Lise Bissonnette dénonce le sous-financement du réseau de l’Université du Québec à Dessine-moi un dimanche


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Le 30 janvier dernier, Lise Bissonnette démissionnait du conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) en déplorant l’iniquité du financement des universités québécoises. Quelques semaines plus tard, elle donne à Franco Nuovo, à l’antenne de Radio-Canada, les raisons qui ont motivé son choix et souligne l’importance de mieux financer la recherche et les infrastructures universitaires. Lise Bissonnette dit qu’elle aurait trouvé difficile de célébrer les 50 ans de l’UQAM en 2019 dans l’état où se trouve actuellement l’institution. Elle parle du mépris des pouvoirs publics envers l’Université du Québec, un réseau qu’elle qualifie d’extraordinaire. Après avoir étudié le plan d’investissement du gouvernement québécois, l’administratrice constate l’existence d’un système à deux vitesses qui favorise les universités à charte (comme l’Université de Montréal).

Les professeurs sont-ils prêts au retour de l’enseignement des connaissances?


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À la suite de l’action menée notamment par la Coalition pour l’histoire, les élèves québécois ont enfin droit depuis septembre 2017 à un cours d’histoire réformé en 3e et 4e secondaire. Unanimement salué, ce nouveau cours d’histoire du Canada et du Québec emprunte désormais une trame chronologique, résolument axée sur l’acquisition de connaissances et l’apprentissage de la méthode historique. Dans ce contexte, il y a lieu de se demander si la formation que reçoivent les enseignants québécois les prépare adéquatement à offrir des cours désormais plus substantiels. C’est le point de départ de l’étude que j’ai pilotée avec mes collègues Laurent Lamontagne et Myriam D’Arcy à propos de la formation des futurs enseignants dans les universités québécoises et sur le niveau de satisfaction qu’ils en ont tiré une fois leur carrière commencée.

Fraudes scientifiques : des secrets universitaires bien gardés


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Bien que des fonds publics soient en jeu, la moitié des universités québécoises ne veulent rien dire au sujet des inconduites scientifiques commises entre leurs murs. Et d’après notre enquête, certaines dérives n’ont pas fait l’objet d’une enquête en bonne et due forme. Malgré nos demandes d’accès à l’information, McGill, Concordia et l’UQAM ont refusé de rendre publics leurs rapports d’enquête, disant devoir protéger la vie privée de leurs employés délinquants. L’Université de Montréal, l’Université Laval et l’Université de Sherbrooke ont au contraire accepté de le faire, en caviardant simplement les informations véritablement personnelles (voir l’onglet suivant). Fait à noter: la première université de recherche québécoise – l’UdeM – a sanctionné un seul de ses 2240 professeurs chercheurs pour manque d’intégrité en 10 ans.

La gouvernance des universités québécoises, de collégiale à managériale!


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Le comité école et société de la FNEEQ était présent au congrès de l’ACFAS qui se tenait du 9 au 13 mai dernier à l’UQÀM, plus particulièrement au colloque De ladministration à la gouvernance des universités: progrès ou recul? Cet événement, organisé par Louis Demers (ÉNAP), Jean Bernatchez (UQAR), Martin Maltais (UQAR) et Michel Umbriaco (TÉLUQ), avait pour but de rendre compte des transformations de l’université québécoise et de réfléchir sur son avenir. La communauté universitaire doit se mobiliser, se coaliser. Elle doit revenir aux missions fondamentales de l’université: enseignement, recherche-création et services aux collectivités. C’est à partir de ce constat que doit s’amorcer la réflexion que nous développerons pendant les États généraux sur l’enseignement supérieur (EGES) en mai 2017, alors que nous tenterons, entre autres, de définir ce que nous voulons comme université.

