Sous-emploi des titulaires de doctorat : un mal pour la recherche


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Les données révélées par l’enquête du Conseil de recherche en sciences humaines devraient apporter un éclairage précieux sur l’augmentation récente du nombre de titulaires de doctorat sous–employés dans les universités canadiennes. Pour les titulaires de doctorat qui choisissent une carrière en recherche plutôt qu’un poste dans la fonction publique ou dans le secteur privé, la vie a bien changé. Jadis, la voie à suivre pour faire carrière dans le milieu universitaire était claire et simple : mener à bien un programme de doctorat pendant quatre ou cinq ans, faire des études postdoctorales, être chargé de cours à temps partiel, occuper peut‑être un poste ou deux doté pour une durée déterminée, puis obtenir, enfin, un poste menant à la permanence.

eCampus : encore au stade primaire


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

D’ici l’été prochain, une plateforme en ligne offrant des cours virtuels pourrait voir le jour dans les cégeps et les universités de Québec. Nommé eCampus, ce projet pourrait devenir un campus collaboratif partout dans la province. Par contre, la mise sur pied de la plateforme semble encore bien loin. Ce projet est une initiative du ministère de l’Enseignement supérieur, qui travaille en étroite collaboration avec le Bureau de coopération interuniversitaire (BCI). Afin de mettre en place la plateforme eCampus, le bureau « travaille en ce moment à former [des] comités à partir des membres de nos réseaux ». Ce même travail se fera au niveau collégial au cours des prochaines semaines, lorsque les comités auront été formés, explique Chantal Payette, adjointe à la direction générale au BCI.

Les étudiants étrangers se sentent trahis par les universités albertaines


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le Conseil des étudiants universitaires de l’Alberta (Council of Alberta University Students) estime que les étudiants étrangers sont exploités financièrement par les universités de la province. Dans un récent rapport, le conseil dénote les nombreuses difficultés qu’éprouvent les étudiants notamment en matière de logement, d’emploi et de financement. Selon les données du rapport, depuis 2010 les droits de scolarité ont augmenté de plus de 17 % pour les étudiants internationaux comparativement à 4,4 % pour les étudiants albertains.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

Un outil pour mieux enseigner lancé par le réseau du l’UQ


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Faire un plan de cours, savoir s’adresser à une classe de plusieurs centaines d’élèves, évaluer les apprentissages… Spécialistes dans leurs domaines, les professeurs d’université sont souvent peu outillés en matière de pédagogie universitaire. Des compétences qu’il sera maintenant possible d’acquérir plus facilement, grâce à la nouvelle plateforme d’autoformation Enseigner à l’université, lancée par le réseau de l’Université du Québec (UQ) en décembre dernier. «Lorsqu’on arrive comme infirmière dans le monde de l’enseignement, on n’a pas toutes les connaissances pédagogiques dans notre boîte à outils», raconte Lise Chamberland, aujourd’hui professeure au département des sciences infirmières à l’Université du Québec à Rimouski. La professeure, qui a fait partie de l’équipe des 30 testeurs de la plateforme, aurait bien aimé que celle-ci existe lors de ses premières charges de cours en 2005.

Une application en cas d’urgence à l’UQAR


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

L’Université du Québec à Rimouski se dote d’une application pour appareils mobiles afin de rejoindre rapidement ses étudiants et ses employés en cas d’urgence. À peine lancée, Sécurité UQAR a été téléchargée plus de 600 fois en moins de 24 heures. L’application permet de diffuser en direct des messages avisant autant de la suspension des cours, d’un incendie, d’une évacuation ou même de la présence d’un individu suspect, que ce soit sur le campus de Rimouski ou celui de Lévis.

Lire la suite du texte du Journal de Montréal.

Des universités tâchent d’accroître les séjours d’études en Chine


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Aux yeux de min ji (Esther) Kim, étudiante au premier cycle à l’Université d’Ottawa, un séjour d’études en Chine semblait le moyen idéal de parfaire son éducation. «La Chine est un pays émergent qui a une incidence sur les relations internationales actuelles et la mondialisation, explique-t-elle. J’étudie en sciences sociales et j’ai pensé que ce serait une belle occasion d’expérimenter directement la culture et les valeurs [chinoises] plutôt que de m’en tenir à ce qu’on nous apprend au Canada.» Le séjour de Mme Kim a été rendu possible grâce au nouveau programme Canada Liaisons internationales Chine (CLIC). Elle a ainsi été une des premières à obtenir un financement couvrant ses frais de scolarité et lui permettant de participer aux sorties et aux activités scolaires.

