Une lutte contre la pauvreté discriminatoire


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La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) salue le fait que le gouvernement reconnaisse enfin qu’il faut un minimum pour vivre décemment en mettant sur pied le revenu de base pour certains prestataires de l’aide sociale. Dans son plan, Québec prévoit verser progressivement un revenu de base qui sera de 18 000$ par année en 2023 pour une personne vivant seule. Mais pour les autres personnes, la situation demeurera quasi la même qu’auparavant: certes, il y aura certains incitatifs, mais aussi des pénalités pour les personnes sur l’aide sociale aptes au travail qui ne participeront pas aux mesures d’employabilité.

Une nouvelle ligne sous la ligne (2) : quand l’Ontario fait mieux


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Comme mon dernier billet le faisait valoir, dans son rapport publié le 13 novembre dernier, le Comité d’experts sur le revenu minimum garanti (RMG) s’est situé dans une approche «pro-marché» qui mise sur le marché du travail pour réduire la pauvreté. Pour inciter à l’emploi, il a recommandé d’installer pour les personnes jugées aptes au travail à l’aide sociale un nouveau seuil de référence à 55% du niveau de couverture des besoins de base indiqué par la mesure du panier de consommation (MPC). Ce faisant, il a passé sous silence plus de 20 ans de croisements d’expertises à l’effet qu’avancer vers un Québec sans pauvreté suppose de s’assurer de la couverture des besoins de base et d’en finir avec la pauvreté au travail.

Les priorités du gouvernement Couillard cet automne : REM, neutralité religieuse de l’État, les normes du travail, l’aide sociale et le cannabis


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Le gouvernement Couillard s’apprête à faire adopter des projets de loi qui ne feront pas toujours l’unanimité et tentera de régler des dossiers qui traînent en longueur. Le HuffPost Québec fait le point sur les priorités législatives à l’Assemblée nationale cet automne. Selon Jean-Marc Fournier, le leader parlementaire du gouvernement, le projet de loi 137 sur le Réseau électrique métropolitain doit être terminé «très, très rapidement» à la rentrée. Une fois qu’il recevra la sanction de l’Assemblée nationale, le projet de loi va confirmer l’investissement de 1,3 milliard $ de Québec, sur un projet d’une valeur totale de six milliards. Le gouvernement veut en finir avec le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État qui traîne en longueur depuis environ deux ans.

Lutte à la pauvreté : le gouvernement doit cesser de fuir ses responsabilités


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Le gouvernement est en train de faire la preuve que, malgré tous ses beaux discours, la lutte à la pauvreté est la dernière de ses priorités. Le Collectif pour un Québec sans pauvreté profite du début de l’étude des crédits budgétaires pour dénoncer les injustifiables retards dans deux dossiers majeurs. Il est temps pour le gouvernement d’assumer ses responsabilités et de donner l’heure juste à la population en ce qui concerne le prochain plan de lutte à la pauvreté et la réforme de l’aide sociale.

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Ralliement de la rentrée en itinérance : le RAPSIM se réjouit de l’action du fédéral et dénonce celle du provincial


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Le RAPSIM a tenu ce lundi 16 janvier un Ralliement de la rentrée en itinérance qui a réuni une centaine de personnes en provenance de ses membres, partenaires et alliéEs. Interpellant tant la Ville que les deux gouvernements, le RAPSIM s’est particulièrement réjoui des progrès liés à l’action du fédéral. Témoignant de cette embellie, le ministre Jean-Yves Duclos, responsable du dossier et ministre de la Famille, de l’Enfance et du Développement social, est intervenu lors de l’assemblée du RAPSIM. Le RAPSIM a profité du ralliement pour interpeller le gouvernement du Québec afin qu’il cesse les compressions en logement social et à l’aide sociale.

Loi 70 adoptée : des assistés sociaux devront vivre avec 399 $ par mois


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Certains assistés sociaux devront se débrouiller pour vivre désormais avec aussi peu que 399$ par mois, en vertu de la Loi 70 adoptée jeudi. Avec cette loi, le gouvernement s’arroge le pouvoir de couper environ du tiers la prestation de base mensuelle de 623$ des nouveaux demandeurs d’aide sociale jugés aptes à travailler qui refusent d’entreprendre un parcours de recherche d’emploi. Au moment du vote, les trois élus de Québec solidaire étaient si outrés de l’approche punitive choisie par le gouvernement que Françoise David, Amir Khadir et Manon Massé se sont levés tour à tour pour voter contre le projet de loi, tout en tournant le dos au gouvernement, un geste symbolique inusité à l’Assemblée nationale.