Une classification des universités québécoises fondée sur le système de la Fondation Carnegie


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La FQPPU rendait public le 9 mai à Montréal, dans le cadre de son colloque De l’administration à la gouvernance des universités: progrès ou recul?, une toute première proposition de classification des universités québécoises inspirée de la Carnegie Foundation for the Advancement of Teaching. À la différence des classements universitaires commerciaux, dont la méthodologie maintes fois critiquée tend à ne favoriser que les universités privées et anglo-saxonnes, la classification élaborée par le Comité sur le financement des universités de la FQPPU a pour objectif de mettre en valeur les caractéristiques et les missions distinctes de chacune des institutions universitaires québécoises.

Lire le document de la FQPPU.

Les universités québécoises s’attaquent à la violence sexuelle sur les campus


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Les universités québécoises font front commun pour s’attaquer à la violence sexuelle sur les campus. Un groupe de travail a été mis sur pied dans la foulée des incidents survenus récemment. Les recteurs du conseil d’administration du Bureau de coopération interuniversitaire, qui regroupe toutes les universités québécoises, ont décidé de créer un groupe de travail sur la violence à caractère sexuel. Ce comité a pour mandat de recenser les meilleures pratiques dans le réseau universitaire afin de formuler des recommandations qui pourront ensuite servir à tous les établissements de la province.

Lire la suite du texte du Journal de Montréal.

Graffiti appelant au viol: la porte-parole de l’ASSÉ prise pour cible.

Déficits : les universités québécoises atteignent un nouveau sommet


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Les déficits accumulés des universités québécoises ont fracassé un nouveau sommet. Au 30 avril 2014, ils s’élevaient à 2,9 milliards$. C’est le chiffre tout chaud, tout rouge, que Le Soleil a obtenu du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, la semaine dernière.

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Même en déficit, les universités doivent faire leur part, dit Coiteux.

Québec impose de nouvelles coupes aux universités


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Une deuxième vague de compressions frappera les universités cette année, a appris La Presse. Le ministre de l’Éducation, Yves Bolduc, a informé les recteurs que des coupes s’ajouteront à celles, déjà imposées, de 172 millions. Du jamais vu en fait de restrictions budgétaires, estime le milieu universitaire.

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La FNEEQ s’inquiète des impacts néfastes des compressions imposées aux universités


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De coupes en compressions, les gouvernements se suivent et… hélas, se ressemblent! Les coupes de 172 millions $ imposées cette semaine aux universités mettent en péril leur mission d’enseignement. «Il ne fait aucun doute que les coupes répétées auront un impact sur l’enseignement et les services aux étudiantes et aux étudiants. Comment pourrait-il en être autrement?», questionne Sylvain Marois, le vice-président de la FNEEQ responsable du regroupement université. Pour la FNEEQ, le gouvernement de M. Couillard ne peut plaider l’ignorance. Ce qui étonne, au-delà de l’ampleur des coupes, c’est l’aveuglement avec lequel le PLQ procède. Pas de consultation, pas de propositions ni d’orientations à long terme.

Effort record de 300 millions $ réclamé aux universités


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Les compressions exigées pour l’ensemble du réseau universitaire s’élèveraient non pas à 172 millions $ tel que rapporté lundi par Le Soleil, mais à plus de 300 millions $ pour 2014-2015, selon les calculs de l’Université de Montréal. Les chiffres officiels du ministère de l’Enseignement supérieur, que l’on retrouve dans les orientations budgétaires transmises aux universités, sont contestés par certaines universités.

Lire la suite du texte du Soleil.

Les universités redoutent l’impact des compressions

Les étudiants accusent Bolduc de leur refiler la facture

La faute au déficit, selon Couillard

L’ASSÉ dénonce les compressions imposées aux universités

Universités francophones ou universités bilingues?

Tout se passe comme si les universitaires ne se sentaient plus interpellés par le statut du français dans leur institution. Une telle désaffection a de quoi inquiéter. Depuis quelques années, des signes préoccupants se multiplient selon lesquels l’anglais est de plus en plus employé dans les universités francophones du Québec. Deux linguistes de l’Université Laval se sont penchés sur la question.

Lire la suite du texte du Devoir.