Perception de la TVQ : une partie du plan de Québec suscite des questionnements chez Brigitte Alepin


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Le plan de nouveau décrit par Québec afin de mieux taxer les biens corporels provenant de l’étranger soulève des questions chez les spécialistes, qui s’interrogent sur l’efficacité de manipuler des colis afin de récupérer les revenus qui glissent entre les doigts du fisc. «Si on veut aller chercher les taxes sur les biens tangibles, il y a une difficulté, a dit Brigitte Alepin, chargée de cours au Département des sciences comptables de l’UQAM. Quel sera le résultat? Je ne peux pas le dire. […] On est coincé avec un système archaïque et on essaie d’adapter ça à la réalité d’aujourd’hui.» Mais pour le gouvernement québécois, les moyens concrets d’agir demeurent relativement limités, a soutenu Mme Alepin, dans un texte du Devoir.

Simulation des Nations Unies : Marc-André Dubuc, Lukas Di Blasio-Brochard et Guillaume Cliche-Rivard mènent leurs étudiants à la victoire


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Les délégations étudiantes de la Faculté de science politique et de droit et de l’École des sciences de la gestion (ESG UQAM) ont obtenu la plus haute distinction (prix Outstanding Delegation) dans le cadre de la Simulation des Nations Unies, qui avait lieu au siège de l’ONU à New York, du 18 au 22 mars (conférence A) et du 25 au 29 mars (conférence B). Cette simulation, la plus importante du genre au monde, réunit annuellement plus de 5000 étudiantes et étudiants en provenance des six continents, chacune des délégations représentant un pays membre de l’ONU. Les étudiantes et étudiants de l’ESG étaient encadrés, entre autres, par le chargé de cours Marc-André Dubuc.

Les universitaires doivent se prononcer sur le mouvement #MoiAussi


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Les cas de harcèlement sexuel au travail révélés depuis six mois grâce au mot-clic #MoiAussi ont de quoi nous faire crier au scandale. Comment aborder un problème d’une telle ampleur? En tant que recteur, cet enjeu est plus qu’une préoccupation passagère pour moi. Je suis responsable de l’environnement de travail de plus de 1 000 personnes, qui ont à leur tour une influence sur la vie des quelque 10 000 étudiants qui suivent chaque année des cours à l’Université Royal Roads. À mesure que le mouvement #MoiAussi prend de l’ampleur, il devient manifeste que le secteur de l’éducation postsecondaire n’en a pas fait assez pour promouvoir le respect, la dignité et l’équité dans ses programmes.

Front commun réclamé devant la hausse des frais d’abonnement aux revues savantes


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L’Association des bibliothèques de recherche du Canada (ABRC) souhaite que les universités renégocient les ententes non viables avec les éditeurs et fassent la transition vers le libre accès. Depuis des années, les bibliothèques universitaires font des pieds et des mains pour absorber la hausse des frais d’abonnement aux revues savantes fixés par une poignée de grands éditeurs internationaux. La situation est devenue insoutenable, selon l’ABRC, qui vient de publier un mémoire en collaboration avec le Réseau canadien de documentation pour la recherche (RCDR) pour renseigner les administrateurs universitaires et proposer des solutions.

Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.

Pas si payant, le retour des Expos


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Il y a de cela quelques jours, la fièvre du baseball a enflammé la ville, alors que les Blue Jays affrontaient les Cardinals au Stade olympique. Avec un auditoire d’environ 25 000 spectateurs par partie, il est normal que la question du retour des Expos ait été abordée par plusieurs personnalités du monde politique et des affaires. Cela a évidemment mené au sempiternel débat du financement public d’un nouveau stade. D’emblée, selon Stephen Bronfman, qui est à la tête d’un groupe d’investisseurs, la Ligue majeure de baseball (MLB) considère que le Stade olympique ne pourrait pas être utilisé. Ainsi, selon lui, la construction d’un nouveau stade serait la meilleure solution pour permettre la venue des Expos 2.0.

Stratégie des partenariats de lutte contre l’Itinérance : plus de 100 millions $ en jeu pour Montréal


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En mars 2017, le budget du gouvernement Trudeau contenait une annonce de taille: l’injection de 2,1 milliards $ sur dix ans dans la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI 2019-2028). De ces sommes, au moins 10 M$ devraient annuellement être consacrés à Montréal, pour un total de 100 M$ à terme. Vous trouverez plus d’informations sur l’avenir de la SPLI dans la publication suivante. Si le RAPSIM a salué haut et fort cet engagement, plusieurs mois plus tard, une question cruciale persiste: Quelle sera l’orientation donnée à l’affectation de ces fonds? Quelles seront les priorités de l’intervention fédérale dans les dix prochaines années?

