Le point sur la négociation du SPUQ
Présentation de l’état de la négociation du Syndicat des professeurs et professeures de l’UQAM au 30 octobre à l’Assemblée générale extraordinaire du 6 novembre 2015.
Présentation de l’état de la négociation du Syndicat des professeurs et professeures de l’UQAM au 30 octobre à l’Assemblée générale extraordinaire du 6 novembre 2015.
Le comité exécutif du SEUQAM invite tous les membres de la communauté universitaire à participer en grand nombre à la Lecture en cadeau. Depuis sa création en 1999, ce projet de la Fondation pour l’alphabétisation a permis de rejoindre plus de 400 000 enfants de 0 à 12 ans et leurs parents. Ainsi, la campagne UQAM de La lecture en cadeau vous invite à donner généreusement un livre neuf qui sera remis à un enfant défavorisé.
La Coalition solidarité santé dénonce l’ouverture samedi prochain de LacroiXpress, la première urgence privée au Québec. La Coalition considère que cette entreprise du Dr Lacroix n’est que de la poudre aux yeux pour faire croire à la population que le privé est meilleur et plus efficace que le public, alors qu’il ne fait que s’accaparer les soins et services les moins lourds pour en tirer le plus grand profit, sur le dos des malades.
Le Secrétariat intersyndical des services publics – regroupant la Centrale des syndicats du Québec, l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux et le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec – se réjouit de la décision du gouvernement de maintenir la prime de rétention de 8%, offerte au personnel de l’État travaillant à Sept-Îles et à Port-Cartier, mais il déplore que cette mesure demeure temporaire.
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) déplore l’adoption du projet de loi no 20 à l’Assemblée nationale, loi qui représente au chapitre des frais accessoires de santé, une atteinte sans précédent aux principes d’accessibilité et d’universalité de notre régime public de santé depuis sa mise sur pied. «En faisant adopter un tel projet de loi, le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, a renoncé à son devoir de défendre l’intégrité de notre système public de santé sous prétexte de remplir des commandes budgétaires du président du Conseil du trésor, Martin Coiteux», dénonce Louise Chabot.
La divulgation le 6 novembre du texte du Partenariat transpacifique (PTP) confirme qu’il s’agit d’un accord dommageable qui sert les intérêts des grandes entreprises aux dépens des emplois au Canada et de notre souveraineté. Les deux plus grands réseaux d’organisations sociales luttant au Canada pour des accords commerciaux justes et équitables exigent du premier ministre Justin Trudeau qu’il respecte son engagement électoral sur le PTP de «tenir un débat public approfondi et ouvert au Parlement pour faire en sorte que les Canadiennes et Canadiens soient consultés».
Après avoir martelé que le gouvernement devait laisser de côté la perspective d’un gel salarial pour les employés du secteur public, les porte-parole du Front commun dénoncent le fait de voir le Conseil du trésor remanier ses offres tout en conservant le même cadre financier. «Le gouvernement n’a vraiment pas compris le message, remarque le président de la FTQ, Daniel Boyer. Plutôt que de nous offrir un gel les deux premières années, Martin Coiteux nous offre un gel pour la première… et la dernière année. Ça demeure 3% sur 5 ans et nos membres vont continuer de s’appauvrir. Est-ce que le gouvernement envoie un signal aujourd’hui ?
La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) est consternée de la façon cavalière avec laquelle votre gouvernement s’attaque cet automne au réseau universitaire. Au cours des dernières semaines, le ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Blais, a fait circuler des idées insensées quant à l’avenir du siège social de l’Université du Québec et à la fermeture possible de la Télé-université (TÉLUQ). Doit-on comprendre que votre gouvernement désavoue complètement les communautés universitaires déjà fragilisées par les compressions budgétaires à répétition dont elles sont victimes depuis plusieurs années ?
Lire la suite de la lettre au premier ministre du Québec.
Plusieurs activités auront lieu en novembre, sur les campus sherbrookois, dans le but de prévenir les agressions à caractère sexuel. La programmation de ce mois de sensibilisation contre les agressions à caractère sexuel dans les campus postsecondaires estriens est la première initiative visible d’un nouveau groupe de travail consacré à cette problématique, annonce la Fédération étudiante de l’Université de Sherbrooke.
Lire la suite du texte de La Tribune.
Depuis le début des négociations du secteur public, et spécialement lors des grèves tournantes, on entend toutes sortes de choses sur les conditions de travail des travailleuses et les travailleurs du secteur public. Voici un court texte paru dans Fractures, le bulletin des membres de l’IRIS, qui vient répondre aux arguments du gouvernement, de certains médias et de chercheurs, sur, entre autres, la rémunération et les régimes de retraite.
