Conseil fédéral de la FNEEQ : Environnement, formation à distance et liberté d’expression


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Le conseil fédéral de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) a eu lieu du 1er au 3 avril 2019 à Québec. Une délégation du SPPEUQAM était présente pour participer aux discussions très intéressantes qui avaient lieu.

En plus de la présentation du plan de communication de la Fédération et de ses états financiers et d’élections au niveau du Regroupement cégeps, les sujets principaux qui ont été abordés durant ces trois jours d’échanges étaient l’environnement, la formation à distance et la liberté d’expression.

Plusieurs propositions en matière de participation des syndicats membres de la FNEEQ au mouvement Planète en grève, notamment lors de la journée du 27 septembre 2019, ont été adoptées en ce qui a trait à l’environnement.

Libre opinion : il faut sauver la presse francophone à l’Université McGill


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Les universités québécoises, censées être le lieu du savoir et du débat d’idées, manquent à leur devoir de protection de la liberté d’expression. Sans presse libre et indépendante au sein des universités, cette liberté d’expression n’est que de façade. Nous demandons aux dirigeants de l’Université McGill d’abolir la mesure exigeant la tenue d’un référendum quinquennal sur les frais de cotisation de 3$ par session que chaque étudiant est tenu de payer aux journaux étudiants, Le Délit, The McGill Daily et le McGill Tribune. Nous pensons que cette mesure fragilise la liberté d’expression au sein de l’Université tout en marginalisant davantage les voix minoritaires, telles que les voix francophones qui sont représentées par Le Délit, le seul journal francophone de l’Université McGill.

Liberté d’expression sous pression : la censure contamine les milieux universitaires


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Peut-on discuter de tout à l’université? De moins en moins, apparemment. Nous entrons dans une ère «de déclin de l’argumentation, de la rationalité et du politique», pense l’historien des sciences de l’UQAM Yves Gingras. «Et on n’a encore rien vu!» ajoute-t-il. À l’Université McGill, deux professeurs de théologie n’ont pu aborder la question des transgenres, muselés par une trentaine d’étudiants qui les ont interrompus au point où la menace de devoir appeler la police a fini par être brandie. «Dans un monde idéal, l’événement aurait été aboli», a expliqué un des protestataires au journal étudiant McGill Daily.

Protéger la liberté d’expression : les Canadiens et les organismes de bienfaisance demandent une modification de la loi fédérales sur les organismes de bienfaisance


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Les consultations publiques de dix semaines lancées par le gouvernement fédéral en vue de préciser les règles régissant la participation des organismes de bienfaisance à des activités politiques ont pris fin mercredi. Plus de 24 000 Canadiennes et Canadiens ont envoyé des lettres exhortant le gouvernement fédéral à réformer la loi sur les organismes de bienfaisance pour mettre fin aux restrictions imposées à la liberté d’expression des organismes de bienfaisance. De plus, des centaines d’organismes de bienfaisance et d’organismes à but non lucratif provenant de divers secteurs, y compris de la santé, du travail, de l’environnement, du développement international, communautaires et d’autres, ont soumis des présentations officielles et ont participé à des consultations en personne.

Iran : la liberté pour Esmail Abdi, dirigeant syndical iranien


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L’Internationale de l’éducation (IE) lance un appel à ses membres afin de se mobiliser et protester contre la condamnation à six ans de prison infligée à M. Esmael Abdi, un dirigeant de l’association syndicale des enseignantes et enseignants de Téhéran. La condamnation a été prononcée le 7 octobre dernier par la branche 36 de la Cour d’appel de Téhéran. L’IE a fait savoir aux autorités de la République islamique d’Iran que les charges retenues contre lui, notamment pour «conspiration et collusion contre la sécurité nationale» étaient non fondées et contrevenaient à diverses conventions relatives aux droits de la personne, dont celles garantissant la liberté d’expression et d’association, ainsi que le droit des syndicats à être impliqués pour tout ce qui concerne les politiques éducatives.

Aperçu de l’année 2016-2017 à la Ligue des droits et libertés


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C’est une nouvelle année riche en activités qui commence à la Ligue des droits et libertés (LDL). Voici un aperçu de certaines des interventions prévues cette année dans les principaux dossiers retenus par les membres lors de la dernière AGA.

