Maternelle 4 ans à temps plein en milieu défavorisé : un cadeau empoisonné?


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Tout pour nos enfants présente la stratégie gouvernementale relative aux services éducatifs offerts aux enfants de 0 à 8 ans. Dans ce document paru à la mi-janvier 2018, le gouvernement libéral réitère son engagement à poursuivre l’ouverture de nouvelles classes de maternelle 4 ans à temps plein en milieu défavorisé afin de permettre aux enfants, issus de ce type de milieu, d’avoir accès à des services éducatifs et ainsi, d’avoir une «chance équitable de se développer pleinement, de partir du bon pied et de posséder tous les outils pour réussir». Est‑ce vraiment le cas? Rien n’est moins sûr! Le rapport de recherche de Christa Japel (professeure au département d’éducation et de formation spécialisées de l’UQAM) paru en mars 2017, démontrait que la qualité de l’environnement éducatif dans les maternelles 4 ans laisse à désirer et que l’apport actuel à la préparation à l’école pour les enfants en milieux défavorisés est négligeable.

École d’architecture de l’Université Laval : les étudiants ne veulent pas quitter le Vieux-Québec


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Après un sondage mené par le doyen de la faculté et une coupe budgétaire du ministère de l’Éducation, des étudiants en architecture de l’Université Laval s’inquiètent à l’idée de voir leur école, installée dans l’ancien séminaire de Québec depuis 1988, quitter le Vieux-Québec pour retourner sur le campus de Sainte-Foy une fois complété son bail au début des années 2020.

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Recherche universitaire : une autre Québécoise sommée de fournir ses données


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Trois mois après l’affaire Maillé, une autre chercheuse québécoise se bat devant les tribunaux pour protéger ses données de recherche. Takoua Boukhris tente de faire infirmer un jugement qui l’obligerait à remettre ses données à un procureur américain, dont des informations personnelles sur 205 000 femmes enceintes et leurs nourrissons. Ces informations ont été compilées par le ministère de la Santé, le ministère de l’Éducation, la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) et l’Institut de la statistique du Québec et elles ne sont pas publiques.

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Insuffisance de services aux élèves du préscolaire : il y a urgence d’agir pour prévenir et intervenir rapidement


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À la lumière des résultats alarmants d’une vaste enquête concernant les services offerts aux élèves en difficulté au préscolaire, la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) demande une fois de plus au ministère de l’Éducation d’ajouter sans tarder des services aux plus jeunes élèves, puisque ceux-ci sont clairement insuffisants, voire même absents. Or, selon les données gouvernementales, un élève sur quatre présenterait pourtant des vulnérabilités au préscolaire. «C’est un véritable cri du cœur que nous lancent les enseignantes et enseignants du préscolaire», a fait savoir Sylvie Théberge, première vice-présidente de la FSE-CSQ.

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Collège Montmorency : la mission éducative passe par la malbouffe


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Les étudiantes, les étudiants et le personnel du Collège Montmorency font front commun contre la décision du Conseil d’administration d’ouvrir grande la porte, une seconde fois, à la malbouffe en permettant l’implantation d’un comptoir de la chaîne de restauration rapide Quesada Burritos & Tacos dans les murs de l’institution. Pour le front commun, cette décision va à l’encontre de la mission éducative, de la politique alimentaire et de la responsabilité sociale de l’établissement. À la demande du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS), le Collège a adopté en 2009 une politique visant la promotion de saines habitudes alimentaires.

Deux profs pour une classe : une ambitieuse annonce du ministre de l’Éducation soulève à la fois l’espoir et les doutes


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Une annonce inattendue dans le budget du Québec déposé la semaine dernière suscite autant d’espoirs que d’interrogations: le ministère de l’Éducation prévoit doter toutes les classes de maternelle et de première année de deux titulaires d’ici cinq ans. Zoom sur un projet qui donne des résultats en Ontario. C’est «le plus grand investissement en éducation depuis une génération» en Ontario: depuis 2010, toutes les classes de maternelle à 4 ans et à 5 ans ont deux titulaires — une enseignante et une éducatrice spécialisée en petite enfance. Il a fallu investir 1,5 milliard de dollars pour aménager des salles de classe adaptées aux tout-petits dans 3600 écoles.

