La nouvelle cuvée de la formation en cinéma Wapikoni mobile à l’UQAM, dirigée par Françoise Lavoie-Pilote, présente ses films


Classé dans : Membres en action | 0

Simon Riverin, de la nation innue de la communauté de Pessamit, sur la Côte-Nord, a remporté le 27 octobre dernier le prix Wapikoni mobile du meilleur court métrage pour Mendier. Son film de 60 secondes a été réalisé dans le cadre de la formation intensive en cinéma offerte à l’UQAM aux jeunes autochtones du 20 au 27 octobre derniers. Cette formation est le fruit d’un partenariat entre le Wapikoni mobile – un studio ambulant de création audiovisuelle et musicale –, l’École des médias, le Département de danse, le Fond d’intégration des chargé-e-s de cours et le Service aux collectivités. «Cette année, les participants devaient scénariser une vidéo dansée – quatre étudiantes en danse ont collaboré au projet – sur une bande sonore de 60 secondes en utilisant les techniques de l’animation en stop motion et du light painting [de la lumière en mouvement]», explique Françoise Lavoie-Pilote, réalisatrice et chargée de cours à l’École des médias, responsable de la formation depuis les débuts du partenariat il y a une dizaine d’années, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Richard Bousquet et Nadia Seraiocco se portent à la défense de la presse écrite


Classé dans : Membres en action | 0

«La presse écrite vit actuellement la pire crise de son histoire. L’enjeu est simple: si rien n’est fait, de nombreux journaux, imprimés ou numériques, pourraient cesser leurs activités dans un avenir rapproché». Ce constat est extrait d’une lettre ouverte, Presse écrite en péril: le gouvernement Trudeau doit agir, signée par plusieurs dizaines d’organisations et de personnalités publiques et publiée récemment dans différents  journaux. Pilotée par la Fédération nationale des communications de la CSN, l’initiative se veut un appel urgent à Ottawa pour qu’il soutienne la presse écrite, dont la survie est menacée par les activités des géants du Web, tels que Google et Facebook.

Jean-Philippe Fauteux reçoit le prix René-Jodoin pour sa contribution au cinéma d’animation


Classé dans : Membres en action | 0

Chargé de cours à l’École de design depuis 1995, Jean-Philippe Fauteux est un artisan du monde de l’animation. De nature modeste, il a souvent travaillé dans l’ombre. N’empêche, les Sommets du cinéma d’animation et la Cinémathèque québécoise lui ont décerné, le 25 novembre dernier, le prix René-Jodoin 2017. Cette distinction, qui porte le nom du fondateur du studio d’animation du Programme français de l’Office national du film (ONF), lui a été remise lors du Festival international des Sommets du cinéma d’animation de Montréal. Elle récompense, depuis 2015, une personnalité marquante, influente et engagée de l’art de l’animation au Canada, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Le Collectif 13 dont fait partie la chargée de cours Véronique Leblanc présente une exposition à la Galerie Art Mûr


Classé dans : Membres en action | 0

Formé par 12 étudiants en histoire de l’art et muséologie de l’UQAM et la commissaire et chargée de cours Véronique Leblanc, le Collectif 13 présente une exposition réunissant les œuvres de trois artistes multidisciplinaires à la Galerie Art Mûr. Rassemblées sous le titre D’où viens-tu?, les œuvres de Pierre ChaumontDayna Danger et Chun Hua Catherine Dong abordent le corps comme territoire politique et traitent d’enjeux actuels: la condition féminine, la représentation des identités culturelles et sexuelles, et notre rapport à la condition numérique, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Alice Ronfard met en scène La Tempête de Shakespeare pour les finissants de l’École supérieure de théâtre


Classé dans : Membres en action | 0

La Tempête de Shakespeare, œuvre maintes fois représentée dans des décors féeriques, se transpose sur la scène du studio d’essai Claude-Gauvreau dans un univers urbain. Du 22 au 25 novembre, les finissantes et finissants en jeu, en scénographie et en études théâtrales de l’École supérieure de théâtre proposaient une version aux accents grunge de ce classique revisité et mis en scène par la chargée de cours Alice Ronfard, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Antoine Ouellette vient de publier Pulsations – Petite histoire du beat


Classé dans : Membres en action | 0

Le chargé de cours Antoine Ouellette vient de publier le livre Pulsations – Petite histoire du beat aux éditions Varia, peut-on lire sur le site de l’UQAM. Qu’est-ce qu’on entend comme musique un peu partout? Des musiques qui ont du beat! Le beat, c’est cette pulsation régulière, imperturbable, marquée par la batterie. Ventes de disques et achats de musique en ligne le confirment: les consommateurs préfèrent les musiques qui en ont. Il en va de même pour les spectacles et les concerts. Le beat, c’est la fête, la danse, l’«éclate»! Pourtant, les choses pourraient être différentes. En fait, elles l’ont déjà été.