Le marché de l’emploi est, malgré une loi sur l’équité salaire, l’un des endroits où les inégalités de genre dans nos sociétés sont toujours extrêmement présentes. Le 9 novembre est donc la journée où les femmes se mettent à travailler gratuitement. En effet, selon Statistique Canada, au Québec, le salaire hebdomadaire médian des hommes est 16 % plus élevé que celui des femmes. Si on observe cette réalité du point de vue des hommes, ceux-ci peuvent arrêter de travailler dès aujourd’hui et ils ramèneront le même salaire annuel que les femmes.
Lire la suite du billet de blogue de l’IRIS.
On entend souvent parler des coupes en éducation de manière très spécifique. On nous parle de budgets distincts dédiés à l’aide aux devoirs, aux investissements en infrastructures, au programme pour enfants en troubles d’apprentissage, etc. Cette réalité est le reflet d’un système d’éducation très centralisé, où les réalités locales ne peuvent être prises en compte dans les priorités globales. Un système d’éducation décentralisé serait un modèle dans lequel les décisions se prennent en fonction des jeunes et de leur réalité, par ceux et celles qui évoluent autour d’eux, soit l’environnement direct de l’école, ou le «school community», comme les experts l’identifient en Finlande.
Bilan de la journée d’études sur le droit à l’autodétermination et le droit à la participation en environnement, organisée par la Ligue des droits et libertés le 14 février 2015. En organisant cette journée d’études, la Ligue des droits et libertés souhaitait offrir aux militantes et militants écologistes, autochtones et de défense des droits une occasion de réfléchir collectivement à la portée et aux limites des différentes formes de participation en environnement dans une perspective de droits de la personne.
La mobilisation du communautaire des 2 et 3 novembre fut historique! Pendant deux jours, 1431 organismes ont fermé leurs portes, ont fait la grève, ont interrompu leurs activités et ont participé à des actions organisées aux quatre coins du Québec! Plus de 12 000 personnes ont été mobilisées dans les actions, dont au moins 5 000 étaient à la manifestation de Montréal. À ce nombre, il faut ajouter les personnes ayant participé aux très nombreuses actions locales, aux actions dérangeantes, aux autres manifestations, ainsi qu’aux assemblées publiques, soupes populaires, caravanes, etc.
Liste des organismes en grève, fermés ou en interruption d’activités.
Différents acteurs du milieu philanthropique sont réunis à Montréal cette semaine dans le cadre du Sommet 2015 sur la culture philanthropique. Cet événement convie organismes, fondations, entreprises et institutions à venir discuter d’une série d’enjeux reliés au don, à la bienfaisance et à l’action bénévole. La plupart du temps associée à l’altruisme, à l’entraide, à la générosité et à la responsabilité sociale, la philanthropie semble jouir d’une certaine aura, d’un prestige moral. Or, une analyse critique et historique de l’action philanthropique nous permet de relativiser considérablement la contribution de la philanthropie au bien commun.
Lire la suite de ce texte de Maxim Fortin, doctorant en science politique.
Cet abrégé rend compte de la volonté de l’ICÉA d’intervenir de manière soutenue en faveur de l’éducation et de l’apprentissage tout au long de la vie, que ce soit sur les scènes internationale, canadienne et québécoise ou auprès des différents secteurs de l’éducation des adultes à l’aide d’approches sectorielles et intersectorielles. Au fil des années, l’ICÉA est intervenu dans différents domaines de l’éducation des adultes : alphabétisation, formation générale des adultes, éducation populaire, formation liée à l’emploi, formation initiale et continue, etc.
Le Front commun des personnes assistées sociales du Québec (FCPASQ) et le Collectif pour un Québec sans pauvreté s’insurgent contre le projet de loi 70 déposé le 10 novembre par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Sam Hamad. Sa proposition, visant à pousser vers l’emploi les personnes qui font une première demande d’aide sociale au moyen de pénalités financières, s’attaque à la mauvaise cible. Les principaux obstacles à l’emploi pour les personnes assistées sociales, c’est un revenu trop bas et des mesures de soutien insuffisantes ou inadéquates.
L’UQTR a finalement revu et assoupli son cadre de gestion des relations de presse qui avait essuyé beaucoup de critiques à la suite de son adoption, en mars dernier. À la suite de diverses rencontres et discussions, une nouvelle formulation a été adoptée qui stipule que «la présente politique reconnaît que la liberté d’expression prévue aux chartes des droits, de même que la liberté académique prévue à certaines conventions collectives font en sorte que les professeurs, les chargés de cours et les autres salariés de l’Université ont le droit d’exprimer leur opinion à propos de cette dernière. Toutefois ce droit doit être exercé dans le respect des lois et du Code civil du Québec», indique la modification.
