Investir dans les doctorants grâce au renouvellement du corps professoral


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Les titulaires de doctorat de la dernière génération sont aux prises avec un ralentissement du marché de l’emploi universitaire au Canada, et bon nombre d’entre eux doivent se contenter de postes d’enseignement qui offrent peu de soutien à la recherche ou de postes hors du milieu universitaire. Le déclin des emplois universitaires est principalement traité comme un problème d’étudiants aux cycles supérieurs: les doctorants doivent être mieux informés et préparés à se tourner vers d’autres options, tandis que les départements doivent réduire l’accès à leurs programmes de doctorat en fonction de la disponibilité des emplois. Le problème est présenté comme étant lié à l’offre plutôt qu’à la demande.

La privatisation de l’éducation «fabriquée au Canada»


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L’éducation représente un marché de plusieurs billions de dollars. D’après Edudemic, un site Web qui fait la promotion des technologies en éducation, ce marché n’est [traduction libre] «pas seulement énorme; il a récemment connu plus de changements que jamais auparavant. De jeunes entreprises poussent pour combler des lacunes et créer de nouvelles technologies au service de ce secteur de plus en plus lucratif». La porte de la privatisation a été largement ouverte par les adeptes du mouvement mondial de réforme de l’éducation ou GERM (l’acronyme anglais de Global Education Reform Movement), ces charmantes personnes qui font la promotion des écoles à charte, des programmes de bons d’études, de la concurrence accrue entre les écoles, de la responsabilisation par les tests et du resserrement du programme d’études.

Les campus équitables sont pour qui au juste?


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Qu’il s’agisse de conversations publiques ou de campagnes promotionnelles visant à attirer de nouveaux étudiants et professeurs, les universités canadiennes se flattent de la façon dont elles privilégient l’inclusion et la diversité. Elles présentent un caractère idéalisé dans l’imaginaire du grand public et sont vues comme des milieux propices aux nouvelles idées et des carrefours de l’innovation. Or, l’enceinte des campus n’est pas aussi impénétrable qu’elle y paraît. Pour le meilleur et pour le pire, elle englobe et reproduit l’agitation qui règne tout autour. «L’université est en fait le miroir de la société et de ce qui s’y produit, explique Frances Henry.

PAS d’RADIS fiscaux : l’ÉTAT d’urgence, du 16 au 18 novembre


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L’événement «PAS d’RADIS fiscaux: l’ÉTAT d’urgence», organisé par l’ATSA (Quand l’art passe à l’action), se déroulera les 16 (soirée de lancement) et 18 novembre (en après-midi) à la place Émilie-Gamelin, à Montréal. Une grande mobilisation artistique et citoyenne contre les paradis fiscaux.

La centralisation menace l’équité du financement des organismes partout au Québec


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La Coalition des Tables régionales d’organismes communautaires (CTROC) dénonce les conséquences alarmantes et inéquitables de la vision centralisatrice du gouvernement. RéuniEs en rencontre nationale à Québec, les réprésentantEs de treize régions déplorent que de nombreuses décisions ministérielles en lien avec le financement des organismes soient imposées dans toutes les régions du Québec, faisant fi des pouvoirs accordés aux CISSS et aux CIUSSS et en écorchant au passage le rôle des regroupements régionaux. «Il est évident que le besoin de financement est criant pour tous les organismes, mais la CTROC demande au gouvernement d’être transparent dans sa façon d’attribuer de nouveaux montants et de respecter les cadres régionaux en vigueur», souligne Hugo Valiquette, co-porte-parole de la CTROC.

Les municipalités et l’action communautaire autonome : trois fiches d’information


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En ce lendemain des élections municipales, des organismes communautaires auront à prendre contact avec vos nouveaux et nouvelles élu-e-s afin de leur faire connaître leurs préoccupations. Avec le nouveau plan de lutte contre la pauvreté qui s’en vient et l’autonomie accrue des municipalités en matière de développement social, les organismes communautaires seront amenés à travailler de plus en plus étroitement avec les municipalités. Pourtant, celles-ci ont souvent de la difficulté à faire la différence entre un OSBL et un organisme d’action communautaire autonome. Cette méconnaissance de notre travail amène parfois des politiques et des ententes qui ne respectent pas notre autonomie ou nos pratiques.

Financement de l’éducation des adultes : situation dramatique pour des organisations en éducation des adultes financées par le gouvernement fédéral


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La politique budgétaire du gouvernement fédéral en matière de soutien aux organisations en éducation des adultes a été fortement critiquée ces dernières semaines. Il y a quelques jours, le Réseau pour le développement de l’alphabétisme et des compétences (RESDAC) a interpellé Emploi et Développement social Canada concernant son financement. Le RESDAC se trouve dans une situation dramatique, alors qu’il n’a plus de revenus, plus de locaux ni d’employés. Le président du RESDAC, Donald Desroches considère que ce ministère fédéral «n’appuie plus le développement de l’alphabétisme». Au début du mois de septembre, des regroupements provinciaux en alphabétisation des provinces maritimes ont fait connaître la disparition de leur financement, en provenance du gouvernement fédéral.

