Bilan de campagne : un mandat clair pour la lutte à l’itinérance


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Alors que se termine la campagne électorale, le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) a tenu à noter l’importance accordée à la lutte à l’itinérance par les deux principaux partis. Non seulement Denis Coderre et Valérie Plante étaient de la marche de la Nuit des sans-abri, mais ils ont tous deux, avec leur parti respectif, rendu publics des engagements précis. En début de campagne, le RAPSIM avait tenu un point de presse pour souligner qu’ « en itinérance, beaucoup reste à faire. » Le regroupement avait alors insisté sur la nécessité d’une approche globale dans la lutte à l’itinérance, avec de fortes actions à mener pour le développement de logements sociaux et la sauvegarde des maisons de chambres, ainsi que pour contrer le profilage social.

28e Nuit des sans-abri de Montréal : de responsabilité collective à engagements concrets


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La 28e édition de la Nuit des sans-abri s’est tenue vendredi, à Montréal comme dans 40 autres villes du Québec. Propulsé par le milieu communautaire, cet événement constitue un moment privilégié pour sensibiliser la population aux réalités vécues par les personnes en situation ou à risque d’itinérance. Sous le thème «On a tous un rôle à jouer, lequel?», il s’agissait cette année de souligner la responsabilité que nous portons collectivement face au phénomène, interpellant les acteurs politiques afin que cette même responsabilité se décline en engagements concrets. À deux semaines des élections municipales, plusieurs candidates et candidats ont participé à l’événement, dont Denis Coderre et Valérie Plante, qui briguent tous deux la mairie de Montréal.

Les dirigeantes et dirigeants de 10 organismes demandent de changer le nom de la station de métro Saint-Laurent en station Jeanne-Mance


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Dans une lettre envoyée à Denis Coderre, maire de Montréal, et à Philippe Schnobb, président de la Société de transport de Montréal, les dirigeant.es de dix organismes demandent qu’en cette année du 375e anniversaire de Montréal, la Ville et la STM posent un geste symbolique fort et significatif de reconnaissance du rôle déterminant joué par Jeanne Mance dans la fondation de Montréal en renommant la station de métro Saint-Laurent en station Jeanne-Mance. Qui plus est, soulignent les signataires de cet appel, «en nommant pour la première fois une station de métro du nom d’une grande figure féminine de notre histoire, la Ville de Montréal et la STM enverront à toutes les femmes de Montréal et du Québec le message que leur légitime exigence de reconnaissance du rôle des femmes dans notre histoire commence enfin à être entendue».

L’habitation au cœur de la nouvelle politique de développement social de Montréal


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Le maire de Montréal, Denis Coderre, promet de faire du logement une priorité de la toute première politique de développement social de la Ville. Cela pourrait avoir comme effet de soumettre les promoteurs immobiliers à des exigences plus élevées en matière de logement social. «C’est une demande qui est revenue énormément. Il manque des logements sociaux et abordables à Montréal», a ajouté le protecteur des personnes en situation d’itinérance de la Ville de Montréal, Serge Lareault. La politique présentée le 7 juin définit de grandes orientations visant à inclure, à protéger et à rendre plus accessibles les services municipaux aux personnes et aux communautés vulnérables.

Un rapport chef de police et maire inquiétant à Montréal et des cadeaux empoisonnés à Chambly, selon Florent Michelot


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Un deuxième chef de police a confirmé, mardi, que le maire Denis Coderre l’avait déjà appelé pour une affaire personnelle, cette fois concernant son fils. Le directeur actuel du Service de police de Montréal (SPVM), Philippe Pichet, a indiqué à son tour, comme l’a fait son prédécesseur Marc Parent lundi, que M. Coderre était le seul élu à l’avoir contacté pour raison personnelle depuis son arrivée à la tête du SPVM en 2015. Florent Michelot, chargé de cours au Département de science politique, a soutenu au Journal de Montréal que ce type de situation est «fondamentalement inquiétant», mais inévitable dans une société comme la nôtre, où la police relève du pouvoir exécutif.