Entente pour éviter l’adoption du projet de loi 70 sous le bâillon : le ministre Blais aurait tort de pavoiser


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Malgré l’entente récente entre le gouvernement du Québec et les partis d’opposition autour du projet de loi 70, le Collectif pour un Québec sans pauvreté refuse de baisser les bras. Il dénonce la lâcheté du gouvernement et son mépris pour la démocratie. Et il continuera de dénoncer le projet de loi tant que son aspect le plus odieux ne sera pas abandonné : les sanctions financières qui condamneront des centaines, voire des milliers de personnes à vivre avec une prestation mensuelle d’aide sociale d’à peine 399$ par mois.

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Projet de loi 70 : proposition de la Coalition Objectif Dignité pour un programme Objectif emploi au service des gens


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La Coalition Objectif Dignité soumet au ministre François Blais une proposition qui rendrait acceptable le programme Objectif emploi prévu par le projet de loi 70. «La dernière chose que nous voulons, c’est le statu quo», lance d’entrée de jeu le co-porte-parole de la Coalition, Serge Petitclerc. Le scénario proposé par la Coalition prévoit la réintroduction de la rencontre initiale entre la personne qui fait une demande d’aide sociale et unE agentE d’aide socioéconomique. Cette rencontre devrait notamment permettre à l’agentE de s’assurer que la demande a été bien remplie et de présenter les services offerts par le centre local d’emploi. Le scénario de la Coalition propose également d’annuler les coupes à la prestation de base en cas de non-participation au programme Objectif emploi et d’uniformiser le montant de l’allocation pour participation.

Le projet de loi sur l’aide sociale pourrait être «une catastrophe»


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Le projet de loi 70 sur l’aide sociale du gouvernement Couillard pourrait être une «catastrophe» pour de nombreux jeunes, affirment d’anciens prestataires, aujourd’hui réintégrés sur le marché du travail. «Si on m’avait forcée, au moment où j’avais le plus besoin d’aide, à aller travailler dans un emploi qui ne m’intéressait pas, je crois que j’aurais pu me suicider», affirme Camille. Camille et David, dont les noms ont été changés pour préserver leur anonymat, ont vécu des parcours difficiles. Dépression, consommation de drogues, itinérances, il s’agit du malheureux scénario qui a tissé la trame de vie de ces deux jeunes. À l’instar de nombreux Québécois qui ont surmonté de telles embûches, ceux-ci ont été prestataires de l’aide sociale.

Adoption du projet de loi 70 sous le bâillon : pourquoi Philippe Couillard en est-il rendu là?


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Le Collectif pour un Québec sans pauvreté est outré que le premier ministre Philippe Couillard menace de faire adopter le projet de loi 70 sous le bâillon. Rien ne justifie l’utilisation d’une mesure parlementaire aussi draconienne, d’autant plus que les modifications proposées à la loi d’aide sociale pourraient précipiter la dégradation des conditions de vie des personnes les plus vulnérables parmi les plus pauvres. Le premier ministre se plaint de l’attitude des partis d’opposition pour justifier l’éventuel recours au bâillon pour faire adopter le projet de loi 70. Le Collectif croit plutôt que la résistance des partis d’opposition est le reflet de l’opposition des organisations qui travaillent sur le terrain avec les personnes assistées sociales, des quelque 300 professeurs universitaires qui se sont prononcés le printemps dernier, d’institutions comme la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse et de plusieurs chroniqueurs influents.

Projet de loi sur l’aide sociale : Couillard brandit le bâillon


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Le gouvernement Couillard brandit la menace du bâillon pour faire adopter son projet de loi sur l’aide sociale. Le projet de loi 70 prévoit notamment de réduire les montants versés aux nouveaux prestataires aptes au travail qui refusent des mesures d’employabilité. Deux partis d’opposition, le Parti québécois (PQ) et Québec solidaire (QS), étirent les procédures à l’étape de l’étude article par article en commission parlementaire, après près de 100 heures de travaux. «On peut parler d’une obstruction claire», a accusé le premier ministre Philippe Couillard, mercredi, en marge du caucus des députés libéraux à Gatineau.

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Reprise des travaux parlementaires : non au projet de loi 70, oui à de vraies mesures de lutte à la pauvreté


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Profitant de la reprise de la Commission parlementaire sur le projet de loi 70, la Coalition Objectif Dignité veut rappeler au ministre François Blais que «623$, ça ne se coupe pas!». La Coalition exhorte le ministre à retirer son projet de réforme de l’aide sociale et à hausser les montants des prestations afin que les prestataires puissent répondre à l’ensemble de leurs besoins de base. Plus de 250 groupes syndicaux, féministes et communautaires ont signé la déclaration d’appui à la Coalition Objectif Dignité, laquelle rassemble une vingtaine de regroupements nationaux communautaires qui demandent notamment le retrait du projet de loi 70.

