Intervention de la LDL à la Commission de la sécurité publique


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La Ligue des droits et libertés (LDL) et plusieurs autres personnes et groupes préoccupés par les pratiques policières sont intervenus le 10 avril lors de la séance de la Commission de la sécurité publique qui portait sur les armes intermédiaires. Lors de cette séance, le SPVM a annoncé que les grenades assourdissantes de type RBBG ne seraient plus utilisées. Dominique Peschard, de la LDL, a déploré que les autres armes intermédiaires ne soient pas également remises en question. Les intervenants ont décrié l’annonce du SPVM de se procurer d’autres Tasers à la veille de la tenue de l’audience alors que l’utilisation de ces armes, en particulier contre des personnes en état de crise et souffrant de problème de santé mentale, a été abondamment critiquée par le passé.

L’UQAM accompagne les victimes de violences sexuelles voulant porter plainte


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Une intervenante sociale du Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) Trêve pour Elles accompagne depuis septembre les étudiants et les employés de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) victimes de violences à caractère sexuel désirant porter plainte. L’intervenante sociale Annie Girard a depuis septembre son propre bureau entre les murs de l’UQAM. Trois jours par semaine, elle offre du soutien téléphonique et en personne aux victimes de violences à caractère sexuel. Mme Girard donne également des ateliers de sensibilisation et des formations autant à la direction, aux agents de sécurité qu’aux étudiants en tant que tels et offre un accompagnement «tout au long du processus» aux victimes désirant porter plainte auprès du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ou auprès des autorités universitaires.

Profilage social et racial à la ville de Montréal : certaines améliorations mais le fardeau persiste


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Le RAPSIM a déposé un mémoire, intitulé Le profilage social: un fardeau qui persiste, et en a fait la présentation lors des audiences publiques du 21 juin à la Consultation publique de la ville de Montréal sur la lutte au profilage social et racial. Le message principal porté par la RAPSIM est que malgré certaines améliorations et actions posées par la Ville et son Service de police (SPVM) depuis six ans, on observe toujours que les personnes en situation d’itinérance reçoivent encore beaucoup trop de contraventions pour des gestes anodins reliés à leur présence dans l’espace public et sont victimes d’insistance et de ciblage discriminatoires par les forces policières et les agentEs de sécurité. 

Bilan sur le profilage social, un engagement à respecter


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Le lundi 8 mai dernier, nous apprenions que l’étude publique du bilan annuel du SPVM qui devait avoir lieu le lendemain a été annulée en raison de l’état d’urgence décrété suite aux inondations; situation compréhensible vue les circonstances. L’ironie du sort est que le RAPSIM comptait être présent pour y rappeler un engagement de la Ville de Montréal et du SPVM sans cesse remis aux calendes grecques, soit la tenue d’un bilan public sur les actions en matière de profilage social et racial.

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Inuits et itinérance : le préjugé perdure au SPVM


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Les mots «itinérant» et «autochtone» ne sont pas interchangeables. C’est ce que tient à rappeler Ossie Michelin, un résidant du quartier Saint-Henri, à Montréal, une semaine après un incident impliquant le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Malgré les activités de sensibilisation et l’existence d’une formation sur la question autochtone au sein du corps policier, le jeune Inuit estime avoir été témoin de profilage racial lors d’une tournée policière qui a eu lieu mardi dernier dans le secteur où il habite.

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Une application pour aider les itinérants ayant perdu leurs papiers.

Le SPVM se sert du Taser comme outil de prévention : l’utilisation du pistolet à impulsion électrique a bondi


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Les policiers montréalais ont de plus en plus souvent recours au pistolet Taser, mais ils l’utilisent surtout comme outil de dissuasion sans contact avec la personne qu’ils cherchent à contrôler, révèle le rapport annuel du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). En 2015, les policiers montréalais ont utilisé le pistolet à impulsion électrique à 82 reprises, contre 61 fois en 2014 et 34 fois en 2013.

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La moitié des prisons débordent.

Bonis liés aux constats d’infraction : 110 000 $ en contraventions à un seul itinérant


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Au tour de la Clinique Droits Devant, organisme communautaire venant en aide aux itinérants, de dénoncer les bonis offerts aux cadres du SPVM: des bonis liés notamment aux contraventions émises par les policiers. La controverse entourant ces bonis survient au moment même où l’organisme défend des sans-abris cumulant des dizaines voir des centaines de contraventions à la cour municipale de Montréal. La Clinique Droits Devant tente de convaincre le tribunal d’annuler ces contraventions puisque les itinérants n’ont pas les moyens de les payer.

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Profilage social : au-delà de la reconnaissance, une gestion de l’espace public à améliorer


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Face à une situation préoccupante concernant les tensions dans l’espace public et les enjeux d’aménagement urbain, le RAPSIM presse la Ville de Montréal et son Service de Police (SPVM) de faire le bilan de leurs actions et de développer un nouveau Plan de lutte en matière de profilage social. Le 4e Portrait de la situation dans l’espace public montréalais est issu d’une enquête menée auprès d’une trentaine d’organismes en itinérance à Montréal. Sans être catastrophique, il ressort de cette enquête que la situation dans l’espace public et en regard du profilage n’a pas connu d’amélioration récemment, et ce, malgré d’intéressantes initiatives développées par la Ville et le SPVM.

Explications du DPCP : mais de quelle transparence parle-t-on au juste?


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Les explications fournies par le Directeur des poursuites criminelles et pénales de ne pas porter d’accusations contre le policier impliqué dans la collision ayant causé la mort d’un enfant de cinq ans soulèvent plus de questions qu’elles n’apportent de réponses, selon la Ligue des droits et libertés. En outre, bien loin de satisfaire aux exigences de transparence réclamées par la population en pareilles circonstances, ces explications soulèvent des doutes sur la manière dont le SPVM a pu mener l’enquête sur laquelle s’appuie la décision du DPCP.

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Québec ordonne un examen indépendant.

Rassemblement contre le profilage politique et le projet de loi 3


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L’ASSÉ dénonce haut et fort le profilage politique de plus en plus flagrant à Montréal et invite à un rassemblement le 24 novembre, à 18h, devant l’hôtel de ville de Montréal où se tiendra une réunion régulière du conseil municipal. L’administration de la ville, comme tous les gouvernements, n’a aucun respect autant pour les militantes et militants que pour ses travailleuses et travailleurs, selon l’ASSÉ. Bien que le profilage politique ait toujours été de mise, depuis le Printemps érable, et surtout depuis l’escalade des moyens de pression par les employés municipaux, le maire Coderre, son prédécesseur et le SPVM en font des démonstrations flagrantes et grossières.

Rassemblement contre le règlement municipal P-6


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Dans une lettre publiée dans Le Devoir le 26 mai, un collectif de plus de 300 auteures et auteurs demandait à la Ville de Montréal de présenter un bilan financier de l’application du règlement P-6 sur les manifestations. La Ville a plutôt demandé au SPVM de produire lui-même ce rapport. Le lundi 16 juin, jour de la remise de ce bilan au prochain conseil municipal, un rassemblement est prévu devant l’hôtel de ville à 17 h pour protester contre cet exercice d’auto-évaluation qui constitue un véritable affront à la démocratie, en excluant du processus les organisations de la société civile et plus largement la population.