Sandrine Ricci participe au 1er Devoir de débattre : Violences à caractère sexuel sur les campus : la loi 151 va-t-elle assez loin?


Classé dans : Membres en action | 0

Le Devoir vous invite à son premier Devoir de débattre de l’année 2018, le 22 mars, à 18h, à la Salle Marie Gérin-Lajoie: Violences à caractère sexuel sur les campus: la loi 151 va-t-elle assez loin? Que pensent les diverses parties concernées de cette loi? Les mesures prévues sont-elles adéquates? Permettront-elles d’assurer aux victimes le soutien et le suivi nécessaires? Participantes: • Rachel Chagnon, professeure au département des sciences juridiques de l’UQAM, et directrice de l’Institut de recherches et d’études féministes • Hélène David, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Condition féminine • Mélanie Lemay, cofondatrice de Québec contre les violences sexuelles • Jessica Nadeau, journaliste au Devoir • Sandrine Ricci, chargée de cours, sociologue, membre de l’équipe ESSIMU (UQAM) et coordonnatrice du réseau québécois en études féministes.

L’émission Combattre la violence à caractère sexuel en milieu universitaire au canal Savoir avec Sandrine Ricci


Classé dans : Membres en action | 0

Le canal Savoir diffuse une émission sur le thème Combattre la violence à caractère sexuel en milieu universitaire les 6 (à 9h30), 7 (à minuit), 8 (à 1h), 9 (à 14h30) et 10 février (à 5h). Comment peut-on définir la violence à caractère sexuel? Sous quelle forme la retrouve-t-on? Quelles sont les définitions juridiques, et bien sûr les recours possibles? Quel est le portrait du milieu universitaire québécois en la matière? Comment ça se passe dans les équipes sportives ou lors d’initiations? Et bien sûr, quelles sont les pistes de solutions et les initiatives en place ou à réfléchir pour faire en sorte que ces comportements indésirables se produisent de moins en moins souvent?

Violences sexuelles dans les campus : le portrait se précise à l’Université Laval


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

La nouvelle enquête ESSIMU révèle que parmi les personnes disant avoir subi de la violence sexuelle depuis leur arrivée à l’Université Laval, seulement 6% ont signalé ou dénoncé ces gestes. Parmi les participants à l’étude, une personne sur quatre dit avoir subi une forme ou une autre de violence sexuelle. Chez les femmes, 47% des étudiantes en ont été victimes, alors que chez les hommes, on parle de près d’un étudiant sur trois. Dans un cas comme dans l’autre, les raisons invoquées pour ne pas porter plainte sont «très intéressantes» parce qu’elles peuvent donner des «pistes d’intervention», a fait valoir l’une des chercheuses impliquées dans l’étude, Francine Lavoie, de l’École de psychologie.

Sandrine Ricci commente le projet de la loi n° 151 devant la Commission de la culture et de l’éducation


Classé dans : Membres en action | 0

La chargée de cours Sandrine Ricci était à l’Assemblée nationale le 22 novembre pour commenter devant la Commission de la culture et de l’éducation le projet de la loi n° 151, visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur, avec Geneviève Paquette, une autre chercheure de l’enquête ESSIMU.

Visionner la vidéo.

Lancement du nouveau rapport Violences sexuelles en milieu universitaire – Résultats de l’enquête ESSIMU pour l’UQAM, le 28 septembre


Classé dans : Membres en action | 1

Le nouveau rapport Violences sexuelles en milieu universitaire – Résultats de l’enquête ESSIMU pour l’Université du Québec à Montréal sera lancé le jeudi 28 septembre dans le cadre d’un 5 à 7 au Salon Orange, 4e étage du Centre Pierre-Péladeau, 300, boul. De Maisonneuve Est. Cette publication livre des résultats inédits et propose une série de recommandations dans le contexte spécifique de l’UQAM. Réalisée au cours de l’hiver 2016, l’enquête Sexualité, Sécurité et Interactions en Milieu Universitaire (ESSIMU) s’inscrit dans une recherche plus large menée dans six universités québécoises, qui établit un portrait des situations de violences sexuelles en milieu universitaire.

Sandrine Ricci commente la nouvelle stratégie gouvernementale pour prévenir et contrer les violences sexuelles


Classé dans : Membres en action | 0

La chargée de cours et doctorante en sociologie Sandrine Ricci, qui faisait partie de l’équipe de recherche ESSIMU, accueille avec satisfaction la nouvelle stratégie gouvernementale pour prévenir et contrer les violences sexuelles en enseignement supérieur. «On sent de la part de la ministre David une volonté d’agir, et d’agir rapidement, dit-elle. Cette stratégie tient compte, dans l’ensemble, des propositions émises lors des journées de réflexion organisées par la ministre à l’hiver 2017. Je me réjouis aussi d’y retrouver plusieurs éléments qui étaient contenus dans le rapport d’enquête ESSIMU», a-t-elle dit à Actualités UQAM. La chargée de cours considère toutefois que la ministre a été plutôt floue sur le code de conduite dont devraient se doter les établissements.