12 nouvelles toilettes publiques seront finalement installées au centre-ville


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Un projet controversé de toilettes publiques verra finalement le jour au centre-ville de Montréal. Un total de 12 unités sanitaires automatisées seront achetées par la Ville au prix de 3,1 M$. Les élus de Ville-Marie doivent approuver ce contrat ce mardi au cours de la réunion du conseil d’arrondissement. Le mois dernier, ce vote avait été repoussé par le maire de Montréal, Denis Coderre, également maire de Ville-Marie. Ce dernier souhaitait effectuer des vérifications avec le Bureau de l’inspecteur général et l’ensemble de ses services avant de faire adopter ce juteux contrat.

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Les référendums à Montréal et à Québec sont là pour de bon


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En dépit de la parole donnée aux maires Denis Coderre et Régis Labeaume, le ministre des Affaires municipales Martin Coiteux va reculer sur son intention d’interdire les référendums lancés par les citoyens. Selon les informations obtenues par La Presse, le changement fera partie d’une série d’amendements que déposera le ministre Coiteux – son projet de loi 122 est toujours à l’étude à l’Assemblée nationale, mais son adoption ne surviendra pas avant mai. Actuellement, un groupe de citoyens opposés à un projet peut forcer la tenue d’un référendum en obtenant suffisamment de signataires au registre de la Ville. S’ils sont assez nombreux, les modifications proposées aux règlements d’urbanisme sont soumises à un référendum.

Ottawa facilite les sites d’injection supervisée


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Ottawa annonce qu’il facilitera la mise sur pied de centres d’injection supervisée à travers le pays, tout en s’attaquant à la production et l’importation des opioïdes. Le gouvernement Trudeau veut ainsi changer l’approche conservatrice en matière de lutte contre les drogues en en faisant un enjeu de santé publique plutôt que de criminalité. La ministre de la Santé, Jane Philpott, a annoncé lundi une nouvelle «Stratégie canadienne sur les drogues et autres substances», remplaçant la stratégie «antidrogue» du gouvernement précédent. Le maire de Montréal, Denis Coderre, s’est réjoui de l’annonce d’Ottawa, soulignant que l’implantation de trois sites d’injection supervisée figure dans le Plan d’action montréalais en itinérance depuis plus de deux ans.

Réserve de terrains et de bâtiments pour du logement social à Montréal : des groupes réclament des actions dès le prochain budget


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Alors que Denis Coderre participe au sommet mondial sur l’habitation, Habitat III, qui se déroule à Quito du 17 au 20 octobre 2016, plusieurs organismes communautaires se joignent au Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) pour réclamer que la Ville de Montréal, annonce des investissements dans une réserve de terrains et de bâtiments, devant principalement servir à des fins de logement social. François Saillant, coordonnateur du FRAPRU, insiste pour que le prochain budget de la Ville contienne des annonces ambitieuses en ce sens : «La situation est urgente. Les sites disponibles se font de plus en plus rares à Montréal, en raison de la dure compétition des promoteurs de condominiums et de logements locatifs de luxe.»

Plan d’action montréalais en itinérance : bilan mitigé après deux ans


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Le 23 septembre 2014, le nouveau maire de Montréal, Denis Coderre, rendait public son Plan d’action montréalais en itinérance 2014-2017. Ambitieux, ce plan fut bien reçu. Deux ans plus tard, c’est un bilan partagé que le RAPSIM fait de son action. De bonnes notes et de fausses notes en habitation, de bonnes intentions au niveau de la cohabitation et du profilage social, mais dont certaines tardent à se concrétiser. Une volonté d’acquérir plus de pouvoirs pour agir qui se confronte avec des moyens réduits de Québec et d’Ottawa. À un an des élections et du terme de ce plan d’action, il reste encore bien du temps pour agir.

