers de personnes au Québec.

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Rassemblement à l’UQAM : 100 jours de grève, 100 jours de mépris!


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Le Syndicat des étudiant-e-s employé-e-s de l’UQAM (SÉTUE-UQAM) a souligné le 15 mars la 100e journée de grève lors d’un rassemblement de solidarité qui s’est tenu aux abords de l’UQAM. Pour l’occasion le SÉtuE a pu compter sur la présence de Daniel Boyer, président de la FTQ. «Ce conflit a assez duré. L’UQAM est un employeur, elle doit négocier de bonne foi. L’UQAM c’est également un milieu de vie et une institution importante qui traverse une période difficile. Or, son attitude avec les membres du SÉtuE ne fait rien pour améliorer les choses, au contraire, l’équipe dirigeante de l’université est en train de mettre en évidence son incapacité à faire face aux défis propres à la gestion de cette grande institution.

Grève des professeures et professeurs : consignes aux personnes chargées de cours


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Les professeures et professeurs de l’UQAM seront probablement en grève les 8, 9 et 10 mars. Nous voulons vous rappeler que les personnes chargées de cours sous contrat doivent se présenter à leurs activités de travail, peu importe le lieu et la nature de cette activité, et être prêts à donner leurs activités d’enseignement. Vous devez donner ces activités d’enseignement pourvu que les conditions normales de travail et d’enseignement sont réunies.

Le SCCUQ tient toutefois à signifier l’existence d’une tradition syndicale lors de conflits de travail d’un autre syndicat à l’UQAM, soit le respect des piquets de grève. Dans le cas où le piquetage serait un barrage qui vous empêcherait de vous rendre à votre travail, vous devriez éviter toute situation potentiellement dangereuse pour votre sécurité personnelle.