Affichage pour les cours de l’été 2022

La période d’affichage des cours pour le trimestre d’été est en cours. Les charges de cours disponibles à l’unité d’embauche des membres du SPPEUQAM (département, faculté, école, institut) sont actuellement inscrites sur l’application ACCENT. Pour aller sur ACCENT, c’est ici. Nous avons jusqu’au 25 février pour postuler. Ne manquez pas non plus l’étape subséquente de l’acceptation des charges, toujours dans ACCENT. Important : vous devrez y retourner entre le 5 et le 10 mars, pour confirmer votre acceptation, sinon vous ne pourrez pas enseigner! Enfin, n’oubliez pas de vérifier, à partir du début avril, les affichages complémentaires, dont les dates sont précisées à la page d’accueil du site Internet du Syndicat et dans ACCENT (Onglet « Dates importantes »).

Pour donner de nouveau cours

Une séance d’informations sera offerte le 1er mars aux membres du SPPEUQAM en vue de la demande annuelle d’Exigences de Qualification pour l’Enseignement (EQE) et dont les dossiers doivent être déposés du 8 au 13 mars 2022. La reconnaissance d’EQE est la porte d’entrée pour donner de nouveaux cours.

L’événement aura lieu le 1er mars, à 12 h 30, en visioconférence. On verra alors comment:

obtenir de nouvelles EQE afin de pouvoir postuler pour de nouveaux cours; bien préparer son dossier pour mettre en valeur certains éléments; demander une révision dans le cas d’un refus d’attribution d’EQE.

Cette séance d’informations répondra à toutes vos questions afin de vous donner les meilleurs outils pour obtenir de nouvelles charges de cours.

Salut, Louise Surprenant

Une de nos collègues militantes est récemment décédée, après une brève maladie. Il s’agit de Louise Surprenant, une artiste du montage en cinéma et qui enseignait depuis plusieurs années à l’École des médias. Parmi la multitude de films où on retrouve sa signature, mentionnons La sarrasine, La ligne de chaleur, Caffe Italia Montréal, Sonatine, Le futur intérieur et Deux épisodes dans la vie d’Hubert Aquin.

Avant de publier sa thèse de doctorat, Louise a présenté son travail lors d’une soirée organisée par Les Monteurs associés en mai 2007, à Paris. Voici le texte de sa présentation, parue en janvier 2008.

Lettre de Caroline Senneville

Notre présidente de la CSN a récemment rédigé un texte paru dans Le Devoir du 7 février.

Elle écrit qu’il « faut revoir l’organisation du réseau et s’attaquer en priorité à la situation des services aux aînés et des services de protection de la jeunesse. Les CHSLD et les centres jeunesse se trouvent noyés dans les mégastructures que sont les CISSS et les CIUSSS, au sein desquels les centres hospitaliers sont des poids lourds. »

Mobilisées pour être payées

Plusieurs syndicats du domaine de la santé au Québec se sont unis pour réclamer haut et fort le versement des primes monétaires, comme entendu avec le gouvernement du Québec. 80 % des personnes qui attendent ces versements sont des femmes.

À lire dans La Presse, l’article de Fanny Lévesque, publié le 3 février dernier et celui de Marie-Michèle Sioui, paru dans Le Devoir du 15 février.

On peut également lire sur le site Internet de la Fédération des infirmières du Québec que « La Fédération de la Santé et des services sociaux (FSSS-CSN), la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), le Syndicat canadien de la fonction publique (CPAS-SCFP), le Syndicat québécois des employées et employés de service (SQEES-FTQ), la Fédération de la santé du Québec (FSQ-CSQ), l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS), la Fédération des professionnèles (FP-CSN) et le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) déplorent que le gouvernement n’honore pas sa signature et qu’il repousse encore son échéancier dans le versement des sommes dues à des milliers de travailleuses et travailleurs de la santé et des services sociaux.

