Deux profs pour une classe : une ambitieuse annonce du ministre de l’Éducation soulève à la fois l’espoir et les doutes


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Une annonce inattendue dans le budget du Québec déposé la semaine dernière suscite autant d’espoirs que d’interrogations: le ministère de l’Éducation prévoit doter toutes les classes de maternelle et de première année de deux titulaires d’ici cinq ans. Zoom sur un projet qui donne des résultats en Ontario. C’est «le plus grand investissement en éducation depuis une génération» en Ontario: depuis 2010, toutes les classes de maternelle à 4 ans et à 5 ans ont deux titulaires — une enseignante et une éducatrice spécialisée en petite enfance. Il a fallu investir 1,5 milliard de dollars pour aménager des salles de classe adaptées aux tout-petits dans 3600 écoles.

Hausse marquée des étudiantes autochtones au campus de l’UQAC à Sept-Îles


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Parmi la trentaine d’étudiantes inscrites au baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire au campus de l’est de la Côte-Nord de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), 17 sont issues des communautés innues, ce qui représente une hausse marquée par rapport aux années précédentes. Plus de la moitié des étudiantes de la formation sont autochtones. «C’est une convergence de volonté des différentes institutions qui s’intéressent à la formation des enseignantes en milieu autochtone, explique le directeur du campus de l’est de la Côte-Nord de l’UQAC, Roberto Gauthier. Ça témoigne de la volonté des communautés de professionnaliser les enseignantes autochtones», ajoute-t-il.

Une étude pour mesurer l’impact des universités en région


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L’économiste et chercheur Marc-Urbain Proulx a ouvert un vaste chantier alors qu’il entend mesurer les impacts de la présence des constituantes du réseau de l’Université du Québec dans les régions où elles ont été fondées il y a 50 ans. Cette étude a pour objectif de recentrer ce que devrait être l’université de l’avenir et son rôle au sein des collectivités. Le professeur a présenté devant le Groupe de recherche en intervention régionale de l’UQAC le grand cadre de cette recherche qui s’annonce ardue, mais qui, de son propre aveu, est d’un intérêt indiscutable pour l’avenir des régions du Québec.

Lire la suite du texte du Quotidien.

Plus de 9 500 professeurs ontariens figurent sur la Sunshine List


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Près de 10 000 professeurs et professeurs associés en Ontario ont gagné plus de 100 000$ l’an dernier, révèle la Sunshine List. Des 123 572 noms qui figurent sur la liste, 9 515 ont le titre de professeur ou de professeur associé, soit 8%. Le salaire de William Moriarty, président et chef de la direction de la Société de gestion d’actifs de l’Université de Toronto, a chuté de plus de 400 000$ cette année, mais il a tout de même encaissé 1 045 582$. Celui-ci figurait au deuxième rang des salaires les plus élevés l’année précédente. Le professeur le mieux payé de l’Université, Glen Whyte, a gagné 504 907$ en 2016.

Graham Fagen à l’UQAM : rêver de confluence culturelle


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La galerie de l’UQAM présente, jusqu’au 8 avril, le premier solo au Canada de l’artiste écossais Graham Fagen. Émouvante et évocatrice, son exposition aborde les thèmes de l’esclavagisme, du colonialisme et des rencontres humaines, invitant à privilégier la confluence culturelle, source de partage et de progrès, plutôt que la domination et la rivalité. Pour l’artiste écossais Graham Fagen, les oeuvres de Robert Burns (1759-1796) sont incontournables. Comme Émile Nelligan est notre joyau national, Burns est le poète emblématique de l’Écosse. Quand Fagen a pris connaissance de son poème lyrique The slave’s lament, écrit en 1792, il a découvert le destin d’un Sénégalais, enlevé pour devenir esclave en Amérique.

Obtenir son diplôme ou payer son loyer, le dilemme de certains étudiants


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Des étudiants qui doivent faire un stage obligatoire risquent de ne pas terminer leurs études pour payer leur loyer. Anne, qui souhaite garder l’anonymat pour ne pas mettre en péril de futures possibilités d’emplois, est étudiante à l’Université de Western Ontario, à London. La jeune femme de 27 ans fait partie des milliers d’étudiants de l’Ontario qui doivent faire un stage obligatoire non rémunéré pour obtenir leur diplôme. Son programme de stage de quatre mois exige qu’elle travaille près de 40 heures par semaine. En outre, elle doit s’acquitter de frais de scolarité de 1200$. «Le problème dont personne n’ose parler, c’est l’exigence de travailler à temps plein sans salaire», explique-t-elle, ajoutant qu’elle a déjà un emploi à temps partiel en tant que serveuse les soirées et fins de semaine.