Chapeau les filles! : toujours vivant


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L’édition 2017 du concours Chapeau les filles! Excelle Science est lancée! Organisé par le ministère de l’Éducation du Québec, ce concours vise à reconnaître la volonté et le travail des femmes inscrites à un programme de formation professionnelle ou technique conduisant vers un métier traditionnellement masculin. Il encourage les jeunes femmes à poursuivre leurs études dans des disciplines offrant généralement de bonnes conditions salariales et contribue à créer des modèles de réussite féminins dans des secteurs d’emploi majoritairement masculins. En 2014, la CSN avait dénoncé la suspension en douce du concours par le gouvernement libéral, pour cause d’austérité. L’annonce avait été si mal accueillie au sein de l’opinion publique, que le gouvernement avait dû rétablir à tout le moins le volet national du concours Chapeau les filles!

Définir le contexte de l’éducation et de la formation des adultes : des constats inquiétants


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L’ICÉA propose quatre indicateurs du contexte de l’éducation des adultes. Ces indicateurs ne sont pas alimentés par des données inédites: ils puisent plutôt dans les données produites annuellement par le ministère de l’Éducation. Cependant, ils mettent en valeur des données qui ont été sélectionnées et agencées afin de dresser un portrait de la diplomation des adultes, d’une part, et de leur situation à l’égard de la formation ou de l’emploi, d’autre part. À ce titre, l’ICÉA constate que: • le quart des jeunes adultes n’obtiennent pas de diplôme avant l’âge de 20 ans • un jeune de moins de 20 ans sur cinq passe du secteur des jeunes à celui des adultes sans avoir obtenu de diplôme • 20% des adultes de 25 ans et plus inscrits à la FGA n’ont pas de diplôme • et au moins 13% des jeunes adultes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi ni aux études.

Une profonde réforme s’impose en éducation : nous sommes collectivement coupables d’avoir gravement négligé nos écoles publiques


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«Sortir de la logique du quasi-marché en éducation.» Voilà une phrase clé de l’important rapport que le Conseil supérieur de l’éducation a récemment rendu public. Il s’agit de son Rapport sur l’état et les besoins de l’éducation 2014-2016. Rappelons-le d’abord: depuis sa création en 1964 — en même temps que le ministère de l’Éducation — le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) a produit avec constance des avis et des rapports d’une grande qualité, d’une grande pertinence. Il faut seulement regretter qu’il n’ait pas été écouté et suivi comme il aurait dû l’être par les gouvernements successifs. Le rapport que le CSE vient de remettre au ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport mérite toute notre attention, car il met crûment en lumière les dangereuses inégalités de notre système québécois d’éducation.

HEC au centre-ville : l’Union étudiante critique la priorisation de la ministre


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C’est avec scepticisme que l’Union étudiante du Québec (UEQ) accueille l’annonce de la ministre Hélène David au sujet de la création d’un pavillon des HEC au centre-ville de Montréal. Loin de croire que le besoin ait été démontré pour ce nouveau pavillon, l’UEQ croit que les priorités financières du ministère de l’Éducation devraient être de refinancer les universités suite aux mesures d’austérité de ses prédécesseurs et non de se lancer dans un énième projet d’infrastructure. «Le centre-ville de Montréal est déjà desservi par trois universités offrant des programmes en administration et en gestion. Loin de répondre à un besoin, ce pavillon ne rajoutera qu’un nouvel acteur se battant pour la même pointe de tarte», rappelle Nicolas Lavallée, président de l’UEQ.

Pour en finir avec les mantras de l’«économie du savoir» : vers la création d’un conseil des collèges et d’un conseil des universités?


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Le ministère de l’Éducation mènera des consultations en vue de créer un conseil des collèges, un conseil des universités et une commission mixte de l’enseignement supérieur. Ce billet traite plus spécifiquement de la création d’un conseil des collèges, en soulevant plus généralement le problème des orientations mal avisées qui dirigent les débats sur l’enseignement supérieur depuis plusieurs décennies. S’il y a donc une proposition très concrète à faire, c’est la suivante: qu’un éventuel conseil des collèges ou des universités ait comme tâche première de faire un bilan critique des théories du capital humain, de l’approche par compétences, de l’économie du savoir, de la «gouvernance» du développement dit durable, de l’«assurance-qualité», des hausses de frais de scolarité, etc.

