L’UNICEF et l’UE font front commun pour réaffirmer le droit de l’enfant à l’éducation dans les zones de crise


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La question de l’éducation des enfants touchés par des situations de crise devrait prochainement faire l’objet d’une d’attention accrue avec le lancement, par le Fonds des Nations Unies pour l’enfance et l’Union européenne, d’une campagne publique appuyée par les réseaux sociaux visant 20 millions d’Européens. L’UNICEF a souligné que près d’un enfant sur quatre en âge de fréquenter l’école dans le monde – 462 millions – vit actuellement dans l’un des 35 pays affectés par des crises et, parmi eux, 75 millions ont absolument besoin d’un soutien éducatif.

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François Blais, les jeunes et l’effet libéral


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Il y a au Québec 25% des enfants qui se présentent en maternelle avec au moins une vulnérabilité face à ce que l’école exige d’eux. Près de 7% de nos tout-petits commencent leur première journée d’école non pas avec un, mais avec au moins trois types de vulnérabilité parmi les cinq suivantes: santé physique, compétences sociales, maturité affective, développement du langage, habiletés de communication. Et au premier rang de ces plus vulnérables: les garçons, les enfants de milieux défavorisés et de familles immigrantes. C’est dans ce premier petit bout de vie, entre 0 et 5 ans, qu’il faut investir avant de penser à punir, comme se prépare à le faire François Blais dans son projet de loi 70, les jeunes qui se retrouveront plus tard à l’aide de dernier recours faute d’avoir pu monter dans le train dès les premières années de leur vie.

Enfants et santé mentale : Les ressources manquent pour surmonter les embûches


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Quand tout a été essayé. Quand la famille ne tient plus. Quand la peur du pire s’immisce insidieusement dans le quotidien… Quelles sont les ressources pour les familles dont un enfant souffre de troubles mentaux sévères ? C’est l’hôpital ou le centre jeunesse… «Pour être hospitalisé, le jeune doit vivre une crise aiguë: tentative de suicide, psychose compensée ou être un danger pour les autres», affirme Martine Jacob, responsable de la santé mentale au Centre jeunesse de Montréal. Comme les hôpitaux manquent cruellement de lits en pédopsychiatrie, les jeunes ne restent souvent pas hospitalisés longtemps et obtiennent leur congé sans avoir un suivi adéquat.