Les murs dans le monde, en réponse aux nouvelles peurs, commente Elisabeth Vallet


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Si l’idée d’ériger un mur ou une clôture entre des pays est aussi ancienne que les concepts de nation et de frontière, l’Europe et le monde occidental ont un peu vite cru que la fin de la guerre froide et l’effondrement du mur de Berlin, en 1989, allaient signifier la disparition des séparations entre les peuples. Près de trente ans plus tard, le nombre de murs et de clôtures a explosé un peu partout sur la planète. «On compte aujourd’hui soixante-dix à soixante-quinze murs construits ou annoncés dans le monde, les murs existants s’étalant sur environ 40 000 kilomètres», soit autant que la circonférence de la Terre, affirme Elisabeth Vallet, politologue et chargé e cours à l’UQAM.

Québec doit donner aux villes les moyens de se financer, selon Florent Michelot


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La grogne de nombreux propriétaires et commerçants risque d’être ravivée dans les prochains jours à la réception des comptes de taxes dont certains affichent des hausses trois fois supérieures à l’inflation. Selon un recensement effectué par Le Journal de Montréal, près de la moitié des villes de la région métropolitaine ont augmenté les taxes au-dessus du niveau de l’inflation évaluée à 1,7 %. «Le Québec s’est engagé sur la voie de la décentralisation, mais ce n’est pas viable si on ne donne pas aux villes les moyens de se financer», explique Florent Michelot, chargé de cours en Affaires municipales à l’UQAM.

Julien Tourreille a codirigé l’ouvrage Le conservatisme à l’ère Trump


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Depuis les élections de novembre 2016, la domination du Parti républicain aux États-Unis est écrasante. En plus d’avoir reconquis la Maison-Blanche avec la victoire de Donald Trump, le Grand Old Party jouit de la totalité du pouvoir politique dans 25 États, ainsi que d’un pouvoir partiel – gouverneurs ou chambres législatives – dans 20 autres. Dix ans après la parution d’un premier ouvrage sur le conservatisme, des chercheurs de l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand revisitent le mouvement avec Le conservatisme à l’ère Trump. Sous la direction de Rafael Jacob et du chargé de cours Julien Tourreille, cet ouvrage décrit comment le conservatisme a été façonné, comment il continue à être remodelé et quelle influence il peut avoir au sein de la plus puissante démocratie de la planète, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Sophie Camard reçoit le 2e prix du Concours de vulgarisation de la recherche en éducation


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Vingt-deux étudiants aux trois cycles d’études ont participé au neuvième Concours de vulgarisation de la recherche en éducation, le 25 janvier, organisé par l’Association des étudiantes et des étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation (ADEESE), en collaboration avec la faculté. Sophie Camard, étudiante à la maîtrise en éducation et chargée de cours a remporté le 2e prix. Le chargé de cours Jean-Philippe Ayotte-Beaudet faisait partie du jury, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Les réponses pour les projets d’intégration seront transmises bientôt


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Les réponses des heures octroyées pour les projets d’intégration seront transmises sous peu par le Comité de liaison institutionnel (CLI) aux comités de liaison locaux qui eux transmettront les réponses aux personnes concernées. Le CLI a reçu des demandes totalisant 210 695,10$  et disposait d’un budget de 70 986,30$. Il a dû retarder au prochain dépôt les projets qui pouvaient l’être en proposant aux demandeurs de représenter leur projet et il a dû faire des coupes difficiles dans certains projets.

Sous-emploi des titulaires de doctorat : un mal pour la recherche


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Les données révélées par l’enquête du Conseil de recherche en sciences humaines devraient apporter un éclairage précieux sur l’augmentation récente du nombre de titulaires de doctorat sous–employés dans les universités canadiennes. Pour les titulaires de doctorat qui choisissent une carrière en recherche plutôt qu’un poste dans la fonction publique ou dans le secteur privé, la vie a bien changé. Jadis, la voie à suivre pour faire carrière dans le milieu universitaire était claire et simple : mener à bien un programme de doctorat pendant quatre ou cinq ans, faire des études postdoctorales, être chargé de cours à temps partiel, occuper peut‑être un poste ou deux doté pour une durée déterminée, puis obtenir, enfin, un poste menant à la permanence.

eCampus : encore au stade primaire


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D’ici l’été prochain, une plateforme en ligne offrant des cours virtuels pourrait voir le jour dans les cégeps et les universités de Québec. Nommé eCampus, ce projet pourrait devenir un campus collaboratif partout dans la province. Par contre, la mise sur pied de la plateforme semble encore bien loin. Ce projet est une initiative du ministère de l’Enseignement supérieur, qui travaille en étroite collaboration avec le Bureau de coopération interuniversitaire (BCI). Afin de mettre en place la plateforme eCampus, le bureau « travaille en ce moment à former [des] comités à partir des membres de nos réseaux ». Ce même travail se fera au niveau collégial au cours des prochaines semaines, lorsque les comités auront été formés, explique Chantal Payette, adjointe à la direction générale au BCI.