Les professionnels de l’éducation de Laval et de la Rive-Nord lancent une campagne de sensibilisation


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Le Syndicat des professionnelles et professionnels Laval‒Rive-Nord (SPPLRN-SCFP 5222) a lancé mercredi une campagne de sensibilisation sur l’importance des services professionnels offerts aux élèves du Québec. Cette campagne met les parents d’élèves en garde contre la diminution de ces services, conséquence des compressions budgétaires. Les membres du syndicat se sont rassemblés devant les bureaux montréalais du ministère de l’Éducation, à Montréal. Ils ont projeté sur un écran 10 illustrations de cette campagne.

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Nouveau sursis pour les CEP. Vers quelle solution?


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Les centres d’éducation populaire (CEP) de la région de Montréal ont obtenu un nouveau délai de la part du ministère de l’Éducation pour déposer leurs plans de prévisions budgétaires. Ils auront jusqu’au début de l’année 2016 pour les présenter. Leur survie et les conditions dans lesquelles ils pourront poursuivre leur mission sont cependant encore loin d’une solution, comme le laissent entendre plusieurs intervenants des CEP. Si le maire de Montréal, M. Coderre, et le ministre de l’Éducation, M. Blais, s’entendent pour dire publiquement que les centres d’éducation populaire vont survivre, ils n’apportent aucune solution concrète.

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Compressions budgétaires en éducation : la CSQ rétablit les faits


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Alors que le ministre de l’Éducation nie les compressions budgétaires imposées au milieu de l’éducation, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) souhaite rétablir les faits et démontrer au ministre François Blais que ça affecte quotidiennement les services aux élèves. «Depuis 2010, chaque année, le milieu de l’éducation subit des compressions de plusieurs millions de dollars. Les commissions scolaires ont dû éponger, depuis les cinq dernières années, des manques à gagner de près d’un milliard de dollars. Le ministre ne peut pas le nier, ce sont des faits, et nous pouvons le lui démontrer noir sur blanc», affirme la présidente de la CSQ, Louise Chabot.

Éducation : mettre fin à la politique du silence


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La régression s’étend. Le silence des politiciens pèse. Quelle formation générale (FG) commune offrirons-nous désormais dans nos cégeps? En offrirons-nous seulement une si, comme on le souhaite dans les officines du ministère de l’Éducation ou à la Fédération des cégeps, on la liquide au profit d’une FG à la carte, sans orientation aucune, sauf celle de répondre aux besoins du marché, comme le réclame depuis sa fondation le Conseil du patronat? L’éducation élève, donne à penser, nourrit l’examen réfléchi. Le ministre Blais ne peut compromettre ainsi l’avenir de la FG en approuvant sans discussion publique les bêtes recommandations du Rapport Demers.

Les services aux élèves bel et bien touchés, dit un rapport


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Contrairement à ce qu’a toujours prétendu le gouvernement, les compressions budgétaires qu’impose Québec aux commissions scolaires touchent les services éducatifs, constate un rapport réalisé pour le ministère de l’Éducation. Il y a un an, le ministère alors dirigé par Yves Bolduc avait déclenché une enquête sur le bien-fondé de la décision de la Commission scolaire des Patriotes de sabrer les services d’aide aux devoirs à la suite de compressions annoncées par le ministre. Québec avait toujours soutenu que les services éducatifs n’étaient pas touchés par ses réductions de transferts.

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La CSQ interpelle le ministre Blais pour que cessent les coupes en éducation.

Les élèves de la CSDM font les frais des compressions et de la vendetta de Québec


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«La Commission scolaire de Montréal (CSDM) est dans la mire du gouvernement depuis des années et souffre d’un sous-financement chronique et ce n’est certes pas la mise en tutelle envisagée par le ministre de l’Éducation qui va arranger les choses», estime Charles Allen, de l’Association professionnelle du personnel administratif (APPA-CSN). La CSDM envisage de supprimer une centaine de postes d’ici la fin de l’année scolaire dont des postes de techniciennes et de techniciens en travaux pratiques, en documentation, en loisirs et en travail social, et des surveillants d’élèves.

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Le milieu communautaire dénonce les compressions imposées à la CSDM.