Autochtones et services publics : Pierre Trudel propose une instance permanente


Classé dans : Membres en action | 0

Le chargé de cours et anthropologue Pierre Trudel propose que le gouvernement du Québec crée une instance permanente sur les relations entre les Autochtones et les services publics. Il a soumis cette recommandation la semaine dernière, lors de son témoignage devant la commission d’enquête Écoute, réconciliation et progrès à Val-d’Or. Une telle instance éviterait des crises, considère Pierre Trudel, comme celle déclenchée à Val-d’Or, il y a deux ans, lorsque des femmes autochtones ont affirmé avoir subi de mauvais traitements de la part de policiers, rapporte un texte de Radio-Canada.

Le dessous des cartes électorales expliqué par Frédéric Castel


Classé dans : Membres en action | 0

Au lendemain d’une élection, les analystes évaluent l’écho des programmes et l’impact des faits et gestes des chefs. À l’aide de la cartographie des résultats par section de vote et des données par district, l’analyse géographique des élections municipales de Montréal permet de dégager des mouvements de fond et de mettre en lumière des phénomènes qui, autrement, passeraient sous le radar. En 2017, sous l’effet de l’effondrement des tiers partis, qui ne présentaient plus de candidats à la mairie de la ville, Projet Montréal et l’Équipe Denis Coderre ont vu tous deux leurs électorats s’accroître. Sur le plan spatial, les changements les plus remarquables sont, naturellement, l’expansion du parti de Valérie Plante et la bipolarisation du vote, analyse le chargé de cours Frédéric Castel dans un texte publié par Le Devoir.

Sandrine Ricci commente le projet de la loi n° 151 devant la Commission de la culture et de l’éducation


Classé dans : Membres en action | 0

La chargée de cours Sandrine Ricci était à l’Assemblée nationale le 22 novembre pour commenter devant la Commission de la culture et de l’éducation le projet de la loi n° 151, visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur, avec Geneviève Paquette, une autre chercheure de l’enquête ESSIMU.

Visionner la vidéo.

Martin Carrier vient de publier Executive Politics in Semi-Presidential Regimes


Classé dans : Membres en action | 0

Le chargé de cours Martin Carrier vient de publier le livre Executive Politics in Semi-Presidential RegimesPower Distribution and Conflicts Between Presidents and Prime Ministers aux éditions Lexington Books. This book analyzes the power variations between political executives in semi-presidential regimes. It contrasts institutional, partisan, and extra-institutional explanations and identifies patterns of change for the power distribution between presidents and prime ministers. It provides an empirical analysis of selected case studies and demonstrates the necessity to understand power variations in a configurative perspective, exposing the limits of institutional design explanations, peut lire sur le site de l’UQAM.

Conférence de Benoit Chalifoux à Montréal Cowork


Classé dans : Membres en action | 0

Les espaces de coworking se sont multipliés depuis quelques années à Montréal. Travailleurs autonomes et entrepreneurs en démarrage apprécient la formule, qui leur permet d’avoir accès à un réseau et à de l’équipement. L’École des sciences de la gestion (ESG UQAM) vient de conclure une entente de partenariat avec l’un de ces espacesMontréal Cowork, afin d’offrir à ses usagers des conférences, des formations et des tables-rondes. Ce partenariat commencera avec un cycle de conférences baptisé «Expertises ESG». Les conférences auront lieu une fois par mois. La première, intitulée «Développer ses soft skills: un essentiel dans une société interconnectée», sera présentée le 30 novembre par Benoit Chalifoux, chargé de cours, adjoint au vice-doyen à l’International et coordonnateur de programme à l’ESG, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Isabelle Courcy a reçu une subvention de recherche de 60 634$


Classé dans : Membres en action | 0

Un total de 47 professeures et professeurs provenant de diverses disciplines ont reçu 5 931 192$ du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) du Canada, dans le cadre des programmes de subventions Savoir (4 758 336$), Développement Savoir (972 971$) et Développement de Partenariat (199 885$). Parmi elles et eux, une chargée de cours, Isabelle Courcy, a reçu 60 634$ pour son projet de recherche sur Les personnes adultes autistes rencontrant des défis dans l’utilisation du langage verbal: une démarche méthodologique adaptée pour élucider leurs perspectives et expériences, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Les étudiantes et les étudiants de plusieurs chargés et chargés de cours se distinguent au Symposium GRH 2017


Classé dans : Membres en action | 0

Le Symposium GRH 2017 s’est tenu à l’Université Laval, le 18 novembre et réunissait sept institutions universitaires. L’équipe de l’ESG en dotation et stratégie de dotation (cas surprise) a remporté la deuxième place. Les étudiantes et étudiants en arbitrage de grief coachés par le chargé de cours Claude St-Laurent et celles et ceux du quiz coachés par la chargée de cours Marielle Lacombe ont obtenu une troisième place. L’équipe des chargés de cours Gilles Dulude et Normand Ducasse en négociation collective s’est bien défendue mais n’a pu se rendre sur le podium. L’excellent ouvrage sur les relations de travail de la chargée de cours Hélène Ouimet a servi à toutes les universités.

