Le dirigeant du syndicat iranien de l’éducation Esmail Abdi renvoyé en prison


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Après s’être vu refuser la prolongation de sa libération sous caution malgré ses ennuis de santé causés par des conditions de détention éprouvantes, le dirigeant du syndicat de l’éducation Esmail Abdi a été renvoyé dans la prison d’Evin le 20 janvier. Esmail Abdi avait obtenu une permission de sortie le 9 janvier, bénéficiant ainsi d’un sursis de sa condamnation à six ans de prison entamée en 2016. Tout en se réjouissant, l’Internationale de l’éducation (IE) savait qu’Abdi pouvait à tout moment être à nouveau arrêté, comme cela avait déjà été le cas l’année dernière, où il avait été libéré sous caution le 25 juin, avant d’être à nouveau arrêté un mois plus tard.

Un dirigeant syndical iranien à nouveau menacé d’emprisonnement


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Esmail Abdi, le dirigeant de la Tehran Teacher Trade Association, a vu son appel rejeté par la 33e chambre de la Cour suprême le 4 février, ce qui signifie qu’il risque à nouveau la prison. Cet arrêt confirme des décisions judiciaires précédentes et implique qu’Abdi pourrait devoir accomplir la peine d’emprisonnement ferme de six ans prononcée à son encontre en novembre 2016. L’Internationale de l’éducation (IE) a dénoncé les charges retenues contre Abdi, y compris celle pour «rassemblement et conspiration contre la sécurité nationale», comme injustes et contraires aux conventions sur les droits de la personne.

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Bahreïn : responsable syndical enseignant libéré après cinq ans de prison


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Mahdi Abu Dheeb, président de l’Association des enseignant.e.s du Bahreïn, a été libéré de prison lundi. Il était détenu depuis 2011, lorsqu’il fut condamné pour avoir appelé à une grève des enseignantes et enseignants en faveur de réformes démocratiques.

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Une fin de trimestre derrière les barreaux


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Un leader étudiant de l’UQAM finira son trimestre en prison, et ce, même s’il n’a pas d’antécédent judiciaire et qu’il s’était engagé à ne pas remettre les pieds à l’université. Pour préserver la confiance du public dans le système de justice, un juge de la cour municipale de Montréal a refusé de libérer sous condition Hamza Babou d’ici son procès. Aux yeux de son avocate, Me Véronique Robert, «c’est clair qu’on a voulu en faire un exemple» dans le contexte de la grève qui secoue l’UQAM. «Ça ressemble à un jugement de nature politique», dit-elle, ajoutant qu’elle songe à se tourner vers la Cour supérieure pour demander une révision judiciaire.