Pour sa stratégie de recherche transdisciplinaire Sentinelle Nord, l’Université Laval obtenait en juillet dernier la confirmation d’une subvention historique de 98 millions de dollars. Accordée par le programme fédéral Apogée Canada et octroyée sur une période de sept ans, celle-ci permettra à de nombreux scientifiques et chercheurs d’étudier le Nord canadien sous des angles aussi variés que l’environnement, le climat, l’économie et la santé.
Lire la suite du texte du Devoir.
Les taux de réussite pour les demandes de subvention de recherche sont en chute libre au Canada. Or, ce sont les chercheuses et les jeunes chercheurs qui risquent surtout d’en faire les frais. C’est du moins l’inquiétude qui a été manifestée par certains observateurs du milieu universitaire, lors d’un forum sur la recherche organisé par la Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU), le 23 octobre.
Lire la suite du texte du Devoir.
Les deux étudiants nouvellement élus au conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) affirment qu’une brisure s’est installée entre l’administration du recteur Robert Proulx et le reste de la communauté universitaire. Nadia Lafrenière et Samuel Cossette, élus au CA le 15 octobre, font partie des contestataires qui ont perturbé la session du printemps dernier en manifestant contre «l’austérité». Ils comptent talonner la direction de l’UQAM sur les coupes budgétaires, les négociations en cours avec les syndicats de l’enseignement et la surveillance accrue des étudiants sur le campus, notamment par des caméras vidéo.
Lire la suite du texte du Devoir.
Repenser l’éducation propose un projet du type d’éducation nécessaire pour le 21e siècle, axé sur le respect de la vie et de la dignité humaine, la justice sociale et le partage des responsabilités en vue d’un avenir durable. Repenser l’Éducation-Vers un bien commun mondial, lancé internationalement le 4 novembre au siège de l’UNESCO à Paris, en France, est un reflet de notre époque.
L’UNESCO a besoin des enseignants pour s’ériger en défenseur du développement durable.
Les quatre syndicats et l’association des employés non syndiqués de l’UQAM, ont envoyé lundi une déclaration commune au recteur lui demandant de s’adresser à sa communauté. La voici.
Déclaration commune des employées et employés de la communauté de l’UQAM
ATTENDU le «Message du recteur à l’occasion de la rentrée» du 2 septembre 2015 concernant le défi financier de l’Université et l’impact de la baisse anticipée du nombre d’inscriptions;
ATTENDU que la réunion du Conseil d’administration prévue le 20 octobre 2015 a été reportée au 10 novembre 2015, laissant ainsi la communauté de l’UQAM dans l’ignorance des données budgétaires exactes;
ATTENDU que le recteur Robert Proulx a été élu pour représenter la communauté de l’UQAM;
ATTENDU que l’allocution du recteur Robert Proulx à la communauté, qui devait avoir lieu le 30 septembre 2015, a été reportée au 14 octobre 2015, pour être finalement reportée à une date indéterminée;
ATTENDU que l’absence d’allocution du recteur Robert Proulx représente une source d’inquiétude pour la communauté de l’UQAM;
Nous, employées et employés de la communauté de l’UQAM,
DEMANDONS que le recteur Robert Proulx s’adresse à la communauté afin de l’informer de la situation financière et de la réalité budgétaire de l’Université, des effectifs de la communauté (étudiants.es,
Il y a 20 mois le Comité d’enquête de la CSN sur la vie syndicale au SCCUQ remettait son rapport à l’assemblée générale. Deux mois plus tard, les membres adoptaient un Plan d’action : vie syndicale. Il s’est passé bien des choses depuis, mais en cette période de négociation de notre convention collective je crois qu’il est nécessaire et opportun de rappeler un extrait de chacun de ces documents.
«La relève pose un défi important pour la pérennité syndicale et pour la préservation des acquis. Les débats entre les différents groupes qui composent le SCCUQ devraient avoir comme objectif de rallier et d’intégrer ces intérêts.
Il n’y a jamais eu autant de murs dans le monde. Et l’Europe voit à son tour quelques-uns de ses pays ériger des barrières à leurs frontières pour freiner l’arrivée de migrants. Après la Hongrie, l’Autriche a ainsi décidé de renforcer sa frontière avec la Slovénie. Une réponse pourtant coûteuse et inefficace, rappelle la chargée de cours Elisabeth Vallet.
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