Le monde de l’éducation manifeste son Ras-le-Bolduc


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Des syndiqué-es de l’ensemble du monde de l’éducation ont manifesté bruyamment vendredi midi, lors d’une conférence du ministre de l’Éducation, Yves Bolduc, à l’hôtel Hyatt Regency. Invité à prendre la parole devant les membres de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, le ministre Bolduc a offert une présentation intitulée La réussite des élèves : au cœur de nos priorités !. «Il est des plus grotesques que le ministre Bolduc vienne prêcher la bonne parole sur la réussite scolaire alors qu’il représente un gouvernement qui impose des mesures d’austérité des plus draconiennes, qui attaquent le droit à l’éducation de la petite enfance jusqu’à l’enseignement supérieur!»

Explosion du nombre de diagnostics


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L’augmentation exponentielle du nombre d’enfants qui présentent un problème particulier préoccupe le ministère de l’Éducation, qui subit des pressions pour ajouter des spécialistes dans les écoles. «Dyslexique, dysorthographique, dyspraxique, dyscalculique, TDAH : parfois, dans mon bureau, je me retrouve avec des enfants qui se sont fait dire qu’ils ont tout, tout, tout !» lance Marie-Claude Béliveau, orthopédagogue et psychoéducatrice à l’hôpital Sainte-Justine. Dès qu’un enfant a deux ans de retard scolaire, «paf ! on le décrétera dyslexique. On oublie qu’on a affaire à des enfants en plein développement. On donne des étiquettes trop vite, en tournant souvent les coins ronds».

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La réforme pédagogique n’a pas rempli ses promesses


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La réforme pédagogique mise en place dans les écoles québécoises il y a une quinzaine d’années est un échec et nuit particulièrement aux garçons, aux élèves d’écoles anglophones et aux élèves qui ne sont pourtant pas à risque, conclut une étude commandée par le ministère de l’Éducation.

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Nouvelle-Zélande : un nouvel accord en faveur de la réussite scolaire des enfants


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Les syndicalistes et le ministère de l’Éducation de la Nouvelle-Zélande se sont engagés à travailler de concert dans le cadre d’une nouvelle initiative visant à soutenir l’éducation des enfants à tous les niveaux d’apprentissage. Selon la présidente nationale du NZEI Te Riu Roa, Judith Nowotarski, l’accord constitue «une avancée positive», rendue possible grâce à la fidélité des enseignantes, enseignants, directrices et directeurs d’école et aux valeurs prônées par le syndicat, en faveur d’une éducation publique de qualité pour tous les enfants.

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Centres d’éducation populaire : à la porte dans 6 mois ?


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Les centres d’éducation populaire (CEP) de Montréal ont tenu, le 21 novembre, une assemblée publique afin de partager l’urgence de la situation: les baux des six CEP regroupés dans InterCEP  prennent fin le 31 mai prochain. Et malgré toutes les discussions avec le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, tout reste à faire: la date fatidique approche à grands pas. La pertinence des CEP n’est certainement plus à démontrer: lieu essentiel dans l’amélioration des conditions de vie des personnes apprenantes; lieu de rencontre pour contrer l’isolement; lieu de partage et d’apprentissage; lieu de transformation sociale, etc.

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50 ans d’éducation depuis la Révolution tranquille : Faut-il célébrer ou s’inquiéter?


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Nous célébrons cette année les 50 ans du ministère de l’Éducation, lequel est encore aujourd’hui à la fois l’instrument et le symbole de la démocratisation de l’éducation et du développement d’un Québec créatif et moderne. Pour la FNEEQ, le premier défi à relever en réponse aux besoins plus diversifiés des étudiantes, étudiants et des élèves est d’éviter une marchandisation croissante de l’éducation. Un système d’éducation qui cherche à être « rentable », et qui accepte de se plier à la loi de l’offre et de la demande, se centre peu à peu sur les besoins du marché plutôt que sur le développement intégral de la personne.

Éducation : la fusion des ministères est perçue comme « un recul »


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L’abandon de la structure double en éducation, qui séparait l’enseignement supérieur et la recherche du primaire et du secondaire, déçoit certains acteurs du milieu. Désormais, les deux ministères seront sous la responsabilité d’un seul ministre, soit le député de Jean-Talon, Yves Bolduc. La fusion des deux ministères est « un recul qui dilue l’importance de la recherche à un moment où partout dans le monde on valorise de plus en plus les universités et la recherche », selon Yves Gingras, historien des sciences à l’UQAM.

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