Impasse à l’École de technologie supérieure : un arbitre est réclamé


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Le syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieure – Service des enseignements généraux (SCCÉTE-SEG) a demandé au ministre du Travail de nommer un arbitre afin de dénouer l’impasse pour la conclusion d’une première convention collective. «Ce n’est pas de gaité de cœur que nous faisons appel à un tiers pour établir les paramètres de notre première convention collective. On aurait préféré de loin une entente négociée et nous avons fait plusieurs efforts en ce sens depuis le début de la négociation et en conciliation au ministère du Travail. Puisque notre engagement n’est pas reconnu à sa juste valeur par l’École, nous n’avions pas le choix d’agir ainsi», a déclaré le président du SCCÉTS-SEG, M.

Négociations dans la construction : l’Alliance syndicale salue la neutralité de la ministre


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L’Alliance syndicale de la construction prend acte de l’arrêté ministériel publié par la ministre du Travail, madame Dominique Vien de ne renvoyer en arbitrage que la question salariale dans les secteurs institutionnel-commercial et industriel. Les dirigeants des cinq syndicats représentant les travailleurs de l’industrie de la construction saluent d’ailleurs la décision de la ministre de ne pas s’ingérer dans la négociation et d’empêcher l’utilisation de l’arbitrage comme un mode de négociation forcé. «Par ce geste, la ministre envoie un message clair aux parties: la négociation d’une convention collective doit se réaliser aux tables de négociation et l’arbitrage ne peut être utilisé pour forcer les parties», a souligné le porte-parole de l’Alliance syndicale, monsieur Michel Trépanier.

Arbitrage dans la construction : le droit de rappel, un pas vers la sécurité d’emploi


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Les travailleuses et travailleurs de la CSN-Construction déplorent l’attitude de fermeture, voire de mauvaise foi, adoptée par l’Association de la construction du Québec (ACQ) jusqu’à la date ultime du 30 octobre. La CSN et les travailleurs de la CSN-Construction devront donc, avec les autres organisations syndicales de la construction, se soumettre à un processus d’arbitrage imposé par une loi spéciale, au détriment du droit de grève. Dans cette optique, la CSN et la CSN-Construction invitent la ministre du Travail, Dominique Vien, à ne pas soumettre à l’arbitrage les demandes de l’ACQ qui nuisent à la conciliation travail-famille ou qui font perdre des droits chèrement acquis aux travailleuses et aux travailleurs de l’industrie.

Les priorités du gouvernement Couillard cet automne : REM, neutralité religieuse de l’État, les normes du travail, l’aide sociale et le cannabis


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Le gouvernement Couillard s’apprête à faire adopter des projets de loi qui ne feront pas toujours l’unanimité et tentera de régler des dossiers qui traînent en longueur. Le HuffPost Québec fait le point sur les priorités législatives à l’Assemblée nationale cet automne. Selon Jean-Marc Fournier, le leader parlementaire du gouvernement, le projet de loi 137 sur le Réseau électrique métropolitain doit être terminé «très, très rapidement» à la rentrée. Une fois qu’il recevra la sanction de l’Assemblée nationale, le projet de loi va confirmer l’investissement de 1,3 milliard $ de Québec, sur un projet d’une valeur totale de six milliards. Le gouvernement veut en finir avec le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État qui traîne en longueur depuis environ deux ans.

Bénévolat dans les travaux de construction : un projet de règlement inacceptable


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La Confédération des syndicats nationaux encourage les citoyennes et les citoyens à s’impliquer bénévolement dans leur communauté. Or, le projet de règlement présenté par la ministre du Travail, Dominique Vien, prend prétexte du manque de personnel dans les services publics et de l’état de délabrement des bâtiments publics, causé par les politiques d’austérité et le sous-financement récurrent, pour imposer une très large dérèglementation des travaux de construction avec des conséquences importantes sur l’industrie de la construction comme sur la santé et la sécurité de la population. C’est bien à cause du sous-financement des réseaux que des édifices doivent aujourd’hui faire l’objet de travaux majeurs, voire être carrément démolis puis reconstruits et pour la CSN c’est sur le volet du financement qu’il faut agir afin d’assurer la pérennité de nos bâtiments publics.

