Investissement fédéral en itinérance : Le RAPSIM demande une approche globale


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Qu’ont en commun L’itinéraire, CACTUS, Diners St-Louis, le Sac à dos et Dopamine ? D’avoir pu acquérir et aménager les immeubles qui abritent leurs services grâce à une contribution majeure, allant de 500 000 $ à plus de 1 million $, de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). Les fonds de 2 milliards $ annoncés par le gouvernement fédéral pour la lutte à l’itinérance doivent être engagés rapidement, avec le soutien à une diversité d’actions et des budgets adéquats pour Montréal. C’est le message pressant qu’a exprimé le RAPSIM en tenant un rassemblement devant le Complexe Guy-Favreau jeudi où plus de 200 personnes étaient présentes.

Une petite heure pour la SPLI le 10 mai prochain : bien plus que 100 millions $!


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Ce sont plus de 100 millions $ qui devraient être affectés à Montréal pour la décennie 2019-2028 dans le cadre de la Stratégie partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). En effet, le gouvernement fédéral a annoncé qu’il accorderait un budget total de 2 milliards $ à la lutte à l’itinérance au Canada pour les 10 prochaines années dans son budget déposé en mars 2017. Nous sommes depuis en attente de réponses quant à l’orientation donnée à ces fonds, leur affectation et la part qui reviendra à Montréal. Afin de nous faire entendre, le RAPSIM vous invite participer à un rassemblement le jeudi 10 mai à 10h45 devant le Complexe Guy-Favreau, 200 René-Lévesque Ouest, pour appuyer ses demandes sur la SPLI.

Une petite heure pour la Stratégie partenariats de lutte contre l’itinérance le 10 mai : Bien plus que 100 millions $!


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Ce sont effectivement plus de 100 millions $ qui devraient être affectés à Montréal pour la décennie 2019-2028 dans le cadre de la Stratégie partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). En effet, le gouvernement fédéral a annoncé qu’il accorderait un budget total de 2 milliards $ à la lutte à l’itinérance au Canada pour les 10 prochaines années dans son budget déposé en mars 2017. Nous sommes depuis en attente de réponses quant à l’orientation donnée à ces fonds, leur affectation et la part qui reviendra à Montréal. Afin de nous faire entendre, le RAPSIM vous invite participer à un rassemblement le jeudi 10 mai, à 10h45, devant le Complexe Guy-Favreau, 200 René-Lévesque Ouest, pour appuyer ses demandes sur la SPLI.

Malgré le départ de 3 membres : une lutte commune demeure pour le RAPSIM


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Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal a pris acte du retrait de trois de ses membres, l’Accueil Bonneau, la Maison du Père et la Mission Bon Accueil, qui ont annoncé leur décision au RAPSIM la semaine dernière avant de la communiquer aux médias. Malgré le départ de ces organismes, le Réseau souhaite continuer à travailler avec l’ensemble des acteurs impliqués dans la lutte à l’itinérance. Pour le RAPSIM, l’atteinte de l’objectif de la réduction de l’itinérance chronique, privilégié par ces groupes, passe par une diversité d’actions nécessaires pour prévenir et réduire l’itinérance.

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Stratégie des partenariats de lutte contre l’Itinérance : plus de 100 millions $ en jeu pour Montréal


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En mars 2017, le budget du gouvernement Trudeau contenait une annonce de taille: l’injection de 2,1 milliards $ sur dix ans dans la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI 2019-2028). De ces sommes, au moins 10 M$ devraient annuellement être consacrés à Montréal, pour un total de 100 M$ à terme. Vous trouverez plus d’informations sur l’avenir de la SPLI dans la publication suivante. Si le RAPSIM a salué haut et fort cet engagement, plusieurs mois plus tard, une question cruciale persiste: Quelle sera l’orientation donnée à l’affectation de ces fonds? Quelles seront les priorités de l’intervention fédérale dans les dix prochaines années?

Lors d’un important Forum sur l’itinérance, le RAPSIM interpelle le fédéral sur son aide


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Plus de 150 personnes, dont la mairesse de Montréal, Valérie Plante, ont participé à un grand Forum, le 16 mars, pour faire le point sur la lutte à l’itinérance. Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM), qui organisait ce rassemblement, en a profité pour interpeller le gouvernement fédéral afin qu’il précise rapidement les importants engagements annoncés l’an dernier pour contrer l’itinérance. «Il est crucial que le gouvernement fédéral affecte ces fonds avec une approche globale permettant de soutenir une diversité d’interventions pour prévenir et réduire l’itinérance. Cette orientation sera centrale pour pouvoir poursuivre et consolider les actions à mener dans la prochaine décennie», a affirmé le directeur du RAPSIM, Pierre Gaudreau.