L’article 28 du projet de loi 70 et ses contradictions : un été pour les résoudre vers du mieux à l’aide sociale


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Alors qu’un tollé de protestations rendait de plus en plus intenables les modifications à l’aide sociale présentement à l’étude à l’article 28 du projet de loi 70, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale a tenu à «rétablir quelques faits», entre autres dans Le Devoir du 8 juin 2016. À la fin de cette session parlementaire, grâce au patient travail de quelques parlementaires de la Commission de l’économie et du travail qui ont réussi jusqu’à maintenant à empêcher l’irréparable, il lui reste plutôt à résoudre les contradictions entre offrir et contraindre qui existent dans cet inacceptable article 28.

Projet de loi 70 sur l’aide sociale : le ministre Blais veut rétablir quelques faits


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Le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, fait le point sur les diverses critiques apportées au projet de loi 70. «Il s’est dit beaucoup de choses sur le projet de loi 70 ces dernières semaines, et en particulier autour du programme Objectif emploi qui touche exclusivement les premiers demandeurs à l’aide sociale. Il est nécessaire de rétablir les faits en reprenant les principales accusations de ses détracteurs.»

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François Blais regrette ses propos sur l’«ignorance» des profs.

Projet de loi 70 : les organismes d’action communautaire autonome ne sont pas des délateurs


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En plus de dénoncer l’orientation du gouvernement visant à pénaliser outrageusement une catégorie de personne s’inscrivant à l’aide sociale, l’application de la loi 70 placerait les organismes d’action communautaire autonome (ACA) dans une situation de délateur vis-à-vis les personnes devant participer, de façon obligatoire, aux programmes qui seraient mis en place par le gouvernement. En effet, les organismes acceptant de collaborer aux programmes prévus par le projet de loi 70 se retrouveraient dans l’obligation de rapporter les absences de la personne participant à l’un ou l’autre de ces programmes avec comme conséquence une coupure à leur chèque d’aide sociale.

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Réaction des centrales syndicales au projet de loi no 70 : quand le ministre Blais ignore ce que le professeur Blais a dit!


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Les centrales syndicales, CSD, CSN, CSQ et FTQ, réagissent avec stupeur aux propos du ministre Blais selon qui ceux qui demandent le retrait des mesures coercitives à l’encontre des premiers demandeurs d’aide sociale contenues dans son projet de loi no 70 font preuve d’un «petit peu d’ignorance», y compris les professeurs et chargés de cours universitaires. «Traiter d’ignorants les gens qui ne sont pas d’accord avec lui, ça frise le mépris», déclare la vice-présidente de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Véronique De Sève.

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Réforme à l’aide sociale : des personnalités publiques unissent leurs voix pour demander au premier ministre de retirer le projet de loi 70


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À l’occasion du Barbecue de la fin du mois, organisé par la Coalition Objectif Dignité, des personnalités publiques, dont Christian Vanasse, Michel Marc Bouchard, Claude Cousineau et Will Prosper, ont interpellé aujourd’hui le premier ministre Couillard. Celui-ci doit ramener à l’ordre son ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale et retirer le controversé projet de loi 70. Ces personnalités appuient la Coalition qui dénonce l’approche punitive du gouvernement. Plutôt que d’imposer des pénalités financières, le gouvernement devrait miser sur des mesures volontaires, adaptées et accessibles pour permettre aux personnes de sortir de la pauvreté et de la précarité.

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De 623 $ à 399 $ : le plancher de revenu érodé de l’aide sociale coupable


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Le 11 mai, en commission parlementaire, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale a fait connaître une partie de ses intentions réglementaires quant aux dispositions du projet de loi 70 qui viendront compliquer l’accès à l’aide sociale. Ce recul appréhendé défait le chemin parcouru vers une meilleure sécurité du revenu avec la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, tout en lui étant contraire en plusieurs points. Il reconduit aux propos de Gaston Miron, qui prennent dans cette situation un sens inattendu et criant: «Ça ne pourra pas toujours ne pas arriver. Nous entrerons là où nous sommes déjà.»

Objectif emploi : les craintes des opposants confirmées


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La nouvelle approche du ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, pour forcer les assistés sociaux à se doter d’un projet de retour au travail ou aux études est loin de rassurer ses opposants. Les informations obtenues par notre Bureau parlementaire confirment ce que craignaient plusieurs: ceux qui refuseront de participer au programme Objectif emploi, pièce maitresse du projet loi 70 encore à l’étude, verront leur prestation d’aide sociale de base diminuer.