L’Alliance syndicale de la construction demande au gouvernement de ne pas renouveler les mandats des médiateurs


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L’Alliance syndicale de la construction a demandé, par écrit, à la ministre du Travail de ne pas renouveler les mandats des médiateurs afin d’éviter un prolongement inutile et coûteux de la négociation pour les travailleurs et travailleuses. «À partir du 30 avril prochain, les travailleurs perdront 51$ par semaine en augmentation de salaire, lesquels iront directement dans les poches des employeurs, et ce, à cause de l’absence de rétroactivité dans la loi qui régit l’industrie, a indiqué Michel Trépanier, porte-parole de l’Alliance syndicale de l’industrie de la construction. Un renouvellement des mandats des médiateurs aux différentes tables entraînerait une période de négociation supplémentaire de 30 jours durant lesquels les travailleurs et travailleuses laisseraient plus de 35 millions de dollars sur la table», a poursuivi le porte-parole de l’Alliance syndicale.

La muselière du sous-financement des groupes de défense collective des droits : c’est assez!


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Le 21 mars, les groupes de défense collective des droits (DCD) de Montréal interpellaient le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, responsable du SACAIS et du programme «Promotion des droits» du Fonds d’aide à l’action communautaire autonome (FAACA), en livrant à son bureau montréalais des objets significatifs illustrant le rôle de chiens de garde des organismes de défense des droits sociaux. Cette action s’inscrit dans le cadre de la campagne Le sous-financement des groupes de défense des droits: c’est assez la muselière!. La moyenne de financement des organismes en défense collective des droits se situe autour de 55 000$ et un groupe sur cinq (22%) ne reçoit que 30 000$ en subvention.

Hausse du salaire minimum : une attitude indécente du gouvernement Couillard


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La ministre responsable du Travail, Dominique Vien, a choisi son camp avec la hausse du salaire minimum de 50¢ prévue pour le 1er mai prochain.  Un pan important de la société civile estime pourtant qu’une hausse substantielle du salaire minimum est nécessaire afin de sortir les personnes à bas salaire de la pauvreté. S’ajoute à l’indécence l’annonce faite le 20 décembre par la ministre de diminuer la cotisation des employeurs pour financer l’application de la Loi sur les normes du travail (LNT) de 0,08% à 0,07% ! Serait-ce pour subventionner cette hausse du salaire minimum?, se sont indignés les porte-parole de la campagne 5-10-15.

Salaire minimum à 15 $ : la CSN déplore les deux discours de la ministre Vien


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«Il est dommage de constater que la ministre du Travail, Dominique Vien, adapte son discours aux personnes à qui elle s’adresse, a déploré le président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Jacques Létourneau. C’est avec beaucoup de surprises que nous avons lu les propos de la ministre adressés à de jeunes entrepreneurs de la Rive-Sud, à l’effet qu’il n’était pas question de hausser le salaire minimum à 15 $ l’heure.» Lundi dernier, la Coalition 5-10-15 qui milite notamment pour relever le salaire minimum à 15$ l’heure, et dont la CSN est membre, a rencontré la ministre Vien pour lui faire part de la nécessité de réformer les normes du travail sur certains aspects.

Campagne 5-10-15 : la coalition rencontre la ministre du Travail


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La coalition 5-10-15 qui mène une campagne pour relever le salaire minimum à 15$ l’heure est sortie satisfaite de la rencontre qu’elle a eue avec la ministre du Travail Dominique Vien, lundi. Les porte-parole ont profité de cette occasion pour rappeler les conditions difficiles dans lesquelles œuvrent près d’un million de travailleuses et de travailleurs qui peinent à vivre décemment. Mélanie Gauvin du Front de défense des non-syndiqué-es, Virginie Larivière du Collectif pour un Québec sans pauvreté, Louise Chabot, présidente de la CSQ, Jacques Létourneau, président de la CSN, et François Vaudreuil, président de la CSD, ont expliqué à la ministre les trois revendications de la Campagne 5-10-15 : • Le droit d’obtenir son horaire de travail 5 jours à l’avance • Le droit de disposer de 10 jours de congés payés par année pour la maladie ou les responsabilités familiales • Le droit de gagner un salaire minimum à 15$ l’heure.