Ozonation : Fondation Rivières salue la décision de la Ville de Montréal


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C’est avec soulagement que nous avons appris hier que l’usine d’ozonation des eaux usées, qui sera mise en service à compter de 2018, fonctionnera dès lors 12 mois par année. L’automne dernier, la Fondation s’était prononcée en faveur de cette option, après qu’il eut été annoncé que l’usine fonctionnerait 6 mois par année, décision qui avait suscité de nombreuses critiques. «Les 6 mois correspondaient aux exigences gouvernementales pour permettre aux gens de profiter davantage du fleuve l’été. Mais la réalité, c’est que pour la santé du fleuve, il faut y aller 12 mois par année. On ne court pas de risques», a indiqué le maire Denis Coderre.

Serge Lareault devient le protecteur des oubliés de la société


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«Il est là pour aider les itinérants à s’en sortir», a affirmé le maire Denis Coderre en annonçant que Serge Lareault devient, à compter de cette semaine, le premier protecteur des personnes en situation d’itinérance de la Ville de Montréal. Serge Lareault, 50 ans, un homme rompu aux codes de la communication, est surtout connu à Montréal pour être le fondateur de L’Itinéraire, un journal communautaire fabriqué et vendu par les gens de la rue. «La frontière entre l’itinérance et la pauvreté reste mince», affirme Serge Lareault en entretien au Devoir.

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Grève des cols blancs de l’île de Montréal


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Les 8000 cols blancs ont fait une grève d’une demi-journée, mercredi, jour de budget à la Ville de Montréal. Ces employés municipaux sont sans convention collective depuis 4 ans. Les employés dénoncent les mesures d’austérité appliquées par l’administration de Denis Coderre. «L’ensemble des contribuables devrait être inquiet de ce que nous entendons à la table de négociations. Cette administration veut non seulement une baisse de 12% à 14% de notre rémunération globale, elle veut carrément privatiser les services publics», d’expliquer Alain Fugère, président du Syndicat des cols blancs de l’île de Montréal.

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Les cols bleus de Montréal veulent réveiller les Montréalais avant qu’il ne soit trop tard


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Les cols bleus de Montréal ont mené une action éclair mercredi soir afin de réveiller les Montréalais au danger qui guette l’ensemble des contribuables: le maire Denis Coderre, disent-ils, est lentement en train de démanteler l’ensemble des services publics municipaux. «Il est en train de dévaloriser des milliers de travailleurs qui fournissent des services essentiels aux citoyens, et ce, pour donner des contrats au privé», a expliqué Chantal Racette, présidente du Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal.

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Montréal sollicite un meilleur soutien financier du provincial en itinérance


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Les maires Denis Coderre et Caroline St-Hilaire, de concert avec l’AGRTQ et le Réseau solidarité itinérance du Québec, ont demandé que le prochain budget Leitao rétablisse l’aide à la rénovation et apporte un soutien accru et pluriannuel au programme AccèsLogis, lors d’une conférence de presse de la Communauté métropolitaine de Montréal la semaine dernière. Ce reportage de Globalnews rapporte leurs demandes et met l’emphase sur les enjeux en itinérance.

Sherbrooke : Un pas en avant, deux pas en arrière.

Bernard Adamus et Denis Coderre à la Nuit des sans-abri


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Une marche dans le centre-ville, une soirée de prestations artistiques, une vigile nocturne sur une rue passante, la présence de nombreux citoyens et élus… Voilà ce qu’on retrouvera pour la 25e édition de la Nuit des sans-abri. Ce nécessaire rendez-vous annuel de la solidarité avec les personnes itinérantes se tiendra ce vendredi 17 octobre dans 37 villes. À Montréal, la Nuit débutera à 18h45 avec une marche lancée du Square Phillips vers la rue Ste-Catherine sur des enjeux interpellant tant les paliers municipal, provincial que fédéral. La partie spectacle et la vigile nocturne de solidarité se tiendront, pour leur part à partir de 20h sur la rue St-Denis, juste au nord de Sainte-Catherine, et ce, jusqu’à 6h le lendemain matin.