Olivier Barsalou commente l’onde de choc provoquée par la première année de pouvoir de Trump


Classé dans : Membres en action | 0

Un an après l’élection de Donald Trump, l’onde de choc est palpable pour les universitaires américains invités par l’Observatoire des États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Les limites au pouvoir du président existent dans la mesure où des gens veulent les faire respecter. Le contre-pouvoir judiciaire est déjà bien actif, remarque le chargé de cours en Sciences juridiques Olivier Barsalou. «Il y a quelques semaines, le procureur général de la Californie a contesté le projet de mur», dit-il. Quant aux nominations judiciaires de Trump, elles auront un effet encore inconnu, mais qui durera des générations, a-t-il expliqué à LaPresse+.

Catherine Béliveau participe à l’exposition Cyclages du Grupmuv présentée jusqu’au 23 novembre à la Galerie R3 de l’UQTR


Classé dans : Membres en action | 0

Tourner, retourner, détourner, répéter et animer… Alors que le dessin se manifeste dans sa forme traditionnelle par un arrêt dans le temps, l’exposition Cyclages interroge à travers l’installation in situ comment la durée transforme la temporalité du dessin lorsque ce dernier quitte son état de suspension. Elle est l’œuvre du Grupmuv, un laboratoire de recherche et de création rattaché à Hexagram et fondé par les professeurs de l’École des arts visuels et médiatiques, Michel Boulanger, Thomas Corriveau et Ælab (Gisèle Trudel). La chargée de cours et étudiante à la maîtrise Catherine Béliveau et l’étudiant à la maîtrise Jonathan Plante participent également à l’exposition, présentée jusqu’au 23 novembre à la Galerie R3 de l’UQTR.

Émilie Tremblay-Wragg est lauréate des Rendez-vous Pile 2017 avec Espace Blitz, le projet de l’OBNL Blitz Paradiso


Classé dans : Membres en action | 0

Espace Blitz, le projet de l’OBNL Blitz Paradiso, qui souhaite établir à Montréal un premier espace collectif de rédaction conçu pour les étudiants de 2e et 3e cycles, dans la foulée des succès obtenus par les retraites de rédaction «Thèsez-vous?» est un des lauréats des concours organisés dans le cadre du Rendez-vous Pile 2017. Ils ont été dévoilés le 9 novembre, à l’occasion d’un gala qui avait lieu au MT Lab. Les cofondatrices de cet OBNL sont la chargée de cours en Didactique Émilie Tremblay-Wragg et Sara Mathieu-Chartier. Les autres gagnants sont Arpent, chez les étudiants, et les projets Flash sur mon quartier!

Brigitte Alepin n’est pas étonnée que les Paradise Papers se rapprochent des dirigeants politiques


Classé dans : Membres en action | 0

Une nouvelle fuite massive de documents lie aux paradis fiscaux d’influents argentiers du Parti libéral du Canada proches de la famille Trudeau, mais aussi les anciens premiers ministres Paul Martin, Jean Chrétien et Brian Mulroney. «Je ne crois pas que ces nouvelles révélations soient tellement une surprise pour les gens», a remarqué en entretien téléphonique au Devoir la chargée de cours et fiscaliste Brigitte Alepin, qui publiait déjà il y a 15 ans un ouvrage intitulé Ces riches qui ne paient pas d’impôt. «On peut quand même s’étonner qu’avec tout ce qui s’est dit sur les paradis fiscaux, nos élus ne soient pas devenus plus prudents dans le choix de leurs relations.»

Florent Michelot cerne les enjeux majeurs à venir pour la nouvelle mairesse de la Ville de Montréal


Classé dans : Membres en action | 0

Les grands chantiers à l’œuvre à Montréal ne régleront que momentanément le problème de congestion, estime le chargé de cours en sciences politiques à l’UQAM, Florent Michelot. «Avec l’échangeur Turcot, il y avait moyen d’intégrer plus de transport en commun et d’espaces verts, mais à Montréal, c’est la norme de construire des infrastructures qui ne sont pas pensées pour autre chose que la voiture et le camionnage», déplore-t-il, pour Le Journal de Montréal.