UQTR : le réinvestissement ne compense pas les compressions


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Le recteur de l’Université du Québec à Trois-Rivières, Daniel McMahon, se réjouit que le gouvernement du Québec «ait enfin remis comme priorité l’enseignement et ait pris des orientations qui sont très claires». Selon lui, «le réinvestissement ne compense pas, toutefois, les compressions que nous avons eues au cours des cinq dernières années».

Lire la suite du texte du Nouvelliste.

Une simple contravention pour des crimes moins graves, pas de juge ni de casier judiciaire, suggère le SPVM


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Des milliers de Canadiens accusés de certaines infractions criminelles qui ne sont pas passibles de l’emprisonnement pourraient éviter de passer devant un juge et de traîner un casier judiciaire. Ils n’auraient qu’à payer une simple contravention. C’est ce que propose la direction du Service de police de la Ville de Montréal pour désengorger les tribunaux du pays. Le SPVM a récemment fait cette suggestion à un comité de sénateurs chargés de se pencher sur les fameux délais qui accablent le système de justice.

Lire la suite du texte du Journal de Montréal.

Les référendums à Montréal et à Québec sont là pour de bon


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En dépit de la parole donnée aux maires Denis Coderre et Régis Labeaume, le ministre des Affaires municipales Martin Coiteux va reculer sur son intention d’interdire les référendums lancés par les citoyens. Selon les informations obtenues par La Presse, le changement fera partie d’une série d’amendements que déposera le ministre Coiteux – son projet de loi 122 est toujours à l’étude à l’Assemblée nationale, mais son adoption ne surviendra pas avant mai. Actuellement, un groupe de citoyens opposés à un projet peut forcer la tenue d’un référendum en obtenant suffisamment de signataires au registre de la Ville. S’ils sont assez nombreux, les modifications proposées aux règlements d’urbanisme sont soumises à un référendum.

Une première dans le financement des organismes communautaires à Québec


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La Ville de Québec accorde désormais un financement sur trois ans à quatre organismes communautaires phares afin que leurs efforts soient concentrés sur la clientèle plutôt que sur la recherche d’argent. C’est la première fois que l’administration municipale opte pour la conclusion d’ententes triennales de financement. La Maison de Lauberivière (75 000$ par année), P.E.C.H. (202 500$), le SQUAT Basse-Ville (20 000$) et le Projet L.U.N.E. (15 000$) vont en bénéficier pour les années 2017, 2018 et 2019. «Non seulement ils vont être capables de planifier plus facilement, mais ils vont pouvoir aller voir les autres ordres de gouvernement en disant que la Ville a signé des ententes de trois ans et qu’ils leur demandent la même chose», s’est réjoui le maire Régis Labeaume, conscient que beaucoup d’énergie est déployée à chercher du financement dans le milieu communautaire.

La présidente du réseau de l’Université du Québec démissionne


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Le réseau de l’Université du Québec perd sa présidente. Sylvie Beauchamp, en poste depuis mai 2009, a remis sa démission vendredi, a appris Le Devoir. La présidente quitte le réseau pour des raisons personnelles. «Elle considère qu’elle est rendue à une autre étape de sa vie. Donc, elle veut se consacrer à sa vie familiale et à ses amis», explique-t-on à l’Université du Québec, où l’on ne sait pas encore si Mme Beauchamp touchera une indemnité de départ. Comme présidente, elle avait eu à se prononcer sur les hausses salariales accordées aux dirigeants des universités de son réseau. Elle a aussi été active dans la gestion de crise à l’Université du Québec à Chicoutimi, qui peine à se trouver un nouveau recteur.

Jour de la Terre : marche pour la science le 22 avril


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Le samedi 22 avril, sortons de nos labos et de nos bureaux pour marcher ensemble pour la Terre, à 12h, départ de la Place Émilie-Gamelin. L’histoire récente nous a enseigné à la dure que des politiques anti-science sont dommageables à court, moyen et long terme. Mais nous savons aussi qu’il est possible de contribuer au renversement d’une telle situation en unissant nos énergies pour défendre la science et son rôle critique dans notre société. Le 22 avril, rejoignez les scientifiques canadiens, américains et de partout à travers le monde pour marcher en solidarité avec nos voisins afin de protéger la science.

Midi-causerie sur le comité de discipline de l’UQAM, le 5 avril


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Des des étudiantes et étudiants de l’Association étudiante des cycles supérieurs de science politique de l’UQAM organise un midi-causerie sur le comité de discipline de l’UQAM le mercredi 5 avril de 12 h 30 à 15 h au RM-130. Au cours des dernières années, le comité de discipline de l’UQAM a fait l’objet de multiples critiques par des associations étudiantes, des professeur.es et des syndicats : caractère politique de cette instance, nomination des membres par le Conseil d’administration plutôt que par la communauté uqamienne, procédures non-conformes aux principes de justice fondamentaux garantis dans les chartes des droits et libertés… Dans le cadre du mouvement de dénonciation du processus disciplinaire, et des différentes résolutions d’associations étudiantes visant à le dénoncer, et dans certains cas, à en réclamer l’abolition, nous organisons un espace d’informations et de discussions à propos de cette instance de l’UQAM.

