Réseau électrique métropolitain : les contrats reportés à février 2018


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La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) n’attribuera pas avant février 2018 les contrats pour la construction du Réseau électrique métropolitain (REM) et la fourniture de son matériel roulant, et lance «une période de discussions» avec ses soumissionnaires. La filiale de la Caisse responsable de grand projet de transport collectif, CDPQ Infra, affirme dans un communiqué «que des discussions supplémentaires sont nécessaires pour atteindre un meilleur rapport qualité-prix» pour le contrat principal d’ingénierie et de construction du REM. Ceci tend à accréditer la rumeur voulant que ce projet de train électrique de 67 km coûtera beaucoup plus cher que les 6 milliards annoncés.

Requête sur les consultations entourant le REM : la Coalition Climat Montréal et Trainsparence satisfaits de la décision de la Cour supérieure de prendre la requête en délibéré


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Ce vendredi matin à la Cour supérieure, les auditions ont pris fin au sujet de la requête en nullité présentée par la Caisse de dépôt et le gouvernement du Québec dans le dossier du Réseau électrique métropolitain (REM). Cette requête vise les procédures entamées par la Coalition Climat Montréal (CCM) et Trainsparence demandant la suspension du projet de REM. La CCM et Trainsparence réagissent avec satisfaction à la décision de la Cour supérieure de prendre la cause en délibéré. Cette tournure signifie que la décision sans appel sur la requête en nullité demande mûre réflexion et ne sera connue que plus tard.

Le CCMM−CSN dénonce l’adoption de la loi sur le Réseau électrique métropolitain et réclame un moratoire et une véritable consultation publique


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L’assemblée générale du Conseil central du Montréal métropolitain a adopté une proposition sur Réseau électrique métropolitain (REM) mercredi soir. Elle interpelle les différentes candidates et différents candidats aux élections municipales de la grande région métropolitaine.

• Attendu que le BAPE a jugé prématuré de donner le feu vert au projet du REM en raison d’un manque d’informations essentielles; • attendu que le projet actuel du REM menace de démanteler et de privatiser le transport collectif de la région métropolitaine; • attendu le manque de garantie pour l’achat de contenu local; • attendu le déficit démocratique du projet actuel; • attendu la menace environnementale que fait planer la construction du REM sur plusieurs milieux naturels et son impact minime sur une réelle diminution des GES; • attendu qu’il est difficile d’avoir l’heure juste sur le financement du projet et principalement la part du financement public québécois; • attendu que le projet du REM semble davantage conçu pour multiplier la valeur de certains actifs de la CDPQ et de ses filiales que pour répondre aux besoins des citoyennes et citoyens en matière de transport en commun.

Les priorités du gouvernement Couillard cet automne : REM, neutralité religieuse de l’État, les normes du travail, l’aide sociale et le cannabis


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Le gouvernement Couillard s’apprête à faire adopter des projets de loi qui ne feront pas toujours l’unanimité et tentera de régler des dossiers qui traînent en longueur. Le HuffPost Québec fait le point sur les priorités législatives à l’Assemblée nationale cet automne. Selon Jean-Marc Fournier, le leader parlementaire du gouvernement, le projet de loi 137 sur le Réseau électrique métropolitain doit être terminé «très, très rapidement» à la rentrée. Une fois qu’il recevra la sanction de l’Assemblée nationale, le projet de loi va confirmer l’investissement de 1,3 milliard $ de Québec, sur un projet d’une valeur totale de six milliards. Le gouvernement veut en finir avec le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État qui traîne en longueur depuis environ deux ans.

REM : Les manufacturiers inquiets de l’absence de contenu québécois


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La plus importante organisation du secteur manufacturier québécois dénonce l’absence d’exigences de contenu canadien dans le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) que construira la Caisse de dépôt et placement au cours des prochaines années. Trois semaines après l’octroi d’un contrat majeur de l’Autorité métropolitaine de transport (AMT) à un constructeur chinois, le Québec ne peut voir un autre projet d’importance lui échapper, dénonce Éric Tétrault, le président de Manufacturiers et Exportateurs du Québec, une association qui regroupe plus de 1100 entreprises du secteur.

Lire la suite du texte du Journal de Montréal.