École de technologie supérieure : offre patronale rejetée à 80% par les chargées et chargés de cours


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Réunis en assemblée générale, les membres du Syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieure — Service des enseignements généraux ont pris la décision d’accroître les moyens de pression pour inciter leur employeur à être moins intransigeant. Après trente-trois rencontres de négociations et malgré la présence d’un conciliateur, le fossé pour parvenir à une première convention collective demeure considérable. La dernière offre patronale, jugée déraisonnable, a été rejetée à 80% par les enseignantes et les enseignants présents mardi à l’assemblée.

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ETS : Entente de principe pour le Syndicat des employés. Entente de principe à l’Université Carleton.

Charte de l’Université de Montréal : malgré des reculs, le droit d’association des professeures et professeurs est préservé


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La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) s’est mobilisée fortement contre le projet de loi loi modifiant la Charte de l’Université de Montréal au cours de la dernière année, parce que celui-ci contient des dispositions portant atteinte à la participation des membres du corps professoral aux décisions qui président à l’orientation et au développement de l’Université de Montréal, en plus de consacrer une gestion hiérarchique de l’institution en faisant en sorte que les doyennes et doyens soient assujettis au recteur plutôt que de relever de leurs assemblées délibérantes. La FQPPU estimait aussi que le projet de loi avait pour effet de neutraliser une clause de la convention collective des professeures et professeurs portant sur la discipline, sans que cela ait été négocié au préalable avec le Syndicat général des professeurs et professeures de l’Université de Montréal (SGPUM), bafouant ainsi leur droit d’association.

Le REÉR : les limites d’une formule qui individualise les risques


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Les campagnes promotionnelles menées par les institutions financières pour vendre des produits financiers comme les Régimes enregistrés d’épargne-retraite (REÉR) ont, avec le temps, ancré des habitudes face à ces produits. Avec le recul, il apparaît qu’elles ont surtout contribué à rendre acceptable l’individualisation progressive des risques financiers associés à la retraite, une tendance lourde que l’on constate dans les politiques publiques concernant la sécurité financière des personnes vieillissantes. Au-delà des lieux communs concernant la flexibilité de la formule des REÉR, il convient de prendre une distance et de s’interroger sur les limites de ces produits. Cela permettra d’imaginer des scénarios d’amélioration des régimes d’épargne-retraite individuelle axés plutôt sur les besoins des personnes que sur la rentabilité du secteur financier.

Les employés en lock-out de Viterra disent non à l’offre finale de l’employeur


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Les 51 employés de Viterra mis en lock-out par ce distributeur de céréales présent au Port de Montréal ont dit non à l’offre finale de l’employeur. Réunis en assemblée spéciale ce mardi après-midi, les salariés – qui sont à la rue depuis près de dix semaines – ont rejeté à 90% la dernière offre patronale. Selon la partie syndicale, «les dirigeants de Viterra veulent profiter du contexte difficile dans lequel se trouvent les travailleurs pour les faire accepter n’importe quoi. C’est mal connaître la motivation de ces syndiqués», d’expliquer Jean-Pierre Proulx, conseiller syndical au SCFP. Ils revendiquent un rattrapage au niveau du régime de retraite, de meilleures dispositions en santé et sécurité au travail ainsi qu’une amélioration des clauses touchant les horaires de travail et la conciliation travail-famille.

Levée de cours en langues et communication : consignes aux personnes chargées de cours


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Une assemblée générale de l’Association facultaire étudiante de langues et communication (AFELC) aura lieu ce mercredi 4 avril à 12h30. Comme la durée de cette assemblée est indéterminée et que l’ordre du jour est chargé, une levée de cours pourrait être votée pour les étudiantes et les étudiants de la Faculté de communication, ce qui inclut l’École de langues et les cours commandés par la Faculté. Dans ce cas, des membres de l’association se présenteraient à votre local de classe avec une feuille signée par des exécutants en fonction de l’AFELC et par le présidium de l’assemblée justifiant la levée de cours.

Entre vous et moi


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Nous vous souhaitons de Joyeuses Pâques. Profitez-en bien entre amis ou avec la parenté pour vous reposer avant le dernier droit de la session.

Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ

Exposition de Josée Pellerin : Marcher dans les ombres de Sebald, du 6 avril au 6 mai


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La chargée de cours Josée Pellerin expose, du 6 avril au 6 mai, à la Maison de la culture du Platgeau Mont-royal, Marcher dans les ombres de Sebald. Lors du vernissage, le 6 avril à 17h15, l’artiste interdisciplinaire et chargée de cours Sophie Castonguay, revisitant les textes de Sebald, offrira une lecture performée qui sera exécutée dans l’espace de l’exposition. «Winfried Georg Maximilian Sebald, écrivain et essayiste allemand (1944-2001), constitue la prémisse de ce projet. Figure du marcheur mélancolique, hanté par l’idée de destruction, de déracinement, d’expatriation, ses récits sont tous des objets singuliers au sein du paysage littéraire germanique.

