Archives des articles publiés par Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l'UQAM

Professeures et professeurs enseignants, sustentons-nous autour d’un excellent barbecue! On se rassemble ENFIN, le 13 septembre, à midi, en plein air, à la Verrière, la cour intérieure du Pavillon Hubert-Aquin.

Si ce n’est déjà fait, RSVP le plus tôt possible à beausoleil.cathy@sppeuqam.org.

Suite au BBQ, deux salles seront mises à disposition des membres qui souhaiteraient assister à l’assemblée générale du 13 septembre, à 13 h 30 en visioconférence sur Zoom. Les locaux sont le A-R542, au bureau du Syndicat, et le A-R505. Apportez votre ordinateur portable ou votre tablette et une paire d’écouteurs pour éviter l’effet larsen (idéalement avec micro). Le port du masque est requis. Nous pourrons accommoder un peu plus d’une vingtaine de personnes. Si heureusement plus de personnes souhaitaient se joindre à l’assemblée, il sera toujours possible d’y assister en d’autres lieux de l’UQAM, salles de la bibliothèque, lieu tranquille de l’UQAM, etc.

Les projets d’intégration favorisent la collaboration entre les enseignantes, enseignants et permettent de valoriser la précieuse contribution des chargées, chargés de cours dans l’amélioration de la qualité de l’enseignement et de la vie académique. Le budget annuel cette année totalise 638 346 $ (600 000 $ + le montant récupéré sur les projets non-complétés de l’année 2020-2021, qui s’élève à 38 346 $). Sur les 156 projets soumis pour le dépôt annuel de mai dernier (total de 858 386 $), 130 projets ont été financés par le Comité de liaison institutionnel (CLI), soit un total de 478 084 $ (équivalent à 8 522 heures rémunérées à 51 $/h).

Astrid Tirel, vice-présidents aux relations intersyndicales a rédigé et déposé un mémoire sur la Liberté académique, pour le Comité exécutif du SPPEUQAM. Ce mémoire constitue une participation aux réflexions portant sur la liberté académique menées à l’échelle gouvernementale, dans le cadre de la Commission scientifique et technique indépendante sur la reconnaissance de la liberté académique dans le milieu universitaire. Il tend à démontrer le lien qui préside aux contraintes liées au statut de chargées et de chargés de cours et à l’exercice de la liberté académique. Il interroge le fonctionnement démocratique de l’université au regard de son manque de représentativité.

J’ai mon masque rattaché à un cordon autour du cou. J’ai avec moi ma passe sanitaire, ma passe d’autobus, mes clés de bureau. Mon laptop est logé dans mon sac à dos. Je suis prête! Je me rends sur le campus universitaire pour la première fois en dix-huit mois.

Oh, il ne faut pas que j’oublie mon téléphone cellulaire. Il est rustique, de troisième génération, ne reçoit ni photo, ni vidéo dans la messagerie mais peut être utile en cas d’urgence. Je l’avais rechargé la veille au soir. En le débranchant, je trouve par hasard un texto de ma voisine. Comme d’habitude, je ne réponds pas.

Trois semaines après que la ministre de l’Enseignement supérieur Danielle McCann ait annoncé que le retour en classe dans les universités se ferait en présence, et sans masque, le gouvernement Legault confirme le retour en présence à l’université, mais cette fois en exigeant le port du masque. On réagit ainsi au nombre de plus en plus élevé de personnes qui contractent la maladie avec le variant Delta qui se montre plus agressif.

Le Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM (SPPEUQAM-CSN) salue l’initiative du gouvernement de continuer à privilégier l’enseignement en présence, et d’exiger le port du masque pour les personnes qui fréquenteront les campus universitaires (ici, on parle toujours des étudiantes, étudiants, sans jamais encore mentionner le mot enseignante, enseignant…).

Un été bien occupé!

Par cette chronique nous vous faisons part d’un bref retour sur la négociation en juillet et d’une invitation aux professeures et professeurs enseignants à en discuter avec nous lors de la prochaine assemblée générale, le 13 septembre à 13 h, en visioconférence.

Jusqu’ici trois sujets ont fait l’objet de négociation avec l’employeur : les exigences de qualification (EQE) lors de quatre séances en mai, le thème Varia (divers droits des professeures et professeurs enseignants) lors de deux séances en juin et la supervision de stages lors de deux séances en juillet. Cela fait suite à huit précédentes séances de négo où les cahiers syndical et patronal de demandes ont été expliqués, dont certaines priorités syndicales plus en profondeur, comme la stabilisation de l’emploi et la formation à distance.

Professeures et professeurs enseignants, sustentons-nous autour d’un excellent barbecue! On se rassemble ENFIN, le 13 septembre, à midi, en plein-air, à la Verrière, la cour intérieure du Pavillon Hubert-Aquin.

RSVP avant le 7 septembre à 13 h à beausoleil.cathy@sppeuqam.org.