Malgré le départ de 3 membres : une lutte commune demeure pour le RAPSIM


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal a pris acte du retrait de trois de ses membres, l’Accueil Bonneau, la Maison du Père et la Mission Bon Accueil, qui ont annoncé leur décision au RAPSIM la semaine dernière avant de la communiquer aux médias. Malgré le départ de ces organismes, le Réseau souhaite continuer à travailler avec l’ensemble des acteurs impliqués dans la lutte à l’itinérance. Pour le RAPSIM, l’atteinte de l’objectif de la réduction de l’itinérance chronique, privilégié par ces groupes, passe par une diversité d’actions nécessaires pour prévenir et réduire l’itinérance.

Lire la suite.

Cinq ans d’interventions dans le métro de Montréal : «Le métro, un peu comme un grand centre de jour»


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Chaque jour, de nombreuses personnes en situation d’itinérance trouvent refuge dans le métro. Si la majorité des usagers de la Société de transport de Montréal (STM) passent leur chemin sans les remarquer, certains les cherchent. Métro a suivi, le temps d’une matinée, les intervenants psychosociaux de la Société de développement social (SDS), qui parcourent le réseau souterrain pour venir en aide aux personnes itinérantes ou vulnérables.

Lire la suite.

Un pas de plus en vue de l’implantation des wet services à Montréal.

Lors d’un important Forum sur l’itinérance, le RAPSIM interpelle le fédéral sur son aide


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Plus de 150 personnes, dont la mairesse de Montréal, Valérie Plante, ont participé à un grand Forum, le 16 mars, pour faire le point sur la lutte à l’itinérance. Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM), qui organisait ce rassemblement, en a profité pour interpeller le gouvernement fédéral afin qu’il précise rapidement les importants engagements annoncés l’an dernier pour contrer l’itinérance. «Il est crucial que le gouvernement fédéral affecte ces fonds avec une approche globale permettant de soutenir une diversité d’interventions pour prévenir et réduire l’itinérance. Cette orientation sera centrale pour pouvoir poursuivre et consolider les actions à mener dans la prochaine décennie», a affirmé le directeur du RAPSIM, Pierre Gaudreau.

Le père Emmett Johns, un héritage exceptionnel


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

C’est avec beaucoup d’émotion que toutes personnes touchées par les réalités de l’itinérance ont appris le décès du père Emmet Johns. Il y a d’abord des milliers de jeunes (aujourd’hui devenus adultes et parfois même retraités !) qui ont bénéficié du soutien de son action depuis 30 ans. L’œuvre de POPS a été remarquable, par son approche terrain d’aide inconditionnelle et sa reconnaissance du droit à l’erreur. Son travail devenu celui d’un organisme solide avec toute une équipe a permis à des milliers de jeunes d’éviter la rue et de s’en sortir. Il a légué un héritage exceptionnel avec l’action toujours nécessaire de Dans la rue 30 ans plus tard, avec son centre de jour, son hébergement, son école de la rue, son motorisé qui sillonne les rues et ses logements sociaux.

SPLI et Ville : nouvelles de fin d’année en itinérance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le temps des fêtes est passé, mais tout comme l’itinérance, l’action sur celle-ci n’a pas pris de vacances. Au niveau fédéral, les travaux se poursuivent sur l’orientation qui sera donnée à l’affectation des fonds annoncés dans la Stratégie de partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI) pour la décennie 2019-2028. À Montréal, la nouvelle administration est à peaufiner le prochain Plan d’action de la Ville en itinérance. Voici un bref topo de ce qui en est connu. Contrairement à ce que certains ont pu écrire suite à la sortie de la Stratégie nationale en logement le 22 novembre dernier, l’orientation des fonds qui sera donnée à la SPLI n’est pas déterminée.

L’itinérance dans les grands froids : l’année 2018 sera déterminante dans les décisions que prendront les gouvernements


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Les exceptionnels grands froids qui frappent Montréal depuis la fin décembre ont amené une grande couverture médiatique de l’itinérance dans ce contexte, de même que de nombreux gestes d’entraide de la population. Il faut s’en réjouir, le vortex polaire rend encore plus dangereuse la vie dans la rue. L’itinérance constitue cependant un drame dans la vie d’un trop grand nombre de personnes 365 jours par année. Les ressources pour sans-abri opèrent le plus souvent à plein rendement cet hiver, c’est le cas depuis l’été dernier à Montréal. Ces ressources se retrouvent malheureusement souvent en situation de sur-occupation, les ressources d’hébergement pour femmes devant trop souvent refuser certaines d’entre elles, faute de places.