Agriculture et consultation citoyenne

Sociologue de l’environnement, Denise Proulx est professeure enseignante et chercheuse associée à l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM. Au sujet de l’industrie agricole, et particulièrement à propos de la production porcine, on peut lire dans un article signé Lilia Gaulin dans La Tribune qu’elle constate que « le minimum de responsabilité politique est de faire une analyse complète des conséquences économiques, sociales et environnementales. Les citoyens ne seraient pas nécessairement contre. Ce n’est pas tous les projets qui seraient arrêtés. Les citoyens auraient la confirmation que la production respecte le vivre-ensemble. » Denise Proulx est cofondatrice de GaïaPresse, un site de nouvelles dédié aux questions de l’environnement et développement durable francophone.

L’enseignement palliatif à distance

Samuel Cossette, chargé de cours et, nous l’espérons, bientôt professeur enseignant à l’École des médias, est l’auteur d’un texte publié dans Le Devoir du 11 février dernier sur le mirage des bienfaits de l’enseignement à distance. S’adressant aux directions des universités, dont celle de l’UQAM, il écrit ce pertinent conseil, plutôt que de privilégier l’enseignement palliatif à distance : « Ce que vous pouvez faire, par contre, c’est bâtir des universités bouillonnantes, vivantes, actives; des campus où les gens ont envie d’étudier, mais aussi de vivre; des communautés liées et fortes, qui résistent dans le temps. ». En plus de finaliser un doctorat, Samuel Cossette est actif au Centre de recherche interuniversitaire sur la communication, l’information et la société (CRICIS)

Dévoilement ou pas du harcèlement ou de la violence sexuelle

La Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur mène actuellement une étude visant à mieux comprendre les motifs de dévoilement et de non-dévoilement du harcèlement et des violences sexuelles à l’université.

Qui peut participer à cette étude? Les personnes étudiantes ou employées d’une université qui ont vécu un évènement de harcèlement ou de violence sexuelle en contexte universitaire (comportements, attitudes ou propos à caractère sexuel non consentis ou non désirés, avec ou sans contact physique). Il faut que l’évènement ait été commis par une personne affiliée à leur université, peu importe le lieu.

Pour participer, répondez à un court questionnaire en ligne.

Les 10 ans du Printemps étudiant

Dans les médias du Québec, on fait actuellement état de la très grande mobilisation citoyenne menée avec détermination par les étudiantes et étudiants du Québec, et qui a commencé il y a dix ans. Avec, en fond de lutte et de revendication, une opposition au projet d’une hausse phénoménale des droits de scolarité en études supérieures, le gouvernement libéral de Jean Charest s’est attiré l’indignation d’une vaste partie de la population par son attitude scandaleusement méprisante envers les jeunes qui manifestaient sans relâche, jour après jour, soir après soir, et nuit après nuit. Devant une violence policière inouïe, plusieurs d’entre nous, enseignantes et enseignants de l’UQAM, vivions une profonde inquiétude, mais aussi une solidarité renouvelée avec « nos jeunes » qui faisaient sans cesse preuve de créativité dans un remarquable processus de démocratie participative.

On monte la pression

Nous nous préparons à intensifier les moyens de pression sur l’employeur qui ne semble pas vouloir négocier sérieusement. Ainsi, lors de l’Assemblée générale du Syndicat du 24 janvier, les membres ont adopté, à l’unanimité, la résolution suivante :

Que l’Assemblée générale du SPPEUQAM-CSN mandate le comité exécutif pour mettre en place un comité de préparation et de coordination à la grève. Que l’Assemblée générale du SPPEUQAM-CSN mandate le comité exécutif pour proposer les règles du Fonds local de grève et de lock-out (FLGL) du SPPEUQAM à adopter lors d’une assemblée subséquente.

Tous les membres du Syndicat peuvent participer à des activités que nous tiendrons prochainement.