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L’aide sociale c’est déjà trop bas, ça se coupe pas : manifestation le 21 mars


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La coalition Objectif dignité, formée d’une vingtaine d’associations et regroupements nationaux, organise une manifestation contre la réforme de l’aide sociale devant les bureaux montréalais de la ministre Anglade le 21 mars. Le rassemblement est prévu à 10h45 devant le CÉDA (2515, rue Delisle, métro Lionel Groulx). La coalition Objectif dignité revendique que le MTESS retire le Projet de loi 70; renonce à mettre en place des mesures d’emploi obligatoires assorties de pénalités financières pour les personnes assistées sociales; retire les coupes à l’aide sociale adoptées en 2013 et en 2015; et bonifie les prestations d’aide sociale et de solidarité sociale pour tous et toutes.

La réforme de l’aide sociale mènera des jeunes à l’itinérance, estime le RSIQ


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Plusieurs jeunes seront condamnés à l’itinérance advenant la mise en branle de la réforme de l’aide sociale du gouvernement libéral, appréhende le coordonnateur du Réseau Solidarité Itinérance du Québec (RSIQ), Jean-François Mary. «Avec le projet de loi 70, le gouvernement va pousser un grand nombre [des nouveaux prestataires d’aide sociale] directement dans l’itinérance, car un chèque de 623$, ça ne se coupe pas», a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale le 25 février.

Lire la suite du texte du Devoir.

Non au projet de loi 70 : Journée d’actions réussie


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Des citoyens et citoyennes de huit régions du Québec ont fait entendre aujourd’hui leur vive opposition au projet de loi 70 qui modifie l’aide sociale. Ce projet de loi largement dénoncé tant par les groupes sociaux et les syndicats que par la Commission des droits de la personne et de la jeunesse, constitue une menace grave à l’aide de dernier recours et s’attaque aux personnes les plus vulnérables de notre société. Les personnes rassemblées aujourd’hui se sont jointes au mouvement de plus de 250 organismes qui dénoncent le projet de loi 70 déposé par le ministre Sam Hamad en novembre dernier et actuellement en consultation publique.

Pluie de critiques contre la réforme de l’aide sociale


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Le projet de loi 70, qui vise à forcer les nouveaux demandeurs d’aide sociale à suivre un programme d’intégration au travail, a été critiqué sévèrement, mardi en commission parlementaire. Le ministre François Blais a eu beau ouvrir la porte à des assouplissements, le projet de réforme a été la cible d’une pluie de critiques, notamment par la protectrice du citoyen et par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.

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Mémoire de la Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles : Le projet de loi 70 causera davantage de problèmes qu’il n’en résoudra.

Aide sociale : un projet de loi discriminatoire fondé sur des préjugés


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Dans son mémoire qu’elle a rendu public mardi, la Ligue des droits et libertés (LDL) exige le retrait du projet de loi 70 «visant à permettre une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi et à favoriser l’intégration en emploi». La pénalité prévue par la réforme de l’aide sociale pour forcer les premiers demandeurs à chercher ou à demeurer «dans un travail convenable» créera une inégalité de traitement entre prestataires. Cette inégalité est contraire aux droits protégés par les chartes et est contestable devant les tribunaux.

Lire la suite et le texte du Devoir.

Le Collectif pour un Québec sans pauvreté vous invite à agir contre le projet de loi 70 en participant à son action qui consiste à envoyer une carte électronique au ministre ainsi qu’aux membres de la Commission de l’économie et du travail, laquelle est chargée d’étudier le projet de loi 70.

Lutte à la pauvreté : Le RAPSIM demande des actions majeures pour contrer l’itinérance


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Plus de 140 personnes ont participé à un forum Pauvreté et itinérance organisé par le RAPSIM le 26 janvier. Ce forum se tenait à la veille de l’ouverture de la commission parlementaire sur le projet de loi 70, une nouvelle réforme de l’aide sociale. Le RAPSIM demande des investissements importants pour lutter contre la pauvreté et, ainsi, prévenir et réduire l’itinérance. Ce forum a permis de faire le point sur l’impact de la pauvreté sur l’itinérance, de même que sur celui des mesures du gouvernement dans les programmes de réinsertion et ceux en toxicomanie. Le workfare prévu par le projet de réforme de l’aide sociale y a été décrié, pour au contraire demander des mesures incitatives favorisant l’insertion en emploi.