Des milléniaux éduqués et surqualifiés pour leur emploi


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Selon les plus récentes données de Statistique Canada, le taux de chômage chez les jeunes âgés de 15 à 24 est deux fois plus élevé que la moyenne nationale. Les données révèlent également que près du quart des milléniaux occupent des postes pour lesquels ils sont surqualifiés. Une réalité à laquelle les jeunes en Atlantique n’échappent pas. Selon Statistique Canada, ce sont 12% des jeunes Canadiens qui ne sont pas à l’emploi. Si le Canada n’a jamais compté autant de diplômés universitaires, soit deux millions en 2015, tous ne trouvent pas chaussure à leur pied en matière d’emploi, se contentant d’emplois saisonniers et moins bien rémunérés.

Grève évitée à l’Université de Moncton


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La direction de l’Université de Moncton et le syndicat qui représente les professeurs et bibliothécaires (ABPPUM) de son campus de Moncton ont conclu une entente de principe vendredi, selon Radio-Canada, que les membres ont ratifiée à 97,4% lundi, selon L’Acadie Nouvelle. L’ABPPUM a récemment annoncé son intention de tenir un vote de grève les 13 et 14 mars. Les professeurs et bibliothécaires dénonçaient notamment l’écart salarial entre eux et leurs homologues anglophones de la province, et ce, malgré une entente signée en 2015. Ils affirmaient que l’université leur offrait moins de la moitié de l’augmentation salariale nécessaire pour atteindre la parité.

Grève à l’Université Laval : la demande d’injonction provisoire rejetée


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Le Syndicat des employés de soutien de l’Université Laval (SEUL) n’a pas réussi à convaincre le Tribunal administratif du travail (TAT) que la direction de l’établissement avait recours à des briseurs de grève. Le juge Christian Drolet a rejeté vendredi la demande d’injonction provisoire que le syndicat avait déposée pour contraindre l’Université Laval à respecter les dispositions anti-briseurs de grève prévues à l’article 109.1 du Code du travail. Il soutient que le syndicat n’a pas «établi de façon prépondérante qu’il y a apparence que l’Université utilise illégalement les services» de salariés. Le SEUL affirmait dans sa demande d’injonction provisoire que les agents contractuels font partie de son accréditation et n’ont par conséquent pas le droit de travailler durant la grève.

15 % moins de cours offerts à l’U. Laval : les compressions ont eu des impacts concrets, selon le syndicat des chargés de cours


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À l’Université Laval, le nombre de cours offerts a diminué de 15% l’an dernier, à la suite des compressions imposées par Québec dans le réseau universitaire, a appris Le Journal de Montréal. Au total, c’est 1300 cours de moins qui ont été offerts aux étudiants en 2015-2016, selon une compilation effectuée par le Syndicat des chargés de cours de l’Université Laval (SCCUL), à partir de données obtenues auprès de la direction. «C’est énorme!» laisse tomber Christine Gauthier, présidente du SCCUL. En 2015-2016, l’Université Laval a dû jongler avec des compressions de 22 millions $. Des cours ont été carrément abolis alors que d’autres, offerts à plusieurs groupes dans des plages horaires différentes, ont été fusionnés, ce qui a eu pour effet d’augmenter le nombre d’élèves par cours, explique Mme Gauthier.

Atlanta : la privatisation en question lors de la conférence de la Comparative and International Education Society


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L’Internationale de l’éducation (IE) a placé la privatisation et la commercialisation dans et de l’éducation au centre des débats lors de la Conférence de la Comparative and International Education Society (CIES), qui s’est tenue à Atlanta, aux États-Unis, du 5 au 9 mars. L’IE a présenté des projets de recherche liés à sa campagne «Réponse mondiale» à un public international composé de chercheuses et de chercheurs et a constitué une alliance stratégique pour ses futures activités de recherche.

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Entre vous et moi


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Je désire souhaiter, au nom de toute l’équipe syndicale, une bonne fête à toutes les chargées de cours ainsi qu’à toutes les autres femmes fréquentant ou travaillant à l’UQAM. Je vous souhaite pour la prochaine année un milieu exempt de tout harcèlement ou agression à caractère psychologique ou sexuel, un milieu égalitaire où il fait bon vivre et travailler. J’en profite pour faire un tour de nos instances institutionnelles et syndicales pour voir où en est la parité. Le Conseil d’administration de l’UQAM est composé de 10 hommes et 6 femmes et la Commission des études de 10 hommes et 12 femmes.