Lutte contre la pauvreté : le plan d’action reporté à l’automne


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Le Collectif pour un Québec sans pauvreté déplore que le dépôt du prochain plan d’action du gouvernement pour lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale ait été reporté à l’automne. La porte-parole du Collectif, Virgine Larivière, souligne que Québec avait pourtant prévu son dépôt ce printemps, alors que le plan d’action accuse déjà un retard de deux ans. «On nous demande de le faire en 2017, et il sera fait en 2017», a répondu le premier ministre Philippe Couillard, parlant du dépôt en octobre prochain d’un plan «ambitieux».

Lire la suite du texte de La Presse canadienne.

Table ronde : aspects de gestion de la propriété intellectuelle du droit d’auteur


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Le mercredi 26 avril, de 12h30 à 14h, venez assister à une table ronde consacrée à la propriété intellectuelle, au local R-2895. Cette table ronde a comme objectif de répondre aux questions concernant les aspects de gestion de la propriété intellectuelle du droit d’auteur, dans un contexte universitaire de recherche partenariale. Cette table ronde aura lieu dans le cadre de la journée internationale sur la propriété intellectuelle qui a comme thème cette année «L’innovation pour une vie meilleure». Bienvenue aux professeures, professeurs, aux personnes chargées de cours, au personnel de soutien à la recherche et aux étudiants. Nous vous invitons d’ailleurs à consulter la captation intégrale de l’atelier «Les enjeux de la propriété intellectuelle (brevets, droit d’auteur, marques de commerce)» qui s’est donné le 17 mars 2016.

Journal de l’Uttam : le ministre des Finances taxe les accidents et les maladies du travail


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L’édition Printemps 2017 du Journal de l’Uttam vient de paraître. Au sommaire: • Régime de rentes du Québec et victimes de lésions professionnelles: une injustice criante • Avec une fiscalité créative, le ministre des Finances taxe les accidents et les maladies du travail • La loi simplifiée – La négligence grossière et volontaire de la travailleuse ou du travailleur • Maladie du travail – Perturbateurs endocriniens: des mots qui font peur, mais qu’en est-il vraiment? • Plan stratégique 2017-2019 de la CNÉSST: encore des attaques à la «chronicité». Et bien d’autres choses…

Des migrantes à statut précaire enceintes et abandonnées


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Au moment où Montréal vient d’adopter une motion pour se déclarer ville refuge, la seule clinique qui s’adresse aux migrants à statut précaire – qui n’ont pas la carte d’assurance maladie – est en péril, faute de financement de l’État. Dans l’immédiat, ce sont des femmes enceintes qui paieront la note: à Médecins du monde (MDM), qui gère cette clinique, on est contraint de supprimer les postes de l’infirmière et de la travailleuse sociale qui ont assuré le suivi régulier, depuis un an, de 45 femmes enceintes. «Il y a beaucoup de compassion pour les migrants dans les îles grecques. La photo du petit garçon mort a ému tout le monde.

Dénoncer le racisme dans les universités


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Dans le cadre de la 18e semaine d’actions contre le racisme, quelques centaines de personnes se sont rassemblées à la place Émilie-Gamelin. En plus de marcher pour l’égalité et contre le racisme, les organisateurs et les manifestants présents y ont dénoncé certains problèmes de discrimination raciale liés à la réalité universitaire. Les étudiants étaient aussi bien présents parmi la foule réunie dimanche dans le parc du Quartier Latin, certains issus des minorités visibles et d’autres simplement sur place en guise de solidarité. Pour certains d’entre eux, la lutte contre le racisme doit continuer au-delà des rassemblements. «Je pense que ça permet de sensibiliser les gens, mais pour faire bouger les choses ça prend plus que des marches.

Réexaminer les révisions de notes… avec plus de rigueur


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En réponse à la grogne d’étudiants envers le processus de révision de note qu’ils jugent lacunaires, l’ombudsman de l’UQAM, Muriel Binette, recommande à l’Université de revoir les pratiques des comités de révision de note. «Il s’avère que les membres de comité de révision de note connaissent peu la nature de leur mandat et de leur prérogative, dans le cadre d’un processus de révision de note, et que bon nombre d’entre eux ne motivent toujours pas suffisamment leur décision pour permettre de comprendre les motifs à la base de leur conclusion», peut-on lire dans le rapport annuel de l’ombudsman, publié le 10 février dernier et dont le Montréal Campus a obtenu copie.

