Lors d’un important Forum sur l’itinérance, le RAPSIM interpelle le fédéral sur son aide


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Plus de 150 personnes, dont la mairesse de Montréal, Valérie Plante, ont participé à un grand Forum, le 16 mars, pour faire le point sur la lutte à l’itinérance. Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM), qui organisait ce rassemblement, en a profité pour interpeller le gouvernement fédéral afin qu’il précise rapidement les importants engagements annoncés l’an dernier pour contrer l’itinérance. «Il est crucial que le gouvernement fédéral affecte ces fonds avec une approche globale permettant de soutenir une diversité d’interventions pour prévenir et réduire l’itinérance. Cette orientation sera centrale pour pouvoir poursuivre et consolider les actions à mener dans la prochaine décennie», a affirmé le directeur du RAPSIM, Pierre Gaudreau.

Stratégie nationale sur le logement : des choix insuffisants pour la lutte à l’itinérance


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Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) est insatisfait des annonces en logement faites par le gouvernement fédéral aujourd’hui. Le RAPSIM reconnait la pertinence des fonds annoncés pour entretenir le parc de logements sociaux existants. Cependant, afin de réduire l’itinérance chronique de 50%, il aurait été crucial que cette stratégie prévoie des fonds beaucoup plus importants pour de nouveaux logements sociaux. «Alors que plus de 41 000 ménages locataires à Montréal consacrent 100% de leur revenu pour se loger, il est évident que plusieurs de ceux-ci sont à fort risque de perdre leur logement. Pour agir sur cette situation le gouvernement aurait dû concentrer ses fonds dans le développement de nouveaux logements sociaux», affirme le directeur du RAPSIM, Pierre Gaudreau.

Bilan de campagne : un mandat clair pour la lutte à l’itinérance


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Alors que se termine la campagne électorale, le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) a tenu à noter l’importance accordée à la lutte à l’itinérance par les deux principaux partis. Non seulement Denis Coderre et Valérie Plante étaient de la marche de la Nuit des sans-abri, mais ils ont tous deux, avec leur parti respectif, rendu publics des engagements précis. En début de campagne, le RAPSIM avait tenu un point de presse pour souligner qu’ « en itinérance, beaucoup reste à faire. » Le regroupement avait alors insisté sur la nécessité d’une approche globale dans la lutte à l’itinérance, avec de fortes actions à mener pour le développement de logements sociaux et la sauvegarde des maisons de chambres, ainsi que pour contrer le profilage social.

Beaucoup reste à faire à Montréal dans la lutte à l’itinérance, selon des groupes sociaux


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Des organismes communautaires font le bilan de l’administration Coderre en matière d’aide aux plus démunis et lui demande de doubler le rythme de construction des logements sociaux. «Dans son Plan d’action en itinérance (2014-2017), la Ville s’était donnée comme objectif l’ajout de plus de 1000 logements destinés à la lutte à l’itinérance, dont 600 nouvelles unités de logement social avec soutien communautaire. À ce jour, plus de 500 logements sont réalisés ou sur le point de l’être», a souligné lundi en conférence de presse, Pierre Gaudreau, le coordonnateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). Selon M.

Le RAPSIM se réjouit des recommandations adoptées sur le profilage


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Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) se félicite des 31 recommandations adoptées hier par les éluEs de la Ville pour contrer le profilage social et racial. Au premier rang, le RAPSIM souligne la recommandation de procéder à l’analyse de la réglementation et de son application qui entraine parfois de la discrimination. «Cela fait plus de 15 ans que l’on dénonce ces tickets donnés en trop grand nombre et certaines interventions abusives. Déjà en 2008, la Commission des droits de la personne avait identifié ce profilage et la nécessité de revoir les règlements. Les recommandations adoptées représentent un gain important pour le RAPSIM et pour les personnes concernées», a souligné son directeur, Pierre Gaudreau.

Politique en prévention en santé : est-ce que des moyens suivront?