Réseau électrique métropolitain : aucune justification d’ordre public


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En commission parlementaire sur la loi 137 concernant le Réseau électrique métropolitain (REM), mercredi, la coalition Trainsparence et le président du SCFP-Québec, Denis Bolduc, ont dénoncé le vide quant à la mission publique du REM. Rappelons que ce projet serait le plus gros PPP de l’histoire du Québec. «Le projet de loi 137 ne mentionne aucunement le transport en commun, le service aux citoyens, le contrôle de la tarification, la préoccupation pour la disparition de lignes d’autobus et de corridors ferroviaires existants, ni l’objectif de réduction des gaz à effet de serre. Rien de tout cela! Ce projet ne présente aucune justification d’ordre public», a témoigné la coalition Trainsparence devant la commission.

Le REM, financé par le développement immobilier en zone humide voire inondable?


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Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et la coalition Trainsparence se questionnent sur la viabilité d’un grand projet immobilier lié au financement du Réseau électrique métropolitain (REM). En effet, les terrains du projet Cap-Nature de Pierrefonds-Ouest, qui prévoit la construction de 5500 habitations, sont présentement touchés par la grande inondation qui bouleverse la région de Montréal. Des membres de la coalition sont allés constater la situation sur le terrain. La zone ouest de 180 hectares de milieux naturels, planifiée comme «zone de conservation» du projet, est présentement largement inondée. Quant à la zone est de 185 hectares, dédiée à la construction des 5500 habitations, elle est présentement saturée d’eau, et sa végétation est typique de milieux marécageux.

Le CCMM–CSN demande une commission parlementaire sur le REM


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La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et sa filiale, CDPQ Infra, ont annoncé mardi matin plusieurs modifications à leur projet de Réseau électrique métropolitain (REM), dont les coûts estimés dépassent maintenant les 6 milliards de dollars. La Caisse financera, entre autres, une nouvelle fiducie gérée par l’UPA qui permettra d’acheter des terres entourant la gare terminale de la Rive-Sud, prévue à Brossard, pour préserver leur vocation agricole. «Cette nouvelle ne doit pas nous faire perdre de vue qu’un rapport du BAPE traîne sur les tablettes parce qu’il ne fait pas l’affaire de la CDPQ, ni des gouvernements provincial et municipal», réagit Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM–CSN).

Le 13 mars : conférence sur les finances de l’UQAM et conseil syndical élargi sur la décentralisation


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Le Syndicat des chargées et chargés de cours invite ses membres le lundi 13 mars au local A-M050 (Pavillon Hubert-Aquin) à une conférence de M. Yvan Duceppe, de MCE Conseils, qui présentera une analyse des états financiers de l’UQAM, dédramatisant la situation. Cette conférence débutera à 12h30 et sera suivie d’un conseil syndical élargi sur le thème de la décentralisation de l’UQAM. Il sera également question du Programme de perfectionnement et du Réseau électrique métropolitain (REM). Un lunch sera servi. Nous vous attendons, déléguées, délégués et les membres, en grand nombre.

Cachez ce BAPE que je ne saurais voir


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Depuis quelques années le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) ne se fait pas aimer des promoteurs de grands projets ni du lobby patronal. Pour comprendre pourquoi, il suffit de lire le récent rapport du BAPE sur le Réseau électrique métropolitain (REM), un projet soutenu par le gouvernement. On ne se surprend donc pas de voir le gouvernement Couillard réagir en tentant de mettre en place une nouvelle structure d’évaluation économique qui fera concurrence au BAPE.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

Une vaste coalition réclame une commission parlementaire sur le REM


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La Coalition climat Montréal et Trainsparence, qui regroupe des organismes environnementaux et syndicaux (dont le SCFP), ont uni leurs voix afin de réclamer la tenue d’une commission parlementaire portant sur le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) proposé par la Caisse de dépôt et placement du Québec (CQDP-Infra). L’opposition au projet ne cesse de prendre de l’ampleur, questionnant tant la gouvernance, la viabilité financière du projet que le choix de la Caisse de tout miser sur le skytrain, une technologie très polluante et extrêmement coûteuse.

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Infrastructure verte : remise à l’avant plan du monorail à grande vitesse


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Le nouveau projet de Banque de l’infrastructure du gouvernement fédéral, qui s’inspirerait en partie du modèle d’affaire de CDPQ Infra et de son projet de Réseau électrique métropolitain (REM), ouvre aujourd’hui la porte à des propositions plus audacieuses dans le domaine des infrastructures vertes. Dans cette note d’intervention, l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC) présente le potentiel d’un projet québécois de transport durable qui végète depuis quelques années dans la filière des projets orphelins : un réseau de monorails à grande vitesse.

