L’habitation au cœur de la nouvelle politique de développement social de Montréal


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Le maire de Montréal, Denis Coderre, promet de faire du logement une priorité de la toute première politique de développement social de la Ville. Cela pourrait avoir comme effet de soumettre les promoteurs immobiliers à des exigences plus élevées en matière de logement social. «C’est une demande qui est revenue énormément. Il manque des logements sociaux et abordables à Montréal», a ajouté le protecteur des personnes en situation d’itinérance de la Ville de Montréal, Serge Lareault. La politique présentée le 7 juin définit de grandes orientations visant à inclure, à protéger et à rendre plus accessibles les services municipaux aux personnes et aux communautés vulnérables.

8,5 M $ annuels en plus pour l’itinérance


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Avec 8,5 M$ annuels en plus d’Ottawa durant deux ans, Québec pourra financer de nouveaux projets pour lutter contre l’itinérance. La part consacrée à Montréal n’a pas encore été définie. «Cet argent va permettre de rétablir des services qui avaient été coupés», indique Serge Lareault, Protecteur des itinérants, qui rappelle que les conservateurs finançaient surtout du logement privé. Ces 8,5 M$ annuels injectés par Ottawa pour le Québec s’ajoutent donc aux 19,6 M$ annuels de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI) 2015-2019.

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Serge Lareault devient le protecteur des oubliés de la société


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«Il est là pour aider les itinérants à s’en sortir», a affirmé le maire Denis Coderre en annonçant que Serge Lareault devient, à compter de cette semaine, le premier protecteur des personnes en situation d’itinérance de la Ville de Montréal. Serge Lareault, 50 ans, un homme rompu aux codes de la communication, est surtout connu à Montréal pour être le fondateur de L’Itinéraire, un journal communautaire fabriqué et vendu par les gens de la rue. «La frontière entre l’itinérance et la pauvreté reste mince», affirme Serge Lareault en entretien au Devoir.

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