Quand le juge serre la main de l’accusé


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Il est plutôt rare de voir un juge quitter son siège pour aller serrer la main d’un accusé et le féliciter pour ses progrès. C’est pourtant un changement de culture qu’a réussi à provoquer un tribunal spécialisé en santé mentale depuis sa mise en place à la Cour municipale de Québec en 2014. Près de 300 dossiers ont été traités jusqu’à maintenant par le projet d’Intervention multisectorielle programmes d’accompagnement à la cour municipale (IMPAC). Ce tribunal adapté accompagne des personnes en situation d’itinérance ou qui vivent des problèmes de santé mentale qui ont commis différents délits.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

Stratégie nationale sur le logement : des choix insuffisants pour la lutte à l’itinérance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) est insatisfait des annonces en logement faites par le gouvernement fédéral aujourd’hui. Le RAPSIM reconnait la pertinence des fonds annoncés pour entretenir le parc de logements sociaux existants. Cependant, afin de réduire l’itinérance chronique de 50%, il aurait été crucial que cette stratégie prévoie des fonds beaucoup plus importants pour de nouveaux logements sociaux. «Alors que plus de 41 000 ménages locataires à Montréal consacrent 100% de leur revenu pour se loger, il est évident que plusieurs de ceux-ci sont à fort risque de perdre leur logement. Pour agir sur cette situation le gouvernement aurait dû concentrer ses fonds dans le développement de nouveaux logements sociaux», affirme le directeur du RAPSIM, Pierre Gaudreau.

Nouvelle mairesse, nouveaux engagements : quelle lutte à l’itinérance sous Valérie Plante?


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

La population montréalaise a donné, lors des élections municipales du 5 novembre dernier, un mandat majoritaire à Valérie Plante. Projet Montréal a pris des engagements importants et diversifiés en matière de lutte à l’itinérance: le plan d’intervention proposé devrait comprendre un soutien accru aux ressources du centre-ville et le développement d’interventions par le biais d’unités mobiles, de même que des investissements additionnels dans les centres de jour. Dans le programme du parti, on retrouve aussi la nécessité d’intervenir à l’échelle de toute la ville et de favoriser la solidarité dans chacun des quartiers montréalais, tout comme la volonté de miser sur une approche plus sociale que répressive.

Portrait des centres de jour de Montréal : disponible en ligne


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

En juin 2016, la Ville de Montréal amorçait, en collaboration avec le RAPSIM et le Service régional du CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, la réalisation d’un portrait des centres de jour destinés aux personnes en situation ou à risque d’itinérance. L’objectif de la démarche? Décrire de façon précise les services offerts par les centres de jour sur le territoire de Montréal, mais aussi explorer leur apport spécifique à la lutte à l’itinérance. Au final, 27 organismes communautaires ont ainsi été mobilisés dans l’élaboration de ce portrait, maintenant disponible en ligne sur le site de la Ville de Montréal. Les centres de jour de Montréal, qui accueillent quotidiennement des centaines de personnes marginalisées, sont essentiels pour prévenir et réduire l’itinérance.

28e Nuit des sans-abri de Montréal : de responsabilité collective à engagements concrets


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

La 28e édition de la Nuit des sans-abri s’est tenue vendredi, à Montréal comme dans 40 autres villes du Québec. Propulsé par le milieu communautaire, cet événement constitue un moment privilégié pour sensibiliser la population aux réalités vécues par les personnes en situation ou à risque d’itinérance. Sous le thème «On a tous un rôle à jouer, lequel?», il s’agissait cette année de souligner la responsabilité que nous portons collectivement face au phénomène, interpellant les acteurs politiques afin que cette même responsabilité se décline en engagements concrets. À deux semaines des élections municipales, plusieurs candidates et candidats ont participé à l’événement, dont Denis Coderre et Valérie Plante, qui briguent tous deux la mairie de Montréal.

La 28e Nuit des Sans-Abri de Montréal au square Cabot le 20 octobre


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

La 28e Nuit des Sans-Abri de Montréal se déroulera au square Cabot (Métro Atwater) le vendredi 20 octobre de 16h à 1h30. Cette immersion dans le monde de la pauvreté et de l’itinérance vous permettra de prendre conscience des difficultés et enjeux vécus quotidiennement par les personnes en situation d’itinérance.

Pour consulter la programmation.