Liberté d’expression, droit de manifester, profilage politique et impunité policière: travail d’analyse et interventions au sujet des règlements municipaux et des armes de contrôle de foule, suivi des travaux du Bureau des enquêtes indépendantes, du projet pilote du SPVM sur les caméras et de la plainte auprès de la CDPDJ pour profilage politique, etc. Environnement et droits humains: interventions au sujet des projets d’hydrocarbures, contribution aux débats sur la transition énergétique, ateliers de formation, etc.

Liberté d’expression et droit de manifester : un dossier thématique de la LDL


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La défense de la liberté d’expression tient une place centrale dans les interventions de la Ligue des droits et libertés (LDL) depuis sa fondation en 1963. À la suite de la criminalisation de la contestation sociale que nous avons connue au cours des dernières années, la LDL consacre des énergies importantes à la défense du droit de manifester, composante essentielle de la liberté d’expression. Plus largement, elle intervient aussi pour dénoncer la judiciarisation et la criminalisation de la contestation sociale et du débat public. Elle continue par ailleurs à dénoncer différentes formes d’atteintes à la liberté d’expression, comme le projet de loi 59.

Droit de manifester : expiration du délai donné par la Cour supérieure, l’article 500.1 est maintenant invalide


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L’article 500.1 du Code de sécurité routière est définitivement invalidé, puisque le délai de six mois octroyé par la Cour supérieure afin qu’il soit reformulé pour respecter la liberté d’expression et le droit de manifester est maintenant écoulé. La Ligue des droits et libertés (LDL) estime qu’il s’agit d’une avancée importante dans la réaffirmation du droit de manifester. Elle demande aux autorités politiques et policières de prendre bonne note de la portée de ce jugement qui vise notamment à mettre un terme à l’exercice d’un pouvoir policier arbitraire de laisser libre cours ou non aux manifestations.

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Le droit d’association et la liberté d’expression seraient compromis si tous les OSBL étaient assimilés à des lobbyistes


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Au troisième jour des auditions, le Commissaire au lobbyisme du Québec dispose déjà de nombreux exemples illustrant les conséquences désastreuses qu’aurait l’adoption du projet de loi 56, lequel vise à assimiler tous les organismes sans but lucratif (OSBL) à des lobbyistes. Les enregistrements des auditions, ainsi que les mémoires déposés, permettent déjà de constater l’étendue des problèmes que vivraient les OSBL, ainsi que les conséquences sur l’esprit même de la Loi sur la transparence et l’éthique en matière de lobbyisme. Rappelons que celle-ci a été adoptée en 2002, à la suite du scandale des commandites, afin d’amener le secteur à but lucratif à plus de transparence dans ses communications avec le secteur public.

UQTR : un cadre plus souple pour les relations de presse


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L’UQTR a finalement revu et assoupli son cadre de gestion des relations de presse qui avait essuyé beaucoup de critiques à la suite de son adoption, en mars dernier. À la suite de diverses rencontres et discussions, une nouvelle formulation a été adoptée qui stipule que «la présente politique reconnaît que la liberté d’expression prévue aux chartes des droits, de même que la liberté académique prévue à certaines conventions collectives font en sorte que les professeurs, les chargés de cours et les autres salariés de l’Université ont le droit d’exprimer leur opinion à propos de cette dernière. Toutefois ce droit doit être exercé dans le respect des lois et du Code civil du Québec», indique la modification.

Mal protéger pour mieux contrôler la parole publique


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La Ligue des droits et libertés (LDL) s’oppose au projet de loi 59 concernant la prévention et la lutte contre le discours haineux et incitant à la violence. Selon nous, ce projet de loi annonce des restrictions importantes à la liberté d’expression alors que le gouvernement ne nous en a pas démontré la nécessité pas plus que les avantages pour notre vie en commun. Nous croyons également que le système de dénonciation que met de l’avant ce projet de loi aura pour effet d’inciter à la délation et nous fera entrer dans une ère du soupçon où la méfiance des uns à l’égard des autres sera la règle et non l’exception.

Expulsions politiques à l’UQAM : un premier grand rassemblement de solidarité


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Un grand rassemblement de solidarité devant le pavillon Athanase-David (D), Place Pasteur, aura lieu le vendredi 27 mars à 12h30, alors qu’est prévue la première comparution d’un étudiant pour expulsion définitive de l’université. Toute la communauté de l’UQAM est appelée à se réunir afin de dénoncer cette dérive kafkaïenne et autoritaire. Vendredi dernier, à la veille d’une grève qui s’annonce mouvementée, l’UQAM a convoqué 9 étudiants-es devant son Comité exécutif extraordinaire – comité essentiellement composé par la haute direction, juge et partie – afin de les renvoyer de notre université. L’administration les expulsera pour une année, voire même définitivement, pour leurs prises de parole publique.

