Projet de loi 122 : les préoccupations et recommandations du milieu communautaire


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Le Projet de loi no 122. Loi visant à reconnaître que les municipalités sont des gouvernements de proximité et à augmenter à ce titre leur autonomie et leurs pouvoirs modifie un grand nombre de lois, chartes municipales, décrets et règlements. L’analyse du projet de loi apparaît fort complexe. Par conséquent, le Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA), dans son mémoire, a choisi de concentrer son intervention et ses recommandations sur quatre éléments qui préoccupent tout particulièrement ses membres : • L’abolition de l’approbation référendaire • La révision de la fiscalité des municipalités • L’adjudication des contrats municipaux • Le respect de l’autonomie des organismes d’action communautaire autonome.

Projet de loi 122 : menaces contre l’environnement et la démocratie de proximité


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Le présent mémoire que le Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE) a déposé à la Commission de l’aménagement du territoire est l’un des plus brefs que notre organisme aura historiquement présenté dans le cadre d’une consultation spéciale visant un projet de loi, étant donné le peu de temps alloué par le gouvernement pour réagir à ce projet de loi. En bref, le projet de loi menace l’environnement et la démocratie de proximité, omet la prise en compte des organismes d’action communautaire autonome et ne respecte pas la loi. D’entrée de jeu, nous critiquons aussi vivement les conditions dans lesquelles ce projet de loi a été présenté.

Le milieu communautaire en marche : diverses manifestations ont eu lieu au Québec pour réclamer un meilleur financement


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Plus de 3000 personnes ont marché au centre-ville de Montréal pour demander un rehaussement du financement des groupes communautaires. D’autres manifestations avaient cours, mercredi, à Québec, à Laval, à Gatineau, à Sherbrooke, à Rimouski, à Lévis, à Rouyn-Noranda et à Terrebonne. Un grand thème les rassemblait : «communautaire en colère contre le financement austère». Ces marches étaient le point culminant de trois journées de grève ou de suspension d’activités, en tout ou en partie, pour plusieurs de ces groupes de femmes, d’aide aux personnes itinérantes ou assistées sociales, des groupes d’alphabétisation ou d’aide aux personnes handicapées, de défense des droits des locataires et autres.