Lock-out à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis : le syndicat dénonce à nouveau l’attitude de l’employeur


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Les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) ont manifesté jeudi midi devant l’Hôtel Chantecler à Sainte-Adèle, propriété du groupe Hôtels Gouverneur, afin de dénoncer à nouveau l’attitude de leur employeur. «Depuis le mois de mai dernier, qui a marqué le début de notre négociation, nous avons tenu 16 rencontres et nous sommes encore loin d’un règlement. Nous avons fait appel à la conciliation parce que l’employeur n’affichait aucune ouverture, ce qui nous a indiqué rapidement qu’un conflit se préparait. Les pourparlers n’aboutissent pas et la partie patronale ne dispose pas des mandats nécessaires pour régler cette négociation.

Projet Optilab sur la Côte-Nord : le pdg du CISSS doit intervenir auprès du ministre Barrette


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La CSN, la FTQ, les élus municipaux de la Côte-Nord et les comités de Vigilance en santé et services sociaux pressent le CISSS de la Côte-Nord à sortir de sa torpeur et à agir sans plus attendre avant que le ministre Barrette ne procède aux transferts imminents de 70 postes vers le CISSS du Saguenay. «On n’a pas encore entendu le CISSS se prononcer sur la question des transferts dans le cadre du projet Optilab alors que ceux-ci sont annoncés pour le 1er avril prochain. Nous interpelons aujourd’hui le président directeur général, Marc Fortin, afin qu’il intervienne immédiatement auprès de Gaétan Barrette en faveur de la population de la région desservie par son établissement et pour qu’il somme le ministre de renoncer aux transferts des postes», a d’abord souligné le président du Conseil central Côte-Nord – CSN, Guillaume Tremblay.

Grève de Murdochville : la FTQ souligne le 60e anniversaire du déclenchement


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La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) tient à souligner, le 10 mars, le 60e anniversaire du déclenchement de la grève historique des travailleurs de la mine de la Gaspé Copper Mines, filiale de la compagnie Noranda. À cette époque, Noranda conteste la syndicalisation des travailleurs qui ont choisi d’être représentés par le syndicat des Métallos. Pendant la procédure d’accréditation, Noranda refuse de reconnaître le syndicat et de négocier. Elle suspend ou rétrograde les travailleurs ou abaisse leur salaire et congédie le président du syndicat, Théo Gagné. Outrés, le 10 mars 1957, les 1000 travailleurs de la mine déclenchent alors ce qui sera l’un des plus durs conflits qu’aura connus le monde syndical québécois.

Le Groupe MAMAN reçoit la première subvention de son histoire


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À l’occasion de la Journée internationale des femmes, le Groupe MAMAN (GM), qui est membre de la Coalition pour la pratique sage-femme au même titre que la CSN et d’autres groupes citoyens, est très fier d’annoncer le premier financement de son histoire. Celui-ci lui permettra d’assurer une présence forte au sein du mouvement de mobilisation pour l’humanisation de la naissance. En effet, la Fondation Béati a décidé d’octroyer 27 000$ à la réalisation du projet: Renforcer la voix citoyenne pour une maternité respectée. L’équipe du GM se réjouit de cette nouvelle qui lui permettra d’intensifier son action et son soutien auprès des groupes citoyens qui revendiquent l’accès aux maisons de naissance et aux services des sages-femmes aux quatre coins du Québec.

Les 20 ans de la politique familiale : de gardienne d’enfant à éducatrice en garderie


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En 1997, le gouvernement péquiste a mis en place une politique familiale comprenant plusieurs volets. Deux d’entre eux ont été particulièrement marquants. D’une part, on a établi le Régime québécois d’assurance parentale, permettant tant aux pères qu’aux mères de passer du temps avec leur nouveau-né tout en gardant leur lien d’emploi et une partie de leur salaire. D’autre part, le gouvernement s’est engagé à établir un réseau de garderies publiques à frais modiques, promettant des places pour les enfants de tous les parents qui en feraient la demande. Cette politique familiale de même que les luttes syndicales et communautaires qui ont suivi ont permis non seulement de créer un réseau de qualité pour les enfants et leurs parents, mais également de professionnaliser les femmes qui y travaillent en améliorant leurs conditions de travail.

Royaume-Uni : l’augmentation de la pression professionnelle affecte largement l’état psychologique et le bien-être des enseignants


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Près de la moitié des répondants à un sondage mené en Écosse sur le bien-être des enseignantes et enseignants ont déclaré être psychologiquement fragilisés, ce qui alimente les craintes de voir un nombre croissant d’enseignantes et enseignants en difficulté face à l’évolution des exigences de leur profession. Le sondage, réalisé en février 2017 par Jenny Harvey, éducatrice spécialisée de Fife, une région située à l’est de l’Écosse, a obtenu un nombre considérable de réponses: 778 au dernier comptage.