Violences à caractère sexuel : les initiations sont la mauvaise cible, met en garde Sandrine Ricci


Classé dans : Membres en action | 0

Lorsqu’elle en viendra à adopter une loi-cadre pour contrer les violences à caractère sexuel dans les milieux universitaires, la ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, aura intérêt à ne pas se tromper de cible. L’étude vient en effet de démontrer que les fameuses initiations sur les campus, qui ont fait les manchettes l’automne dernier, ne comptent que pour 12% des contextes dans lesquels surviennent les agressions, la coercition et le harcèlement sexuel. C’est plutôt au cours d’activités sociales, fêtes, 5 à 7 et autres événements du genre (sauf les initiations) qui se déroulent en lien avec l’université qu’on observe le plus de cas de violences sexuelles (47,4%), indique le rapport Enquête, sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU).

Violences sexuelles à l’université : des témoignages qui corroborent les faits


Classé dans : Membres en action | 0

«Un professeur, seul avec moi pendant qu’il utilisait des équipements dans mon milieu de travail, m’a fait des attouchements et à mon refus, m’a menacée de me faire perdre mon emploi.» En fait, ce témoignage n’est qu’un de ceux qui émaillent le rapport de l’enquête ESSIMU (Enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire) dont la chargée de cours Sandrine Ricci est une des auteures, qui conclut qu’un peu plus d’une personne sur trois travaillant ou étudiant dans l’une des six universités québécoises étudiées affirme avoir déjà subi une forme de violence sexuelle. On retrouve dans le document plusieurs extraits des témoignages des 9284 répondants ayant accepté de remplir le questionnaire en ligne qui a permis aux chercheuses d’arriver à leurs conclusions.

Sandrine Ricci suscite et alimente une discussion sur la culture du viol dans une instance régionale de la FTQ


Classé dans : Membres en action | 0

La chargée de cours Sandrine Ricci a fait une présentation intitulée Reconnaître et contrer la culture du viol lors de l’assemblée générale du 13 décembre du Conseil régional du Montréal métropolitain de la FTQ. Son excellente présentation a permis de déboulonner plusieurs préjugés, qui perpétuent notre culture sexiste et inégalitaire et qui nourrissent par le fait même la culture du viol. Les personnes participantes à l’assemblée générale ont particulièrement apprécié son intervention et la discussion qui s’en est suivie. Le projet doctoral de Sandrine Ricci porte sur la culture du viol et elle fait partie de l’équipe ESSIMU qui publiera en janvier son rapport de recherche sur la violence sexuelle en milieu universitaire.

Sandrine Ricci critique la consultation sur les violences sexuelles


Classé dans : Membres en action | 0

Plusieurs intervenants jugent «précipitée» la démarche de consultation sur les violences sexuelles du ministère de l’Enseignement supérieur, annoncée le 17 novembre, qui demande aux universités et aux cégeps d’avoir consulté leur communauté et déposé un bilan pour le 6 janvier. En réponse à cette demande, l’Université du Québec à Montréal (UQAM) a incité lundi ses étudiants et les autres membres de sa communauté à remplir un sondage en ligne. «L’échéance fixée par la ministre pour compiler les résultats étant très serrée, vous êtes invités à remplir ce questionnaire au plus tard le 14 décembre 2016», peut-on lire dans le courriel de l’université.

Violence sexuelle : un rapport réclame des changements profonds à l’UQO


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Une étude relève plusieurs constats «préoccupants» concernant les situations de victimisation sexuelle à l’Université de Québec en Outaouais (UQO). Les auteurs de l’Enquête sur la sexualité, la sécurité et les interactions en milieu universitaire (ESSIMU) suggèrent d’importants changements à la direction de l’établissement. Parmi les constats établis dans l’étude, menée dans une demi-douzaine d’universités québécoises, il est notamment mentionné qu’un membre sur trois (31,9%) de la communauté universitaire a vécu au moins une forme de violence sexuelle depuis son entrée à l’université.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

L’UQO «travaille fort» pour faire face aux problématiques liées à la violence sexuelle.

La violence sexuelle, un fléau à l’université : une étude québécoise révèle qu’une personne sur trois en est victime


Classé dans : Membres en action | 0

Une personne sur trois a été victime de violence sexuelle depuis son arrivée à l’université, révèle une enquête inédite menée par un groupe de chercheuses sur six campus du Québec. Et «la très forte majorité» de ces actes n’ont jamais été dénoncés. «Les canaux institutionnels qu’on nous invite à investir pour porter plainte ne fonctionnent pas, les gens n’y vont pas», constate la chercheuse et chargée de cours Sandrine Ricci, qui a présenté les premiers résultats de l’enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU) au congrès de l’Acfas mardi.

Lire la suite du texte du Devoir.

Colloque Enquête ESSIMU : portrait des violences sexuelles en milieu universitaire au Québec


Classé dans : Membres en action | 0

Le colloque Enquête ESSIMU : portrait des violences sexuelles en milieu universitaire au Québec, le mardi 10 mai de 13 h à 17 h, dans le cadre du 84e Congrès de l’ACFAS, sera l’occasion de diffuser les premiers résultats de l’enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU), menée à l’hiver 2016. Il s’agit d’une recherche portant sur les violences sexuelles en milieu universitaire à laquelle collaborent des chercheures de six universités québécoises, dont la chargée de cours Sandrine Ricci. Partant d’une définition large de la violence sexuelle, le regard se porte sur différents types de manifestations telles que : harcèlement sexuel, agression sexuelle, exhibitionnisme, voyeurisme, cyberharcèlement, attouchement sexuel non désiré, menace de viol, pression ou coercition sexuelle.