Craintes autour d’une «mise à niveau» des droits de scolarité aux cycles supérieurs


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Alors que des étudiants aux cycles supérieurs s’inquiètent d’une possible hausse de leur facture de 16%, l’UQAM assure que les coûts de l’obtention de leur diplôme resteront les mêmes. «La volonté de la direction de l’UQAM n’est pas d’augmenter [les frais de ces étudiants], a précisé sa porte-parole, Jenny Desrochers, dans un échange de courriels. La résolution du comité exécutif porte sur les droits de scolarité. Elle ne porte pas sur les frais de prolongation des études. La résolution a pour but d’accorder une plus grande équité dans la facturation, et ce, en conservant les mêmes coûts totaux pour l’obtention du diplôme.»

Soirée Relations : violences faites aux femmes, le Québec à un tournant?


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Les cas d’agressions sexuelles dans les universités, les violences subies par les femmes autochtones et les mobilisations que ces situations soulèvent servent un puissant électrochoc à la société québécoise depuis plusieurs mois. Différents phénomènes (racisme systémique, culture du viol, politiques d’austérité, croissance des inégalités, etc.) nourrissent le terreau favorable aux violences faites aux femmes, malgré les avancées des dernières décennies. Quelle action gouvernementale est menée pour les contrer? À quelles transformations et solidarités les hommes sont-ils appelés pour que cessent ces violences? Une soirée, le lundi 24 avril, de 19h à 21h30, à l’Université du Québec à Montréal, Pavillon des sciences de la gestion, salle R-M130, dans la foulée du dossier de la revue Relations «Violences – Entendre le cri des femmes» (no 789, avril 2017), traitera de ces enjeux avec Aurélie Lanctôt, Éliane Legault-Roy, Nicolas Lévesque et Isabelle Paillé.

Pour le retour de la dalle-parc Turcot


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Devant l’immobilisme du gouvernement du Québec dans le dossier de la dalle-parc Turcot, le Conseil régional de l’environnement de Montréal (CRE-Montréal) et l’Association canadienne des médecins pour l’environnement (ACME), en collaboration avec la Fondation David Suzuki, Piétons Québec, Vélo Québec et plusieurs organismes locaux lancent une importante campagne de mobilisation sociale ayant comme principal objectif de convaincre le gouvernement de respecter sa promesse d’aménager la dalle-parc dans la cour Turcot. L’objectif de ce pont vert et actif est de créer un lien piéton et cyclable, sécuritaire et agréable, dans l’axe Nord-Sud, depuis la cour Turcot jusqu’à la falaise Saint-Jacques. Ce lien permettra à ses usagers d’éviter un détour de plus de 7 km.

L’innovation n’est pas magique


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À écouter le ministre des Finances du Canada, Bill Morneau, l’innovation technologique et la recherche et le développement (R-D) sont systématiquement les voies à suivre pour soutenir ou transformer l’économie canadienne. En effet, son plus récent budget comprend 262 mentions du terme «innovation». Mettons ce choix en contexte. Si le gouvernement veut vraiment encourager la mise en place de secteurs innovants, que ce soit l’énergie verte, le transport en commun, le numérique ou l’intelligence artificielle, il doit le faire avec un plan clair qui s’éloigne de la politique actuelle qui consiste à saupoudrer des investissements un peu partout et à miser sur les crédits d’impôt.

Projet de loi 121 et logement : le FRAPRU demande à Québec de donner à Montréal les moyens de ses ambitions


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Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) a été entendu en commission parlementaire, mardi soir, afin de présenter son mémoire au sujet du projet de loi 121 (PL 121). Le PL 121 déposé à l’Assemblée nationale le 8 décembre 2016, simultanément à la signature de l’entente cadre Réflexe Montréal, dont l’objectif est d’augmenter l’autonomie et les pouvoirs de la Ville de Montréal, inquiète le regroupement, notamment sur les enjeux logement. Pour le FRAPRU, si Montréal est au cœur des mécanismes qui peuvent garantir la réalisation du droit au logement sur son territoire, le gouvernement du Québec ne doit pas pour autant se délester de son rôle et de ses responsabilités en offrant à la Ville les moyens et les pouvoirs de l’assurer.

Atelier-conférence : Chômage et Mondialisation, au Mouvement Action-Chômage de Montréal


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Le Mouvement Action-Chômage de Montréal vous invite à un atelier-conférence intitulé Chômage et Mondialisation le jeudi 6 avril à 19h dans ses locaux situés au 6839 A, rue Drolet à Montréal (salle 304), entrée par la porte de la cour d’école. Pour l’occasion, Claude Vaillancourt, président d’ATTAC-Québec, viendra nous entretenir des liens entre la mondialisation, l’évasion fiscale, les changements dans le monde du travail et l’impact sur le chômage.