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Le Front commun comique contre les paradis fiscaux en spectacle au Lion d’Or le 4 avril


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Le Front commun comique se mobilise à l’occasion de la 1re Semaine mondiale d’actions contre les paradis fiscaux (1-7 avril 2017) et sera en spectacle le mardi 4 avril au Cabaret Lion d’Or à 20h (ouverture des portes : 19h). Rassemblant des humoristes qui ont à coeur le bien commun, la justice sociale et les idées progressistes, le Front commun comique utilise l’humour comme un outil de révolution sociale. Ses spectacles allient des numéros d’humour et des prises de parole d’intervenants (professeurs, militants, acteurs communautaires, etc.) qui stimulent le débat public et l’action politique et sociale. Pour rire des dangereux bouffons qui nous gouvernent avec Colin Boudrias-Fournier, Fred Dubé, Sexe Illégal, Maude Landry et Christian Vanasse.

Des scientifiques à la recherche de fonds fédéraux


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Bien des chercheurs en santé attendent le prochain budget fédéral avec un mélange d’appréhension et d’espoir. L’élection de Justin Trudeau était perçue comme une bouffée d’air frais. Or, un an et demi plus tard, de nombreux scientifiques sont à bout de souffle en raison du manque de financement fédéral. Jean-Claude Labbé est chercheur à l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC), où l’on tente de mieux comprendre le cancer, la plus importante cause de décès du pays. En fait, la moitié de son temps est littéralement consacrée à chercher du financement. «Le travail devient presque un travail de collecte de fonds», dit-il.

Des élues questionnent l’entente entre la Ville et la campagne majeure de l’Université de Sherbrooke


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Le conseil municipal de Sherbrooke a donné son aval à la signature du protocole d’entente avec l’Université de Sherbrooke pour la campagne de financement d’Avenirs et de passions. Cette campagne vise à financer des projets de différentes facultés. La conseillère Hélène Dauphinais a enregistré sa dissidence en raison des montants variant entre 350 000 et 600 000 dollars qui seront octroyés chaque année pendant 10 ans. La conseillère Annie Godbout réclame un plan cohérent entre les différents organismes de développement entrepreneurial. Elle a lancé une pointe à l’égard du maire Bernard Sévigny en lui reprochant d’avoir été arrogant envers elle. Le président du comité exécutif, Serge Paquin a quant à lui rappelé que le parc immobilier de l’Université de Sherbrooke rapporte des revenus de taxes à la Ville.

Vers un troisième plan de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale : le Québec mérite mieux que la politique du moins pire


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La semaine dernière, le ministre François Blais reconnaissait à juste titre l’échec des deux premiers plans de lutte à la pauvreté. Ceux-ci n’ont pas permis au Québec d’atteindre l’objectif de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, qui est de faire du Québec l’une des nations industrialisées comptant le moins de personnes en situation de pauvreté. «Après cela, le ministre Blais a beau jeu de promettre que le prochain plan de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale sera meilleur que les précédents», lance le porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté, M. Serge Petitclerc. «Il n’a pas placé la barre bien haut.

Le financement du réseau collégial québécois : quelques pistes de solution


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Les paramètres de la formule de financement des cégeps ne permettent plus aux établissements collégiaux de s’adapter aux changements sociodémographiques que vit le Québec, ni même d’atteindre les objectifs déclarés du gouvernement. Les compressions récentes mettent au jour les iniquités structurelles de cette formule de répartition. Pour la seule dernière année (2014-2015 à 2015-2016), quatre des cinq volets de financement ont subi des compressions moyennes de 11,2%, soit une ponction totale de 75 M$ dans leur allocation initiale. Aux fins de cette analyse de l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), les 48 cégeps sont d’abord classifiés selon leur taille, puis répartis également en trois catégories: petits, moyens et grands.

Politique nationale de lutte à l’itinérance du Québec : trois ans, mais pas toutes ses dents


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Il y a trois ans, le gouvernement du Québec s’est doté d’un instrument majeur pour guider son action avec l’adoption de la Politique nationale de lutte à l’itinérance. Trois ans plus tard, celle-ci a permis certains progrès, mais les moyens investis pour son déploiement font grandement défaut. Il manque de mordant à son action. Cela n’est pas sans conséquence… À l’hiver 2016, le nombre de nuitées dans les refuges pour hommes avait augmenté de 10%. Cet hiver, le taux de fréquentation semble se stabiliser, mais différentes décisions du gouvernement font craindre un accroissement de l’itinérance. L’itinérance des femmes demeure sous-estimée, et le 16 janvier dernier la compilation faite par la Ville de Montréal indiquait un taux d’occupation des ressources d’hébergement d’urgence leur étant destinées de 101%.