Actualisation de la Loi sur les décrets de convention collective : la CSD et la CSN joignent leur voix pour limiter le pouvoir ministériel


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De passage jeudi en commission parlementaire sur le projet de loi 53 sur l’actualisation de la Loi sur les décrets de convention collective, la Centrale des syndicats démocratiques (CSD) et la Confédération des syndicats nationaux (CSN) ont présenté près d’une dizaine de recommandations visant à préserver le consensus sur la question, dégagé au sein d’un sous-comité du Comité consultatif du travail et de la main-d’œuvre (CCTM). Les deux centrales syndicales considèrent notamment que le projet de loi confère trop de pouvoir au ministre du Travail qui pourrait passer outre l’obligation de consensus entre les parties.

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La FTQ réclame le retrait d’articles litigieux.

L’Université demande l’arbitrage : le SÉtuE veut rectifier les faits


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Le SÉtuE a répondu à la direction de l’Université qui a demandé jeudi au ministre du Travail de soumettre le différend à un arbitre. D’emblée, nous aimerions rappeler que, contrairement à ce qu’avance la partie patronale, cette dernière n’a daigné nous rencontrer qu’à deux reprises après les fêtes afin de négocier, ne démontrant ainsi aucun empressement à régler le conflit de travail. À l’occasion de ces rencontres, les négociateurs mandatés par la partie patronale arrivent généralement sans mandat, rendant ainsi toute réelle négociation impossible. Seule constante: les négociateurs de l’UQAM s’entêtent à offrir des reculs de plus en plus grands et à montrer un mépris grandissant pour les étudiantes et les étudiants employés.

Augmentation du salaire minimum de 20 cents l’heure : une hausse nettement insuffisante


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C’est avec déception que le Front de défense des non-syndiqué-es (FDNS), dont est membre la CSN, apprend l’intention du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale d’augmenter le taux régulier du salaire minimum de 20 cents l’heure au 1er mai 2016. Le taux régulier passera ainsi à 10,75$ l’heure. Une hausse de 1,9%, absorbé en grande partie par l’inflation de 1,1% au Québec en 2015. «Cette augmentation signifiera concrètement 2,80$ de plus par semaine pour une personne qui travaille 35 heures. Cette somme est nettement insuffisante pour pallier les différentes hausses, notamment l’augmentation du prix des aliments annoncée pour 2016», affirme Mélanie Gauvin, porte-parole du FDNS.

Le gouvernement Couillard se montre sans pitié face aux personnes assistées sociales


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Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Sam Hamad, a annoncé mardi que le gouvernement irait de l’avant avec une série de compressions budgétaires visant les personnes les plus démunies de la société. Ce faisant, le gouvernement a décidé d’ignorer les demandes des personnes assistées sociales, des organismes qui les représentent ainsi que des organisations qui les appuient. «Non seulement le gouvernement a-t-il fait la sourde oreille, mais il a empiré l’un des changements proposés», déplore la présidente de la CSQ, Louise Chabot.

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Aide sociale : 40 centres de désintoxication menacés de fermeture


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Une quarantaine de centres de désintoxication pourraient devoir fermer leurs portes en raison des nouvelles coupes à l’aide sociale, plaide leur regroupement. «Tout est fait pour que le budget soit le plus réduit possible, mais on ne sera pas capables d’arriver», plaide le directeur de l’Association québécoise des centres d’intervention en dépendance (AQCID), Vincent Marcoux.

Isabelle Porter, Le Devoir

Actuellement, les prestataires de l’aide sociale qui souhaitent suivre une cure reçoivent environ 50 $ par jour du gouvernement. Ils ont aussi droit à une allocation pour contrainte temporaire à l’emploi (130 $) et ceux qui ont un domicile et souhaitent le garder, ont droit à leur prestation d’aide sociale de base (616 $ en moyenne).