La rentrée 2022 à l’UQAM vue par le CAART

Malgré les multiples représentations du Syndicat, notamment auprès du Service du personnel enseignant, il faut se rendre à l’évidence : qu’on soit en mode palliatif (en ligne), ou en présence, l’UQAM ne donne pas des ressources suffisantes et des conditions d’enseignement adéquates, notamment pour la santé du personnel enseignant et la surcharge de travail avec deux modes d’enseignement, la gestion des cas COVID, la gestion des absences, etc. Même si l’UQAM respecte à la lettre les consignes gouvernementales, l’employeur pourrait offrir davantage pour garantir la sécurité du personnel enseignant et faire plus que le minimum! Voici des informations sur de nouveaux éléments concernant les conditions de travail de la rentrée.

Chronique de négo

Suivi sur l’offre globale de l’employeur

Deux séances de négociation ont eu lieu depuis l’Assemblée générale du 24 janvier dernier, où l’indignation des membres face à l’offre globale déposée par l’employeur à la fin décembre était palpable. Cette instance a d’ailleurs été l’occasion de mandater, à l’unanimité, le Comité exécutif pour la mise sur pied d’un comité de préparation et de coordination à la grève.

Lors de la séance de négociation du 26 janvier, votre comité de négociation a répondu à une offre globale patronale (non-finale). Rappelons que celle-ci ne faisait quasiment qu’opposer des refus aux priorités des membres, tout en maintenant des demandes visant à nous précariser davantage.

S’outiller pour de nouvelles charges de cours

Une séance d’informations sera offerte aux membres du SPPEUQAM en vue de la demande annuelle d’Exigences de Qualification pour l’Enseignement (EQE) et dont les dossiers doivent être déposés du 8 au 13 mars 2022. La reconnaissance d’EQE est la porte d’entrée pour donner de nouveaux cours.

L’événement aura lieu le 7 février, à 12 h 30, en visioconférence. On verra alors comment: obtenir de nouvelles EQE afin de pouvoir postuler pour de nouveaux cours; bien préparer son dossier pour mettre en valeur certains éléments; demander une révision dans le cas d’un refus d’attribution d’EQE.

Cette séance d’informations répondra à toutes vos questions afin de vous donner les meilleurs outils pour obtenir de nouvelles charges de cours.

Pour contenir la bulle spéculative immobilière

Trois de nos collègues, Dieudonné Ella Oyono, Louise Lavoie et Marie-Hélène Legault, qui enseignent au Département des sciences économiques à l’UQAM, ont cosigné une lettre d’opinion parue dans Le Devoir du 1er février 2022. On y expose des moyens pour contenir la bulle spéculative immobilière.

En effet, nous pouvons lire dans le texte de nos collègues que « pour faire baisser la pression immobilière, les gouvernements doivent soutenir davantage la construction de logements abordables, mais aussi calmer la spéculation sur le marché immobilier. Pour y arriver, les gouvernements, qui préparent actuellement leurs budgets, devraient envisager sérieusement des modifications fiscales afin de diminuer la spéculation.

Réflexions sur la formation en animation en temps de pandémie

Stéphane Daniau vient de faire paraître un article dans la Revue internationale Animation, territoires et pratiques socioculturelles. Son article, « Le DAFA à distance : la formation des animateurs en temps de pandémie », présente les principaux écueils et les conditions de réussite qui ont émaillé la mise en œuvre en accéléré, dans les conditions récentes de pandémie de la COVID-19.

Professeur enseignant au Département d’éducation et formation spécialisées depuis 2009 dans le domaine du développement personnel et des stratégies pédagogiques en formation des adultes, il s’intéresse notamment aux approches novatrices en éducation et plus particulièrement, aux potentialités formatives des jeux de rôles ludiques.

