François Blais écorche son propre ministère et le Conseil supérieur de l’éducation
Le ministère de l’Éducation est «vieillot», lent, s’appuie sur peu de données fiables, et des fonctionnaires pourraient être invités à «relever de nouveaux défis ailleurs». C’est le ministre François Blais lui-même qui le dit, selon un document obtenu par La Presse. Le Conseil supérieur de l’éducation et certains dispositifs ont peut-être eu leur utilité, mais ne s’avèrent plus si pertinents actuellement, a aussi soutenu le ministre devant des représentants de l’Association des doyens, doyennes et directeurs, directrices pour l’étude et la recherche en éducation au Québec.
Un ancien ministre de l’Éducation donne raison à François Blais.