Portrait des centres de jour de Montréal : disponible en ligne


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En juin 2016, la Ville de Montréal amorçait, en collaboration avec le RAPSIM et le Service régional du CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, la réalisation d’un portrait des centres de jour destinés aux personnes en situation ou à risque d’itinérance. L’objectif de la démarche? Décrire de façon précise les services offerts par les centres de jour sur le territoire de Montréal, mais aussi explorer leur apport spécifique à la lutte à l’itinérance. Au final, 27 organismes communautaires ont ainsi été mobilisés dans l’élaboration de ce portrait, maintenant disponible en ligne sur le site de la Ville de Montréal. Les centres de jour de Montréal, qui accueillent quotidiennement des centaines de personnes marginalisées, sont essentiels pour prévenir et réduire l’itinérance.

Portrait des 103 élues et élus de la Ville de Montréal


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Élection Montréal a produit un portrait des 103 personnes élues le 5 novembre 2017. Ce sont donc 53 femmes (51%), dont la moyenne d’âge est de 49 ans, et 50 hommes (49%), dont la moyenne d’âge est de 51 ans, qui ont été élu.es à l’un ou l’autre des 103 postes électifs de la Ville de Montréal. Outre la nouvelle mairesse de la Ville de Montréal, madame Valérie Plante, sept femmes ont été élues à l’une des 18 mairies d’arrondissement (39%); 22, aux 46 postes de conseillères de la Ville (48%) et 23, aux 38 postes de conseillères d’arrondissement (61%).

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Le droit collectif de s’associer : un droit à défendre et des luttes solidaires à mener, rencontre le 8 décembre


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La Ligue des droits et libertés (LDL), la Table des regroupements provinciaux et organismes communautaires et bénévoles (TRPOCB) et le Service aux collectivités de l’UQAM (SAC UQAM) ont conclu récemment une recherche-action faisant état des sérieuses entraves imposées par l’État au droit collectif d’association des OSBL. Les trois organismes invitent les organisations communautaires et syndicales à une rencontre portant sur les conclusions de cette recherche, intitulée La surveillance et le contrôle technocratique des organismes sans but lucratif (OSBL): un enjeu de droits collectifs. Cette rencontre, le vendredi 8 décembre , de 13h à 16h30, à la salle DR-200, pavillon Athanase-David, à l’UQAM, permettra aux organisations qui y participeront de s’approprier et d’échanger sur l’argumentaire proposé pour soutenir la défense de ce droit essentiel lorsqu’il s’agit de défendre tous les autres droits de la personne.

Nouvelle action : carte «Ça suffit l’acharnement, mon OSBL n’est pas un lobby!»


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Depuis 2002, les OSBL du Québec ont dû se défendre contre trois tentatives pour les assimiler à des lobbyistes: par les propositions du Commissaire au lobbyisme, en 2008 et 2012, et ensuite par le projet de loi 56, en 2015. Puisque rien n’annonce encore la fin de ces tentatives, les actions de la campagne «Mon OSBL n’est pas un lobby» doivent se poursuivre. Tous les groupes communautaires et tous les OSBL sont invités à transmettre la carte «Ça suffit l’acharnement, mon OSBL n’est pas un lobby!» lors de toute rencontre ou conversation avec des personnes élues, des fonctionnaires ou du personnel politique.

Transferts aux actionnaires canadiens : conditions réunies pour une nouvelle crise


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Entre 2000 et 2015, le montant des revenus de placement dans les entreprises canadiennes a connu une hausse considérable. Cette évolution est marquée de deux périodes de hausse: la première précède la crise financière de 2008, qui fut suivie par une légère diminution après la crise; la deuxième est en cours, avec une remontée graduelle à partir de 2010, puis d’une hausse spectaculaire de 20% en 2015. Pourtant, on constate en même temps que le nombre de déclarants stagne depuis 2010, voire diminue légèrement en fin de période. Cette évolution de l’industrie financière canadienne entraîne donc vraisemblablement un accroissement des inégalités, propice à recréer les conditions d’une crise financière et économique.