Soutien communautaire en logement social : pour des investissements maintenant!


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Le RAPSIM et la FOHM poursuivent leur campagne conjointe pour le financement du soutien communautaire en logement social intitulée 4 murs, ce n’est pas assez! et demandent 7 millions $ à Montréal pour le soutien communautaire dans les logements pour personnes itinérantes et aînées. Ils lancent une campagne de lettres afin d’obtenir des fonds et une réponse durable à leur demande, par un financement systématique du soutien communautaire dans tous les projets de logements sociaux qui le nécessitent. Lien pour télécharger la lettre-type.

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Stratégie nationale sur le logement : des choix insuffisants pour la lutte à l’itinérance


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Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) est insatisfait des annonces en logement faites par le gouvernement fédéral aujourd’hui. Le RAPSIM reconnait la pertinence des fonds annoncés pour entretenir le parc de logements sociaux existants. Cependant, afin de réduire l’itinérance chronique de 50%, il aurait été crucial que cette stratégie prévoie des fonds beaucoup plus importants pour de nouveaux logements sociaux. «Alors que plus de 41 000 ménages locataires à Montréal consacrent 100% de leur revenu pour se loger, il est évident que plusieurs de ceux-ci sont à fort risque de perdre leur logement. Pour agir sur cette situation le gouvernement aurait dû concentrer ses fonds dans le développement de nouveaux logements sociaux», affirme le directeur du RAPSIM, Pierre Gaudreau.

Portrait des centres de jour de Montréal : disponible en ligne


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En juin 2016, la Ville de Montréal amorçait, en collaboration avec le RAPSIM et le Service régional du CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, la réalisation d’un portrait des centres de jour destinés aux personnes en situation ou à risque d’itinérance. L’objectif de la démarche? Décrire de façon précise les services offerts par les centres de jour sur le territoire de Montréal, mais aussi explorer leur apport spécifique à la lutte à l’itinérance. Au final, 27 organismes communautaires ont ainsi été mobilisés dans l’élaboration de ce portrait, maintenant disponible en ligne sur le site de la Ville de Montréal. Les centres de jour de Montréal, qui accueillent quotidiennement des centaines de personnes marginalisées, sont essentiels pour prévenir et réduire l’itinérance.

Bilan de campagne : un mandat clair pour la lutte à l’itinérance


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Alors que se termine la campagne électorale, le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) a tenu à noter l’importance accordée à la lutte à l’itinérance par les deux principaux partis. Non seulement Denis Coderre et Valérie Plante étaient de la marche de la Nuit des sans-abri, mais ils ont tous deux, avec leur parti respectif, rendu publics des engagements précis. En début de campagne, le RAPSIM avait tenu un point de presse pour souligner qu’ « en itinérance, beaucoup reste à faire. » Le regroupement avait alors insisté sur la nécessité d’une approche globale dans la lutte à l’itinérance, avec de fortes actions à mener pour le développement de logements sociaux et la sauvegarde des maisons de chambres, ainsi que pour contrer le profilage social.

Beaucoup reste à faire à Montréal dans la lutte à l’itinérance, selon des groupes sociaux


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Des organismes communautaires font le bilan de l’administration Coderre en matière d’aide aux plus démunis et lui demande de doubler le rythme de construction des logements sociaux. «Dans son Plan d’action en itinérance (2014-2017), la Ville s’était donnée comme objectif l’ajout de plus de 1000 logements destinés à la lutte à l’itinérance, dont 600 nouvelles unités de logement social avec soutien communautaire. À ce jour, plus de 500 logements sont réalisés ou sur le point de l’être», a souligné lundi en conférence de presse, Pierre Gaudreau, le coordonnateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). Selon M.

Le RAPSIM se réjouit des recommandations adoptées sur le profilage


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Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) se félicite des 31 recommandations adoptées hier par les éluEs de la Ville pour contrer le profilage social et racial. Au premier rang, le RAPSIM souligne la recommandation de procéder à l’analyse de la réglementation et de son application qui entraine parfois de la discrimination. «Cela fait plus de 15 ans que l’on dénonce ces tickets donnés en trop grand nombre et certaines interventions abusives. Déjà en 2008, la Commission des droits de la personne avait identifié ce profilage et la nécessité de revoir les règlements. Les recommandations adoptées représentent un gain important pour le RAPSIM et pour les personnes concernées», a souligné son directeur, Pierre Gaudreau.

Profilage social et racial à la ville de Montréal : certaines améliorations mais le fardeau persiste


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Le RAPSIM a déposé un mémoire, intitulé Le profilage social: un fardeau qui persiste, et en a fait la présentation lors des audiences publiques du 21 juin à la Consultation publique de la ville de Montréal sur la lutte au profilage social et racial. Le message principal porté par la RAPSIM est que malgré certaines améliorations et actions posées par la Ville et son Service de police (SPVM) depuis six ans, on observe toujours que les personnes en situation d’itinérance reçoivent encore beaucoup trop de contraventions pour des gestes anodins reliés à leur présence dans l’espace public et sont victimes d’insistance et de ciblage discriminatoires par les forces policières et les agentEs de sécurité. 

