Intelligence artificielle : Québec et Belgique coopèrent sur les langues


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Le Québec et la Belgique vont travailler à mettre l’intelligence artificielle au service des langues, et améliorer leur apprentissage et leur préservation, avec un projet de coopération scientifique basé à Montréal et annoncé vendredi. L’Université de Montréal (UdeM), l’Institut des algorithmes d’apprentissage de Montréal (Mila) et l’entreprise belge Altissia ont conclu une entente tripartite.

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Microsoft attire un chercheur de renom pour son labo montréalais


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Un an après son arrivée dans l’écosystème montréalais de l’intelligence artificielle, Microsoft estime avoir attiré un chercheur de renom qui permettra à son laboratoire de croître et de se diversifier. Spécialisé en apprentissage profond et professeur à l’Université Carnegie-Mellon à Pittsburgh, Geoff Gordon a été recruté cet automne par le géant informatique et viendra s’installer dans la métropole au cours de l’été. «La réputation de Montréal dans ce secteur ne fait que croître et je ne voulais pas rater l’occasion de venir ici et de pouvoir façonner le développement de l’intelligence artificielle au cours des prochaines décennies», a-t-il expliqué au cours d’un entretien téléphonique avec La Presse canadienne.

L’intelligence artificielle québécoise aura pignon sur rue à Montréal


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Le secteur de l’intelligence artificielle québécois disposera d’un «centre d’excellence mondial» à Montréal où se concentreront ses forces vives tant en recherche fondamentale qu’en expérimentation technologique et commerciale, et en financement et en développement d’entreprises. «Nous sommes actuellement dans le peloton de tête dans le monde en intelligence artificielle, mais pour rester dans la course, il va falloir faire des choses différemment parce qu’on n’aura jamais les capitaux des Chinois ni des Américains», a déclaré lundi le coprésident du comité d’orientation pour la création de la grappe québécoise en intelligence artificielle, Pierre Boivin. La solution qui a été trouvée est de lui donner pignon sur rue dans «un centre d’excellence mondial nouveau modèle» disposant de plus «d’un demi-million de pieds carrés» en ville où se retrouveront 160 chercheurs de l’Institut des algorithmes d’apprentissage de Montréal (MILA) de l’Université de Montréal, ainsi que leurs collègues de l’Université McGill.

Intelligence artificielle : ce qui mijote dans les labos


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La crème des chercheurs en intelligence artificielle avait rendez-vous à Montréal la semaine dernière, pour le Deep Learning Summit organisé par l’organisme britannique RE•WORK. Entre les équations pour initiés et les recherches intrigantes, voici trois exemples de ce qui se trame dans les laboratoires en apprentissage profond et qui pourrait changer nos vies.

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Intelligence artificielle : la tête pensante de Facebook à Montréal


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Joëlle Pineau, l’une des figures de proue de l’intelligence artificielle au Québec, dirigera le laboratoire montréalais de Facebook AI Research. Facebook a annoncé vendredi l’ouverture à Montréal d’un labo d’intelligence artificielle (IA) comparable à ceux californien, new-yorkais et parisien. Il s’agit d’une première canadienne pour le géant d’internet et les rênes de ce pôle de recherche reviennent à Joëlle Pineau. Outre ses travaux avec le numéro un mondial des réseaux sociaux, Mme Pineau, enseigne à l’Université McGill depuis 2004 et est co-directrice du Reasoning and Learning Lab, qui mène plusieurs travaux en intelligence artificielle.

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Intelligence artificielle : Boivin et Breton à la tête du comité


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Québec met sur pied le comité qui va guider la création d’une grappe québécoise en intelligence artificielle, composée d’universitaires et de gens d’affaires. Le gouvernement avait déjà annoncé une somme de 100M$ sur cinq ans pour son développement. Le comité, qui sera composé de 12 personnes issues des domaines universitaire et d’affaires, sera coprésidé par Pierre Boivin, président et chef de la direction de Claridge, et de Guy Breton, le recteur de l’Université de Montréal. La grappe vise la recherche et l’innovation en intelligence artificielle ainsi que la création d’entreprises.

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Montréal investit 10 M$ en recherche dans trois universités montréalaises pour de nouvelles technologies


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Montréal lance un programme de recherches de trois ans en partenariat avec trois universités pour améliorer notamment sa sécurité informatique et développer de l’intelligence artificielle. «Tous les centres de recherche sont mis à profit et on aura certainement des innovations qui vont venir améliorer la qualité de services aux citoyens et la sécurité», a indiqué Harout Chitilian, responsable de la Ville intelligente pour le Comité exécutif. Une équipe multidisciplinaire de l’Université McGill sera chargée d’étudier le développement de capteurs disposés partout dans la ville, qui collecteront différentes données. Une équipe de l’UQAM sera chargée d’évaluer la portée et l’accessibilité sociale du projet.

Google investit dans la recherche sur l’intelligence artificielle à Montréal


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Témoignant de la tradition montréalaise d’excellence dans le secteur de l’intelligence artificielle, le géant américain Google investit 4,5 millions de dollars sur trois ans dans l’Institut des algorithmes d’apprentissage de Montréal. La métropole québécoise s’est taillé une réputation de leader mondial dans ce secteur, grâce au travail de pionniers comme le professeur Yoshua Bengio, de l’Université de Montréal, qui a attiré à son institut les plus brillants esprits jonglant avec ces technologies, et le financement des plus grandes entreprises. En plus de son investissement, Google crée aussi un groupe de recherche sur l’intelligence artificielle à ses propres bureaux de Montréal.

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Les enseignants face à la «quatrième révolution industrielle»


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Selon les experts présents à l’occasion du Forum économique mondial qui se tient à Davos, en Suisse, le monde s’apprête à connaître un bouleversement qui s’annonce comme la «quatrième révolution industrielle». D’aucuns prédisent que les technologies d’intelligence artificielle, voire les robots, pourraient venir remplacer les êtres humains sur leur lieu de travail. Présent à Davos, Fred van Leeuwen, le secrétaire général de l’Internationale de l’éducation, n’a pas pu s’empêcher de lancer une réflexion sur ce qu’un monde dirigé par des robots impliquerait pour la création d’emplois destinés aux êtres humains, notamment dans le domaine de l’éducation. La clé d’une éducation de qualité réside bel et bien dans des enseignantes et enseignants en chair et en os, et ce, malgré l’essor du numérique.