Pierre Barrieau commente pour The Montreal Gazette l’ajout de trois stations au futur Réseau électrique métropolitain


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Le chargé de cours en Études urbaines et touristiques Pierre Barrieau commente pour The Montreal Gazette l’ajout par la Caisse de dépôt et placement du Québec de trois nouvelles stations à son Réseau électrique métropolitain (REM) avec deux correspondances possibles au métro de Montréal. «Part of the problem with extending the Blue Line is the fact that the Orange and Green Lines don’t have the capacity to handle all those extra riders», explique Pierre Barrieau.

Malgré l’ajout de nouvelles stations, le REM demeure un mauvais projet


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La coalition Trainsparence accueille avec scepticisme l’annonce récente de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CPDQ) concernant l’ajout de trois nouvelles stations à son Réseau électrique métropolitain (REM). Ces dernières — qui n’apparaissaient pas sur le plan d’origine —, soit Édouard-Montpetit, McGill College et bassin Peel, offrent deux correspondances possibles au métro de Montréal. Les coûts projetés sont maintenant de 5,9 milliards de dollars plutôt que les 5,5 milliards annoncés. Trainsparence, un important regroupement d’experts en transport en commun, de groupes environnementaux et de syndicalistes, dont le SCFP, plaide pour la tenue d’une commission parlementaire afin que l’ensemble du projet puisse être pleinement évalué.

Le REM : plus avantageux pour la Caisse que pour la population québécoise


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On sentait un enthousiasme débordant des classes politiques et médiatiques lorsque la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) annonçait le 22 avril dernier son projet de train électrique: le réseau électrique métropolitain (REM). En tout, 67 kilomètres de rails et 24 stations à Montréal et dans les environs. La CDPQ promettait un réseau rentable, construit rapidement, qui réglerait l’éternelle question du transport en commun entre la Rive-Sud, l’aéroport et l’Ouest-de-l’Île. Cependant, maintenant que la poussière est retombée et que le BAPE est en train d’étudier la question, vérifions si la proposition reste aussi prometteuse et si la population du Québec en sort réellement gagnante.

Une importante coalition demande une enquête publique sur le projet du train électrique de la Caisse de dépôt


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Une vaste et importante coalition d’experts en transport en commun, de groupes environnementaux et de syndicalistes lance un cri d’alarme soulignant les innombrables anomalies et problèmes avec le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). Baptisée «Trainsparence», la coalition plaide pour la tenue d’une commission parlementaire afin que l’ensemble du projet puisse être pleinement évalué. Une pétition a été déposée à l’Assemblée nationale à ce sujet. «Ce n’est pas pour rien que la liste de critiques contre ce projet s’allonge. Il y a deux semaines, deux ministères ont émis publiquement de fortes réserves sur le tracé et au moins six autres ministères ont souligné de graves lacunes.

Jean-François Lefebvre analyse les failles du projet du Réseau électrique métropolitain


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Le chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques Jean-François Lefebvre et le président d’Option transport durable et chargé de cours en développement durable à l’École de technologie supérieure, Luc Gagnon, analysent les failles du projet du Réseau électrique métropolitain. «L’enjeu à long terme le plus important est le nombre de stations, car c’est la proximité des stations qui crée l’habitude d’utiliser le transport collectif. Comme chaque station de Skytrain est dix fois plus coûteuse que celle d’un tram-train, la CDPQ a dû minimiser le nombre de stations. À cause de ce mauvais choix de technologie, les documents officiels donnent rarement un portrait réaliste du projet.»

Un système léger sur rail (SLR) dans l’Est de Montréal : un potentiel insoupçonné pour la transition énergétique dans les transports


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La desserte de l’Est doit faire l’objet d’un mandat spécifique, qui tiendra compte des choix déjà privilégiés, selon le chercheur de l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) Gilles L. Bourque. Dans un scénario de transition des transports présenté l’an dernier, l’IRÉC avait inclus un projet SLR qui, partant du même pôle central que le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) de CDPQ-Infra, cheminerait vers l’Est de Montréal en suivant l’itinéraire Notre-Dame/Dickson/Souligny/Pointe-aux-Trembles. «Il est depuis longtemps apparu à l’IRÉC que le recours au vaste bassin d’actifs que constitue l’épargne québécoise représente l’une des principales pistes de solutions pour le financement de la transition énergétique au Québec», a expliqué l’économiste.