Légalisation du cannabis : les chercheurs se préparent


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Cette année, si tout se passe comme prévu, le Canada amorcera ce que Fiona Clement, chercheuse en politiques de la santé à l’Université de Calgary, décrit comme la plus importante révolution culturelle de sa vie: le cannabis cessera d’être une drogue illégale, après des décennies de prohibition. La chose semblait improbable il y a quelques années à peine. Mais aujourd’hui, d’un océan à l’autre, des chercheurs sont impatients d’étudier les multiples conséquences de ce changement capital sur la société, l’économie et la santé de la population.

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Cannabis : André Lamoureux croit que c’est une bonne chose que chaque province puisse y aller à son rythme


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Les Canadiens ont avantage à bien connaître les politiques du cannabis de chaque province puisque leurs lois sur les joints légaux seront bien différentes de l’une à l’autre. Le chargé de cours André Lamoureux croit que chaque province peut y aller à son rythme. «Au Québec, on a été parmi les plus prudents, et c’est très bien», ajoute-t-il, dans un texte du Journal de Montréal.

Exclusion du personnel de la SAQ à la Société québécoise du cannabis : la ministre fait volte-face


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Lors de la présentation de la CSN à la commission parlementaire, la ministre Charlebois a fait volte-face en annonçant que le projet de loi 157 sera amendé pour permettre aux employé-es de la SAQ de travailler dans l’éventuelle Société québécoise du cannabis, une demande formulée par la CSN. Nous suivrons attentivement l’évolution de ce dossier. Nous vous invitons à consulter la présentation du président de la CSN, Jacques Létourneau, lors de la commission parlementaire.

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Création de la Société québécoise du cannabis : la CSN dénonce l’exclusion du personnel de la SAQ.

L’État doit assumer pleinement son rôle, selon la CSQ.

Le projet de loi n°157 confie la prise en charge du cannabis au public tout en ouvrant la porte au privé


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De passage à la Commission de la santé et des services sociaux, le 7 décembre, la FTQ et le SCFP ont salué la décision du gouvernement de confier à une société d’État la prise en charge du cannabis, de manière à prioriser les objectifs de santé publique. «Nous estimons qu’en matière de distribution et de vente de cannabis, le modèle public choisi par le gouvernement va permettre un meilleur encadrement de la consommation. Cependant, il nous faut mettre le gouvernement en garde contre deux dispositions du projet de loi qui, il nous semble, ouvrent la porte à la privatisation. Il s’agit d’une partie de l’entreposage, du transport et de la livraison.

Le cadre proposé par Québec pour la légalisation du cannabis tient-il la route?


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Le gouvernement du Québec a déposé le projet de loi 157 qui prévoit le cadre légal pour la distribution et la vente du cannabis. Nous analyserons ce projet de loi afin de voir s’il répond aux objectifs que le gouvernement s’est fixés relativement à la santé publique et au recul du marché noir. Pour vérifier si le projet de loi 157 répond aux standards de santé publique, nous répondrons aux questions suivantes: le gouvernement met-il en place un cadre qui poussera à la commercialisation du produit? La prévention et l’éducation à de saines habitudes de consommation sont-elles au centre des préoccupations?

Les priorités du gouvernement Couillard cet automne : REM, neutralité religieuse de l’État, les normes du travail, l’aide sociale et le cannabis


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Le gouvernement Couillard s’apprête à faire adopter des projets de loi qui ne feront pas toujours l’unanimité et tentera de régler des dossiers qui traînent en longueur. Le HuffPost Québec fait le point sur les priorités législatives à l’Assemblée nationale cet automne. Selon Jean-Marc Fournier, le leader parlementaire du gouvernement, le projet de loi 137 sur le Réseau électrique métropolitain doit être terminé «très, très rapidement» à la rentrée. Une fois qu’il recevra la sanction de l’Assemblée nationale, le projet de loi va confirmer l’investissement de 1,3 milliard $ de Québec, sur un projet d’une valeur totale de six milliards. Le gouvernement veut en finir avec le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État qui traîne en longueur depuis environ deux ans.

Commerce légal du cannabis récréatif au Québec : si ce n’est pas payant, pourquoi Couche-Tard veut en vendre?


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Le SCFP réagit avec ironie au fait que Couche-Tard a embauché une ancienne conseillère de Philippe Couillard dans l’espoir de vendre du cannabis dans ses magasins. Pour le syndicat, cette nouvelle souligne l’absurdité des propos tenus par le premier ministre Couillard le 25 mai voulant que le cannabis ne serait pas payant pour le gouvernement. «D’abord, le premier ministre lui-même a lancé un ovni en disant qu’il n’y a «pas de pactole» pour le gouvernement dans la vente de cannabis. Ensuite, convoitant un pactole, Couche-Tard embauche à titre de lobbyiste une ancienne conseillère spéciale de Philippe Couillard. Payant ou pas payant?»

Cannabis : l’État québécois a un rôle primordial à jouer


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La légalisation du cannabis au Canada vise des objectifs sociaux, de santé publique et de sécurité, qui seront beaucoup plus difficiles à atteindre si Québec choisit de confier la commercialisation au secteur privé. Le gouvernement québécois dit réfléchir actuellement à la question et il annonce une période de consultation qui aura lieu durant l’été. Nous espérons que cette consultation permettra une véritable réflexion qui était jusqu’à maintenant confinée au conseil des ministres et alimentée par un grand nombre de lobbyistes qui œuvrent dans l’ombre pour s’approprier ce marché légalisé. C’est un changement très sérieux qui se profile. Le gouvernement Couillard aurait intérêt à considérer le rôle primordial de l’État si on veut atteindre les objectifs fixés.