Soutien communautaire en logement social : pour des investissements maintenant!


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le RAPSIM et la FOHM poursuivent leur campagne conjointe pour le financement du soutien communautaire en logement social intitulée 4 murs, ce n’est pas assez! et demandent 7 millions $ à Montréal pour le soutien communautaire dans les logements pour personnes itinérantes et aînées. Ils lancent une campagne de lettres afin d’obtenir des fonds et une réponse durable à leur demande, par un financement systématique du soutien communautaire dans tous les projets de logements sociaux qui le nécessitent. Lien pour télécharger la lettre-type.

Lire la suite.

Pour appuyer la campagne pour le financement du soutien communautaire en logement


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le soutien communautaire en logement n’a plus à faire ses preuves. Son financement doit être accordé à tous les projets acceptés par Accès-Logis, qui s’adressent aux personnes itinérantes ou aînées qui le nécessitent. Le manque de financement de ce soutien ne doit plus être un obstacle au développement de nouveaux projets! De plus, plusieurs projets déjà construits ne bénéficient pas de financement suffisant! Le RAPSIM et la FOHM demandent à la ministre Charlebois de soutenir ces projets à hauteur de leurs besoins. Le soutien communautaire en logement c’est de l’aide dans les démarches, des soupers communautaires et des activités sociales, de l’animation de la vie collective dans les projets, de l’aide à la gestion de conflits entre les locataires, une force pour briser l’isolement et se maintenir en logement.

Près de 63% des locataires d’OSBL de Montréal sont issus de l’itinérance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Une enquête menée par la Fédération des OSBL d’habitation de Montréal (FOHM) révèle que 63 % des locataires qui y résident ont pu sortir de l’itinérance pour au moins cinq ans, un résultat que viennent mettre en péril le retrait et la réduction des subventions au logement social opérés par les gouvernements d’Ottawa et de Québec. Le coup de sonde mené auprès de 1777 locataires logés dans 64 projets des OSBL d’habitation de la région de Montréal démontre que près de quatre locataires sur dix proviennent directement de la rue, alors que le quart y a trouvé un logis après avoir transité dans un centre de jour ou un refuge.