Lutte à la pauvreté et revenu minimum garanti : mise en garde au gouvernement québécois


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Le troisième Plan d’action gouvernemental en matière de lutte à la pauvreté et à l’exclusion sociale est attendu cet automne et le gouvernement a laissé entendre qu’un projet de revenu minimum garanti pourrait en faire partie. Aujourd’hui, le Collectif pour un Québec sans pauvreté, accompagné des représentantes et représentants de cinq organisations, a dévoilé une déclaration de principes sur le revenu minimum garanti (RMG) qui se veut une mise en garde au gouvernement. Car malheureusement, rien ne garantit que son éventuel projet de RMG sera un outil de progrès social. Rappelons que les ministres Carlos Leitão et François Blais, à la demande du premier ministre, ont mis sur pied un comité d’experts sur le RMG à l’été 2016.

SÉTUE : la semaine féministe pour le respect du 6 au 10 novembre


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Le SÉTUE présente une semaine d’ateliers et d’activités sur le féminisme et le respect, en compagnie d’invité-es. Le tout se déroulera sur l’heure du dîner avec quelques événements en soirée, à l’UQAM, du 6 au 10 novembre. Au programme : • Atelier Formation sur les témoins actifs, le 6 novembre • Atelier Comment déceler les comportements harcelants et soirée d’improvisation et discussion «Sexisme en science», organisée par le Comité des femmes en sciences de l’UQAM, le 7 novembre • Atelier Perspectives féministes sur le travail étudiant, le 8 novembre • Atelier Femmes, racisme et travail et projection du documentaire The Hunting Ground, à propos du harcèlement sur les campus universitaires américains, le 9 novembre • Atelier d’autodéfense pour femmes, par le Centre de prévention des agressions de Montréal.

Bilan de campagne : un mandat clair pour la lutte à l’itinérance


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Alors que se termine la campagne électorale, le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) a tenu à noter l’importance accordée à la lutte à l’itinérance par les deux principaux partis. Non seulement Denis Coderre et Valérie Plante étaient de la marche de la Nuit des sans-abri, mais ils ont tous deux, avec leur parti respectif, rendu publics des engagements précis. En début de campagne, le RAPSIM avait tenu un point de presse pour souligner qu’ « en itinérance, beaucoup reste à faire. » Le regroupement avait alors insisté sur la nécessité d’une approche globale dans la lutte à l’itinérance, avec de fortes actions à mener pour le développement de logements sociaux et la sauvegarde des maisons de chambres, ainsi que pour contrer le profilage social.

Une proposition pour Montréal : pour une ville sans pub


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Du matin au soir, nous sommes bombardé·e·s de publicités. Elles sont présentes à la télé, à la radio, dans les journaux et sur Internet, mais aussi sur les panneaux qui longent les routes, dans les transports en commun ou sur les coins de rue. Les salles de bain de bars et de restaurants sont également envahies par la publicité, tout comme les taxis ou les corridors publics. S’il est possible de fermer le journal, la radio ou la télé, il peut s’avérer difficile de se soustraire à la publicité quand celle-ci se trouve sur son trajet à l’extérieur. De plus, celle-ci ne répond pas toujours à des normes très élevées.

Quand l’argent libère l’esprit


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On présuppose parfois dans le discours populaire et politique que les riches ont une vie plus stressante que celle des pauvres. Mais qu’en est-il vraiment? Est-ce que les gens à faible revenu peuvent réellement se la couler douce et vivre paisiblement alors qu’un haut revenu serait nécessairement accompagné de plus de responsabilités et donc d’une vie plus stressante? Bien que nous connaissions désormais les effets pervers du stress, notamment sur la santé, cette relation entre revenu et stress est très peu documentée en science économique. Dans ce billet, à l’aide des données de Statistique Canada, nous verrons que ce sont en fait les gens à faible revenu qui semblent être le plus susceptibles de mener une vie particulièrement stressante.

Commission Viens : le gouvernement doit assurer la participation de Femmes autochtones du Québec


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C’est avec consternation que la Ligue des droits et libertés (LDL) a appris que Femmes autochtones du Québec (FAQ) devait se retirer des audiences de la Commission d’enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publics au Québec (Commission Viens) faute de financement adéquat de la part du gouvernement. Faut-il rappeler que la Commission Viens a été mise sur pied dans la foulée des révélations des agressions subies par des femmes autochtones de la région de Val-d’Or. Il est inconcevable que la principale organisation de défense des droits de ces femmes au Québec soit exclue des travaux de la Commission pour des raisons financières.

L’ICÉA présentera des portraits d’organismes fragilisés par les réductions du financement public dédié à l’éducation, le 21 novembre


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L’ICÉA présentera des portraits d’organismes fragilisés par les réductions du financement public dédié à l’éducation et lancera les nouvelles éditions de sa publication en ligne, Apprendre + Agir, et de ses indicateurs de l’éducation le mardi 21 novembre à compter de 16h30 au 4321, avenue Papineau, à Montréal. L’ICÉA convie ses membres, ses partenaires et toutes les personnes intéressées à venir découvrir ces nouveautés de l’année 2017. Veuillez confirmer votre participation en présence auprès d’Hervé Dignard: hdignard@icea.qc.ca. Les personnes qui ne pourraient assister à ces événements en présence auront la chance de le faire en ligne. Les personnes intéressées sont priées de communiquer leurs coordonnées à Hervé Dignard.