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Le gouvernement du Québec a dévoilé dimanche sa Politique en prévention en santé, avec, d’ici 2025, 9 objectifs très ciblés et chiffrés, comme accroître de 3,7% le pourcentage de la population qui consomme minimalement cinq fruits et légumes par jour. Cette Politique vise aussi un accroissement de 49% de l’offre de logements abordables. C’est un objectif tout à fait pertinent, avec les conséquences connues de vivre dans des logements insalubres ou dans d’autres, où la trop grande part du revenu consacré au loyer sabre dans la capacité de se nourrir. Il reste à voir quels seront ces logements? Car le gouvernement du Québec, dans ses trois budgets, a réduit à 3000 unités, puis à deux reprises à 1500 unités par an le financement pour de nouveaux logements sociaux, pour tout le Québec, pour toutes les populations.

Nuit des sans-abri : coucher dehors pour la cause


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Le 21 octobre prochain, la 27e Nuit des sans-abri sensibilisera les Montréalais à la réalité et aux différents enjeux de l’itinérance. Ce sera aussi l’occasion d’interpeller les acteurs politiques à l’importance de se mobiliser devant la croissance du nombre de gens vivant dans la rue. «C’est une nuit malheureusement encore nécessaire. Nous avons eu un point de presse récemment sur la disparition de maisons de chambres, ce qui risque encore d’aggraver le problème, tout comme l’insuffisance des logements sociaux. Nos actions se poursuivent 365 jours par an», explique le porte-parole de la Nuit des sans-abri et coordonnateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RASPSIM), Pierre Gaudreau.

Conférence Voir l’itinérance autrement et publication de L’itinérance à Montréal, au-delà des chiffres


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Présentée à l’occasion du retour de l’œuvre d’art public Poème d’un jour sur le parvis de la Grande Bibliothèque (BAnQ), la conférence Voir l’itinérance autrement, à l’auditorium de la BAnQ, le 25 mai, de 19h à 20h15, vise à sensibiliser la population aux enjeux de l’itinérance. Avec Yvon Massicotte, ex-camelot, Jean-François Morin-Roberge, agent de soutien communautaire à L’Itinéraire, Pierre Gaudreau, coordonnateur au Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal, et Maxime Goulet-Langlois, chargé de recherche et transfert chez Exeko.

Lancement de la publication L’itinérance à Montréal, au-delà des chiffres le 10 mars, à 10 h, à la Maison du Père.

Lutte contre l’itinérance : des changements qui affecteront Montréal


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Plus de 90 postes d’intervenantes et intervenants au sein d’organismes d’aide à l’itinérance à Montréal seraient mis en danger par le changement d’orientation de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). «Présentement, et jusqu’au 31 juillet, c’est 100% de cette enveloppe qui est consacrée à une approche globale, a souligné Pierre Gaudreau, coordonnateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). Il est donc impossible que tous les postes d’intervenants qui offrent de l’aide aux personnes itinérantes dans les rues ou les centres de jour puissent continuer d’être subventionnés.»

Lire la suite du texte du journal Métro.

Stratégie de partenariats de lutte contre l’itinérance : des millions $ encore en jeu et de l’incertitude pour l’avenir


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Comme prévu, l’appel lancé en août pour la phase de 2 de la Stratégie de partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI) pour 2014-2015 rencontre d’importantes difficultés en raison de son orientation ciblée sur la Stabilité résidentielle avec accompagnement (SRA) et des nombreuses exclusions : les immobilisations, la prévention et certaines populations, selon le coordonnateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes, Pierre Gaudreau. De la somme résiduelle de 3,2 millions$, il reste toujours un important montant, environ 2 millions$. Cette somme sera impossible à utiliser en aussi peu de temps.

Cet appel ciblé sur la SRA posait dès le départ, outre son échéance impossible de moins de 6 mois, un problème pour la suite de la SPLI pour 2015-2019.