Une offre finale inacceptable
L’employeur ne veut plus se prêter au jeu de la négociation. Il a déposé son offre finale à la table de négociation mardi. Une offre qui ressemble étrangement à l’offre globale (partielle) de septembre, avec quelques phrases mieux écrites et trois petites peanuts en plus. Des augmentations salariales en-deça de celles offertes aux profs et aux employées et employés de soutien alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises. Des offres normatives qui répondent par la négative à nos principales revendications sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), la clause réserve, la stabilisation de l’emploi et les environnements numériques d’apprentissage.