Beaucoup reste à faire à Montréal dans la lutte à l’itinérance, selon des groupes sociaux


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Des organismes communautaires font le bilan de l’administration Coderre en matière d’aide aux plus démunis et lui demande de doubler le rythme de construction des logements sociaux. «Dans son Plan d’action en itinérance (2014-2017), la Ville s’était donnée comme objectif l’ajout de plus de 1000 logements destinés à la lutte à l’itinérance, dont 600 nouvelles unités de logement social avec soutien communautaire. À ce jour, plus de 500 logements sont réalisés ou sur le point de l’être», a souligné lundi en conférence de presse, Pierre Gaudreau, le coordonnateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). Selon M.

Selon le FRAPRU, ce n’est pas l’argent qui manque à Montréal pour se doter d’une réserve de terrains et de bâtiments


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

C’est par une mise en scène empruntant le concept du jeu The Price is Right que les Comités logements montréalais, membres du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), ont démontré, l’après-midi même du budget de la Ville de Montréal, que celle-ci pourrait investir davantage qu’elle ne le fait présentement dans l’acquisition de sites à des fins de logement social. Pour ce faire, les comités ont mis en parallèle les minces 3 millions $ en trois ans actuellement prévus à cette fin et certains choix budgétaires douteux de l’administration Coderre, dont au moins 36,6 millions $ pour conserver le Grand Prix de la Formule 1 à Montréal, 3,8 millions $ pour un tunnel gonflable sur la rue Saint-Catherine et 3,4 millions $ pour 27 bancs de granit sur le Mont-Royal.

L’auto en libre-service : une solution à développer davantage


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Alors que les émissions de gaz à effet de serre (GES) provenant des véhicules sur nos routes ont connu une hausse de plus de 33% depuis 1990, il est assez surprenant de constater l’inaction des différents paliers de gouvernement quand vient le temps de soutenir des solutions alternatives. En fait, même s’ils s’évertuent à nous dire qu’ils veulent régler le problème, ils sont souvent contre-productifs. Un exemple en provenance de la ville de Montréal. Alors qu’à bien des égards l’administration Coderre veut se donner une bonne image environnementale, ses politiques freinent le développement des véhicules en libre-service (VLS), un service qu’on nomme aussi l’autopartage.