Rencontre avec les candidats au poste de doyen de l’École des sciences de la gestion le 15 février


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Le SCCUQ convoque les chargées et chargés de cours de l’École des sciences de la gestion à une rencontre avec les candidats au poste de doyen de l’ESG, Louis Baron, professeur titulaire au Département d’organisation et ressources humaines, et Komlan Sedzro, professeur titulaire et directeur au Département de finance, le jeudi 15 février à 12h30 au local R-2630. Un lunch sera servi, nous vous demandons de confirmer votre présence par courriel à sccuq@uqam.ca au plus tard le 12 février, car nous devons connaître le nombre exact de convives.

Les employées et employés étudiants trans et non-binaires exigent du changement


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Les personnes trans et non-binaires sont particulièrement exposé-e-s à la précarité et à l’exploitation. La recherche d’emploi est souvent une expérience difficile: se faire mégenrer, être forcé-e à s’outer, se voir refuser un emploi parce qu’on est trans fait partie du quotidien. Les employé-e-s étudiant-e-s trans de l’UQAM font elleux aussi face à la précarité, souvent contraint-e-s à accepter des conditions de travail inéquitables. Parmi les plus courantes, mentionnons le refus de l’employeur-euse d’utiliser les bons prénoms et pronoms, l’exploitation des connaissances et expertises des personnes trans et non-binaires par les professeur-e-s, le confinement aux emplois subalternes du monde universitaire et la non-reconnaissance du travail quotidien qu’illes fournissent pour éduquer leurs collègues.

Les étudiants étrangers se sentent trahis par les universités albertaines


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Le Conseil des étudiants universitaires de l’Alberta (Council of Alberta University Students) estime que les étudiants étrangers sont exploités financièrement par les universités de la province. Dans un récent rapport, le conseil dénote les nombreuses difficultés qu’éprouvent les étudiants notamment en matière de logement, d’emploi et de financement. Selon les données du rapport, depuis 2010 les droits de scolarité ont augmenté de plus de 17 % pour les étudiants internationaux comparativement à 4,4 % pour les étudiants albertains.

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Un outil pour mieux enseigner lancé par le réseau du l’UQ


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Faire un plan de cours, savoir s’adresser à une classe de plusieurs centaines d’élèves, évaluer les apprentissages… Spécialistes dans leurs domaines, les professeurs d’université sont souvent peu outillés en matière de pédagogie universitaire. Des compétences qu’il sera maintenant possible d’acquérir plus facilement, grâce à la nouvelle plateforme d’autoformation Enseigner à l’université, lancée par le réseau de l’Université du Québec (UQ) en décembre dernier. «Lorsqu’on arrive comme infirmière dans le monde de l’enseignement, on n’a pas toutes les connaissances pédagogiques dans notre boîte à outils», raconte Lise Chamberland, aujourd’hui professeure au département des sciences infirmières à l’Université du Québec à Rimouski. La professeure, qui a fait partie de l’équipe des 30 testeurs de la plateforme, aurait bien aimé que celle-ci existe lors de ses premières charges de cours en 2005.

Entre vous et moi


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Le Conseil d’administration a autorisé mardi soir la recommandation unanime du Comité de sélection de soumettre à la consultation la candidature unique d’Alain Voizard au poste de vice-recteur à la Vie académique en remplacement de René Côté. Les personnes qui seront consultées par vote secret sont: les membres de la Commission des études; les vice-rectrices, vice-recteurs et le secrétaire général; les doyennes, doyens; les vice-doyennes, vice-doyens; les professeures, professeurs à temps plein; les maîtres de langue; les directrices, directeurs de département; les directrices, directeurs de programme d’études; les directrices, directeurs de centres institutionnels de recherche ou de création; les directrices, directeurs d’instituts; les titulaires de chaires institutionnelles et les cadres relevant de la vice-rectrice, du vice-recteur à la Vie académique.