Les nouveaux «prophètes» de l’université marchande et globalisée


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0
Le 25 janvier dernier, La Presse publiait un article dont le titre donne le ton : Formation préuniversitaire collégiale : des chercheurs contestent l’efficacité des cégeps. Après l’épisode du Rapport Demers qui s’attaquait à la formation générale collégiale au nom de l’arrimage école-marché, voici qu’une autre salve s’abat sur l’existence même de la formation préuniversitaire collégiale, qu’il faudrait abolir pour imiter le Canada anglais. La proposition en question émane de Robert Lacroix et Louis Maheu, membres du CIRANO. Essentiellement, le problème serait que les francophones du Québec performent moins bien en termes de diplomation au baccalauréat. L’une des causes pointées serait notre modèle différent en matière d’enseignement supérieur, qui comprend deux années de cégep préuniversitaire ; une exception versus le «Rest of Canada» (ROC).

Cégépiens en difficulté d’apprentissage : la ministre David veut revoir les règles


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

La ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, veut revoir les règles en place dans les cégeps afin de favoriser la réussite des étudiants avec des difficultés d’apprentissage. Le Journal de Montréal rapportait récemment les propos d’un étudiant, Charles McKenna, qui dénonçait la réglementation qui l’empêche de poursuivre ses études au cégep à la suite de nombreux échecs. Ce jeune homme dysphasique réclame un statut particulier pour aider les étudiants comme lui à réussir au cégep. Lors d’un entretien avec Le Journal mardi, la ministre David s’est engagée à revoir les règles en place. «Je veux que le ministère regarde ce règlement parce que ce n’est pas rien, c’est de la réussite scolaire dont on parle», a-t-elle affirmé.

Des stages rémunérés en éducation préscolaire et primaire ne font pas l’affaire de tous


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Certains étudiants en enseignement à l’UdeM seront rémunérés à partir de l’an prochain dans le cadre de leur stage final. Des organisations luttant contre la précarité financière des stagiaires apportent quelques nuances à cette annonce. Les étudiants de quatrième année du baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement au primaire pourront s’inscrire à des cours de soir et à davantage de cours durant l’été. Cette mesure découle d’une entente entre la Commission scolaire de Montréal (CSDM) et la Faculté des sciences de l’éducation (FSE). «La problématique, c’est qu’il y a des classes qui n’ont pas d’enseignant et que nos étudiants ne sont pas disponibles pour accepter des contrats, car ils ont des cours», déclare la directrice du Centre de formation initiale des maîtres (CFIM) de la FSE, Josianne Robert.

Plus de la moitié des enseignants universitaires en Ontario n’ont pas de poste permanent


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Selon un récent rapport du Conseil des universités de l’Ontario, les corps professoraux dans les universités de la province sont majoritairement composés de chargés de cours à temps partiel. Ces données sont la preuve de la précarité des employés du milieu universitaire en Ontario, selon Frances Cachon, docteure en sociologie et chargée de cours à l’Université de Windsor. «Elles démontrent le recours systémique et structurel à des employés contractuels dans le secteur académique», dit celle qui, après 14 ans d’enseignement, n’a toujours pas de poste permanent.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

Revue de la LDL : Droits et libertés… en mouvance


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

La LDL vient de publier le dernier numéro de sa revue Droits et libertés, dont le dossier principal porte sur les discours sur les droits humains. Pour la LDL, les droits humains sont une référence essentielle pour réaliser une transformation de fond de notre société. Or, dans l’espace public, c’est trop souvent une conception figée des droits humains qui prévaut. Par ce numéro, la LDL souhaite s’attarder aux différents discours qui mobilisent les droits humains dans le contexte politique contemporain. Comme le conclut Lucie Lamarche dans l’introduction du dossier, «tous et chacun des articles présentés dans ce numéro de la Revue illustrent une trajectoire internationale ou locale du vivre ensemble et du lien social et démontrent qu’au-delà de la doctrine, les droits humains sont un moteur et une condition de l’action démocratique».

La nation attikamek s’affranchit de la DPJ


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Après avoir réclamé depuis plus de 20 ans la possibilité de prendre en charge les services de protection de la jeunesse, la communauté des Attikameks obtient enfin gain de cause et instaure un précédent à l’échelle canadienne. Les enfants attikameks qui ont besoin d’aide seront désormais «guéris» dans leur communauté et non plus par le Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ), se réjouit le grand chef de la nation, Constant Awashish. «Ça a été une véritable bataille pour que l’on reconnaisse notre autonomie en matière de protection de la jeunesse, affirme le grand chef Awashish en entrevue au Devoir.

La présidente du CA de l’UQAM, Lise Bissonnette, démissionne


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Usée par le «fatalisme» de la classe politique, la présidente du conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Lise Bissonnette, tire sa révérence. Elle a donné sa démission, mardi soir, en dénonçant «l’iniquité flagrante» favorisant les universités à charte aux dépens de celles du réseau de l’Université du Québec. «Je n’entrevois pas aujourd’hui de terme heureux à nos combats, mais ils doivent se poursuivre. Ce qui menace l’UQAM et les établissements analogues, ce n’est pas la fatalité, elle n’existe jamais. C’est le fatalisme dont la tentation rôde en nos propres espaces», indique Mme Bissonnette dans sa lettre de démission transmise au Devoir et au premier ministre du Québec, Philippe Couillard.