Russiagate : Facebook, Google et Twitter doivent prendre une partie du blâme, selon Julien Tourreille


Classé dans : Membres en action | 0

Facebook, Google et Twitter sont jugés en partie responsables de l’interférence du Kremlin durant la campagne électorale présidentielle américaine de 2016. «Ils doivent prendre le blâme, dit le chargé de cours et politologue Julien Tourreille à l’antenne de Radio-Canada, notamment en admettant qu’ils jouent un rôle dans la propagation des fausses nouvelles. Il faudrait aussi baliser leurs pratiques comme on le fait avec les médias traditionnels.»

Réjean Myette et Louis Gagnon ont encadré les lauréats uqamiens du magazine Applied Arts


Classé dans : Membres en action | 0

Le numéro de novembre du magazine Applied Arts consacre près de 100 pages aux lauréats 2017 des prix étudiants qu’il organise chaque année, parmi lesquels on retrouve plusieurs Uqamiens. Le magazine canadien Applied Arts est une référence pour les professionnels dans le domaine des communications visuelles et du design. Les chargés de cours Réjean Myette et Louis Gagnon ainsi que les professeurs Sylvain Allard et Ronald Jr. Filion-Mallette de l’École de design ont encadré le travail des étudiants lauréats, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Michel Adès collabore à La lecture en cadeau du 6 novembre au 8 décembre


Classé dans : Membres en action | 0

Pour la 14e année consécutive, l’UQAM participe, du 6 novembre au 8 décembre, à La lecture en cadeau, une campagne qui vise à recueillir des livres neufs pour les enfants défavorisés de 0 à 12 ans. Créée en 1999 par la Fondation pour l’alphabétisation, l’initiative a pour but d’initier les enfants aux joies de la lecture et de prévenir l’analphabétisme et le décrochage scolaire. L’an dernier, 1274 livres neufs et 763 dollars en dons ont été recueillis à l’UQAM, un record. L’UQAM figure au sommet des institutions qui organisent une collecte pendant la campagne. Pour contribuer à La lecture en cadeau, il suffit d’acheter un livre neuf et de se procurer le sac à l’effigie de la campagne auprès d’un des bénévoles, dont le chargé de cours Michel Adès au PK-5225, ou dans les bibliothèques participantes.

Yann Breault organise un colloque sur La Grande Révolution d’Octobre les 14 et 15 novembre


Classé dans : Membres en action | 0

Les jeunes cégépiens qui s’inscrivent à l’UQAM n’ont pas connu l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), dissoute en 1991. Pour eux, la Russie a toujours été dirigée par Vladimir Poutine. Lénine, Trotski, Staline, Khrouchtchev, Brejnev, Gorbatchev et Eltsine font partie de l’histoire ancienne… mais quelle histoire! «La révolution d’Octobre 1917 fut sans doute l’événement qui a le plus durablement marqué le 20e siècle», affirme Yann Breault, chargé de cours au Département de science politique. Afin de souligner le 100e anniversaire de cette révolution, l’Observatoire de l’Eurasie du Centre d’étude sur l’intégration et la mondialisation (CEIM) organise un colloque interdisciplinaire intitulé «La Grande Révolution d’Octobre, 100 ans plus tard: qu’en reste-t-il en Russie et dans le monde?

Marie-Ève Maillé publie Acceptabilité sociale: sans oui, c’est non


Classé dans : Membres en action | 0

L’acceptabilité sociale existait bien avant qu’on en parle, mais elle portait d’autres noms. On parlait alors de conflit, de controverse, d’appui populaire… Depuis une dizaine d’années, cet enjeu est au cœur des débats sociaux et politiques entourant les grands projets de développement, du Plan Nord à Énergie Est, en passant par l’éolien et le gaz de schiste. Mais que recouvre cette notion un peu fourre-tout? L’ouvrage Acceptabilité sociale: sans oui, c’est non, propose des réponses. Ses auteurs, Marie-Ève Maillé, chargée de cours et professeure associée au Centre de recherche interdisciplinaire sur le bien-être, la santé, la société et l’environnement (CINBIOSE), et Pierre Batelier, doctorant en sciences de l’environnement, rappellent que le terme n’est à ce jour inscrit dans aucun texte de loi.

Katya Montaignac commente la subversion au féminin de deux femmes chorégraphes


Classé dans : Membres en action | 0

«Longtemps, la violence en scène a pu être un acte subversif. À un certain moment, c’était une façon de venir déranger le train-train bourgeois du spectacle et du divertissement. Elle a pu pousser à faire réfléchir et servi à donner des leçons ou à dénoncer. Mais aujourd’hui, dénonce-t-on encore la violence par la violence ? s’interroge pour Le Devoir Katya Montaignac, chercheuse et chargée de cours au Département de danse de l’UQAM. Étant soumis à une surenchère de la violence dans les médias et dans notre quotidien, dans quelle mesure celle-ci ne devient-elle pas banalisée et standardisée en scène, un ingrédient nécessaire à un show