L’Université de Montréal offre le seul cours en itinérance au Québec


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Alors qu’il y a trois ans qu’un manque de formation sur l’itinérance a été constaté par le gouvernement du Québec, l’Université de Montréal (UdeM) demeure le seul établissement postsecondaire québécois à proposer un cours dédié à l’étude de ce phénomène. «Il n’y avait rien. Il n’y avait aucun cours en itinérance en milieu universitaire. L’UdeM est la seule université à proposer un cours sur l’itinérance», a indiqué à Métro la cotitulaire de l’école d’été sur l’itinérance et directrice de l’Observatoire sur les profilages (OSP), Céline Bellot.

Lire la suite du texte du journal Métro.

Semaine nationale d’actions : la pauvreté et l’itinérance c’est assez !


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Alors que l’itinérance se complexifie et augmente dans plusieurs régions du Québec, les membres du Réseau SOLIDARITÉ itinérance du Québec (RSIQ) demandent un effort beaucoup plus soutenu du gouvernement du Québec. Le dernier budget nous apparait nettement insuffisant pour combler les besoins de l’ensemble des régions en matière de lutte à l’itinérance. Cette semaine, aux quatre coins de la province, les membres du RSIQ feront le point sur leur situation régionale et demanderont au gouvernement du Québec de prendre les moyens qui s’imposent afin de prévenir efficacement et réduire l’itinérance. «Malgré l’adoption en 2014 d’un Plan d’action ambitieux mobilisant 10 ministères, les municipalités et les organismes de prévention et de lutte à l’itinérance,  force est de constater que celui-ci peine toujours à se déployer», déplore Mathieu Frappier, coordonnateur du RSIQ.

Ottawa veut en faire plus pour contrer l’itinérance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le gouvernement fédéral cherche à réduire de moitié le nombre de sans-abri les plus difficiles à aider. Des experts affirment qu’une telle démarche pourrait être un élément clé vers la fin de l’itinérance au pays. La future Stratégie nationale sur le logement vise à faire baisser de 50% le nombre de sans-abri «chroniques» et d’itinérants «épisodiques», soit ceux qui se retrouvent dans la rue de façon répétitive ou à plusieurs moments dans leur vie. On souhaite se pencher sur ceux ne fréquentant pas des centres d’hébergement pour itinérants et pour qui il est plus ardu d’obtenir du soutien à travers les programmes traditionnels.

Un bilan de l’itinérance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Il ne fait plus -20 degrés et la neige a fondu, mais vivre dans la rue n’est pas pour autant devenu agréable. L’itinérance reste un problème 365 jours par année. Au-delà des effusions de générosité à Noël, en fait-on assez? Une année après la nomination du premier Protecteur des itinérants de Montréal, un bilan s’impose. On commence enfin à trouver des élus de bonne foi pour épauler les intervenants sur le terrain. On dépense un peu plus et un peu mieux, mais le travail à faire reste énorme. En fait, il commence à peine.

Lire la suite de l’éditorial de La Presse.

Stratégie centre-ville : des enjeux majeurs en itinérance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Les consultations publiques sur le projet de Stratégie centre-ville sont terminées, et le RAPSIM a tenu à y exprimer ses fortes inquiétudes. Ambitieux projet de revitalisation du centre-ville de Montréal, la stratégie vise à densifier et à dynamiser le secteur en y attirant plus de résidants, de bureaux et de commerces. Grands chantiers, réaménagements, densification: les impacts seront majeurs. Quelle place y aura-t-il dans ce Montréal de demain pour les personnes à faible revenu, pour les personnes en situation d’itinérance et pour les ressources leur venant en aide ? L’approche et la mise en oeuvre de la Stratégie centre-ville doivent faire en sorte que le développement du centre-ville ne se réduise pas à une offre destinée qu’aux personnes les plus riches.

Le fédéral doit prévoir des investissements majeurs et à long terme pour faire reculer l’itinérance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le prochain budget fédéral doit prévoir des investissements majeurs et à long terme pour faire reculer l’itinérance. Tel est le message qu’a livré le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) jeudi 20 octobre à Québec dans le cadre de la tournée de consultation du Comité permanent des finances de la Chambre des communes. À la veille de la Nuit des sans-abri, le RAPSIM y a exprimé l’importance que ce prochain budget confirme un changement de cap dans les politiques d’Ottawa.

Lire la suite.