Colloque Villes intelligentes et durables : design social, démocratie participative et économie circulaire


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Colloque d’une journée sur les villes intelligentes et durables le mardi 20 février de 8h30 à 19h30, à la Chaufferie du Coeur des sciences de l’UQAM. Événement soutenu par les Fonds de recherche du Québec – Société et culture, le Département de communication sociale et publique de l’UQAM, la Faculté de communication de l’UQAM et l’organisme Communautique. Au programme : • Théories et méthodologies en design social et démocratie participative • Ville intelligente, gouvernance des données et économie circulaire • Ville intelligente, design et infrastructure durable.

Séminaire: Un programme universel de revenu de base est-il un outil efficace pour réduire la pauvreté et l’exclusion sociale?


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Séminaire: Un programme universel de revenu de base est-il un outil efficace pour réduire la pauvreté et l’exclusion sociale?, le vendredi 16 février, de 12h30 à 14h. Plusieurs études ont démontré que la pauvreté et l’exclusion sociale étaient parmi les plus importants déterminants de la santé et du bien-être. Malgré les plans d’action pour mettre en œuvre la loi québécoise sur la lutte à la pauvreté et l’exclusion sociale, aucun progrès significatif d’ensemble n’a été atteint depuis dix ans. L’idée d’accorder un revenu de base inconditionnel à toutes et tous refait surface périodiquement depuis le XVIe siècle. Mais plusieurs approches se profilent sous le vocable de revenu de base.

Atelier La police et tes droits et devoirs en cas d’arrestation, le 15 février


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Me Arij Riahi lance une série d’ateliers sur vos droits et responsabilités en cas d’interaction avec la police au Québec. Ce premier essai se tiendra en français le jeudi 15 février à 17h30, à L’Euguélionne, librairie féministe, 1426 rue Beaudry, à Montréal, limitera son audience pour des questions d’espace et visera à offrir un survol général. Il s’adresse aux gens avec aucune ou très peu de notions juridiques de base en droit criminel et constitutionnel. Nous encourageons les membres des communautés noires, autochtones et racisées à participer en grand nombre. Contribution suggérée de 5-15$. Personne ne sera refusé pour manque de fond.

Rassemblement communautaire pour commémorer les vie des femmes disparues et assassinées le 14 février


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

En ce jour de Saint-Valentin, la campagne «Missing Justice» vous invite à un rassemblement à 18h, au Native Friendship Centre, 2001 boul. Saint-Laurent, à Montréal, pour honorer les vies des femmes, des personnes bispirituelles et des personnes non-binaires qui ont disparu, victimes de violences sexistes et racistes. Lors de la 9e édition de cet événement annuel, nous présenterons des performances de Nina et Sierra Segalowitz, des Buffalo Hat Singers, de Marie-Josée Tremblay et d’autres encore. Il sera également possible pour les personnes présentes de partager leurs chansons, histoires, danses, poèmes ou n’importe quelle forme d’expression pour honorer celles et ceux qui ont disparu.

Conférence Trump et les femmes : analyses féministes contemporaines, le 13 février


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Une conférence, née d’une initiative du chantier sur l’antiféminisme du Réseau québécois en études féministes (RéQEF) et coorganisée avec l’IREF, le GREF et la Chaire Raoul-Dandurand, proposera le mardi 13 février à 18h30, à la salle D-R200 de l’UQAM, une discussion sur la nature des obstacles ainsi que sur les stratégies antiféministes employées non seulement par l’administration Trump depuis le début de son mandat, mais également plus globalement à l’ère de Trump au sein de la société américaine. Où en sont les droits reproductifs aux États-Unis un an après l’arrivée à la Maison-Blanche de la nouvelle administration? Quels ont été les impacts sur les mouvements sociaux et communautaires?

Lancement de MTElles le 8 février


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Concertation Montréal, en partenariat avec la Coalition montréalaise des Tables de quartier et Relais-femmes invitent au lancement de MTElles, le jeudi 8 février, à 17h, à la BAnQ Vieux-Montréal, 535 Avenue Viger Est, à Montréal. Une initiative qui vous permettra de mieux cerner les obstacles systémiques à la participation citoyenne des femmes et insuffler de meilleures pratiques, MTElles soutient l’instauration de pratiques innovantes au sein des conseils d’arrondissements, des conseils de villes (agglomération de Montréal), des instances consultatives montréalaises et des tables de quartier. L’objectif est de favoriser la participation égalitaire des femmes, d’origines diverses et issues de tous les milieux socio-économiques, à la vie démocratique et communautaire.

