Lise Bissonnette dénonce le sous-financement du réseau de l’Université du Québec à Dessine-moi un dimanche


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Le 30 janvier dernier, Lise Bissonnette démissionnait du conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) en déplorant l’iniquité du financement des universités québécoises. Quelques semaines plus tard, elle donne à Franco Nuovo, à l’antenne de Radio-Canada, les raisons qui ont motivé son choix et souligne l’importance de mieux financer la recherche et les infrastructures universitaires. Lise Bissonnette dit qu’elle aurait trouvé difficile de célébrer les 50 ans de l’UQAM en 2019 dans l’état où se trouve actuellement l’institution. Elle parle du mépris des pouvoirs publics envers l’Université du Québec, un réseau qu’elle qualifie d’extraordinaire. Après avoir étudié le plan d’investissement du gouvernement québécois, l’administratrice constate l’existence d’un système à deux vitesses qui favorise les universités à charte (comme l’Université de Montréal).

Traitement inéquitable envers l’UQ en Outaouais


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L’intervention publique de Lise Bissonnette, présidente démissionnaire du conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), dans Le Devoir du 31 janvier, est effectivement un «cri du coeur» qui doit être entendu et pris au sérieux par le gouvernement du Québec. Ce qui est vrai pour l’UQAM l’est aussi pour les universités du Québec en région. Cependant, de façon singulière, ce «cri du coeur» pourrait également venir des dirigeants de l’UQO.

Lire la suite du texte publié par Le Devoir.

La présidente du CA de l’UQAM, Lise Bissonnette, démissionne


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Usée par le «fatalisme» de la classe politique, la présidente du conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Lise Bissonnette, tire sa révérence. Elle a donné sa démission, mardi soir, en dénonçant «l’iniquité flagrante» favorisant les universités à charte aux dépens de celles du réseau de l’Université du Québec. «Je n’entrevois pas aujourd’hui de terme heureux à nos combats, mais ils doivent se poursuivre. Ce qui menace l’UQAM et les établissements analogues, ce n’est pas la fatalité, elle n’existe jamais. C’est le fatalisme dont la tentation rôde en nos propres espaces», indique Mme Bissonnette dans sa lettre de démission transmise au Devoir et au premier ministre du Québec, Philippe Couillard.

L’Université du Québec souffre d’un «mépris général» de la part de la presque totalité de l’Assemblée nationale


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Dans des déclarations rapportées par Le Devoir le 10 janvier, Lise Bissonnette, présidente du conseil d’administration de l’UQAM, s’élevait contre «l’iniquité absolument flagrante» dans la rémunération des recteurs d’universités québécoises. Comme le soulignait cet article, «les 10 recteurs les moins payés au Québec sont ceux du réseau de l’Université du Québec». Nous partageons volontiers son indignation, de même que son jugement quant au fait que ce désolant écart n’est que «le symptôme d’un mal beaucoup plus profond», aux conséquences plus vastes et plus graves encore, touchant le sort réservé par le gouvernement et nombre d’acteurs politiques au réseau de l’Université du Québec.

Iniquités salariales «flagrantes» chez les recteurs : Lise Bissonnette réclame le ménage promis par la ministre David


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Le ménage promis dans la rémunération des recteurs se fait attendre. Résultat: le grand patron de l’Université Concordia gagne encore deux fois et demie le salaire de son homologue de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), qui compte pourtant 5000 étudiants de plus. Faute de volonté politique, les 10 établissements du réseau de l’Université du Québec se démènent dans des conditions «lamentables» imposées par le gouvernement, affirme Lise Bissonnette, présidente du conseil de l’UQAM. Les 10 recteurs les moins payés au Québec sont ceux du réseau de l’Université du Québec — réseau qui fête cette année ses 50 ans. Mme Bissonnette déplore le peu d’empressement de la ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, à remplir sa promesse de rétablir l’équité dans la rémunération des recteurs.

Nouvel appel de candidatures pour le poste de recteur à l’UQAM


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Un nouvel appel de candidatures sera lancé en septembre prochain, lors de la rentrée scolaire, pour pourvoir le poste de recteur à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), a indiqué la présidente du comité de sélection, Lise Bissonnette, sur le site de l’université. Selon le texte publié sur Actualités UQAM, «aucune des personnes candidates ne pouvait compter, jusqu’à maintenant, sur le degré de ralliement nécessaire à une nomination au rectorat de l’UQAM». Selon les résultats de la seconde consultation, Corinne Gendron était préférée des syndicats, des chargés de cours, des professeurs et des associations étudiantes, alors que Luc-Alain Giraldeau était plus populaire auprès des cadres et du Conseil des diplômés.

Réseau de l’Université du Québec : les recteurs «nettement sous-payés»


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Le sujet est tabou, mais Lise Bissonnette le dit sans détour: «Les recteurs du réseau de l’Université du Québec sont très nettement sous-payés.» Celui de l’UQAM gagne deux fois moins que son homologue de l’Université Concordia. Et 100 000$ de moins que son collègue de Bishop’s, même si l’UQAM accueille presque 20 fois plus d’étudiants. Mais ces «distorsions assez insupportables» ne sont que le symptôme d’un mal plus profond selon la présidente du conseil d’administration de l’UQAM: l’existence de deux systèmes universitaires au Québec. Le gouvernement doit y remédier une fois pour toutes, estime Mme Bissonnette dans une rare entrevue de fond de la part d’une administratrice d’université.

Entre vous et moi


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L’UQAM a géré le dossier d’attribution du contrat de gardiennage dans une totale opacité. Le devis d’appel d’offres, le contrat et le débat au Conseil d’administration font l’objet d’un avis de confidentialité. Selon La Presse, 10 entreprises ont pris possession du devis, trois d’entre elles ont déposé une soumission et l’une d’entre elles a été rejetée. Il ne restait donc que deux soumissionnaires. Un tel processus opaque ne peut que soulever des questions à la lumière des stratagèmes dévoilés par la Commission Charbonneau. Les deux soumissionnaires étaient-ils de connivence pour amener l’UQAM à accepter le contrat le plus coûteux des universités montréalaises?

Situation critique à l’UQAM, selon les deux syndicats d’enseignantes et enseignants


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Dans une lettre qu’ils ont adressée mardi à la présidente du conseil d’administration de l’UQAM, Lise Bissonnette, les syndicats représentant les professeurs et les chargés de cours de l’institution tirent la sonnette d’alarme. L’UQAM, disent-ils, «risque de sombrer au milieu de divisions intestines qui la dépassent» et la direction semble «incapable de redresser la situation». Cette lettre signée par Marie Blais, présidente du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ), et par Michèle Nevert, présidente du Syndicat des professeurs de l’UQAM (SPUQ), survient au moment où l’École des sciences de la gestion (ESG) manifeste son intention de se séparer de l’UQAM, ce à quoi le recteur de l’Université, Robert Proulx, a opposé un non formel, mardi.