Conférence sur l’implantation et l’évaluation des programmes de prévention de la violence sexuelle


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Une conférence offerte par Charlene Senn, professeure au département de psychologie de l’Université de Windsor et organisée par la Chaire de recherche du Canada sur les traumas interpersonnels et la résilience, se tiendra le vendredi 7 avril de 9h à 12h (accueil à 8h30) au JE-1000. Le titre de la présentation est The Enhanced Assess, Acknowledge, Act (EAAA) Sexual Assault Resistance Program for Women Students: Foundation, evidence, and implementation et sera offerte en anglais (la période de questions se déroulera dans les deux langues). La conférence sera précédée par une présentation des résultats de l’Enquête ESSIMU sous l’angle du rôle des témoins dans le soutien aux victimes.

Les professeurs de l’Université de Sherbrooke entérinent l’entente à 82 %


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Les professeures et professeurs de l’Université de Sherbrooke ont accepté à 82% l’entente de principe qui leur a été présentée, mardi en fin de journée. La convention collective de trois ans prévoit un plan de développement du corps professoral, de même qu’une augmentation salariale de 6,25% sur trois ans, en plus d’un montant forfaitaire de 1%. L’entente du Syndicat des professeures et professeurs de l’UdeS (SPPUS) prévoit 30 nouveaux postes d’ici trois ans, en plus de postes qui pourraient se libérer et qui seraient remplacés.

Lire la suite du texte de La Tribune.

Contrer le sexisme ordinaire : plusieurs domaines restent encore majoritairement masculins


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Si les femmes subissent violence et sexisme dans la sphère virtuelle, comme nous l’avons vu dans les dénonciations des derniers jours, plusieurs autres domaines de travail sont difficiles pour les femmes. Malgré tout, certaines s’organisent pour essayer de changer la donne, même si lutter contre le sexisme systémique reste un combat de tous les instants.

Lire la suite du texte de Ricochet.

La gouvernance en péril : le personnel académique a-t-il son mot à dire dans la gouvernance des établissements postsecondaires?


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«Les universités deviennent si grandes, si complexes et si dépendantes des fonds publics que les savants ne peuvent plus déterminer ni influencer leurs propres politiques, qu’une nouvelle catégorie montante d’administrateurs est en voie d’assumer le contrôle et que le gouffre d’incompréhension et de mépris s’élargit de plus en plus entre le personnel universitaire et le personnel administratif et porte gravement atteinte au fonctionnement de ces deux entités.» Cette conclusion est tirée du rapport de la Commission Duff-Berdahl publié en 1966. Et malgré les cinquante années qui se sont écoulées depuis, elle est toujours d’actualité, car les enjeux liés à l’influence des universitaires dans la gouvernance des institutions postsecondaires — que ce soit au sein des sénats ou aux conseils d’administration — sont toujours d’actualité.

L’égalité entre les femmes et les hommes, bien sûr; mais l’égalité entre les femmes «encore plus», commente Stéphanie Mayer


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L’égalité est toujours au cœur des revendications féministes en cette Journée internationale des femmes. L’égalité entre les femmes et les hommes, bien sûr; mais l’égalité entre les femmes «encore plus», dit Mélanie Sarazin, présidente de la Fédération des femmes du Québec (FFQ). Bien que les luttes féministes soient diverses depuis longtemps, de plus en plus de voix s’élèvent actuellement. Les possibilités offertes par l’internet et les blogues ont offert un moyen rapide et efficace pour la mobilisation, soutient Stéphanie Mayer, chargée de cours à l’UQAM, sur les questions de femmes et de politique, dans une entrevue au journal Métro. Ces voix variées exposent les conséquences des inégalités pour différents groupes et rendent compte d’expériences vécues par une grande diversité de femmes.

REM : gare aux hausses de tarif, affirme Jean-François Lefebvre


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L’arrivée du train électrique de la Caisse de dépôt pourrait entraîner une hausse des tarifs du transport en commun et ainsi rajouter 150 000 voitures sur la route, croient des opposants au projet. C’est du moins ce qu’affirment Jean-François Lefebvre, économiste et chargé de cours à l’UQAM, et Luc Gagnon, chargé de cours en développement durable à l’ETS, dans une analyse publiée mercredi pour le compte de la Coalition Trainsparence, et reprise par Le Journal de Montréal.

Julien Tourreille estime que le président Trump tente d’esquiver le scandale russe


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Donald Trump tente de détourner l’attention du public sur les liens entre son équipe et la Russie en prétendant avoir été mis sur écoute par Barack Obama, croient des experts interrogés par Le Journal de Montréal. «On est dans la logique de la diversion. On voit une tendance de ce président à adhérer à des théories conspirationnistes», note Julien Tourreille, chargé de cours et chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM. Est-ce que le futur président français devra siéger en prison? Plusieurs candidats sont dans l’embarras! Julien Toureille commente la situation pour le FM93.