Stéphane Le Duc fasciné par la vie de Luis Vuitton

On peut écouter une entrevue de 18 minutes de Stéphane Le Duc, professeur enseignant en communication sociale et publique de l’UQAM, menée récemment par Marie-Louise Arsenault, animatrice de l’émission « Plus on est de fous, plus on lit ». Notre collègue relate brillamment une partie du livre de Caroline Bongrand, intitulé Louis Vuitton, l’audacieux, paru chez Gallimard, en novembre 2021.

À écouter ici de toutes nos oreilles.

Une solidarité exceptionnelle remarquée

Il est rarissime que l’on voit une lettre commune signée par quatre leaders des grandes centrales syndicales du Québec et trois ministres du gouvernement du Québec. C’est pourtant arrivé alors que Daniel Boyer, président de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ); Caroline Senneville, présidente de la Confédération des syndicats nationaux (CSN); Luc Vachon, président de la Centrale des syndicats démocratiques (CSD); Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ); Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale; Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux et Sonia LeBel, ministre responsable de l’Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor ont signé un texte collectif appelant la population à relever ses manches pour se faire vacciner afin de lutter contre la pandémie.

Surprise!

Nous sommes lundi et voici l’infolettre du SPPEUQAM qui surgit, telle une surprise, au lieu de paraître le jeudi, comme il en est coutume! L’essentiel du propos de cette publication concerne une proposition de mise sur pied d’un comité de préparation à la grève, car les négociations avec l’employeur piétinent (tant les négos que l’employeur), la rentrée en cours et le retour en présence à venir, un coup d’œil sur des activités de plusieurs collègues qui font de la recherche, tout cela agrémenté de l’humeur exécutive de notre représentante au C A de l’UQAM. Je vous souhaite une agréable lecture et au plaisir de se voir en assemblée générale!

Un retour attendu

Dans cet article de Catherine Couturier paru dans l’édition des 22-23 janvier du Devoir, la présidente de notre fédération nationale, Caroline Quesnel, affirme avec justesse que les « conséquences du basculement en mode non présentiel, parce que c’est différent de la formation à distance, pensée et conçue comme telle, ne sont pas anodines ». En effet, on parle ici de « détresse psychologique élevée chez les enseignants, temps et travail supplémentaires pour adapter les cours, effacement des frontières entre la vie privée et le travail, sans compter l’isolement et la démotivation pour les étudiants ».

La caquistophonie

Un texte de Christine Gauthier, vice-présidente de la FNEEQ, responsable du Regroupement université, a été publié dans l’édition numérique de La Presse le 22 janvier dernier. Elle dénonce la « vision étroite de l’éducation proposée par le gouvernement de la CAQ, celle d’une éducation au service d’une idéologie politique et de l’économie ». Toujours dans La Presse, sur le même sujet, on peut lire l’éditorial de Philippe Mercure portant le titre « Quand la CAQ écorche la liberté universitaire ».

Brèves et percutantes, les vidéos de la FNEEQ!

Une récente et très bonne vidéo vient tout juste d’être mise en ligne par notre fédération nationale, la FNEEQ-CSN. Elle est brève et percutante et concerne la fragile et inquiétante situation de la rentrée de l’hiver 2022 à laquelle font face les enseignantes et enseignants des niveaux primaire, secondaire, collégial et universitaire. Pour voir toutes les vidéos de la FNEEQ, c’est par ici : vimeo.com/fneeq.

La situation catastrophique en arts vivants avec la pandémie

Plusieurs travailleuses et travailleurs à contrat dans les disciplines des arts vivants, souvent en travail autonome, en arrachent particulièrement avec la pandémie. Plusieurs camarades de syndicats et d’associations professionnelles vivent donc des situations difficiles. On vous convie à lire cet article de Catherine Lalonde, paru dans l’édition du 13 janvier dernier dans Le Devoir, sous le titre « Hors les écrans, forte baisse des revenus des artistes », et aussi cet article d’Étienne Paré, paru le 22 janvier, dans le même journal.