Bilan sur le profilage social, un engagement à respecter


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Le lundi 8 mai dernier, nous apprenions que l’étude publique du bilan annuel du SPVM qui devait avoir lieu le lendemain a été annulée en raison de l’état d’urgence décrété suite aux inondations; situation compréhensible vue les circonstances. L’ironie du sort est que le RAPSIM comptait être présent pour y rappeler un engagement de la Ville de Montréal et du SPVM sans cesse remis aux calendes grecques, soit la tenue d’un bilan public sur les actions en matière de profilage social et racial.

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État de situation des projets de logement sociaux destinés aux sans-abri à Montréal


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Le 20 avril, le RAPSIM a présenté les résultats de ce projet visant à cerner les besoins des populations ayant plus difficilement accès à un logement social devant membres, partenaires et éluEs. À la suite de discussions avec les organismes membres siégeant sur son comité logement, de même qu’avec d’autres groupes ne gérant pas de logements sociaux avec soutien communautaire, le RAPSIM s’est posé les questions suivantes: quel est le portrait des logements et des pratiques dans les projets s’adressant aux personnes qui ont connu la rue? Est-ce que certaines populations ont plus difficilement accès à ces logements? Si oui, comment notre milieu pourrait améliorer l’accès de ces personnes à un logement ?

Pour appuyer la campagne pour le financement du soutien communautaire en logement


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Le soutien communautaire en logement n’a plus à faire ses preuves. Son financement doit être accordé à tous les projets acceptés par Accès-Logis, qui s’adressent aux personnes itinérantes ou aînées qui le nécessitent. Le manque de financement de ce soutien ne doit plus être un obstacle au développement de nouveaux projets! De plus, plusieurs projets déjà construits ne bénéficient pas de financement suffisant! Le RAPSIM et la FOHM demandent à la ministre Charlebois de soutenir ces projets à hauteur de leurs besoins. Le soutien communautaire en logement c’est de l’aide dans les démarches, des soupers communautaires et des activités sociales, de l’animation de la vie collective dans les projets, de l’aide à la gestion de conflits entre les locataires, une force pour briser l’isolement et se maintenir en logement.

Politique nationale de lutte à l’itinérance du Québec : trois ans, mais pas toutes ses dents


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Il y a trois ans, le gouvernement du Québec s’est doté d’un instrument majeur pour guider son action avec l’adoption de la Politique nationale de lutte à l’itinérance. Trois ans plus tard, celle-ci a permis certains progrès, mais les moyens investis pour son déploiement font grandement défaut. Il manque de mordant à son action. Cela n’est pas sans conséquence… À l’hiver 2016, le nombre de nuitées dans les refuges pour hommes avait augmenté de 10%. Cet hiver, le taux de fréquentation semble se stabiliser, mais différentes décisions du gouvernement font craindre un accroissement de l’itinérance. L’itinérance des femmes demeure sous-estimée, et le 16 janvier dernier la compilation faite par la Ville de Montréal indiquait un taux d’occupation des ressources d’hébergement d’urgence leur étant destinées de 101%.

Ralliement de la rentrée en itinérance : le RAPSIM se réjouit de l’action du fédéral et dénonce celle du provincial


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Le RAPSIM a tenu ce lundi 16 janvier un Ralliement de la rentrée en itinérance qui a réuni une centaine de personnes en provenance de ses membres, partenaires et alliéEs. Interpellant tant la Ville que les deux gouvernements, le RAPSIM s’est particulièrement réjoui des progrès liés à l’action du fédéral. Témoignant de cette embellie, le ministre Jean-Yves Duclos, responsable du dossier et ministre de la Famille, de l’Enfance et du Développement social, est intervenu lors de l’assemblée du RAPSIM. Le RAPSIM a profité du ralliement pour interpeller le gouvernement du Québec afin qu’il cesse les compressions en logement social et à l’aide sociale.

Stratégie centre-ville : des enjeux majeurs en itinérance


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Les consultations publiques sur le projet de Stratégie centre-ville sont terminées, et le RAPSIM a tenu à y exprimer ses fortes inquiétudes. Ambitieux projet de revitalisation du centre-ville de Montréal, la stratégie vise à densifier et à dynamiser le secteur en y attirant plus de résidants, de bureaux et de commerces. Grands chantiers, réaménagements, densification: les impacts seront majeurs. Quelle place y aura-t-il dans ce Montréal de demain pour les personnes à faible revenu, pour les personnes en situation d’itinérance et pour les ressources leur venant en aide ? L’approche et la mise en oeuvre de la Stratégie centre-ville doivent faire en sorte que le développement du centre-ville ne se réduise pas à une offre destinée qu’aux personnes les plus riches.