Nuit des sans-abri : coucher dehors pour la cause


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le 21 octobre prochain, la 27e Nuit des sans-abri sensibilisera les Montréalais à la réalité et aux différents enjeux de l’itinérance. Ce sera aussi l’occasion d’interpeller les acteurs politiques à l’importance de se mobiliser devant la croissance du nombre de gens vivant dans la rue. «C’est une nuit malheureusement encore nécessaire. Nous avons eu un point de presse récemment sur la disparition de maisons de chambres, ce qui risque encore d’aggraver le problème, tout comme l’insuffisance des logements sociaux. Nos actions se poursuivent 365 jours par an», explique le porte-parole de la Nuit des sans-abri et coordonnateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RASPSIM), Pierre Gaudreau.

Dernier rempart contre l’itinérance : maisons de chambres en péril dans le centre-ville de Montréal


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Les maisons de chambres, dernier rempart contre l’itinérance pour plusieurs personnes vulnérables, continuent de tomber comme des mouches dans l’arrondissement Ville-Marie, a dénoncé mardi le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). Depuis quelques années, ces logements abordables du centre-ville sont menacés d’être transformés en condos ou en hôtel, comme c’est le cas actuellement de deux adresses situées sur la rue Sainte-Catherine Est.

Lire la suite du texte du journal Métro.

Sommet à Toronto : les maires donnent leurs idées pour une politique nationale du logement.

Nombre record de sans-abri dans les rues de Vancouver


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le maire de Vancouver, Gregor Robertson, a non seulement perdu son pari de mettre fin à l’itinérance dans les rues de sa ville en 2015, mais aussi, un an plus tard, leur nombre a atteint un record: 6% de plus, selon le recensement annuel des sans-abri de la Ville. Gregor Robertson affirme que la métropole britanno-colombienne a fait tout ce qu’elle a pu et même «plus que toutes les autres villes canadiennes» pour éradiquer le problème de l’itinérance. Il blâme la province et le gouvernement fédéral pour n’avoir pas assez investi en prévention, selon lui.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

Analyse du FRAPRU : la conjoncture actuelle en habitation


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Cette analyse de la conjoncture en habitation a été rédigée en vue du 36e congrès annuel du FRAPRU qui a eu lieu les 27, 28 et 29 mai, à l’Université Laval, à Québec. La défaite du gouvernement conservateur de Stephen Harper et l’arrivée au pouvoir du Parti libéral de Justin Trudeau posent de nouveaux défis dans notre lutte face à Ottawa. Le budget présenté le 22 mars dernier par le ministre des Finances, Bill Morneau, a montré la volonté du gouvernement libéral d’investir des sommes substantielles en habitation pour s’attaquer aux problèmes de logement et d’itinérance. Le budget présenté le 17 mars 2016 par le ministre québécois des Finances, Carlos Leitão, a, quant à lui, maintenu les coupes annoncées dans AccèsLogis.

Inuits et itinérance : le préjugé perdure au SPVM


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Les mots «itinérant» et «autochtone» ne sont pas interchangeables. C’est ce que tient à rappeler Ossie Michelin, un résidant du quartier Saint-Henri, à Montréal, une semaine après un incident impliquant le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Malgré les activités de sensibilisation et l’existence d’une formation sur la question autochtone au sein du corps policier, le jeune Inuit estime avoir été témoin de profilage racial lors d’une tournée policière qui a eu lieu mardi dernier dans le secteur où il habite.

Lire la suite du texte du Devoir.

Une application pour aider les itinérants ayant perdu leurs papiers.

Avec 80000 nuitées l’hiver dernier en itinérance, les 10 millions $ annoncés par Ottawa sont urgents


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) demande la sortie rapide des fonds accrus annoncés dans le budget fédéral pour la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). L’hiver dernier, les ressources d’hébergement d’urgence ont dû offrir plus de 80000 nuitées, une fréquentation sans précédent qui constitue un triste record.

Lire la suite.

Petit guide d’interactions avec les itinérants.

Financement en itinérance : Un 10 millions $ à affecter adéquatement et rapidement


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Dans son dernier budget, le gouvernement fédéral a annoncé une hausse importante du montant attribué à son programme SPLI (Stratégie de partenariats de lutte à l’itinérance). Étant donné l’ampleur de la situation de l’itinérance à Montréal, ces fonds doivent être attribués en tenant compte des différents besoins et le plus vite possible. Voilà pourquoi le RAPSIM vous invite à participer dès maintenant à une campagne de lettres auprès des ministres responsables à Ottawa et à Québec. Vous pouvez reprendre le modèle de lettre proposé et le personnaliser à votre guise. Ensuite, envoyez votre lettre au ministre fédéral, Jean-Yves Duclos, de même qu’à la ministre déléguée à Québec, Lucie Charlebois, d’ici le 29 avril.