L’Université McGill fait face à une poursuite et une démission dans le cadre d’allégations de harcèlement


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L’Université McGill fait face à au moins une poursuite pour diffamation, dans le cadre d’allégations de harcèlement psychologique et sexuel à la Faculté de dentisterie. Selon nos informations, le vice-doyen de cette faculté a remis sa démission. La Faculté de dentisterie est sous les projecteurs depuis le mois de décembre, lorsque CBC Montréal a diffusé un reportage décrivant le mauvais traitement des plaintes d’agression sexuelle et de harcèlement psychologique. Un rapport interne, dont le HuffPost Québec a obtenu copie, décrit une situation où les étudiants craignent de témoigner contre les dirigeants, de peur que cela se fasse «au détriment de leur réussite académique et de leurs futures carrières».

Le SCFP dépose trois plaintes pour pratiques déloyales de travail contre l’Université York


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Le syndicat représentant les grévistes de l’Université York a déposé une plainte contre son employeur pour pratiques déloyales de travail auprès de la Commission des relations de travail de l’Ontario. La plainte, déposée par la section locale 3903 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP 3903), allègue que l’Université York a violé les articles 17, 70 et 73 de la Loi ontarienne sur les relations de travail en déformant ses positions de négociation et celles du syndicat dans ses communications aux membres du SCFP 3903 et à la population.

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Le mouvement syndical doit reformer l’identité de classe


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De tous les mouvements sociaux des temps modernes, le syndicalisme est celui qui a favorisé l’organisation du plus grand nombre de personnes et qui a entraîné les plus grands gains sociaux. On doit néanmoins reconnaître que le syndicalisme est aujourd’hui sur la défensive et en panne d’un projet politique. Cette absence d’un horizon de transformation sociale porté par le mouvement syndical contribue à son affaiblissement. Les organisations ont tendance à opter pour des perspectives stratégiques plus modestes. L’idée même que les secteurs salariés et populaires puissent prendre le pouvoir un jour tend à disparaître du programme syndical, dans une période où, par ailleurs, le capitalisme apparaît indélogeable.

Quelle direction l’enseignement supérieur doit-il prendre?


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On m’a récemment demandé de songer aux tendances, aux occasions et aux défis actuels liés à l’apprentissage et à l’enseignement dans les universités canadiennes. À la même période, je partais en voyage pour participer à une conférence nationale, à une série de consultations sur les campus, à une séance d’écriture et à un exposé public. J’ai ainsi pu consulter des recteurs, des administrateurs, des professeurs, des spécialistes en développement de contenu pédagogique, des membres du personnel et des étudiants. Le Conte de la bourgeoise de Bath de Geoffrey Chaucer, avec son modèle de gouvernance inspiré de la table ronde, nous donne un fascinant aperçu de la façon d’aborder la question.

Qu’entendons-nous par Taxe Robot?


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La taxe robot est une idée dans l’air du temps. C’est a priori fort simple : un robot qui causerait une perte d’emplois devrait être sujet à une taxe. Elle est soutenue par des personnalités aussi diverses que Bill Gates, fondateur de Microsoft, et Benoît Hamon, candidat socialiste aux élections présidentielles françaises de 2017. Toutefois, les arguments mis de l’avant par ces derniers sont radicalement opposés. Pour Gates[i], la taxe robot aurait l’avantage de légèrement ralentir l’automatisation du marché du travail. Les revenus apportés aux États par celle-ci pourraient, ensuite, être réinvestis dans l’éducation, afin que la population ait accès à des formations lui permettant aussi de tirer son épingle du jeu de la robotisation.

Fonds des générations : le revirement de Carlos Leitão


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Le Fonds des générations défraie les manchettes depuis une semaine étant donné la nouvelle stratégie du gouvernement à l’égard du remboursement de la dette. On savait déjà que les sommes versées au Fonds permettent au gouvernement de « cacher » des surplus. Au 850 M$ du surplus qu’on prévoit pour 2017-2018, il faut donc ajouter les 2,3 G$ qui ont été versés au Fonds. Ainsi, même si les dépenses sont bien en deçà des revenus à tous les ans jusqu’à la fin des prévisions budgétaires des prochaines années, le gouvernement devra piger dans sa réserve de stabilisation lors de chacun des trois prochains exercices budgétaires afin d’éviter les déficits causés par les versements au Fonds des générations.

