Impasse à l’École de technologie supérieure : un arbitre est réclamé


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Le syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieure – Service des enseignements généraux (SCCÉTE-SEG) a demandé au ministre du Travail de nommer un arbitre afin de dénouer l’impasse pour la conclusion d’une première convention collective. «Ce n’est pas de gaité de cœur que nous faisons appel à un tiers pour établir les paramètres de notre première convention collective. On aurait préféré de loin une entente négociée et nous avons fait plusieurs efforts en ce sens depuis le début de la négociation et en conciliation au ministère du Travail. Puisque notre engagement n’est pas reconnu à sa juste valeur par l’École, nous n’avions pas le choix d’agir ainsi», a déclaré le président du SCCÉTS-SEG, M.

Le Syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieure hausse le ton


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Confrontés à l’intransigeance de leur employeur, les membres du Syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieure — Service des enseignements généraux (SCCÉTS-SEG) ont pris la décision en assemblée générale d’exercer des moyens de pression. Après plus de deux ans et trente-deux séances pour s’entendre sur une première convention collective, les négociations stagnent. Pour Laurent Arel, président du Syndicat, l’attitude de la direction de l’établissement à la table de négociation est consternante. «D’un côté, l’École prétend se distinguer favorablement des autres établissements universitaires québécois. De l’autre côté, elle refuse de reconnaître et d’encourager l’excellence des contributions des chargé-es de cours à l’enseignement et à l’encadrement des étudiants.»