Conférence Comment je suis devenue militante pour la justice reproductive, le 8 février


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Continuité et changement tactique du mouvement pro-choix en Irlande du Nord… Ou comment je suis devenue une militante pour la justice reproductive! Conférence de Marie-Lise Drapeau-Bisson le jeudi 8 février à 17h, au café La Cote R, 1366 rue Ontario Est, à Montréal, organisée par le Centre de santé des femmes de Montréal. Au programme: • Le droit à l’avortement en Irlande et Irlande du Nord au travers d’une amitié avec deux jeunes Irlandaises • Un «voyage dans le temps» avec les militantes féministes en Irlande du Nord • L’utilisation de l’art et de la culture comme outils pour naviguer les contraintes politique et sociale.

Conférence de l’auteure du livre Le Roundup face à ses juges le 7 février


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Dans une conférence le mercredi 7 février, à 18h, à l’Agora Hydro-Québec de l’UQAM, Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice, présente les grandes lignes de son ouvrage Le Roundup face à ses juges à paraître chez Écosociété et disponible en librairie dès le 31 janvier. Dans son livre, Marie-Monique Robin propose une vaste enquête sur le «glyphosate», l’agent actif du pesticide le plus utilisé au monde dans les champs et les jardins, le Roundup, commercialisé par le géant de l’agroalimentaire Monsanto. Marie-Monique Robin révèle dans ce livre-choc l’un des plus grands scandales sanitaires et environnementaux de l’histoire moderne. Louise Vandelac, qui signe la préface de l’ouvrage, prendra également la parole lors de la soirée.

La décriminalisation de l’avortement : 30 ans déjà!


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Nous célébrons le 30e anniversaire du jugement historique de la Cour suprême du Canada, rendu le 28 janvier 1988 dans la cause du Dr Morgentaler, accusé avec les Drs Scott et Smoling, de pratiquer illégalement des avortements dans sa clinique de Toronto. Cette décision invalidait les dispositions de l’article 251 du Code criminel en vigueur depuis 1969 qui légalisait l’avortement pour des raisons thérapeutiques c’est-à-dire uniquement si la continuation de la grossesse mettait en danger la vie ou la santé de la mère. Dans leur décision, les juges du plus haut tribunal du pays ont estimé que la procédure pour obtenir un avortement thérapeutique portait atteinte au droit à la sécurité de la femme enceinte garanti par l’article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés, mais aussi à son intégrité physique et émotionnelle.

Le FRAPRU interpelle le ministre Leitão : le prochain budget doit bonifier le financement d’AccèsLogis


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Alors que débutent ses consultations pré-budgétaires sous le thème «À l’écoute des Québécois et des Québécoises», quelques centaines de membres et de groupes alliés du FRAPRU, de différentes régions, ont manifesté au centre-ville de Montréal mardi matin. Ils demandent l’amélioration et la bonification d’AccèsLogis, le seul programme qui permette le développement de logements sociaux au Québec. Le FRAPRU interpelle le gouvernement Couillard sur l’urgence de répondre aux besoins pressants des milliers de locataires mal-logés. Le regroupement s’adresse particulièrement au ministre des Finances dont les bureaux ont été occupés. «Avant de se priver d’importants revenus en baissant les impôts, il devrait s’assurer que les programmes sociaux sont suffisamment financés», soutient sa porte-parole, Véronique Laflamme.

Publication des «estimations moyennes» de la Régie du logement : le FRAPRU invite les locataires à la vigilance face aux demandes de hausse de loyer


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Au moment où la Régie du logement publie ses « pourcentages applicables pour le calcul des augmentations de loyer » pour 2018, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) souligne que le tiers des ménages locataires éprouve déjà des difficultés à assumer le coût actuel de leur logement et il interpelle le gouvernement du Québec à investir davantage dans le logement social et à mieux encadrer le marché locatif privé. L’organisme de défense du droit au logement recommande aux locataires de faire preuve de vigilance face à la hausse de loyer demandée par leur propriétaire et de s’appuyer sur les indications et le formulaire de calcul publiés cet après-midi par la Régie du logement.

Hébergement de type Airbnb : la Ville de Québec doit agir immédiatement


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

À Québec, les conséquences de l’hébergement touristique de type Airbnb dans les quartiers sont de mieux en mieux documentées. Pourtant, la Ville tarde toujours à se mettre en action. En août dernier, selon les données colligées par AirDNA, 2427 logements ou chambres étaient offerts en location à des touristes sur la plateforme Airbnb. Du nombre, 1552 étaient des logements entiers. Plus de 70% de ces logements sont situés dans l’arrondissement La Cité-Limoilou. La prolifération des logements réservés aux touristes n’est pas sans conséquence pour les résidentes et résidents. Le retrait d’appartements du stock locatif entraîne une pression à la hausse sur le prix des loyers.