Douze jours d’action pour l’élimination des violences envers les femmes


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Date anniversaire de l’assassinat politique et sexiste de trois sœurs en République dominicaine, le 25 novembre a été proclamé par l’ONU comme étant la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Au Québec, le 25 novembre marque le début des 12 jours d’action pour l’élimination des violences envers les femmes. Ceux-ci culminent lors de la Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes, le 6 décembre, commémorant le meurtre de 14 jeunes femmes en 1989 à l’École Polytechnique de Montréal. Pendant ces 12 jours d’action, les féministes partout au Québec se mobilisent afin de sensibiliser la population à l’ensemble des violences envers toutes les femmes et afin de poser des actions concrètes pour éliminer ce fléau.

Causerie féministe de la FFQ : les femmes et le travail domestique, le 5 novembre


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Une fois tous les deux mois aura lieu une rencontre autour d’un enjeu féministe durant laquelle discuteront ensemble une auteure (ou une invitée spécialiste de l’auteure), une invitée militante féministe et le public. Chaque édition des Causeries féministes est organisée à Montréal et dans une ville de région. Pour cette première édition, nous serons en partenariat avec L’Euguélionne, librairie féministe le dimanche 5 novembre à 15h, au 1426 rue Beaudry à Montréal pour aborder la question des femmes et du travail domestique. Vaisselle, ménage, repassage… des tâches dévolues autant aux femmes au sein des familles que celles en couple hétérosexuel, que ce soit avec ou sans enfants.

Les territoires face aux changements climatiques : une approche intégrée de transition


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Pour lutter contre les changements climatiques, le Québec se doit de repenser les cadres de l’action territoriale et de se donner les moyens d’accentuer une réelle démarche efficace et respectueuse de la diversité des contextes territoriaux. Nous nous inspirons du concept français de «territoires à énergie positive» et des principes d’écologie industrielle et territoriale pour proposer une approche intégrée et originale de transition capable d’allier transition écologique, occupation du territoire et développement économique local. Elle donnera aux régions, MRC et municipalités la capacité d’initier un mouvement de transition à la grandeur de leur territoire pour profiter de leur richesse socio-écologique et faciliter leur revitalisation.

Portrait 2016 de la finance responsable : l’investissement responsable atteint 50 % des actifs financiers au Québec


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Dans le cadre du 4e Colloque québécois sur l’investissement responsable, nous rendons public le Portrait 2016 de la finance responsable. On y apprend notamment que la finance responsable a bondi de 131% au Québec en 10 ans, pour atteindre 50% de l’épargne totale. La moitié des actifs financiers québécois sont maintenant responsables, c’est-à-dire investis en considérant les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance. En progression phénoménale au Québec, les actifs de la finance responsable (investissements directs et placements boursiers réunis), sont passés en 10 ans de 198 milliards $ à 457 milliards $, soit une augmentation de 131%.

L’UQAM accompagne les victimes de violences sexuelles voulant porter plainte


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Une intervenante sociale du Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) Trêve pour Elles accompagne depuis septembre les étudiants et les employés de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) victimes de violences à caractère sexuel désirant porter plainte. L’intervenante sociale Annie Girard a depuis septembre son propre bureau entre les murs de l’UQAM. Trois jours par semaine, elle offre du soutien téléphonique et en personne aux victimes de violences à caractère sexuel. Mme Girard donne également des ateliers de sensibilisation et des formations autant à la direction, aux agents de sécurité qu’aux étudiants en tant que tels et offre un accompagnement «tout au long du processus» aux victimes désirant porter plainte auprès du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ou auprès des autorités universitaires.

Une étude établit un lien entre le vapotage et le tabagisme chez les jeunes


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Les adolescents qui vapotent courent plus de risques de passer plus tard à la cigarette, selon une vaste étude menée au Canada. Mais les chercheurs se demandent si ces jeunes n’auraient pas déjà tendance à adopter de toute façon des comportements à risque, quels qu’ils soient. L’étude, menée auprès de plus de 44 000 élèves du secondaire en Ontario et en Alberta, établit en tous cas un lien très étroit entre le vapotage et le passage au tabagisme un an plus tard seulement. L’étude s’est penchée sur le vapotage chez les élèves de la première année du secondaire jusqu’à la dernière, en 2013-2014, avec un suivi un an plus tard.