Stratégie centre-ville : le RAPSIM demande un développement du centre-ville qui respecte le droit de cité de tous et toutes


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Le RAPSIM a déposé un mémoire et fera entendre ses préoccupations à l’égard du projet de Stratégie centre-ville lors de la séance d’audition des opinions le jeudi 10 novembre prochain à l’Office de consultation publique de Montréal. Ambitieux projet de revitalisation du centre-ville de Montréal, la Stratégie centre-ville vise à densifier et à dynamiser le secteur en y attirant plus de résidents, de bureaux et de commerces. Grands chantiers, réaménagements, densification : des enjeux majeurs se posent pour les personnes en situation d’itinérance et les ressources qui leur viennent en aide. Le RAPSIM demande un développement du centre-ville qui respecte le droit de cité de tous et toutes, c’est-à-dire le droit d’occuper l’espace public ou d’habiter un quartier, peu importe son statut ou sa situation sociale.

Politique en prévention en santé : est-ce que des moyens suivront?


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Le gouvernement du Québec a dévoilé dimanche sa Politique en prévention en santé, avec, d’ici 2025, 9 objectifs très ciblés et chiffrés, comme accroître de 3,7% le pourcentage de la population qui consomme minimalement cinq fruits et légumes par jour. Cette Politique vise aussi un accroissement de 49% de l’offre de logements abordables. C’est un objectif tout à fait pertinent, avec les conséquences connues de vivre dans des logements insalubres ou dans d’autres, où la trop grande part du revenu consacré au loyer sabre dans la capacité de se nourrir. Il reste à voir quels seront ces logements? Car le gouvernement du Québec, dans ses trois budgets, a réduit à 3000 unités, puis à deux reprises à 1500 unités par an le financement pour de nouveaux logements sociaux, pour tout le Québec, pour toutes les populations.

Le fédéral doit prévoir des investissements majeurs et à long terme pour faire reculer l’itinérance


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Le prochain budget fédéral doit prévoir des investissements majeurs et à long terme pour faire reculer l’itinérance. Tel est le message qu’a livré le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) jeudi 20 octobre à Québec dans le cadre de la tournée de consultation du Comité permanent des finances de la Chambre des communes. À la veille de la Nuit des sans-abri, le RAPSIM y a exprimé l’importance que ce prochain budget confirme un changement de cap dans les politiques d’Ottawa.

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Dernier rempart contre l’itinérance : maisons de chambres en péril dans le centre-ville de Montréal


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Les maisons de chambres, dernier rempart contre l’itinérance pour plusieurs personnes vulnérables, continuent de tomber comme des mouches dans l’arrondissement Ville-Marie, a dénoncé mardi le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). Depuis quelques années, ces logements abordables du centre-ville sont menacés d’être transformés en condos ou en hôtel, comme c’est le cas actuellement de deux adresses situées sur la rue Sainte-Catherine Est.

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Sommet à Toronto : les maires donnent leurs idées pour une politique nationale du logement.

Plan d’action montréalais en itinérance : bilan mitigé après deux ans


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Le 23 septembre 2014, le nouveau maire de Montréal, Denis Coderre, rendait public son Plan d’action montréalais en itinérance 2014-2017. Ambitieux, ce plan fut bien reçu. Deux ans plus tard, c’est un bilan partagé que le RAPSIM fait de son action. De bonnes notes et de fausses notes en habitation, de bonnes intentions au niveau de la cohabitation et du profilage social, mais dont certaines tardent à se concrétiser. Une volonté d’acquérir plus de pouvoirs pour agir qui se confronte avec des moyens réduits de Québec et d’Ottawa. À un an des élections et du terme de ce plan d’action, il reste encore bien du temps pour agir.

Réfection de l’édicule du métro Atwater : craintes pour les sans-abri


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Transactions de drogue, agressions armées, voies de fait: la Ville force la STM à démolir une portion de la station Atwater pour tenter d’endiguer la criminalité dans ce secteur du centre-ville. Une solution jugée insuffisante par certains, alors que d’autres craignent qu’il s’agisse d’une stratégie pour éloigner les sans-abri d’un quartier où poussent les tours de condos. Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) déplore le projet, estimant qu’il s’inscrit dans les démarches de la Ville pour faire disparaître les «zones grises», où la présence des sans-abri était tolérée. Depuis la fermeture du square Viger, en chantier, l’édicule Atwater était l’un des derniers espaces du centre-ville où les sans-abri pouvaient s’abriter.