Sommet de l’enseignement supérieur : un an déjà, mais pas de quoi fêter !
Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MESRST) se plait à dire que le «Sommet a mis fin à la pire crise sociale que le Québec ait connue au cours des 25 dernières années»… Un an plus tard, la FNEEQ constate, à l’instar de plusieurs partenaires de la communauté universitaire et du monde collégial, que la «crise sociale» est peut-être derrière nous, mais que les solutions concrètes restent toujours à venir. La présidente de la FNEEQ, Caroline Senneville, rappelle que «le Sommet a quand même consacré l’augmentation constante des droits de scolarité avec l’indexation, ce à quoi nous étions opposés et qui nous a fortement déçus!»