Une application en cas d’urgence à l’UQAR


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L’Université du Québec à Rimouski se dote d’une application pour appareils mobiles afin de rejoindre rapidement ses étudiants et ses employés en cas d’urgence. À peine lancée, Sécurité UQAR a été téléchargée plus de 600 fois en moins de 24 heures. L’application permet de diffuser en direct des messages avisant autant de la suspension des cours, d’un incendie, d’une évacuation ou même de la présence d’un individu suspect, que ce soit sur le campus de Rimouski ou celui de Lévis.

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Des universités tâchent d’accroître les séjours d’études en Chine


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Aux yeux de min ji (Esther) Kim, étudiante au premier cycle à l’Université d’Ottawa, un séjour d’études en Chine semblait le moyen idéal de parfaire son éducation. «La Chine est un pays émergent qui a une incidence sur les relations internationales actuelles et la mondialisation, explique-t-elle. J’étudie en sciences sociales et j’ai pensé que ce serait une belle occasion d’expérimenter directement la culture et les valeurs [chinoises] plutôt que de m’en tenir à ce qu’on nous apprend au Canada.» Le séjour de Mme Kim a été rendu possible grâce au nouveau programme Canada Liaisons internationales Chine (CLIC). Elle a ainsi été une des premières à obtenir un financement couvrant ses frais de scolarité et lui permettant de participer aux sorties et aux activités scolaires.

Entente de principe chez Transco Montréal


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Cet après-midi, une entente de principe est intervenue mercredi entre le Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) et l’employeur, mettant fin à tout moyen de pression. Le retour au travail s’est fait dès jeudi matin. L’entente sera présentée aux membres prochainement en assemblée générale et aucun commentaire ne sera émis d’ici là. Le STTT–CSN compte près de 330 membres responsables d’environ 300 parcours de transport scolaire.

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Les nouveaux «prophètes» de l’université marchande et globalisée


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Le 25 janvier dernier, La Presse publiait un article dont le titre donne le ton : Formation préuniversitaire collégiale : des chercheurs contestent l’efficacité des cégeps. Après l’épisode du Rapport Demers qui s’attaquait à la formation générale collégiale au nom de l’arrimage école-marché, voici qu’une autre salve s’abat sur l’existence même de la formation préuniversitaire collégiale, qu’il faudrait abolir pour imiter le Canada anglais. La proposition en question émane de Robert Lacroix et Louis Maheu, membres du CIRANO. Essentiellement, le problème serait que les francophones du Québec performent moins bien en termes de diplomation au baccalauréat. L’une des causes pointées serait notre modèle différent en matière d’enseignement supérieur, qui comprend deux années de cégep préuniversitaire ; une exception versus le «Rest of Canada» (ROC).

La FNC dénonce l’intimidation contre un journaliste de La Presse


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La Fédération nationale des communications (FNC-CSN) dénonce l’intimidation subie par le journaliste de La Presse, Louis-Samuel Perron, la semaine dernière et salue le fait que les autorités ont pris les menaces au sérieux. Dans le cadre de son travail au palais de justice de Montréal, un homme aurait tenté de l’empêcher de publier un article à son sujet. À la suite de ces gestes, un mandat d’arrestation a été lancé contre lui.

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Visionner la vidéo : Monsieur Trudeau, la presse écrite est en danger.

Cégépiens en difficulté d’apprentissage : la ministre David veut revoir les règles


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La ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, veut revoir les règles en place dans les cégeps afin de favoriser la réussite des étudiants avec des difficultés d’apprentissage. Le Journal de Montréal rapportait récemment les propos d’un étudiant, Charles McKenna, qui dénonçait la réglementation qui l’empêche de poursuivre ses études au cégep à la suite de nombreux échecs. Ce jeune homme dysphasique réclame un statut particulier pour aider les étudiants comme lui à réussir au cégep. Lors d’un entretien avec Le Journal mardi, la ministre David s’est engagée à revoir les règles en place. «Je veux que le ministère regarde ce règlement parce que ce n’est pas rien, c’est de la réussite scolaire dont on parle», a-t-elle affirmé.

Le premier ministre Couillard est-il vraiment prêt à entendre des solutions pour le personnel hospitalier?


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Pris de panique hier pour expliquer l’épuisement des infirmières et du personnel du réseau, le premier ministre Philippe Couillard s’est dit prêt à entendre les solutions que nous mettons de l’avant. Pourtant, la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) a demandé une rencontre avec le ministre Barrette il y a plus de trois mois de cela justement pour aborder les préoccupations du personnel et certaines solutions pour régler les problèmes vécus. Cette demande est jusqu’à maintenant restée lettre morte. C’est après plusieurs sit-in de professionnel-les en soins dans différents établissements au courant des dernières semaines et le témoignage-choc d’une infirmière de l’Estrie que le premier ministre Couillard a été forcé de réagir.