Réponse «scandaleuse et inopérante» de la communauté internationale aux atrocités commises par des États et des groupes armés


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Amnistie internationale publie son rapport annuel, accompagné de prévisions sur l’évolution de la situation des droits humains en 2015. L’organisation déclare que les gouvernements doivent «cesser d’affirmer que la protection des civils n’est pas de leur ressort». Elle craint une augmentation du nombre de civils exposés à des exactions commises par des groupes armés, une multiplication des attaques contre la liberté d’expression et une aggravation de la situation humanitaire et de la crise des réfugiés – à moins que la communauté internationale ne revoie entièrement son approche face aux conflits.

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Libération de Raif Badawi : la CSN presse Ottawa de multiplier les démarches


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Tous les yeux des militantes et des militants des droits de la personne et de la liberté d’expression de la planète sont tournés vers l’Arabie saoudite, alors que Raif Badawi pourrait de nouveau être fouetté demain. Au Québec et au Canada, la mobilisation se poursuit pour presser le gouvernement de Stephen Harper de multiplier les démarches pour que cesse ce châtiment barbare et pour la libération immédiate du blogueur emprisonné depuis le 17 juin 2012.

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Refuser de se taire, certes, mais aussi refuser les discours sécuritaires et islamophobes


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Rien ne peut justifier l’attentat commis contre Charlie Hebdo et la Ligue des droits et libertés condamne avec force le meurtre de ces journalistes. Ces gestes tragiques constituent une atteinte inacceptable à la liberté d’expression. Il faut réagir en refusant de se taire. La liberté d’expression est fondamentale à l’exercice de la démocratie et il faut garantir les conditions d’exercice qui en assurent la pleine réalisation. L’impact de cet attentat ne se limite pas à ce seul élément puisqu’il sera irrémédiablement récupéré par le courant islamophobe. De ce point de vue, il faut aussi réagir et tenter de prévenir les contrecoups qu’en subiront les communautés arabo-musulmanes.

L’UQO boycotte un recueil sur le printemps érable


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L’Université du Québec en Outaouais (UQO) refuse de diffuser sur son site Internet le nouveau recueil intitulé Tisser le fil rouge sur l’impact du printemps érable à Gatineau, invoquant son droit de «réserve institutionnelle». Mais le Syndicat des professeurs de l’UQO (SPUQO) y voit plutôt une atteinte directe à la liberté d’expression, de même qu’à la liberté politique et universitaire.

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La Ligue des droits et libertés condamne la position de l’UQO.

Principaux dossiers à la Ligue des droits et libertés en 2014-2015


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La Ligue des droits et libertés continuera d’intervenir cette année dans les dossiers de la liberté d’expression et du droit de manifester, du profilage discriminatoire, de la surveillance des populations et de l’environnement. Elle poursuivra son travail de suivi du Rapport sur l’état des droits humains au Québec et au Canada et entend alerter la population sur les enjeux de droits humains posés par les mesures et le discours d’austérité. La LDL maintiendra aussi sa participation au sein de plusieurs coalitions et jouera un rôle de veille et d’interventions ponctuelles dans plusieurs dossiers, dont celui du droit d’association et du contrôle de l’État sur les groupes communautaires.

Arrestations du 15 mars : plus de 50 organisations interpellent les élues, élus municipaux


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Après la publication de la lettre signée par 120 intellectuelles et intellectuels, c’est au tour des organisations syndicales, étudiantes, communautaires, féministes et de défense des droits de dénoncer la dérive policière du 15 mars dernier. La Ligue des droits et libertés (LDL), appuyée par 55 autres organisations, demande aux élues et élus municipaux d’intervenir pour que de telles atteintes à la liberté d’expression ne se reproduisent plus. L’arrestation massive survenue en fin de semaine dernière confirme une fois de plus ce que les organisations dénoncent depuis plus d’un an : le règlement P6 brime le droit de manifester et ouvre la porte à l’arbitraire policier et au profilage politique.