France : les syndicats de l’enseignement très inquiets pour la qualité du service public de l’éducation


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Alors que le pays connaît une importante grève en défense des services publics, les syndicats français membres de l’Internationale de l’éducation rappellent leurs inquiétudes pour le statut des enseignantes et enseignants fonctionnaires, la qualité de l’éducation et le dialogue social. Une grande partie des fédérations syndicales françaises dans la fonction publique, avaient appelé à la grève le 22 mars contre des mesures gouvernementales perçues comme «une vaste entreprise de démolition des services publics, de paupérisation des fonctionnaires et de dénaturation de leurs missions». Dans l’éducation, les syndicats ont attiré l’attention sur le fait que «les logiques trop connues continuent de s’y appliquer», avec baisse des moyens, renoncement aux objectifs de démocratisation, autonomie renforcée des établissements, bac local, et mise à mal de la qualification disciplinaire des enseignantes et enseignants.

Stage final payé pour les futurs enseignants


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Les étudiants en enseignement crient victoire. Le gouvernement accepte de les payer lorsqu’ils réalisent leur stage final et prennent en charge une salle de classe. Le ministre de l’Éducation Sébastien Proulx indique qu’il s’agit d’un «pas en avant» pour valoriser cette profession. Après avoir été «fou de ses enfants», le ministre Proulx souhaite que le Québec devienne aussi «fou de ses enseignants». Selon lui, la rémunération des stages était une «revendication légitime». Son gouvernement accepte de réserver 15 millions $ par année pour payer les stages de trois mois d’environ 3900 étudiants chaque année. C’est un peu moins que les 20 millions $ annuels réclamés par les étudiants, mais pour eux, il s’agit tout de même «d’une belle surprise», après 10 ans d’efforts.

Trou noir de l’assurance-emploi : Le Canada, cancre de la classe


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Des militantes et militants des régions de la Côte-Nord et de Québec–Chaudière-Appalaches ont occupé jeudi matin les bureaux du G7 à La Malbaie afin de réclamer à nouveau un ajustement d’urgence à l’assurance-emploi pour les travailleurs saisonniers. Des actions se tiennent aussi en parallèle au Nouveau-Brunswick et nous avons l’appui des régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie qui vivent la même situation. «Pour nous, les locaux devant lesquels on manifeste n’ont pas été choisis par hasard. Cet été, des travailleurs de la région accueilleront ici les décideurs des plus grands pays du monde, mais en attendant, le Canada ne daigne même pas les aider à subvenir à leurs besoins de base.

Le vrai visage de la Coop-UQAM : refus de négocier


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Depuis le 31 janvier 2018 les salarié-es de la Coop-UQAM sont sans convention collective. L’employeur refuse de débuter les négociations ou reporte sans cesse les rencontres. Voici quelques faits sur votre Coop: • Les hausses du salaire minimum ont rattrapé les salaires des travailleuses et des travailleurs de la Coop-UQAM à deux reprises en l’espace de quatre ans. • Les travailleuses et les travailleurs de la Coop-UQAM sont les plus mal rémunérés de l’UQAM. • Il est difficile pour les travailleurs et travailleuses de la Coop-UQAM d’obtenir une conciliation travail-famille? • Il est difficile pour les travailleuses et travailleurs de la Coop-UQAM d’obtenir un semblant de communication entre salariés et employeur.

L’innovation dans la mire de l’UQAM : entrevue avec la rectrice Magda Fusaro


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La nouvelle rectrice de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Magda Fusaro, a marqué le début de son mandat de 5 ans par le lancement d’un programme ambitieux qu’elle nomme « Une communauté, 10 actions, 100 jours ».  Celle qui succède à Robert Proulx depuis janvier 2018 se donne le défi de mettre sur pied 10 actions prioritaires au cours des prochains mois, passant du développement de l’éducation inclusive à l’élaboration d’une stratégie concertée pour favoriser la contribution de l’UQAM à l’innovation. Entretien avec la femme derrière la vision.

Lire la suite sur Quartier de l’innovation.

Rapport 2016-2017 de l’ombudsman de l’UQAM : baisse du nombre de plaintes


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Dans son rapport 2016-2017, présenté au Conseil d’administration le 20 mars, l’ombudsman de l’UQAM Muriel Binette fait état d’une baisse du nombre de plaintes et de demandes de consultation reçues à son Bureau au cours de l’exercice par rapport à l’année précédente. L’ombudsman a reçu 496 demandes de consultation contre 601 en 2015-2016 et 393 plaintes contre 444 l’année précédente. «Nous sommes revenus à une situation que je qualifierais de normale, dit l’ombudsman. Ce qui l’était moins, c’était la hausse importante, par rapport aux années précédentes, du nombre de demandes en 2015-2016. On note, toutefois, une légère hausse du nombre de plaintes aux cycles supérieurs en 2016-2017, en particulier au second cycle.