Des stages rémunérés en éducation préscolaire et primaire ne font pas l’affaire de tous


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Certains étudiants en enseignement à l’UdeM seront rémunérés à partir de l’an prochain dans le cadre de leur stage final. Des organisations luttant contre la précarité financière des stagiaires apportent quelques nuances à cette annonce. Les étudiants de quatrième année du baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement au primaire pourront s’inscrire à des cours de soir et à davantage de cours durant l’été. Cette mesure découle d’une entente entre la Commission scolaire de Montréal (CSDM) et la Faculté des sciences de l’éducation (FSE). «La problématique, c’est qu’il y a des classes qui n’ont pas d’enseignant et que nos étudiants ne sont pas disponibles pour accepter des contrats, car ils ont des cours», déclare la directrice du Centre de formation initiale des maîtres (CFIM) de la FSE, Josianne Robert.

Plus de la moitié des enseignants universitaires en Ontario n’ont pas de poste permanent


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Selon un récent rapport du Conseil des universités de l’Ontario, les corps professoraux dans les universités de la province sont majoritairement composés de chargés de cours à temps partiel. Ces données sont la preuve de la précarité des employés du milieu universitaire en Ontario, selon Frances Cachon, docteure en sociologie et chargée de cours à l’Université de Windsor. «Elles démontrent le recours systémique et structurel à des employés contractuels dans le secteur académique», dit celle qui, après 14 ans d’enseignement, n’a toujours pas de poste permanent.

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L’éducation supérieure au temps du numérique : que reste-t-il du lien social ?


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La ministre Hélène David a évoqué que c’est en raison de la «mondialisation de l’enseignement supérieur» que les universités du Québec doivent développer – de toute urgence – une offre de cours en ligne. Il faut s’adapter à la compétitivité internationale et travailler à mettre sur pied un campus numérique à l’échelle du Québec pour demeurer attractif. Le campus béton n’est plus à la mode auprès des jeunes ni pour la «clientèle» internationale. Exit le vivre ensemble pour apprendre, se former, s’éduquer. Ces orientations gouvernementales sont particulièrement claires: l’éducation supérieure est vue comme une marchandise comme une autre. Une marchandise que l’on peut vendre par ordinateur au temps du numérique.

40 ans, ça se fête : Cocktail dînatoire et conseil syndical élargi le vendredi 9 février

40 ans, ça se fête. Le SCCUQ célèbrera son quarantième anniversaire le vendredi 9 février. Le syndicat invite tous ses membres à un 5 @ 7 Cocktail dînatoire à la Chaufferie du Cœur des sciences (CO-R700). La musique sera assurée par le quatuor Rhapsodie, quatre musiciennes virtuoses et dynamiques. Des surprises à prévoir. Vous devez confirmer votre présence à sccuq@uqam.ca.

L’événement sera précédé d’un Conseil syndical élargi à 14h au local PK-1350. À l’ordre du jour : • Rapport de 2 comités de travail en vue de la prochaine négociation (intégration et stabilisation de l’emploi) • Appui aux travailleuses et travailleurs du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université • Élection d’une officière ou d’un officier d’élections substitut (mandat de deux ans) et d’une représentante ou d’un représentant au Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique (Une, un substitut, mandat de deux ans), au Comité des programmes de formation à l’enseignement (CPFE) (mandat de trois ans – La représentante, le représentant à ce Comité doit provenir de la Faculté des arts ou de l’un de ses départements) et au Comité des relations interethniques (mandat de deux ans).

Mandat de grève pour faire débloquer la négociation à Transplant Québec


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C’est au terme d’une assemblée générale tenue le 30 janvier en soirée que les travailleuses et travailleurs de Transplant Québec se sont dotés d’un mandat de grève pour faire avancer leur négociation. C’est 99% des membres qui ont voté en faveur de la grève à exercer au moment jugé opportun. Après plusieurs rencontres de négociation, les travailleuses et travailleurs ont jugé qu’ils devenaient nécessaires de se doter d’un mandat de grève de dix jours pour inviter l’employeur à améliorer les conditions de travail. Le personnel de Transplant Québec œuvre à la coordination du processus de don d’organes au Québec. Les 36 employé-es de Transplant Québec sont sans convention collective depuis plusieurs mois et sont confrontés à un blocage à la table de négociation.